Video: Présentation de l'enquête VIRAGE sur les Violences vécues par les femmes et les hommes en IDF (DocDrop)

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ça ça j'enlève ah non ok donc on va commencer bien mesdames et messieurs les intervenants mesdames et messieurs les participants à

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ce webinaire mesdames et messieurs les responsables de l'équipe du centre qui est aux manettes je suis très très heureuse d'ouvrir cette conférence en qualité de président

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du centre bertino clair nous allons vous présenter aux aujourd'hui un rapport très attendu intitulé rapport sur les violences subies par les femmes et par les hommes en ile-de-france dans le

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cadre de l'anc et virages avant toute chose je tiens à remercier nos intervenantes de lynette on s'est vu qu'elle était présent toutes les deux magali mais lui et lui zywiecki vu effectivement qu'elle

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était là on jouerait toutes mes félicitations pour ce travail tant attendue est si remarquable en collaboration avec le centre hubertine auclert merci de rendre accessible à

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toutes et tous des données minutieuse et parfois complexes je ne vous apprendrai rien en répétant combien nous avons besoin de ces photographies précise dans le temps afin de mesurer l'ampleur des

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violences systémique quelle qu'elle soit et où qu'elles soient merci également au public très nombreux à cette webconférence vous étiez près de 550 inscrits j'en déduis que ce chiffre

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est représentatif des attentes que cet état des lieux du site nous attendions avec impatience ces données inédites en ile de france sur les violences subies par les femmes et par les hommes

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au cours de leur vie aussi bien en famille dans le coupe au travail pendant les études et bien entendu dans les espaces publics je rappelle par ailleurs que cette

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enquête a bénéficié entre autres du soutien financier important de la région ile de france d'ici quelques minutes le rapport vous sera présenté et permettez moi de mettre

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en exergue trois enseignements saillant de ce travail et surtout de rappeler comment nous agissons centre bertino clair à partir de ces données premier enseignement les femmes sont davantage

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confrontées à des violences tout au long de leur vie et dans tous les espaces de vie ça paraît être une évidence mais c'est bien quand on le dit et que

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certifiés par une enquête qui ne qui ne qui ont tous les cas est essentielle pour la suite est faite du monde de cette conférence nous savons pertinemment que les

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professionnels du scepticisme à l'égard de l'égalité femmes-hommes remettre perpétuellement en question la réalité des violences faites aux femmes d'où la nécessité de l'objective est le

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plus régulièrement possible et de produire des données territoriales j'ajoute que dans un monde où la parole aux scientifiques se confondent de plus en plus à l'irrationnel et l'incrédulité il est indispensable de marteler

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l'importance de ces travaux nos intervenantes vous traduire ont tout à l'heure cette réalité en chiffres précis deuxième enseignement la famille peut aussi être un lieu de violence pour les

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filles comme pour les garçons nous y apprenons qu'un franciliens en france il ya une mineure sur 5 celui des violences dans son foyer avec une prévalence des violences sexuelles cinq fois supérieur

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pour les filles vous le savez le silence mortifère qui entoure l'inceste depuis toujours commence peu à peu à se craqueler cette courageuse libération de la parole doit être encouragé et

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accompagner de manière adéquate pour cela nous avons urgemment besoin de données pour objectiver ici aussi cette douloureuse réalité à cet effet le centre hubertine auclert publiera son

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rapport sur l'inceste et les violences sexuelles sur mineurs dans la famille à l'occasion de la journée internationale du 5 novembre qui pour nous sera le 22

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novembre date de la remise du rapport à la présidente de région qui est à l'origine de cette demande je rappelle ici que celle de mende et fait suite à une délibération votée à l'unanimité par

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le conseil régional d'île de france et je tiens à saluer l'unanimité de cette délibération pour effectivement que la région puisse diligenter cette enquête auprès du centre bertino clair

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parce qu'il s'agit d'encourager la prise de parole le centre hubertine auclert lancera également des lommois nous vend une grande campagne de sensibilisation à destination des lycéens des lycéennes

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sur ce sujet dont je peux révéler aujourd'hui le nom programmatique qui est inceste parlons-en troisième rappel les femmes parlent de plus en plus de ces violences

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particulièrement en ile de france mais ne sont pas suffisamment tendue je trouvais à sa tombe assez bien cette journée vous avez vu comme moi les

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manifestations à montpellier des femmes qui ont besoin de se faire mieux entendre par la justice c'est pas trop de le dire depuis hier tant d'années sauf que là quand on voit ce qui se passe sur les réseaux sociaux et qu'on

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entend leurs commentaires ça fait froid dans le dos donc que je trouve que c'est bien tombé que cette conférence ait lieu aujourd'hui alors que nous avons nos collègues et des jeunes femmes et des femmes qui se battent pour être mieux

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entendues en tous les cas par la police et par la justice je disais donc subir des violences quelles qu'elles soient et voit sa parole discréditer minorer ou bien ignorer c'est un double traumatisme pour

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les victimes pour pallier à cela il faut évidemment éclairer les consciences c'est un long travail de sensibilisation en premier lieu auprès des personnes habilitées à recevoir les victimes cela fait des années que les injustes

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les associations engagées dans la lutte contre les violences alerte sur la nécessité de former de forme et de toujours former les forces de sécurité à juste titre ids en novembre 2001

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conseil régional a confirmé a confié au centre martin auclair la conduite d'un projet régional de formation en direction de l'ensemble des forces de sécurité sur le territoire francilien

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un projet que le centre coordonne aujourd'hui avec 17 associations toutes ont une expertise dans l'accompagnement des femmes victimes de violence conjugale et une excellente connaissance du réseau local

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l'objectif est limpide améliorer les conditions dans les cales dans lesquels les femmes victimes sont accueillis nous savons combien celles ci sont déterminantes par leur parcours judiciaire je voudrais ici faire une petite

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parenthèse eu l'occasion d'avoir une réunion de travail avec la procureur de la république de la république te tribunal de mon territoire qui nous a fait effectivement

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remarqué qu' il y a beaucoup de pertes entre le moment ils viennent porter plainte et le moment le dossier arrive sur le juge il ya plus de 50% des femmes qu'ils ne continuent pas la possible

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ça c'est quand même un élément nouveau donc qui est sur mon territoire et un territoire plutôt rural pour dire combien une fois qu'elles ont été entendus

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dans un commissaire vient les faire répéter leur parcours différentes fois aux différentes instances qui les interrogent est insupportable donc voilà il va falloir aussi que nous

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nous penchons sur ce sujet là et sur ce problème là c'est un des sujets d'ailleurs qu'aurélie à tour s ab déjà évoqué il ya déjà plusieurs semaines plusieurs mois et que nous avons une

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très grande perte entre kuala entre le commissariat de police elle est le tribunal et ça c'est quand même pas non donc nous aurons l'observatoire des violences faites aux

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femmes a également engagé en début d'année un projet de recherche pour documenter les parcours des victimes de violences sexuelles dans la chaîne pénale c'est le nom que je plonge dans l évoqué afin d'identifier les leviers

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visant à une meilleure reconnaissance sociale et judiciaire des viols et agressions sexuelles nous aurons l'occasion de revenir prochainement sur ses actions essentielles qui permettent aux professionnels de mieux repérer et

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accompagner les femmes victimes de violences je m'arrête ici vous l'avez compris expertise et sensibilisation sont pour le centre hubertine auclert un préalable à l'amélioration des consciences et à la diffusion d'une

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culture à l'égalité femmes hommes en ile de france avant de laisser la parole à aurélie natour s permettez moi d'insister sur le fait que ce rapport virage ile de france est une nouvelle référence aussi bien en termes de

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qualité méthodologique et j'insiste là dessus que de précision des enseignements nous avions vraiment besoin de ça devant la flagrance des violences systémique ils sont

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soigneusement analysé cette enquête est une nouvelle invitation à l'action afin de les éliminer et donc je vous souhaite maintenant un bon travail et donc je vous remercie de m'avoir écouté et je

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vous souhaite un excellent webinaire à très bientôt j'espère au revoir à saint pierre merci marie pierre alors on va effectivement vous présenter les

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résultats de cette enquête alors il s'agit en fait d'un partenariat qui effectivement est inédit entre le centre hubertine auclert et l'institut national d'études démographiques ined

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pour vous présenter les principaux résultats d'une grande enquête nationale l'enquète virage violence et rapport de jean on va vous présenter ici les données pour le territoire francilien alors l'enquète virage c'est quoi comme

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cela a été expliqué en introduction c'est une grande enquête scientifique une enquête de victimation les femmes et les hommes ont été interrogés sur les violences subies au cours de leur vie sur la base d'un vaste questionnaire qui

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vous sera présenté tout à l'heure lors ce sont des données qui sont complémentaires des autres sources de données qu'on peut avoir sur les violences de genre en france notamment les données administratives des données produites par la police et la justice

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ici on a des données dont complémentaires qui vont permettre non seulement de mesurer l'ampleur des violences de genre mais aussi de pouvoir les analyser donc sur la base d'un vaste échantillon en france de plus de 27000

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personnes qui ont été interrogées on a travaillé ici sur la part des répondants et répondantes franciliens francilienne pour pouvoir avoir des données territoriales donc là ce sont des données inédites qu'on va vous présenter

