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bonjour à vous tous à leur ravi de vous retrouver quasi semaine une semaine plus tard je pense que voilà les choses ont cheminé en tout cas nous avons fait le lien avec l'équipe canopée que je salue
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que je remercie à l'occasion aussi par rapport à voile à cette synthèse donc j'ai reçu une première synthèse de vos questions de vos remarques et on on sent combien voilà la préoccupation est
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importante pour arriver à comprendre et à saisir ce que sont ces situations de violence aussi puis de pouvoir bien sûr y remédier et donc aujourd'hui on va avoir un bug presque enfin deux partis
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presque distinctes à dire une première où je vais reposer toujours ce fameux contexte parce que je trouve que c'est intéressant et puis après on va partir vraiment sûr voilà il ya quelques quelques points sur lesquels je voudrais qu'on revienne en fonction du par
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rapport au retour du chat que j'ai eu et puis ensuite on partira sur vraiment le côté plus pratique aux pratiques parce que effectivement on a dénoncé annoncé
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énoncé en jouer un peu sur les mots des situations de violence je pense que c'est quelque chose qui nous est pas inconnu la maintenance est bien on a ça entre les mains on a cet outil entre les
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mains en tout cas on on peut les reconnaître on sait à quoi elle ressemble et on va le peaufiner un petit peu plus dans cette première partie après sur la deuxième partie c'est vraiment de se dire comment je peux faire concrètement et
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quelles sont les pistes concrètes pour arriver effectivement à y remédier alors on va repartir d'abord sur le contexte je trouve que c'est très intéressant parce que la réaction souvent quand on travaille sur les situations de violence
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et de dire en fait oui je comprends ce que c'est mais finalement c'est pas moi et c'est l'institution c'est ça vient de l'extérieur c'est c'est peut-être l'organisation c'était
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institutions c'est bien et c'est vrai que si on le voit avec une vision très globale et une vision très générales en fait on peut pas faire bouger les lignes et c'est très compliqué à moins d'être
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avec un ego surdimensionné en disant qu'on va changer la face du monde parce que c'est un petit peu compliqué donc on va pas partir sur cette vision là c'est à dire qu'effectivement il ya la vision globale donc on est dans une époque
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donnée avec toute son histoire ce le patrimoine de la de notre société et de son histoire qui s'inscrit dans dans dans des époques différentes dans des courants de pensée dans des courants
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philosophiques politiques économiques une société qui arrive au de cette époque une société on va dire plutôt malmené aujourd'hui en tout cas fragiliser de tous côtés qui
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qui a besoin aussi de se rassurer et puis une institution est alors si on fait vraiment du global au micro on rentre dans l'institution et là vous voyez que vous vous vous intégrez ça
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bien sûr que vous fait tous partie de l'époque et de la société ça paraît évident mais que vous enseignant vous rentrez au niveau de l'institution de l'établissement puis de la classe et puis des élèves et de leurs parents est
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en fait faire bouger les lignes pouvoir travailler sur son comportement sur ses réactions sur toutes les questions qu'on peut avoir autour de ces démarches d'apprentissage
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en fait on ne peut pas le faire par rapport à une époque global facile dans ces cas là en gros on partirait peut-être voilà sur une envolée philosophique mais c'est pas forcément ça qui ferait changer le principe de réalité de vos terrains
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moi ce qui m'intéresse aujourd'hui c'est de vous bousculer sans bien sûr vous faire du mal parce que je sais combien c'est compliqué et je sais combien effectivement je le répète votre métier et endurant mais c'est juste de pouvoir
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se dire finalement ma mamma possibilité de faire bouger ça de toi remédier aux situations de violence elle se situe à quel niveau et en fait c'est vraiment quand on rentre dans l'institution quantique pour l'institution c'est
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l'éducation nationale donc là c'est énorme si tu ne c'est une institution qui voilà qui a son histoire aussi qui a ses limites qui a ses possibilités si impossibilité il ya des établissements qui sont attachées effectivement
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l'éducation nationale un pipe progressivement mais voilà vous allez rentrer dans cette classe dont vous êtes l'enseignant que ce soit classe de maternelle où que ce soit jusqu'au lycée vous allez vous retrouver effectivement
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avec des élèves et leurs parents donc c'est à ce niveau là qui n'est pas plus ou moins c'est la dent dans ce contexte là dans ce contexte d'apprentissage précis que finalement vous pouvez
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effectivement intervenir ou pas donc à une précision quand même important c'est que ce qui ressortit un tout petit peu du tchat et puis ce que j'ai ressenti aussi par rapport aux premières questions que vous aviez posé la semaine dernière c'est qu'en fait on partait
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très vite sur de la violence est sûre de la maltraitance je suis pas du tout dans le domaine de la maltraitance je voulais préciser la dernière fois je vous leur précise encore c'est vrai qu'il ya plusieurs types de violence 1 elles ont
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déformé décompose multiplient à la violence institutionnelle qui est effectivement bien réel il ya des violences éducatives qui sont effectivement bien réel aujourd'hui je vous invite à faire un pas de côté en
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fait pour qu'on se recentre sur les situations de violence celle en fait qu'ils sont très rapidement banalisée c'est le soupir bon annonçant qu'il arrive pas vous expliquer une fois deux fois trois
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fois à la quatrième fois en dessous puis on lève les yeux au ciel c'est ce geste de remettre peut-être un petit à l'école maternelle de le le rasseoir et de leurs maîtres face à sa
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table par derrière sans prévenir c'est les discussions au dessus de la tête des enfants entre un directeur d'établissement et un enseignant quelle que soit la classe du reste un on va parler de l'élève à la troisième
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personne ce sont tous ces mots de comparaison de conditions si tu fais ça peut-être que tu seras moins bête peut-être que alors c'est vrai que c'est c'est compliqué parce que quelque part
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quand on donne des exemples aussi bas ça oui enfin tu me retrouve et je mets au défi enfin kicks souvent en fait qui pourrait dire ah non moi je me sens pas du tout concerné par rapport aux
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situations de violences quelque chose que j'ai jamais fait voilà j'ai jamais fait ça je pense que si on creuse un tout petit peu on a tous étaient excédés par des élèves on a tous été excédé par des parents et puis moi je veux dire
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c'est à l'intérieur de la classe mais c'est aussi à l'extérieur de la classe cc dans notre monde de jeu lui c'est à dire que c'est toutes ces situations il va y avoir une parole au dessus de la tête de l'enfant où il va y avoir des
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postures d'impatience où on va voilà rhabiller l'enfant vite fait par derrière parce que pas parce qu'on n'a pas le temps de il faut sortir tous dans la récréation il ya sept campo réalité qui va effectivement nous nous presser
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nous précipiter combien de fois on va dire un enfant dépêche-toi voilà qui comptent leurs failles dans le monde on va lui dire ben attend donc on est dans la contradiction donc effectivement pas qu'ils sont tout petits qui comprennent absolument pas le sens de à temps et
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puis voilà et puis dépêche-toi d'un autre d'un autre côté mais c'est pareil pour les ados j'ai presque envie de vous dire voilà le ici maintenant tout de suite on est tous confrontés rasta et notre société nous pousse aussi à être
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dans le tout de suite vite très vite un nom comme et donc je pense que ce qui est intéressant ce qui est à la fois un peu déroutant j'avoue mais tout à fait passionnant c'est que ces situations de violence quand on les reprend en fait
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elles sont tout à fait banale is it et mais par contre si rondes en revanche si on travaille dessus et si on réfléchit dessus en fait on va se rendre compte que nous pouvons avoir une influence rapides et visibles dessus c'est à dire
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que pour y remédier globalement en dix ans mais voilà je soupire quand un enfant comprend pas la quatrième fois en fait la manière d'y remédier et de comprendre que b mais en fait je vais pas soupiré je vais lui laisser le temps
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de comprendre et si moi je suis dans la difficulté par rapport à ça je me bats je les ai effectivement de peut-être de le faire autrement de lui expliquer autrement peut-être que ce qu'il me montre ce qu'il n'a pas compris et que
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moi dans ma démarche pédagogique peut-être ou dans ma posture je suis pas suffisamment confiante et lui ne ressent pas ma confiance donc il va se mettre un peu en porte à faux par rapport à ça mais en tout cas remédier à ces