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sur les violences dans plusieurs espaces de vie que ce soit dans le cadre privé dans le couple dans la famille mais aussi au travail à l'école ou dans les espaces publics alors en 2018 on avait

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déjà réalisé une première publication sur la base des résultats provisoires de l'enquète virage concernant les violences faites aux femmes et dans les espaces publics en ile de france mais aujourd'hui on va

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vous présenter l'ensemble des données sur tous les espaces de vie alors qu'est ce qui ressort rapidement de cette enquête tout d'abord l'ampleur des violences de genre et puis aussi le fait que les

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femmes et les hommes sont confrontés à des formes de violence différentes qui ne vont pas avoir les mêmes conséquences et qui pour les femmes vont avoir des impacts sur l'ensemble de leur parcours de vie c'est ce qu'on va voir cet après

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midi et puis deuxième élément on va voir les spécificités fortes de l'île de france notamment par l'ampleur des violences qui s'y exercent à l'encontre des franciliennes mais aussi des jeunes

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francilienne en particulier on va voir qui sont au coeur d'un cumul en fait de vulnérabilité puis enfin ces données on va voir par leur ampleur par leurs spécificités incite à agir à agir aussi parce que

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dans l'anc est on voit que les victimes contrairement à certaines idées reçues on parlait la plupart du temps des violences qu'elles ont subi quelles que soient les espaces dans lesquels elles les ont subies elles ont parlé des violences mais parfois pas à des

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professionnels qui ont pu les protéger donc ça sera aussi peut-être l'objet de discussions qu'on pourra avoir par la suite alors comment va s'organiser ce webinaire on va vous

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présenter les résultats de deux les résultats de l'enquêté au niveau francilien avec l'appui de lucie vicky et magali mazuy qui sont chercheuse à l'ined qui vont vous présenter leur travail sur les données francilienne en

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trois temps tout d'abord il va y avoir un temps sur les rappels concernant la méthodologie de l'enquète on l'a vu dans l'introduction c'est un élément indispensable pour bien comprendre et mesurer aussi tout là le caractère

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inédit des données qui vont vous est présentée une fois que la méthodologie aura été présentés on pourra partager avec vous les résultats généraux de l'étude et notamment les enseignements concernant les violences de genre

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qu'elle permet de mettre en évidence avant d'aborder trois focus thématiques les violences conjugales d'une part depuis les violences subies par les mineurs dans la famille et enfin des violences dans les espaces publics ce

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qu'on vous propose c'est tout au long de cette présentation de pouvoir déjà préparer vos questions et de les envoyer dans l'onglet questions réponses mes collègues enbrel haddad et anna clara va là pour ans les les réunir les collecter

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pour qu'on puisse y répondre lors du temps des changes qui sera prévu donc sur 30 minutes à la fin de ce webinaire et sans plus tarder du coup je vais laisser la parole donc à l'uci qui est

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magazine mazuy pour présenter la méthodologie de l'enquète alors l'enquète démographique violence et rapports de genre dit virage a été conduite par l'institut national d'études démographiques en 2015 elle

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porte sur les violences interpersonnelles subi dans les 12 derniers mois et au cours de la vie entière dans les différents espaces de vie donc les lieux d'études de travail les espaces publics les relations de

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couple le cadre familial et entourage proche et donc cette enquête permet de contextualiser les violences et d'explorer leurs conséquences donc l'enquète virage a été conduite par téléphone auprès d'un échantillon

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représentatif de la population française constituée de plus de 27 mille femmes et hommes âgés de 20 69 ans résidant ménage ordinaire sur le territoire métropolitain c'est la deuxième en quatre

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scientifiques en france spécifiquement spécifiquement dédié aux violences la première ayant été réalisée en 2000 la quête en vf portant à l'époque sur un échantillon de

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6970 femmes âgées de 20 à 59 ans euh non pardon quinze ans après l'enveff l'enquète virage actualise et approfondit les résultats concernant les violences psychologiques physiques et sexuelles

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elle prend en compte l'ensemble des situations où se produisent les violences et la multiplicité des formes qu'elles peuvent prendre virage pose l'hypothèse que le degré de gravité des violences doit être de saisie par une

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description fine de la nature des violences de leur fréquence de leurs cumuls de leur ancienneté des contextes et des circonstances où elles se produisent des liens existant entre les auteurs et les victimes et les

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conséquences sur le devenir des personnes notamment leur état de santé leur parcours scolaire professionnels familiaux et conjugaux l'organe porte une attention particulière au sexe des victimes et à

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celui des auteurs et replace les situations de violence dans le cadre plus global des inégalités de genre l'inclusion des hommes dans l'échantillon permettent de mettre en évidence ou de rappeler que les hommes

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et qu homme et femme ne sont pas affectés par des violences de même nature de même intensité et de même gravité concernant la structure du questionnaire les questions relevant les actes de violence ne viennent qu'après le recueil

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de données contextuelles sur la vie des personnes notamment les caractéristiques sociodémographiques des enquêtés et de leurs conjoints conjointe les éléments de leur biographie et leur état de santé ensuite cinq modules enregistre les

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agressions subies au cours des 12 derniers mois dans les différents espaces de vie et les études le travail les espaces publics les relations de couples actuels ou passés la sixième section est consacrée aux

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violences subies au sein de la famille de la naissance au moment de l'enquêté ont quatre déclarations d'un fait violence une question sur la temporalité permet alors de situer le faire dans la vie des personnes enfin le dernier

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module questionne les violences vécues au cours de la vie avant les 12 derniers mois dans l'est dans les sphères dans toutes les sphères de vie hors de la famille une telle structure du questionnaire interrogeant dans un

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premier temps les violences récentes puis celle vécue avant les 12 derniers mois favorise la remémoration des violences tout au long de la vie tout au long du questionnaire les termes de violence ou d'agression ne sont

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jamais utilisées seules des faits sont décrits les chercheuses ont privilégié la formulation de dans la formulation de questions par dont la description d'actes alors que donc j'ai une

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description d'actes susceptibles d'être comprise de façon similaire par l'ensemble des personnes interrogées alors qu'une référence à des termes juridiques comme par exemple le mot viol risque est de poser le problème de la

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connaissance des actes coûte contenues dans ces catégories par les personnes les analyses des données nationales de cette enquête sont disponibles et détaillées dans l'ouvragé collectif publié en 2020 intitulé violence et

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rapports de genre enquête sur les violences de genre en france dirigée par élisabeth brown à 10,2 bausch christelle hamel et magali mazuy publié aux éditions guy nadeau

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parce que je ne sais pas quoi donc dans l'échantillon national de l'anc est on compte 4500 16 personnes résidant en ile-de-france dont 2575 femmes et 1941 hommes c'est sur cet

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échantillon franciliens que les analystes qui vont suivre ont été construites les données présentées ici ont été pondérées pour que les résultats soient représentatifs de l'ensemble de la population résidant en ile de france

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donc la population d'île de france est particulière par rapport à l'ensemble des français et des françaises vivant en france métropolitaine par exemple le niveau d'études y est plus élevé qu'en france entière puisque 42 % des franciliens et franciliennes

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sont diplômés du supérieur contre 31% en population générale ainsi même si les ressorts des violents sont identiques quelle que soit la région la structuration de la population en ile de france notamment en termes

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d'âge de catégorie socioprofessionnelle de niveau de diplôme a un impact sur la déclaration des violences de genre les jeunes déclarent plus de violence parce qu'ils et elles sont plus informés en

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raison des campagnes de sensibilisation qui ont pu avoir un effet fort sur cette frange de la population par ailleurs le poids de la population migrante et plus important en ile de france ce qui peut avoir pour effet ce

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qui peut avoir un effet sur les taux prevalence notamment si la migration est à l'origine des violences c'est la migration est lié par violence particulièrement c'est les personnes ont fui les violences ou si des violences

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sont survenues sur le parcours migratoire et je laisse maintenant la parole à magalie merci bonjour à toutes et tous oubliez donc on va commencer par quelques réflexions trans transversale

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donc comme vous l'ont expliqué aurélie lui sied donc la méthodologie de banquettes et se veut à la fois donc une enquête de victimation qui permet de transcrire des prévalences mais aussi

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d'aller au delà d'une enquête de victimation classique pour permettre de re situer la place des violences dans les parcours de vie des hommes et des femmes on a des

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informations sur les violences récentes comme ça a été dit sur les violences au cours de la vie ce qui permet de voir de mettre en relation les violences vécues d'un âge un autre

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les violences vêtue d'une sphère de vie à une autre et ainsi permettre de décrire plus en détail des parcours de vie l'impact sur la santé par exemple est

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également de voir comment des violences peuvent se faire écho d'un espace à l'autre en ce sens ces enquêtes virage ou en rêve 15 ans auparavant se

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distingue des enquêtes de victimation classique qui elle essaie de renseigner de manière un peu précises des crimes et des délits où on essaie de ramener une

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interprétation sociologique aux violences qui nous sont décrites dans les questionnaires oui je laisse la parole alors simplement effectivement ce qu'on peut retenir sur les violences de genre

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de manière générale sur les questions transversales ces quatre choses qui vont être détaillés par la suite tout d'abord le principe du continuum des violences pour les femmes qui est bien analysé dans le cadre de cette enquête et

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confirmé les violences les femmes subissent des violences de différentes natures mais tout au long de leur vie ce qui va avoir un impact on va le voir sur leur parcours de vie sur leur santé deuxième idée phare qui ressort c'est

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que les victimes parlent des violences mais est-ce qu'elles sont bien entendu on pourra voir qu'est-ce que new deal enquête par rapport à cet aspect là et enfin on peut voir que pour la région ile de france on constate que pour

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toutes les formes de violences sexistes et sexuelles les franciliennes sont davantage exposés et parmi elles encore plus les jeunes femmes de 20 à 25 ans qui sont les premières victimes de toutes les formes de violence qui vont vous être décrite

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effectivement la notion de continuer mais là vraiment au coeur à la fois de notre méthodologie et de l' ouvrage qui a été publié en janvier 2021 est également

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donc c'est le fil rouge du rapport que vous aurez entre les mains et nous allons présenter certains résultats à l'aide de focus alors la notion continuâmes elle est vraiment centrale puisqu'elle met en

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évidence combien certains faits de violence on y voit d'autres la violence est multiple avec des effets psychologiques de la violence verbale de la violence physique de la violence sexuelle et tous

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ces faits s'inscrivent au sein d'un continuo mais également d'un continuum donc de fréquences violence à l'autre et également d'un continuum temporel notamment pour les femmes qui vont être

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victimes tout au long de la vie dans les différents espaces de différents types de violence de ces violences qui sont multiformes avec comme transversalité la

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question des violences sexuelles notamment où on voit que pour toutes les violences sexuelles 15 % des femmes déclarent des violences sexuelles est 100% des hommes donc une femme sur sept

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un homme sur 20 et c'était coeur cette asymétrie entre hommes et femmes est encore plus forte si on s'en tient aussi le fait de viol et de tentative de viol on a un écart

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sans les femmes sont six fois plus exposés en bio les violences sexuelles ou transversales pour les femmes c'est à dire qu'elle elle est vive dans tous les espaces alors que pour les hommes les yankees plutôt exposés aux violences

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sexuelles lors de lens 2 2 lors de l'enfance et de l'adolescence ce qui est également pour le cas pour les femmes les violences commencent très jeunes ou les deux sexes mais à la différence

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au moment de la jeunesse et de la ja du qui les femmes vous continuez d'être exposés à ces violences sexuelles dans les différents espaces de vie que ce soit d du geek ou privé

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ensuite donc ces violences sont un impact sur la santé les femmes déclarent un état de santé plus d'éclat dès que l'état de santé des hommes et on a une

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corrélation entre violence et sans thil qui est déjà beaucoup renseigné par la littérature mais virage à tuer aussi montré au niveau national a cette fois ci que

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notamment les tentatives de suicide sont très corrélé aux biens sexuelles pendant l'enfance alors ces violences sont largement dénoncé comme nous allons le voir dans les différents espaces à chaque fois

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plus de huit ou neuf personnes sur dix déclarent les violences la progression de la dénonciation est assez forte depuis enquête on vf

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donc entre 2000 et 2015 on a une progression de la dénonciation mais comme nous allons voir plus en détail les violences restent peu prise en charge même s'ils sont dans la grande

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majorité dénoncé elles sont peu plus en charge est peu pris en charge par les institutions comme devoir de deux manières coup d'état alors pour commencer un zoom sur les

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violences dans le couple en ile de france donc on a une asymétrie des situations vécues par les femmes et par les hommes les femmes sont exposées à plus de violence de toutes les formes donc on a

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un indicateur d'environ 2 7% pour les femmes et de moins de cent pour les hommes et les femmes sont exposées à plus de violence typologie plus de violence physique plus de violences

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sexuelles on retrouve notamment sa symétrie sur les violences sexuelles où les hommes sont beaucoup vin très peu exposé à la violence sexuelle dans le cadre conjugal et puis les autres résultats marquants aussi

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c'est que les degrés de gravité sont moindres pour les hommes si vous regardez des bars entouré dans le cadre noir donc la barre bleue de violence globale pour les

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hommes et même inférieure aux à la barre orange les femmes qui qui se restreint aux violences aux violences qui contiennent des faits graves donc les

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hommes sont moins exposés il déclare principalement des faits de nature psychologique mais même pour la violence psychologique dans une moindre mesure que que les femmes donc on a une asymétrie des

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situations vécues par les femmes et par les zones avec là encore cette notion de continuum qui revient dans le cadre du couple pour les familles elles sont exposées pas de la violence psychologique de manière

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assez forte des violences physiques et déviances sexuelles ou quand ils gagnent vérins sexuels et physiques en général il ya également la violence psychologique alors ces violences ont des rêves

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répercussions importantes en bas vous trouvez un graphique qui montre de manière croissante les différents types de répercussions que les violences en brune cadavre de la vie conjugale des

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répercussions très forte sur les affectent donc le sentiment de colère le sentiment de peur le sentiment de honte la sexualité perturbé et c'est

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donc un retentissement assez fort sur l'intimité en fait de la personne et puis pour les critères un peu plus matérielles y les conséquences que matérielles comme un déménagement des

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difficultés économiques ou dans le travail ces violences restent présentant presque plus d'un an que d'un tiers des cas mais sont déclarés dans une moindre mesure par les femmes ce qui veut dire

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que ce qu'est le mettre en avant c'est vraiment si ce ralentissement sur leurs affects et sur leur intimité alors on note aussi une surexposition

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pour les femmes qui n'ont pas d'activité professionnelle ou l'eau pour celle qui est donc conjoint n'aurait pas d'activité professionnelle on sait qu il ya un peu des trois une rétroaction

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entre le fait d'être isolé fait de vivre des violences qui va créer également à nous allemands supplémentaires et de la même manière donc les franciliennes sont quatre fois plus exposés aux violences

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dans le cadre conjugal lorsqu ils l ont subi des violences pendant l'enfance donc on va bien encore cet effet du continuum c'est à dire que les violences d'une sphère à l'outrance faire écho et

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avec une fragilisation des parcours lorsqu'on vit des violences pendant l'enfance qui va trouver un retentissement dans la sphère musicale et puis également en termes de répercussion en évidemment la place des

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enfants qu'aux victimes qui est relativement importante puisque près de 30 % des femmes déclarent quand elles ont vécu des violences conjugales au cours de leur vie que

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d'autres personnes étaient présentes et puis dans la sphère des cas il s'agissait des enfants est en quête d'un questionnaire fois sur la présence des enfants mais aussi sur les violences qui ont pu eux ont pu être les menaces les

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violences ont pu être directement vécu par les enfants des femmes victimes de violences alors donc ce qu'on est déjà dit mais qui semble important de répéter ainsi

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que si les femmes parlent beaucoup des violences donc la plus de huit points sur 8 francilienne soit 10 par dont on parlait des violences conjugales subi cette dénonciation s'est faite

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principalement dans l'entourage proche huit fois sur dix à des membres de la famille ou alors à 10 amis des amis proches sans doute du fait que les personnes se sentent en

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confiance avec ces personnes là mais c'est vrai que le signalement des violences la dénonciation auprès des autorités restent minoritaires et les femmes les franciliennes l'instant peu

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prise en charge de manière une minoritaires par des professionnels de santé après ce qui est important de voir c'est que quand il y à une dénonciation est prise en charge par des professionnels de santé c'est principalement

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[Musique] des professionnels de santé et non pas les forces de l'ordre ou la justice donc la place de la des professionnels de santé et centrale à la fois dans la

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réception de la parole dans la détection des violences et dans la prise en charge est donc lorsqu'une femme consulte un wind professionnels de santé seulement une sur deux obtient un certificat

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médical donc là encore sur la post questions sur les pratiques de repérage et de signalement enfin au signalement en tout cas prise en charge un peu plus systématique et d'un meilleur

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accompagnement par les professionnels n'hésitent les démarches judiciaires sont beaucoup moins fréquentes un tiers des franciliennes ont déposé plainte ou une

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simple main courante pour les violences qu'elles ont pu subir et en général lorsqu'elle ne porte pas plainte ou fin qu'elle décide de ne pas engager des démarches judiciaires c'est principalement parce qu'elles ont le

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sentiment que rien ne sera fait que cela ne servira à rien ou pour s'éviter des épreuves supplémentaires ou parce que aussi elles ont peur des conséquences que cette dénonciation de forces de

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l'ordre auraient ou à la justice et quand on additionne aussi les différents père un père des conséquences pour les enfants par des conséquences pour l'auteur ou pour elle même c'est aussi un critère majoritaire de ne

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pas aller signaler ces violences là plutôt que un sentiment de ne pas vouloir dénoncer les violences donc la question de la peur et la question de la non prise en

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charge ensuite est très présente dans le fait de ne pas aller signalé les violences aux institutions et aux forces de l'ordre ensuite un résultat très important qu'il est fondamental de

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mettre en avant c'est que les violences poussent de séparation restent fréquentes 6 % des femmes déclarent après la séparation et 1,5 pour cent des hommes

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là encore on a une asymétrie entre les expériences vécues par les femmes par les hommes les violences vécues par les femmes après une séparation finalement sont assez proches de ce qu'elles vivent avec une séparation elles sont multiformes elles sont

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psychologiques elles sont physiques elles sont aussi sexuelle ce qui veut dire que les hommes enfin les ex conjoints continue de penser que les femmes devraient l'avoir kinnear

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sexuellement ces violences sont également très souvent dénoncée et la même manière que les violences dans le cas de la vie conjugale ces violences la sont également un peu et mal prises en