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situations là qu'ils sont nés situation encore une fois que vous croisez quotidiennement vraiment quotidiennement faut pas aller chercher sur les dimensions de maltraitance pas du tout on est quelque chose de très d'abord
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c'est de très très courte durée c'est le sopi on regarde les yeux on lève les yeux au ciel c'est on pose une feuille devant l'enfant et on me regarde pas on s'adresse à lui par derrière
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voilà c'est tout ces petits gestes là je reprendrai autre ex donc après donc ces petits gestes ses paroles ses soupirs ces regards sur lesquels nous pouvons avoir une action immédiate et visible
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ils sont tout à fait intéressant à décrypter et à regarder à quel moment c'est une réponse en fait presque à notre propre vulnérabilité c'est à dire que on n'y arrive pas on on est en
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difficulté et c'est légitime d'être en difficulté parce que on verra combien c'est compliqué de prendre en charge un groupe d'enfants faut que ce soit un groupe de tout petits un groupe d'ados avec un autre fonctionnement un autre
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code est de pouvoir nous en tant qu'adulte être dans la capacité de s'adapter à ce groupe d'enfants entre est alors bien sûr il ya plein de choses s'est il ya cette notion d'éthique est
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moi qui me qui me passionne vraiment parce qu'en fait coller une étiquette sur un enfant sains c'est au risque de ne pas pouvoir la décoller c'est à dire qu'un enfant qui
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est étiqueté un peu flemmard un peu bon là et c'est un projet mais voilà par rapport à effectivement à cette norme qui pose le cadre il est fort probable que à travers les appréciations que l'enfant va avoir à
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travers ce qu'il va pouvoir être dit sur sept enfants tout au long de sa scolarité il ya une une thèse d'un chercheur je crois dans le nord de la france qui a sorti une magnifique thèse sur
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l'histoire des appréciations scolaire c'est extrêmement intéressant extrêmement intéressant tant le la modification l'évolution de ce que l'enseignant peut
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voir transmettre de cet enfant de sept élèves en sachant que ce dossier là il va le suivre tout au long de tout au long de sa scolarité et donc c'est vrai
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que un tout petit qui assure son sa première évaluation par exemple en école maternelle préfère jouer plutôt que d'écouter la consigne est serrée elle enfin c'est tout à fait ce n'est pas quelque chose que j'ai que j'ai créée
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comme ça c'est voilà c'est quelque chose que qui a été que kaka pas de maison fort a eu sur son la première appréciation en première année de maternelle c'est vrai que là pour le coup on se dit
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ça voilà c'est poser ses écrits ça a été écrit dans un certain contexte c'est pour ça que je vous dis est extrêmement intéressant de prendre toujours le contexte en considération de manière à ce que les choses puissent s'intégrer
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dans une histoire au moment où on a écrit cette appréciation là c'était à un moment donné de sa scolarité commence comment cette appréciation va le suivre ou pas comment cette étiquette va être collées ou pas est-ce que c'est par
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rapport à des normes qu'on se donne soit est-ce que c'est l'institution qui le donne est-ce que c'est par rapport à votre fatigue à vous qui est tout à fait légitime ou par rapport à des codes différents à des fonctionnements différents vous accueillir des familles
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qui n'ont pas les mêmes codes et les mêmes repères que ce que l'école voudrais transmettre ce que l'enseignant voudrais transmettre donc il ya ce décalage là et je trouve que le collage
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des tic est comme ça et de stéréotypes et un peu l'élève qui est un peu un peu compliqué un peu beaucoup compliqué un peu capricieux un peu on le définit par rapport à sa propre sensibilité et ce sont des sensibilités qui se rencontrent
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ou pas il ya des sensibilités qui ont beaucoup de mal à se rencontrer je pense que le plus voilà le travail de l'auto ont pâti favorise cette étude là je pense que c'est vraiment très important de pouvoir sortir de nos stéréotypes de
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nos a priori du jugement qu'on peut avoir aussi parce qu'en fait finalement quand on juge qu'est ce qu'on en sait on en sait quelques informations sur une fiche de renseignements que les parents vont vous donner sur une profession d
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âge des situations sociales il ya très très peu d'informations mais très vite on peut partir effectivement sur les jugements et sur les étiquettes et là pour le coup on est vraiment dans le dans le coeur des douze violence il