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charge au niveau institutionnel lorsqu'on peut retenir sur le volet violences conjugales en ile-de-france pour résumer en terme d'ampleur en fait on voit que les violences conjugales

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concerne 7 % des franciliennes et près de 2,6 pour cent des franciliens qui ont déclaré avoir subi des violences conjugales donc on l'a vu ça recoupe des violences à la fois psychologiques sexuelles ou physiques

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donc ces violences qu'elles ont pu subir il ou elle au cours de leur vie ce chiffre est supérieur d'un point par rapport au niveau national d'autre part un élément vraiment

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important c'est aussi que ces violences conjugales concerne toutes les catégories sociales contre un monde peut-être aussi à certaines idées reçues et que ces violences ont un impact durable sur la santé et le parcours de

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vie des femmes victimes comme ça vous a été montré d'autre part que les victimes sont peu protégées et que quand on parle de violence conjugale il faut aussi prendre en compte la séparation comme étant aussi

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un moment où une temporalité dans lequel les femmes peuvent être exposés aussi à des violences les violences post séparation étant très fréquente c'est ce que confirment les enquêtes c'est vraiment aussi important d'avoir en tête

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ces éléments là en terme d'action publique puisque souvent après la séparation les institutions doivent prendre en compte le danger accrus auxquels les femmes notamment vont être exposées dans

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le cadre de du couple séparé et puis un élément important aussi qui ressort de l'enquète concernant le fait que les femmes ont peint mais que les professionnels sont pas toujours outillés pour repérer où les

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accompagnaient les protégés n'a été évoqué la question du certificat médical qui malgré le fait que les femmes consultent des professionnels de santé ce certificat médical n'est pas systématiquement remis alors que c'est

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un élément vraiment important pour leur parcours judiciaire donc ça invite aussi en terme d'action publique ces résultats invite à réfléchir pour renforcer la formation de tous les professionnels

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pour améliorer le repérage mais aussi être correctement outillés pour savoir prendre en compte en tout cas cette parole voire la prendre en charge pour mieux protéger les victimes de violences conjugales

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alors après ces données principale présentée dans le cadre du couple on vous propose de faire un focus thématique sur les violences exercées sur les mineurs dans la famille en ile-de-france

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alors l'enquète virage et la première enquête en population générale qui permet de mesurer les violences psychologiques physiques et sexuels exercés par des membres de la famille et l'entourage proche lorsque les personnes étaient mineures en les uns en les

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interrogeant sur les violences subies tout au long de la vie avant dernier module du questionnaire cette organisation du questionnement devait permettre une remémoration des situations vécues et faciliter la déclaration de violentes donc dans ce

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module du questionnaire on interroge à la fois les violences commises par des membres de la famille et par celles et ceux qui gravitent autour d'elle posant l'hypothèse qu'il est difficile pour les enfants distinguer les personnes appartenant à la famille de celles qui

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lui sont proches de plus quand on s'intéresse aux violences vécues dans l'enfance on observe que ce qui compte particulièrement c'est le fait que les auteurs de ces violences fasse figure d'autorité au sein de la famille et ce

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qu'ils aient ou non un lien de parenté avec les victimes alors d'une manière générale on observe que filles et garçons sont exposés aux violences physiques dans la famille mais que les filles sont davantage touchés

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par des violences psychologiques et sexuelles donc le tableau présente ici les taux de prévalence selon les faits observés regroupés par type de violence donc les lignes grises selon le sexe donc d'une

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part en ile-de-france et d'autre part les données sont présentées en population générale il concerne les femmes et les hommes ayant subi des violences qui ont eu lieu ou qui ont débuté avant l'âge de 18 ans

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alors dans l'enfance les franciliennes déclarent davantage de violence dans la famille donc 21 7 % d'entre elles déclarent au moins une forme de violence qui a commencé ou qui a eu lieu durant

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l'enfance avant avant 18 ans soit une francilienne sur 5 contre 15 7 % des franciliens plus de plus d'une femme sur six déclare avoir subi des violences psychologiques et un homme sur dix donc les violences

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psychologiques commence généralement tôt et s'étendre dans le temps pour des deux tiers des personnes déclarent que ces violences ont commencé avant l'âge de dix ans plus de deux fois plus de femmes que d'hommes déclarent avoir subi des

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insultes des humiliations et où des critiques durant l'enfance mais les violences physiques concernent les filles et les garçons dans des proportions proches donc elle touche 9,7 pour cent des femmes et 9,1 pour

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cent des hommes donc parmi elles les faits les plus observés sont les bousculades et les coups ni violence sexuelle concerne c'est cinq fois plus de filles que de garçons et dans le détail 4 % des femmes déclarent des ce

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qui est appelé des attouchements hors du sexe dans l' enquête ça désigne le fait d'avoir subi des attouchements des fesses des sarts avoir été embrassée de force ou frotter ou collée contre son gré 3 % des femmes déclarent des

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agressions sexuelles et parmi lesquels 1 % déclarent des viols les hommes des gars un peu moins d'attouchements hors du sexe que d'agression sexuelle et lorsqu'il déclare d agression sexuelle il s'agit majorettes majoritairement

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d'attouchements sexuels puisque seuls 0 4% des hommes déclarent des viols même s'il faut noter que ces résultats sont très peu au but puisque seuls vingt hommes ont déclaré des violences sexuelles dans l'échantillon franciliens quelle que soit leur forme

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donc les violences déclarées dans l'enfance en ile-de-france sont supérieures à celles déclarées en france entière pour les femmes et pour les hommes les franciliens et francilienne déclarent plus de violence dans l'enfance notamment des violences

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physiques pour les deux sexes on observe près de 2 points de pourcentage supplémentaire par rapport aux données nationales donc rappelons que les personnes les plus jeunes et les plus diplômés qualifie et dénonce globalement

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plus facilement les violences subies or comme je le disais précédemment en île de france par rapport à la population générale les habitants et les habitantes sont globalement plus jeune et plus diplômés on observe ainsi ce qu'on

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appelle un effet de génération car les niveaux de tolérance des violences sont variables entre autres selon l'âge mais aussi selon le niveau de diplôme les violences dans l'enfance sont liées à une forme de vulnérabilité des enfants

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face au statut dominant des adultes et notamment des hommes pour la majorité des répondants ces faits sont en lien avec le fait avec la volonté de l'auteur d'affirmer

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sa force son pouvoir sa virilité donc le graphique présente ici le sexe du ou des auteurs de violences dans l'enfance par type de faits subis on observe ainsi que les agresseurs sont

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majoritairement des hommes et ce pour toutes les formes de violence donc il s'agit la barbe bleu sur le graphique dans le détail près de 60% des faits de violences psychologiques et physiques sont exercées par des hommes et plus de

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92% des auteurs des faits de violences sexuelles sont des hommes voudront autrement dit l'écran l'écrivain vente majorité les champions franciliens ne permet pas d'entrer dans le détail des auteurs des violences mais en france

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entière on observe que les violences pour les violences psychologiques et physiques les pères sont cités en première position des auteurs et les maires en deuxième parler de sexe même si on observe que les violences sont

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plutôt commises sur les enfants de même sexe c'est à dire que les pères ont tendance à exercer plus de violence sur les garçons et les maires sur les filles pour les violences sexuelles l'oncle est dénoncée en premier lieu puisque ça concerne une femme sur cinq et 16 % des

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auteurs dénoncée par les hommes des conséquences importantes sur la santé sont observées pour les deux sexes les franciliens ayant subi des violences des clercs plus de consommation de psychotropes que les franciliennes ils

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sont trois fois plus nombreux à être concernée par l'alcoolisme et 3% des hommes déclarent des problèmes d'addiction aux drogues contre 1 % des des femmes al'inverse les franciliennes comme on l'a dit sont trois fois plus

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nombreuses que les hommes à déclarer des faits avoir fait une tentative de suicide au cours de la vie un cumul des violences observe puisque et c'est le cas particulièrement pour les femmes puisque 1,3 pour cent d'entre elles

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déclarent avoir subi à la fois des violences psychologiques physiques et sexuelles contre 0 2% des hommes de plus les violences les femmes sont touchées par des violences plus sévère

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+6 6% des femmes et moins de 3% des hommes déclarent des violences très sévère merci pardon ça bouge pas chez nous parent les conséquences déclaré des

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violences sont multiples au graphique ici les répercussions des violences déclarées des violences donc subis dans l'enfance selon le sexe des victimes on voit par exemple ici que la colère suite aux

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violences et la répercussion la plus mentionnés par les femmes et par les hommes interrogés puisqu'elle est déclarée par près de quatre personnes sur cinq malgré les répercussions et une mise en

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mots des violences qui peut arrivé tardivement la plupart des personnes qui déclarent des violences dans la famille en ont parlé neuf femmes sur dix et 82 % des hommes ont déjà parlé des violences

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avant l' enquête pour les femmes les violences psychologiques semble plus dicible 9 sur 10 en ont parlé avant virage les violences physiques et sexuelles sont moins abordé certainement parce que les violences sexuelles sont

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difficiles à mettre en mots et que certaines violences physiques sont souvent minimisées biographique présente ici les interlocuteurs à l'énonciation des violences sont le sexe des victimes on