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est aussi important donc de transformer ces nos a priori en ressources 1 et d'interroger ce qui peut nous entraîner dans une représentation qui est tout à fait fausses et de l'enfant en fait on a tous une première représentation de
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celui qu'on va croiser pour la première fois on va avoir une représentation finalement qu'est ce que j'en sais et c'est très important de se poser cette question là finalement qu'est ce que j'en sais dans la plupart des cas on
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n'en sait pas grand chose je vous dis ça se joue sur une fiche de renseignements reçus en début d'année où finalement on se fait une représentation globale mais on n'a pas du tout le mode de fonctionnement en fête de la famille
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donc qu'est-ce qu'on sait réellement de cet enfant pas grand chose par contre ce qui peut nous donner des informations c'est ce que l'enfant va nous montrer qu est-ce que c'est en forme montre dans son comportement dans sa réaction par
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rapport à une question par rapport à une vie de groupe aussi et on verra combien effectivement c'est très important cette cette notion de collectivité donc le factuel permet alors de se dégager de l'influencé émotionnel et de se donner
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les moyens de comprendre sans interprétation donc ce actuellement qu'est ce que cet homme fort me montre qu est ce que je vois mais sans interprétation de dire c'est parce qu'il est comme si que non qu'est ce qu'il me
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montre un tout petit qui est assis depuis quarante minutes à table et qui se lève il est il le fait pas dans l'intention de vous provoquer ou de vous embêter en fait il le fait tout simplement parce qu'il peut pas rester au delà de 15 20 25 30 minutes assis à
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une table d'autant plus si en plus ses pieds ne posent pas par terre ça c'est une une précision je le précise l'agent profite c'est que si un enfant effectivement n'a pas les pieds par terre il va son cerveau va passer plus
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de temps à essayer de trouver un équilibre pour ne pas tomber plutôt que de se concentrer sur un exposé l'histoire où ce que lui dit son enseignante alors bien sûr on repart sur
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cette notion de sécurité affective qui est un besoin vital 1 et qui effectivement en développant les compétences psychosociales et l'auto en pâtit comme vous a présenté catherine gay bien la dernière fois c'est extrêmement important mais à savoir
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aussi que en fait dans les dents dans la relation avec les ados notamment ce sont des relations qui sont de très courte durée ce sont des choses qui sont très
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très spontanée donc en fait ces adolescents qui sont voilà en pleine crise d'identité qui se perdent un peu dans l'eure dans l'eure l'eure tempête émotionnel de
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du moment par rapport à leur âge par rapport à la transformation physique par rapport à tout ce que représente l'adolescence en fait ils ont besoin effectivement de cette sécurité affective et si on s'ils sentent que ils
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ne sont pas dans la fin s'il n'y a pas de respect réel de leurs deux sets de ceux de ce passage la quête un passage extrêmement important où l'enfant va va
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fluctuer en fait va passer d'un état ou en fait je vais être autonome et je veux me débrouiller mais par contre je veux qu'il y ait quelqu'un avec moi mais pas tout le temps mais de temps en temps pas toujours de temps en temps enfin voila c'est une tempête émotionnelle qui est
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extrêmement importante et extrêmement délicate et c'est vrai que pour le coup si le soupir de l'enseignant aussi à l'école alors qu'il va y passer beaucoup de temps il ya des enfants qui passent
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plus de temps avec à l'école en fait un que chez eux finalement en dehors des périodes de vacances scolaires et encore parce que certains malheureusement aussi en période de vacances scolaires ne sont pas non plus avec leurs parents en fait
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ils vont passer beaucoup de temps avec dans dans l'institution et donc c'est cette institution qui doit effectivement arriver à trouver un juste un juste équilibre sans oublier personne c'est à
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dire que là effectivement on se centre sur l'enfant sur l'élève sur le collégien le lycéen mais sans vous oubliez vous même bien évidemment c'est à dire que pour que j'ai cette sécurité affective au sens de dans la sécurité
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affective c'est pas je t'aime moi non plus c'est pas du on n'est pas dans ce rapport là dans cette sécurité affective c'est en fait le respect initiale de chacun où chacun est reconnu pour ses