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observe que les membres de la famille hors des conjoints sont les premiers avertis des violences surtout pour les hommes puisque 70 pour 78% d'entre eux ont parlé des violences à des membres de la famille contre 65% des femmes ce

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résultat peut être le signe d'une meilleure réception de la parole des hommes dénonçant les violences surtout par les autres membres de la famille les femmes et les hommes parlent dans des proportions proches à leurs amis

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donc environ une personne sur deux mais les femmes s'adresse deux fois plus que les hommes à des professionnels de santé une femme sur cinq a parlé des violences à un médecin ou une infirmière contre un homme sur dix cette différence

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peut-être ya une fréquentation plus régulière des professionnels de santé des professionnels de soins par les femmes au cours de la vie de plus les violences sexuelles qui sont davantage déclarés par les femmes peuvent plus

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souvent nécessité une prise en charge médicale les effectifs en ile de france sont trop faibles mais en population générale l'enquète montre que la tempéra les temporalités de révélation des faits

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dépend largement de la nature des violences ainsi on voit que près de la moitié des femmes et des hommes se sont confiés au bout de 10 ans ou plus concernant les faits de nature sexuelle

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alors que face aux violences psychologiques et physiques les femmes et les hommes se livrent beaucoup plus tout donc les femmes et les hommes qui parlent des violences à des proches ou à des professionnels du temps de santé se

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sentent globalement soutenu quatre personnes sur cinq qui ont parlé des violences considèrent qu'elles ont été soutenus les effectifs en ile-de-france ont à nouveau trop faible pour avoir des informations sur le soutien des autres professionnels sollicités mais au niveau

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national on observe que les victimes qui ont recours à la police ou à la gendarmerie déclare avoir reçu peu de soutien de leur part dans neuf cas sur dix les victimes

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n'entreprennent pas de démarches judiciaires une personne sur deux pense que les démarches les démarches judiciaires ne servirait à rien et les femmes sont plus nombreuses que les que les hommes à

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avoir renoncé à entreprendre des démarches judiciaires par peur que les violences soient connus cette différence peut-être lié au fait que pour les femmes les violences sexuelles génère plus souvent un sentiment de honte et une part plus

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importante des femmes que d'hommes n'entreprend pas de démarche suite aux violences par peur des conséquences pour leur famille en particulier pour les enfants actuels lorsqu'on peut retenir sur ces données

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vraiment inédit sur les violences sur les mineurs dans la famille en ile de france c'est tout d'abord l'ampleur des violences qui sont qui sont ici mises en évidence dans une enquête qui pour la première fois interroge les femmes et

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les hommes sur les violences subis dans l'enfance donc rétrospectivement n'avait pas jusqu'à présent de données aussi précises sur les violences subies dans la famille donc l'ampleur du phénomène et mis en évidence effectivement la

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famille c'est aussi un espace où peuvent se dérouler dès violences de façon assez fréquentes puisque une francilienne sur quinte sur cinq pardon dans l' enquête vient de vous être présenté a subi des violences dans l'enfance au sein de sa

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famille et ses 1,7 point de plus par rapport au niveau national on voit aussi des différences marquées sur les formes de violence avec les concernant les violences sexuelles les filles qui sont

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cinq fois plus exposés que les garçons des agresseurs qui sont majoritairement des hommes donc on voit ici tous les indicateurs qui permettent de vraiment de parler de violences henry et puis des violences qui sont des lances et surtout auprès des proches

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sans forcément de démarche engagée ou qu'ils aboutissent au pénal ce qui a aussi une incidence en termes de prévention on ne peut dire qu'il est important de construire des espaces de

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dialogue secure et efficace les victimes parlent elles ont besoin surtout on le voit dans cette enquête d'être entendu c'est comme on disait en introduction un des objectifs qu'on s'est donné avec une campagne qu'on va lancer dans les

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prochaines semaines sur l'inceste une campagne coordonnée par le centre hubertine auclert avec un volet qui va consister à renforcer la capacité des professionnels notamment en première ligne dans les établissements scolaires

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renforcer leur capacité à pouvoir écouter la parole des enfants lorsqu'elle lorsqu'elle est dévoilé voilà ce qu'on pouvait retenir sur les violences sur les mineurs et pour finir

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du coup le zoom sur les différents espaces de vie on vous propose de conclure sur les violences dans les espaces publics en ile-de-france alors dans l'anc et de virages les femmes et les hommes sont interrogés sur

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les faits de violences subies dans les espaces publics au cours des 12 derniers mois le questionnaire inclut une définition large des espaces publics comprenant la rue les parkings les parties communes d'immeubles les transports en commun

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mais aussi les lieux ouverts au public comme les magasins les banques les administrations les cafés les bars les restaurants les boîtes de nuit les hôtels les parcs et jardins publics etc et inclut également le domicile des

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victimes lors de l'intervention d'un professionnel dans les espaces publics femmes et hommes ne sont pas égaux face aux violences et ne subissent pas le même type de faits les familles sont davantage victimes et les faits qu'elle

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subisse concernent plus souvent leur corps et renvoie à leur sexualité tandis que les hommes sont confrontés plus souvent à des insultes et des violences physiques ce phénomène est exacerbée en ile de france puisque une francilienne

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sur trois est concernée on voit dans le tableau qu elles sont 37 % à déclarer au moins un fait violence dans l'espace public au cours des douze derniers mois contre 25 % au niveau

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national les femmes sont plus souvent victimes de faits à caractère sexuel une femme sur quatre est concerné contre un homme sur sept les hommes quant à eux sont plus souvent confrontés comme je les dis à

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des insultes et à des violences physiques les agresseurs sont principalement des hommes 93 % des femmes et 76 % des hommes ont été agressés par des hommes seuls ou en groupe parmi les femmes qui déclarent

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avoir été sifflé interpellé ou abordé sous prétexte de drague beaucoup ont subi d'autres faits une femme sur dix déclarent un cumul de plus de plusieurs faits souvent répété grave à caractère sexuel

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les jeunes franciliennes sont particulièrement exposés aux violences le graphique présente ici la proportion de femmes et d'hommes ayant déclaré des violences selon le type de faits subis et selon l'âge au moment des faits donc

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on a d'un côté les femmes et de l'autre côté les hommes on observe ainsi que 68% des franciliennes âgés de 21 à 24 ans déclarent au moins un fait de violence

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ou de harcèlement sexistes ou sexuelles dans les espaces publics 40% d'entre elles ont déclaré de la drague importune et 25 % ont déclaré un faits de harcèlement d'atteinte sexuelle

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les faits graves subies par les franciliennes ont lieu le plus souvent dans les transports et dans la rue alors que la rue arrivent en premier lieu au niveau national les franciliennes victimes de violence dans les espaces

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publics étaient plus souvent seul au moment des faits que les hommes puisque cela concerne 83 % des femmes et contre 56 % des hommes le fait d'être seul expose davantage les franciliennes

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puisque cela s'inscrit dans une représentation traditionnelle associant pour les femmes le fait de ne pas être accompagné par un homme à leur disponibilité notamment sexuelles plus généralement les espaces publics ont

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historiquement et socialement étaient occupés par les hommes et la présence des femmes y est souvent tolérés les violences à leur encontre et ont comme un rappel à l'ordre du genre enfin les modes de déplacements dans les

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espaces publics sont beaucoup plus fréquents pour les femmes en ile de france notamment à cause de la nécessité d'utiliser les transports pour le trajet domicile travail ce qui les expose davantage aux violences

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les faits déclarés par les femmes et par les hommes en ile de france se déroule plus souvent devant témoin 78 % des femmes victimes ont constaté la présence de témoins au moment des faits

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c'est une caractéristique des violences dans les espaces publics contrairement aux autres formes de violence à l'encontre des femmes celle ci se déroule précisément en présence de témoins qui occupe également les espaces

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publics au moment des faits enfin même si les faits déclarés par les femmes sont graves les femmes engage peu de recours pour signaler ces violences 81% des franciliennes n'ont entamé

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aucune démarche suite au violent subi les plus graves l'environnement des grandes villes est particulièrement propice à des violences de toutes sortes dans les espaces publics pour les hommes comme pour les

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femmes ces violences sont à linverse moins déclarés dans les zones rurales neil de france 2 par la taille de ses villes et particulièrement sexistes et violent outre les proportions de victimes comme on vient de le voir les

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faits révélés diffèrent selon la taille de l'agglomération donc le graphique qu'on voit ici présente les proportion de femmes ayant subi des violences dans les espaces publics donc selon la taille de l'agglomération et le type de faits

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déclarés la barbe brune représente la france métropolitaine dans son ensemble la barre rouge l'ile-de-france et à linverse la verte les zones rurales donc on voit ici que le type

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d'agglomération joue sur la drague importune le harcèlement sexuel et les atteintes sexuelles subies par les femmes dans des proportions plus marqué on voit que plus l'agglomération est grande plus elle déclare ce type de

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faire pour les hommes ce sont les fréquences des insultes qui varie plus l'agglomération est grande plus nombreux sont les hommes qui déclare avoir été insulté les autres feng variante pas

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dans tous les cas c'est en ile de france france que ces faits sont les plus fréquents cela peut s'expliquer par la plus grande taille de l'agglomération et les particularités que cela induit en termes de mobilité une plus grande

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fréquence des transports en commun et des déplacements pédestres et des temps de transport plus élevés que d'autres que dans d'autres agglomérations expose davantage aux violences alors sur les violences dans les espaces