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compétences dans ses compétences mais c'est surtout dans sa propre humanité c'est à dire qu'on va bien au delà des apprentissages il faut que chaque acteur soit reconnu en tant qu'être humain à
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part entière avec ses possibilités c'est impossibilité ses peurs ses réussites ses projets son optimisme et tout ce qui va avec donc c'est effectivement très complexe parce que c'est une alchimie qui doit se mettre en place et cette
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alchimie elle elle est périlleuse n est périlleuse à mettre en place c'est j'ai presque envie de dire c'est qu'à chaque collectif d'enfants est un réel défi pour les professionnels qui prennent en charge ça c'est à dire que vous prenez
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moi qui travaille beaucoup avec des équipes de crèches par exemple arriver à ce que tous les enfants de moins de trois ans arrive à manger ensemble dormir ensemble faire des activités se sentir en sécurité c'est un défi on
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prend ces enfants un peu plus grands à la maternelle arriver à les contenir dans une salle plusieurs heures par jour sur des activités c'est un défi puis vous prenez le collégien le l'écolier le
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collégien le lien c'est pareil parce que chaque âge a ses préoccupations chaque âge à ses attentes à ses besoins et donc par rapport à ses besoins initiaux comment effectivement les enseignants
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vont à vont vous allez arriver effectivement à trouver ce point d'équilibré entre ses alchimies d'adultes d'ado et et d'enfants avec vous même pour que vous arriviez
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effectivement à trouver quelque chose de cohérent et ce sont les pièges du collectif ce qui est très intéressant c'est de voir de considérer donc là on fait un tout petit pas de côté aussi du côté de la sociologie c'est à dire que
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vous avez les élèves qui doivent apprendre à vivre ensemble dans une temporalité collective qui n'est pas forcément leur temporalité individuel loin de là puis l'enseignant qui est seul face aux groupes d'élèves qui lui même à sa
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temporalité à son programme et et doit effectivement être en adéquation avec cette temporalité collective de ce groupe d'élèves en phase donc bien sûr que les points de bascule dont on parle est la première fois les points de
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bascule ça peut vite ça peut vite basculer évidemment ça peut vite basculer mais j'ai presque envie de vous dire ça n'existe pas ça n'excuse pas tout c'est à dire que si on s'arrête là on se dit voilà c'est les pièges du collectif qui
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créent les douze violence et dans ce cas là bas tant qu'il y aura du collectif on pourra rien faire d'autre pas du tout faut vraiment se dégager de ça c'est important de le savoir c'est important de comprendre ses alchimies qui doivent
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se mettre en place mais à partir du moment où on a compris cette ce son mode de fonctionnement il ya des pistes qui sont très intéressantes alors d'abord il ya la notion d' erreur et d'évaluation parce que c'est vrai que bon à l'école
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c'est quand même c'est cette grande histoire autour d'eux voilà l'erreur l'évaluation la bonne évaluation la mauvaise évaluation comme on travaille sur ces évaluations là beaucoup de choses ont bougé heureusement depuis des
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dizaines d'années on scrute l'évaluation on essaye de voir comment ça se passe les apports des neurosciences alors là c'est vraiment un tout une toute petite à presque une aparté pour que l'on
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puisse voir ensemble ce point qui pour moi me semble aussi fondamental que la sécurité affective c'est qu'en fait l'erreur lé formati c'est elle qui met à l'épreuve les prédictions notre cerveau ce qui interroge alors notre manière
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d'évaluer et de définir une évaluation entre la note l'appréciation et la manière de transmettre le résultat à l'élève je reviens sur la première partie en fait l'erreur elle et formative parce que comme vous n'avez
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pas à chercher une réponse que vous la donner spontanément votre cerveau spontanément donne une réponse il réfléchit évidemment il se met en marche évidemment lui il n'arrête pas de toute façon d'être en marche mais eux est
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d'être en activité mais l'activité sera moindre que si effectivement il ya une erreur là pour le coup le cerveau va devoir effectivement revoir le raisonnement re
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revisiter les choses qui peut être n'a pas intégré à un moment donné et c'est ça va d'autant plus stimuler l'activité cérébrale de l'enfant donc c'est plutôt c'est plutôt intéressant puisque ça met
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enfin en place cette activité cérébrale sans oublier qu effectivement c'est notre cerveau travaille par prédiction c'est à dire que si je tourne la poignée de la porte et que la porte s'ouvre en
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poussant devant ben je sais que voilà il va intégrer que la plupart du temps j'appuie sur la porte où je tourne un poignet j'ai à pousser pour que la porte s'ouvre le jour où effectivement la porte ne s'ouvre pas alors que je pousse
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et que normalement ça devrait s'ouvrir en fait on voit très bien qui est le cerveau va se mettre à réfléchir très rapidement et que du coup on va essayer de trouver une autre solution et c'est qu'en cherchant cette autre solution que
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notre cerveau va effectivement se mettre doublement en activité donc comment dire pop c'est pas punir mais en tout cas sanctionnés l'erreur c'est sanctionner
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le fait que le cerveau fait un effort pour comprendre ce qui ne va pas et là sur ce point là on s'aperçoit qu'il ya quelque chose qui quelque part ne serait pas logique voilà c'était j'avais vraiment envie de
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me poser quelques secondes par rapport à ça parce qu'en fait c'est notre manière d'évaluer si l'évaluation elle et elle est contraignante elle et sanctionnant tu
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c'est à dire que de sucer ben voilà un travail mais n'y arrive pas pourrait mieux faire il ya toutes ces évaluations si on reprend les évaluations que peut-être on a eu à un moment donné où
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certains d'entre nous et où certains d'entre vous ont pu par rapport à des situations c'est quelque chose qui marque et vous remarquerez aussi que on a tous au fond nous le le souvenir d'un
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enseignant extraordinaire qui nous a donné des ailes en nous disant qu'on avait des possibilités que tout était possible et que voilà et ça nous a donné des ailes et ça nous a servi et on s'en souvient aujourd'hui tout comme on se souvient aussi peut-être de l'enseignant
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qui était beaucoup plus voilà beaucoup plus rigide beaucoup plus beaucoup plus exigeant sur des choses qui nous mettait particulièrement en difficulté donc je pense que c'est il ya quelque chose à voir par rapport à ça et sur notamment
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l'appréciation il ya christ davier boutrelle vous aurez les les références à la fin de la présentation qui en fait a travaillé sur le fait que au départ
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c'était de la double la double correction et que de cette double correction il s'était aperçu que pour pas influencer le deuxième enseignant qui corrigeait en fait il y avait rien de noter sur la copie est en fait on ne
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note en rien mais en recevant voilà le l'étudiant le collégien ou les coûts ou les coliques pour lui expliquer ce qu'il y avait dans sa copie et comment ils mettraient une appréciation
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après de vives voix il s'est aperçu qu'il y avait beaucoup plus d'estimé de soi et que les élèves étaient bien plus rassuré par rapport à ça on se souvient peut-être des
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des copies rendues avec par chronologie de notes où on commence effectivement par celui qui est arrivé voilà avec brio à répondre à ce qu'on lui avait demandé
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jusqu'au dernier des derniers qui en fait est vraiment pointé du doigt et et devant tout le monde on lui dit que finalement il n'est pas brillantissime donc c'est hélas on travaille vraiment sur l'estimé de soi l'auto en pâtissent
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et là on est vraiment au coeur de sa et les douze violence elles viennent s'immiscer vraiment elles viennent s'immiscer par rapport à ça alors évidemment il ya posture d'adultes posture d'enfants dans cette histoire posture d'enfants posture d'adulte ça va
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dans les deux sens c'est clair que on a chacun nos points de vulnérabilité c'est à dire qu'on a des points de ces fameux point de bascule ou en fait à un moment donné on perd pied on veut obtenir ce
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qu'on souhaite ici et maintenant tout de suite et du coup il ya plus négociation possible donc voilà l'élève ne trouve pas la réponse on essaye on lui explique tu comprends pas bon voilà ben wallace et il fallait répondre ça et et on va
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céder sur le fait qu' il ne soit pas dans mon rythme dans mon niveau de compréhension dans ma posture là ici et maintenant 1 c'est pour ça que mon travail aussi beaucoup sur la notion