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publics en ile de france on peut retenir donc l'ampleur des phénomènes là encore plus d'une francilienne sur trois a subi des violences sexistes ou sexuelles dans les espaces publics cette fois ci on assure un écart beaucoup plus important par rapport au niveau national puisque

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on est sur un écart de 12 points supplémentaires particulièrement marquée pour les moins de 25 ans les jeunes femmes comme on l'a dit dans les espaces publics sont celles qui sont les plus exposés dont 68% des jeunes femmes de

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moins de 25 ans y ont déjà été exposés le contexte est un l'enquète permet de mettre en évidence donc le contexte les femmes victimes de violence ont plus souvent seul au moment des faits ce qui va dans le sens d'une sorte de mythe de

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la disponibilité sexuelle des femmes qui seraient non accompagnés et on peut constater aussi la fréquence de la présence des témoins ces éléments sont vraiment importants à prendre en compte sur des campagnes de prévention dont

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l'urgentiste ça semble vraiment rappeler par l'ampleur des défis qui sont ici rapporté notamment pour la région ile-de-france l'importance de développer des campagnes de prévention qui pourront on le voit ciblé particulièrement les

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témoins et aussi qui serait associé à des messages autour de la dombes disponibilité sexuelle des femmes qui s'y déplacent et puis on voit c'est important d'avoir des campagnes de

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prévention des actions pour prévenir ces formes de violences sexistes et sexuelles dans les espaces publics parce que ça va aussi avoir un impact sur leur mobilité elles vont du coup moins se

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déplacer craignant aussi ce type de de violence auxquels elles peuvent être exposées ce qui est conforté par d'autres enquêtes qui ont pu être menées notamment par l'institut d'aménagement et d'urbanisme en ile de france et puis

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enfin on le voit ces violences sont corrélées à la taille de l'agglomération et sont accentuées en ile de france notamment les transports en commun ou les actions de prévention pourrait du coup être davantage ciblés

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alors voilà si on a des principaux résultats de l'enquète vous pourrez retrouver l'étude pour pouvoir la lire tranquillement vous pourrez la retrouver en téléchargement en ligne et on vous

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propose du coup d'ouvrir un temps de discussion avec l'équipe de recherche avec suivi qui magali mazuy à partir des questions qui ont pu être posées dans le chat on qu'on pourra pas forcément répondre à toutes les questions on va

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essayer d'en répondre à un maximum donc merci à mes collègues qui ont commencé à sélectionner les questions qui vont être posées je vous propose du coup de passer sur trois questions et puis vous proposer d'y répondre et

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ensuite on aura trois questions supplémentaires alors on a une première question concernant la réalisation de l'enquète virage qui impose la question sur la durée de l'enquêté combien de temps a

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duré l'enquète on a aussi des questions sur les données qu'ils seraient disponibles à d'autres échelles territoriales notamment est ce qu'il y à des données disponibles au

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niveau départemental en ile de france en particulier et est ce que ces données ont pu être aussi développer dans d'autres régions au delà de l'île de france si vous avez ces informations

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et puis enfin toujours concernant la méthodologie une dernière question sur les formes de violence et les espaces de vie qui ont été ciblés par parle enquête dans l' enquête vous avez du coup poser

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des questions sur les violences dans le couple dans la famille dans les espaces publics au travail à l'école mais est ce qu'il aurait pu être envisagée aussi de prendre en compte les violences médical gynécologiques et obstétricales dans une

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enquête de cette ampleur est est ce que vous pourriez revenir sur ces sur ses formes la de violence peut-être qu'on peut répondre à ses premières questions et puis après on passera des questions plus générales alors sur la question de la durée de la

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pièce l'enquète s'est étendue de mars à novembre 2015 donc elle a duré plusieurs mois voilà sur la question des données

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départementales malheureusement l'enquète n'est pas représentatives à l'échelle des départements donc on n'a pas pu rentrer dans le reproduire les analyses à l'échelle départementale

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alors il y avait la question des formes de violence même avant il y avait une question donnée sur peut-être d'autres régions de france y vous avez pu si les échantillons l'échantillon était

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suffisant pour pouvoir avoir des exploitations au delà de la région ile de france non on de l'est de l'île de france comme l'a dit l'uci en fait on avait un gros échantillons sur l'île de

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france qu'on a pu rendre représentatif eau de la région à l'aide d'une condamnation qui a permis de stratifiés notre échantillon et et

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d'assurer une robustesse statistiques ce qui n'est pas le cas en dehors de l'ile-de-france puisque en fait on on n'aurait pas pu assurer une représentait une représentativité suffisante au

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niveau régional ou départemental sur effectivement on a interrogé la plupart des violences interpersonnelles d'un virage on n'interroge pas les

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violences gynécologique c'est régal il y à d'autres travaux qui seront menés notamment l'ined avec une prochain ou prochaine enquête qui devrait avoir lieu et qui prendra en compte certains types

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de violence gynécologie obstétricale qui est un objet de recherche de soi et s'est vue méthodologique méthodologiquement n'était pas je pense suffisamment robuste pour intégrer en

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2015 [Musique] un questionnement un set de questions suffisamment pertinent pour pouvoir interroger ses formes de violence là mais qui font évidemment partie

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également des violences de genre mais des travaux prochain devrait avoir lieu pour pouvoir cerner cette spécificité des mails en slide égal

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e si pour ces premières réponses alors on a eu d'autres questions sur les violences vécues par les filles et les femmes en situation de handicap est-ce que l' enquête virage permet

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d'avoir des données sur ses formes la de violences en particulier sur la situation de handicap on a aussi des questions concernant la date de collecte un peu en lien avec peut-être la question qui a été posée sur la durée aussi de la collecte mais

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peut-être la date de collecte donc l'enquêté a été réalisée par par téléphone en 2015 donc une participante où un participant on demande s'il serait possible d'actualiser éventuellement

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l'enquète ou en tout cas si on peut réfléchir sur l'impact que différents des résultats suite au grenelle ou à d'autres mobilisations notamment mis tous qu'ils ont pu avoir lieu depuis la

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collecte qui date de 2015 qu'est ce que peut-être vous pourrez apporter comme éléments d'éclairage sur les évolutions depuis du coup la collecte est également une question sur la question de la libération de la parole

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donc on a évoqué dans l'anc est effectivement le fait que dans tous les espaces de vie les victimes ont parlé la plupart du temps de ces violences même si c'est des violences auxquelles ils ou elles ont parlé plus tôt dans le cadre

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de la famille ou des proches certains types de professionnels la question concerne la prise en charge psychologique des victimes est-ce que vous avez des données pour savoir plus particulièrement si les victimes ont pu

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avoir ce type de soins qui leur a été apportée merci donc sur la question violence et handicap effectivement dans le module santé notamment on a des questions sur les

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limitations d'activités qui permettent de circonscrire des enfin discutons des personnes en situation de handicap il ya des analyses

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ont été faites notamment dans les ouvrages collectifs alors pas poli de france mot niveau national et qui se trouvent notamment dans le chapitre un des derniers chapitres sur un gars l'ancienneté et qui aborde

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cette question de violence et et handicap sachant que là encore ça peut aller dans les deux sens c'est à dire que handicap peu près les mêmes handicaps

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peut créer une nouvelle vulnérabilité face aux violences et de la même manière les violences peuvent entraîner des situations de handicap c'est pas toujours évident de faire en termes de temporalité d'arriver à

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démêler les deux cas oui il ya des informations là-dessus dans le chapitre violence et sentiers de bourrache collectif sur la date de collecte

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évidemment ce qu'on voit déjà pas beaucoup plus développée mais il ya des différences entre virage et anvers en bref qu'il y avait eu quinze ans plus tôt notamment par exemple sur les

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violences sexuelles on applique de violences sexuelles dans virage que longuenesse donc on ne peut pas conclure qu'il ya une baisse des violences sexuelles on ne peut pas non plus vraiment dire que c'est une hausse en

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soi parce que sans doute qui a un effet déclaratif on voit les violences sexuelles sont celles qui le sont le moins dit même à l'entourage globalement de manière

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transversale mais en tout cas il ya quand même un effet temporaire qui fait que entre l'enveff et virage d'une progression de la pas mort il ya un doute là après mis tout ce que faisait

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virage là l'année prochaine par exemple sans doute qu'on aurait aussi une variation des prévalences ici ajouté oui ce qu'on peut dire à peu près c'est

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que dans le cadre des analystes qui ont été menées suite à la collecte quantitative il ya plusieurs entretiens qu'ils ont été et enfin il ya des personnes qui acceptaient d'être

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recontacté dans l' enquête et puis effectivement on observe quand même une tendance qui a changé depuis depuis les notamment les mouvements mitu en fait

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depuis les différents mouvements mis tous là la parole même des enquêtés concours appel en fait et pas la même et disons la facilité à aborder les violences en cours d'entretien

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d'entretien diffèrent d'y faire avec avec le temps sur la prise en charge des victimes suite à des violences psychologiques [Musique]

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alors c'est un peu compliqué de répondre pour nous parce qu'on n'a pas vraiment détaillé tout ce qui était volet santé d'une collègue qui l'a fait à main ce

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que je peux dire par exemple si que néanmoins [Musique] les violences psychologiques sont vraiment me présenter transversale dans les espaces et par exemple pour le

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couple les accompagne toujours d'autres types de violence donc physique sexuelle et puis que les violences psychologiques seuls peuvent être un moteur de

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dénonciation d'engager des démarches notamment sylvain psychologiques sont fortes et qu'elle touche là partenaires et aussi les enfants les enfants du couple donc ça à moteur en

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fait de dénonciation les violences psychologiques après c'est vrai que ce qu'on note c'est quoi c'est qu'il ya quand même plus de l'action engagée quand il ya des

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violences physiques graves parce que sans doute sont plus visibles et donc plus facilement repérer ou admises professionnels qui sont censés les prendre en charge

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oui ce qu'on peut peut-être ajouter sur la question de la de la prise en charge c'est que dans les données nationales on se rend compte notamment sur les violences

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vécues dans l'enfance que ce qui est très important en fait donc ce sera pas forcément sur la prise en charge psychologique mais ce qui est très important quand les personnes parlent c'est le soutien apporté par les proches

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c'est relativement protecteur sur les les effets néfastes que peuvent avoir les violences sur les parcours il ya un effet vraiment bénéfique en fait du soutien des des

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proches au moment de l'énonciation des violences alors qu à l inverse le fait d'être pas soutenu voire rejeté de la famille peut engendrer de 20,2 d'autant plus de

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difficultés de santé et de difficultés d'une manière générale sur l'ensemble du parcours des personnes oui pouvoir rebondir sur un autre aspect des violences psychologiques

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on voit notamment pour le couple c'est enfin la multitude la multiplicité des formes qu'elles peuvent fondre en fait la

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question des violences verbales notamment des insultes et de dénigrement est très important c'est un peu le terreau en fait des violences et c'est la catégorie de violences qui

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accompagnent plus toutes les autres formes de violence dans une situation de violence conjugale donc effectivement je pense que c'est important aussi au niveau des professionnels la menace

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d' insulte la menace sont vraiment des témoins très fort une situation de violence conjugale et et le dénigrement des le dénigrement des capacités intellectuelles dénigrement d'apparence physique

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enfin la catégorie insultes violences verbales dénigrement c'est vraiment un peu le coeur des violences conjugales depuis largement

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des violences de genre ce qui est un peu la même chose dans les espaces publics quand il ya insultes aussi on s'aperçoit que c'est souvent des insultes qui vont dénigrer la

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personne et les insultes à caractère sexuel c'est très court et les comme type de violence aux autres formes de violence de jours merci pour ces pour ses réponses à une autre série de questions alors plus

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précises sur la caractérisation des violences notamment dans la famille des questions concernant la façon dont vous avez catégoriser en fait différentes formes

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de violence notamment un participant ou une participante pose la question sur le fait d'avoir choisi les menaces comme étant caractérisée comme des violences physiques et non pas des violences psychologiques

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donc peut-être que vous pourrez nous en dire plus sur sur cet aspect là et toujours sur les violences faites aux mineurs dans la famille comment la coercition sexuelle at elle été prise en

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compte et peut-être de manière plus large comment les violences sexuelles ont été donc défini dans le cadre de cette enquête et puis donc ça c'était des

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questions voie la plus sûre les violences dans la famille sur la méthodologie et une question à cette fois ci plus large concernant les différences finalement statistiquement significative entre les violences vécues

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par les femmes et par les hommes dans tous les espaces de vie qu'est ce que vous pouvez qu'est ce qu'on peut retenir en fait comme étant les principales différences qui ont été mises en évidence par par cette enquête qui a interrogé du coup à la fois des femmes

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est à la fois les hommes alors sur la question de la menace et du regroupement dans dans la catégorie de violence physique c'est parce que pour des raisons de taille on n'a pas intégré

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l'ensemble de la question mais en fait la question est formulée comme tel c est ce qu une personne donc dans votre famille vous a menacé avec une arme ou un objet dangereux a tenté de vous est temps de

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vous être anglais de porter atteinte à votre vie ou de vous tuer donc c'est en fait une une menace avec une arme c'est pour ça que du coup on a intégré dans dans les violences physiques sur la

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définition des violences sexuelles [Musique] la définition en fait ce qui se passe c'est que on a interrogé les les violences sexuelles à partir de trois questions une question sur sur les

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agressions sexuelles et les viols et les tentatives de viol qui était donc une même question si la personne ne répondait positivement elle était ensuite interrogé sur le type d'acte

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qu'elle avait subi ce qui a permis ensuite à posteriori de reconstituer les catégories juridiques des des faits de violences sexuelles subies donc à la différence des autres enquêtes on n'a

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pas demandé aux personnes de se positionner elle-même en déclarant soit des attouchements soit soit des viols ou des tentatives puisqu'on parts a effectivement du principe comme je le

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disais que les personnes ont du mal à savoir ce que regroupe ces catégories juridiques par ailleurs deux autres questions ont été posées une première sur des faits qui sont moins souvent considérées comme des violences

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sexuelles est plus difficile à caractériser sur le plan juridique mais on va avoir la question que je citais tout à l'heure sur le fait enfin les attouchements hors du sexe donc le fait qu'on n'ait

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embrasser était été embrassée de force coller ou serrés contre son gré le fait d'avoir subi des défunts d'un conte on était

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forcés a enfin qu'on était touché au niveau des fesses et des seins qui une partie de la question regroupe des d2 et est une

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agression sexuelle et et enfin une dernière question sur les autres pratiques sexuelles subies contre son gré posant l'hypothèse que certaines personnes ne se reconnaissent peut-être

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pas ou que certains faits sont mal saisi par ces deux premières questions donc pour essayer vraiment de d'avoir vraiment les la pluralité des violences sexuelles subies une dernière question qui permettait de saisir de saisir ces

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personnes voilà sur les statistiques significatives disons que c'est un peu ce qu'on a essayé de vous présenter au début c'est que finalement les femmes sont exposées sont plus exposées que les hommes et ce

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tout au long de l'espace de vie étant donc tous les espaces de vie alors c'est aussi pour ça qu'en fait on ne peut pas rentrer dans le détail de certaines données au niveau de l'échantillon d'île

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de france c'est parce qu'en fait comme on est quand même face à un faible échantillon est un phénomène relativement rare d'un relativement notamment pour les hommes et en fait on peut pas rentrer trop dans le détail

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on va avoir par exemple des certaines parties de l'enquète qui vont être enfin certaines analystes qui vont être plus développée à l'échelle à l'échelle nationale voilà oui effectivement la question de la

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robustesse des résultats la question d'avoir vraiment dit des résultats statistiquement significatif est

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vraiment important on a veillé justement dans nos analyses alors tout ce qui est dans l'ouvragé c'est statistiquement significatifs et comme l'a dit li 6 pour le volet de

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france il ya certains certaines analyses qu'on a pas pu pousser aussi loin justement pour des des questions de représentativité parce qu'on se retrouvait avec des effectifs trop faible qui ne permettait pas en

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fait de mener la comparaison donc en fait mon veille à chaque fois qu'on présentait résultat évidemment on va tester la significativité des résultats présentés pour présenter les résultats qui sont

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robustes mais peut-être trois dernières questions avant du coup de conclure alors la question de questions concernant le choix de la tranche d'âge pourquoi avoir choisi la tranche d'âge entre 20 et 60 9

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en plus particulièrement ce que vous pouvez nous éclairer sur ce choix là une autre question intéressante également est ce qu'il serait possible de réaliser une comparaison entre les données des territoires ruraux et celle

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des espaces urbains on a vu sur les données sur les espaces publics on a vu plus travailler sur la taille de l'agglomération mais est ce que c'est quelque chose sur lequel vous êtes en train de travailler éventuellement et enfin dernière question pour revenir un

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peu sur ces questions de dévolution sur les violences de genre dans le temps si on se réfère à lenquête en rêve que vous avez cités tout à l'heure il était question d'une femme sur dix qui est

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victime de violences au cours des 12 dernières mois une femme sur dix victimes de violences conjugales c'était le chiffre qui avait été avancé en 2000 et une femme sur cinq au cours

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de la vie donc est ce qu'on peut dire sur ces chiffres est ce qu'on peut considérer qu'ils ont évolué dans quelle direction vous avez commencé un peu à y répondre peut-être qu'on pourra ouvrir là dessus alors selon le champ de la population

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inquiète et donc on a on voulait quand même être assez proche de l'anglais qui n'inquiète pas les femmes de pain 59 on a élargi un petit peu à 69 20

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étant donné qu'on considérait que cette tranche d'âge des 60 69 était importante à l'enquêté elle aussi et ne posait pas trop de différences méthodologiques

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par contre à partir de soixante dix ans ça commence à être plus compliqué on a plus de personnes qui progressivement partent en institution enfin au niveau méthodologique serait

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posé d'autres enjeux qui aurait vraiment complices complexifier le protocole d'enquêté ne pouvait pas poser strictement le même questionnaire parce que la question aussi d'autres

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violences de la violence de par exemple des aidantes de professionnels qui viennent aider etc se poserait il serait également investiguer on comprend on préfère vraiment avoir un sens de

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population bien identifiés avec un questionnaire qui marche bien sûr notre tranche d'âge et puis donc vous commencez à 20 ans comme pour l'envers on s'est posé la question

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d'inclure les 18 19 ça pose également des questions méthodologie parce qu'on en fait déjà ils ont un parcours de vie plus réduit donc il ya certains volets où il aurait été moins concernés je