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effectivement de pleine conscience en étant ici et maintenant et pas décaler dans le temps par rapport à autre chose ce qui est intéressant c'est que les deux violence à ce moment là elle se repèrent facilement quand effectivement
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vous soupirez quand effectivement dit noter quelque chose rapidement sur une copie devant l'élève 108-100 sans rien lui dire il est venu vous demander une réponse il comprend pas ce que vous lui avez demandé vous entourer quelque chose et puis louis lubat vas-y débrouille toi
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avec ça en fait on le laisse on le laisse mais à côté de ça vous vous n'êtes pas en tête à tête avec l'élève vous n'êtes pas voilà deux vous êtes
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vous seul face à 15 20 25 30 peut-être 35 demandes et ses demandes en plus elles sont ici et maintenant tout de suite c'est à dire que ces temporalités elle se ils se bousculent elles viennent se
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bousculent et aussi donc ce qui est intéressant c'est que quand on repère les douze violence elles se reconnaissent très bien on les identifie très bien et à ce moment là chacun peut y remédier sans aucun problème c'est à
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dire que si vous dites effectivement j'ai souligné un truc je lui ai donné comme ça rapidement en fait il ya pas eu de suite on se rend compte que là quelque part on était sur son propre point de vulnérabilité est sur le point
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de venir habilités de l'enfant aussi ou de l'étudiant donc forcément c'est deux points de vulnérabilité bascule et il ya une méfiance de la part de l'élève peut-être et vous il ya
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peut-être un agacement ce sont des commandes ird et des réactions qui sont extrêmement légitime est extrêmement naturelle j'ai envie de dire c'est à dire que voilà et c'est il s'agit pas de
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prendre sur soi je n'aime pas du tout cette expression d'abord parce que prendre sur soi déjà en on va être soi même c'est déjà énorme alors prendre dessus je ne vois pas ce qui est important c'est de pouvoir repérer ce
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point où on commence mais même physiquement à dire mais en fait là très clairement ils m'agacent en fait et comment au moment où je pense à je suis capable de voilà déjà prendre une grande
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respiration puis surtout de dire bon on se comprend pas enfin il ya quelque chose qui m il ya une alchimie qui se fait pas à ce niveau là donc plutôt que ce soit moi qui ait
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le dernier mot quelque part c'est juste de dire je prends un tout petit peu de recul alors on se dit vous allez me dire oui mais il faut du temps pour ça non en fait c'est vraiment un état d'esprit c'est c'est le fait de dire bon ben
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voila si j'ai besoin de parler à un élève quel que soit son âge déjà je vais au moins me mettre devant lui et lui parler en face mais ça on va là on va leur prendre un tout petit peu alors il ya des pistes tout à fait innovante ton
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pouvoir y remédier c'est sûr elles existent elles sont là on va en visité plusieurs et vous allez voir ça j'espère vous donner envie d'essayer des choses et puis que vous puissiez d'ici la prochaine fois où on se retrouvera pour
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vraiment échanger discuter vous puissiez le dire bah écoutez j'ai essayé et vraiment c'est c'est intéressant je vous dis pas voilà que que ça marche à tous les coups mais en tout cas ce sont des choses que moi j'ai essayé avec des
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équipes d'enseignants et je trouve que c'est très intéressant de pouvoir alors pour le coup être sur quelque chose de très pratico pratiques que vous pouvez utiliser vraiment dans vos dans vos établissements donc d'abord on observe
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un contexte quotidien d'enfants et d'adultes évidemment donc de collégiens ou de lycéens et on essaye de repérer ces situations de violence donc on décrypte vraiment c'est voilà dire ça
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se tenir de cette manière là s'adressait de cette manière là ouvriront violemment la porte tourner le dos aux élèves là vous en avez donc on réfléchit sur les postures de l'adulte et on réfléchit sur
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leur sens vis-à-vis de l'enfant c'est clair que si effectivement on ne serait ce que par exemple c'est c'est un exemple que j'ai ou que j'ai vu il n'ya pas il n'ya pas très longtemps dans une dans une classe l'enseignante qui donc c'était en classe
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de maternelle elle ouvre la porte avec dit aux enfants bomba sortez et puis elle les prend derrière la derrière la tête mais c'est pas violent en tant que tel mais elle est elle née elle les
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comptes ll des cons que les enfants en en les poussant gentiment derrière la tête en leur disant en bombe à toi tu as à toi tu as ça dépêche-toi à l'été encore le dernier enfin c'est des choses