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parle pas des violences un ampli cas de long terme de parcours de vie et puis sont très peu joignable c'est compliqué de les avoir lors d'une enquête téléphonique ce qui fait qu là au niveau de la

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robustesse on s'est dit qu on allait pas tellement gagner en informations d' analyse à la mythique plus un virage et rétrospectif et qu'on a beaucoup d'infos sur ce qui se passe avant la majorité

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des personnes mais que d'inclure les 18 19 et est encore là challenge metodo pour peut-être apporter plus d'informations supplémentaires on a par cet aspect rétrospectif et puis

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après la question des mineurs pose encore d'autres problèmes pour mener dans lequel est comme ça on population générale puisqu'on a des obligations dit finalement s'il ya des violences qu'on a

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des obligations d'avoir l'accord parental avant de faire une enquête comme ça tout venant ce qui fait que voilà on se restreint en tranches d'âge 20 69 ans

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sur les territoires où effectivement on a des questions qui permettent de saisir la taille la taille de du lieu de résidence de l'unité urbaine donc il ya

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des analyses qui sont possibles en tout cas on fera espaces urbains l'espace rural mais il n'ya pas l'instant il n'y a pas de publication il n'y a peut-être des

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travaux mais en tout cas nous on n'est pas vraiment spécialiste des disparités territoriales et enfin pour terminer sur la comparaison avait fait virage effectivement pour l'anglais on avait ce

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chiffre marquant d'une femme sur dix donc 10 % pour virage on est un petit peu en dessous à 7% alors je dirais que l'indicateur est pas vraiment comparable une enquête

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à l'autre puisque [Musique] en fait si on compare une à une les violences déclarées dans le couple on s'aperçoit qu'il ya certaines violences qui sont

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assez fréquentes quand même pas quand même diminué certains faits comme par exemple le fait de l'autonomie dont les contacts que les femmes - voire certaine forme de

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jalousie contrôle mais que certaines autres formes de violence notamment des violences verbales des tentatives de meurtre c'est bien cela n'ont pas baissé d'une enquête à l'autre ce qui fait que

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bon l'indicateur en fait il n'est pas strictement comparable parce qu'en plus les femmes se séparent beaucoup plus au moment du virage qu'au moment de commandes en veille ce qui fait qu'il

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faudrait comparer la situation d'un trio niel égal ce qui reste c'est un peu compliqué ce qu'il faut retenir c'est qu'ils avaient du virage on peut rentrer un peu dans le détail des parcours conjugaux et que notamment on voit qu'il

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ya des parcours plus ou moins exposé où on va être encore un peu moins qu'à ceux 7% mais par contre des parcours plus exposés ou là on va être même à plus d'une femme sur dix pouvaient être entre

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12 et 13 pour cent de femmes qui déclarent des violences notamment pour les femmes qui ne se sont pas remises en couple au moment de l'anc est donc sans doute du fait de la corrélation entre subir des violences et vouloir se

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séparer et se séparer et aussi après garder une distance par rapport à la conjugalité quand on a subi des violences et ces femmes là déclare à près de 13%

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avoir vécu des violences au cours de la vie des violences dans la sphère conjugale et a contrario et c'est là encore une asymétrie assez important dans le premier femmes les parcours masculins varie très peu

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les hommes déclarent entre 2 et 3 % d'entre eux avoir vécu des violences dans le cas de la vie conjugale quel que soit le parcours conjugal séparait pas séparé au nom de l'union donc c'est

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quand même plus minoritaire et est plus stable que ça n'impacte pas leur parcours comme ça peut impacter les parcours affectif et conjugue au féminin féminin peut-être qu'on peut

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et la partager aussi un parti pris aussi dans la publication pour l'en quête des données francilienne sur le sur le vol iy des violences dans le couple

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on a avec l'équipe de recherche ont aussi mis en évidence le fait que l'analyse des questions qui sont posées sur les violences subies tout au long de la vie est plus solide en fait pour

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pouvoir justement enquêter sur les violences conjugales c'est aussi une avancée de l'enquêté enveff de l'enquète virage justement par rapport à l'enquêté enveff de venir renforcer la définition d'être plus solide aussi sur la

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compréhension du phénomène des violences conjugales est-ce que magali ou lui si vous pouvez nous en dire un peu plus justement sur le fait de choisir aussi cet indicateur c'est à dire de travailler sur les violences subies tout

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au long de la vie pour pouvoir saisir des aspects notamment en termes de conséquences qui vont être beaucoup plus fiable que sur les enquêtes comme on peut voir d'ailleurs d'autres types d' enquête comme l'enquêtre cadre de vie et sécurité de ministère l'intérieur

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l'insee qui interroge les femmes sur les effets subis sur les douze derniers mois les femmes et les hommes d'ailleurs sur les faits subis sur les douze derniers mois qu'est-ce que qu'est ce que vous pouvez nous dire peut-être sur sur l'importance aussi du volet de l'enquêté

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sur la vie entière oui donc effectivement l'apport de virages c'est ainsi d'avoir une robustesse on l'a déjà dit plusieurs fois sur des parcours de vie et aussi d'aller au delà

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des indicateurs de victimation c'est à dire de parler de situations de violence et or dans un indicateur 12 mois qui est ce qu'on appelle en démographie une vision transversale de ce qui va se

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passer sur la période récente on va mélanger différentes situations à la fois du groupe liées à la fois vraiment de la situation violences conjugales installé ce qui va faire que l'indicateur est quand même

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alors je parlerai pas tout à fait habilitée un indicateur est fiable par contre dans son contenu il va mélanger différentes différentes situations du conflit

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ponctuelles qui peut être violent ou de l'interaction conflictuelles et également de la violence conjugale et c'est sûr que quand on se concentre sur les données sur la vie

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entière là on saisit vraiment les situations qui vont relever de la violence conjugale c'est à dire des situations qui vont s'installer dans la durée avec des répétitions de fait la

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diversité et la multiplicité comme on l'a dit des faits de violence et puis comme comme tu l'as dit aurélie des conséquences post violences sur les affects sur

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la santé physique la santé mentale etc mais bon je dirais que quand c'est vrai que nous ont fait enfin on vient de la démographie et si mal cette différence entre indicateurs

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transversaux un indicateur longitudinaux on est vraiment habitué à la manier et la force du vent du tribunal c'est justement de pouvoir étudier un comportement sur le pont ou

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un processus sur le pont alors que transversale a ses avantages mais il a quand même plus de limites puisqu'il a pas cette profondeur temporel qui va avoir un indicateur longitudinal

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merci beaucoup pour tout ces précisions toutes ces réponses précises aux questions l'heure du coup a tourné à peut-être certaines questions qu'on a pas bloquer l'on n'a pas pu complètement répondre merci en tout cas à tous les

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participants et participantes d'avoir aussi joué le jeu des questions réponses vous pourrez du coup prendre le temps de lire la publication qu'on va mettre en ligne et je vais laisser du coup la

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parole à amandine berton schmitt pour qu conclu en fait cette web in her merci aurait dit je voudrais conclure très rapidement en remerciant d'abord magali mazuy lucie vicky de l'ined et

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aurélie atout reste du centre hubertine auclert pour cette présentation très clair j'espère que ce nouveau format du centre hubertine auclert vous a plu à vous public merci également à la clara vallat et ambrées la date pour l'animation de l'espace questions

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réponses est globalement à toute l'équipe du centre pour l'organisation de cet événement je conclurai très rapidement en attendant n'attirant votre attention sur un point d'actualité que vous avez très certainement tête vous le

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savez le 25 novembre sera la journée mondiale de lutte contre les violences faites aux femmes et par extension c'est vous et moi que le mois de novembre est l'occasion de mettre en exergue des initiatives des études des outils qui

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permettent à chacun chacune de lutter contre toutes les formes de violences faites aux femmes à cette occasion nous vous invitons finalement à vous outiller encore plus que d'habitude vous outiller pour ce mois de novembre

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alors la première chose c'est de disposer de cette étude qu'on vous a présenté aujourd'hui je vous annonce que cette étude est d'ores et déjà en ligne donc vous pouvez la télécharger et la diffuser massivement autour de vous vous allez retrouver

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aussi sur le site du centre hubertine auclert dans nos publications des outils nécessaires la prévention des violences faites aux femmes on pense bien sûr aux violentes au maître vous allez retrouver aussi un nouveau kit sur l'orientation

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des femmes victimes de violences pour les professionnels avec un poster et une petite fiche réflexe qui ont été actualisées cette année vous retrouverez là aussi ce qui fait un

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peu notre plus-value différents outils sur la lutte contre les cyber violences sexistes et sexuelles vous retrouverez tout ça sur le site internet du chantre qui vous le savez à vocation d'être un site de un centre de ressources en ligne

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accessible à toutes et tous le deuxième point sur lequel je voulais attirer votre attention marie-pierre badré et aurélie à tous récents nous aussi parler nous vous invitons également à à noter d'ores et déjà dans votre agenda la date de notre

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événement prévu dans le cadre du 21 novembre ce sera donc le 22 novembre c'est un lundi après midi et il sera consacré à la lutte contre l'inceste j'espère que nous pourrons vous comptez

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nombreuses et nombreux pour ces temps forts du mois de novembre et je vous souhaite à chacun et à chacune une excellente après-midi nancy