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qui s'est sorti naturellement et en fait à un moment donné on se dit mais pourquoi ça quel sens ça pour l'enfant qui voit cet adulte voilà une main qui arrive sur sa tête pourquoi et qui est
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compté comme ça alors que finalement on pourrait tout à fait de faire autrement on peut effectivement ouvrir la porte et leur demande effectivement de sortir puisque c'est l'heure de la récréation mais on peut aussi
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les aider à s'habiller mais on peut tourner l'activité de le fait de s'habiller s'il ya une atsem ou sia pas d'atsem déjà ça se ça se réfléchit mais d'être vraiment dans l'accompagnement peut être
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dans la manière de s'adresser à eux la manière de d'anticiper la sortie ou pas je vous dis pas vous le faites vous le faites pas je ne me permettrais pas d'abord parce que je ne ce serait bien malvenu de ma part et je
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ne suis pas là pour vous accusé de quoi que ce soit il faut que ce soit très clair c'est juste de se dire il y à des postures peut-être qu'ils peuvent se modifier parce que ça tiens c'est c'est
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juste une tonalité qui une tonalité qui est décalée par rapport au fait que tout le monde veut être bienveillant je veux dire voilà ou sinon c'est ce serait très grave donc si effectivement vous
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avez vous êtes dans ce métier là si vous avez choisi ce métier c'est que bien évidemment il ya énormément de bienveillance dans votre dans votre dans la représentation que vous avez de vos métiers est il malgré ça il ya des
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moments oui la posture elle est pas tout à fait tout à fait adapté donc comment je peux effectivement replacer cette posture là il ya aussi le fait de penser les espaces et les pros
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les propositions pédagogiques alors l'aménagement de l'espace c'est quelque chose qui est absolument fabuleux on a fait un travail colossal sur dans deux classes où on a vraiment tout repenser l'espace où on a modifié les spasmes et
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avec les enfants où on a fait des îlots centraux avec des plutôt d'être que dans des coins et puis où tous ceux en ligne ou tous en rang en fait on qu'on a on a vraiment ouvert l'espace de circulation
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pour que les enfants puissent se déplacer davantage bon là on l'appelait moi je vais essentiellement travaillé en maternelle mais ça peut se travailler aussi bien évidemment en élémentaire et puis même je pense que
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dans l'est dans les lycées aussi c'est un beaucoup bougé par rapport à la configuration des salles de classe donc et je pense que là il ya vraiment quelque chose qui est à regarder de plus
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près vraiment avec les propositions pédagogiques évidemment qui vont avec et je pense que dans la notion l'apprentissage il ya sept construire cette notion d'étonnement d'émerveillement le mouvement au coeur
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des apprentissages vraiment c'est à dire que c'est on peut bouger on peut se déplacer c'est pas statique et puis c'est je n'aurais pas pensé que c'était comme
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ça à regarder le le comment dire le mais bien fait de quelque chose qui vous étonne la capacité de s'émerveiller c'est quelque chose que qu'on doit cultiver ou doit vraiment cultiver
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l'émerveillement sinon on va tomber dans le labeur c'est compliqué c'est répéter c'est laborieux à la limite et ça devient laborieux quand y'a pas d'émerveillement donc là c'est vraiment
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là une notion sur laquelle moi j' ai énormément travaillé autour du travail avec les tout petits pourront travailler sur la sécurité affective dans la vue savoir bien sûr reconnaître ses propres talents c'est tout le travail de l'auto
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en pâtit et puis ceux des enfants bien évidemment est quelque chose de tout à fait pratico pratique c'est d'écrire un cahier de bord où la pensée fait trace c'est à dire que si vous avez quelques quelques minutes c'est pas c'est pas des
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choses qui prennent un temps fou mais noté sur un cahier voilà l'état d'esprit dans lequel vous étiez dans la journée ce qui a fonctionné et ce qui n'a pas fonctionné et peut-être pas des coups de colère pourquoi pas c'est c'est un peu le oui
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lequel le cahier de bord vous allez leur dire ce qui est intéressant c'est comme vous étiez en difficulté par exemple peut-être avec un enfant ou peut-être avec une situation c'est toujours intéressant d'avoir une trace parce que souvent avec vos talents vous vous en
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sortez très très bien et que c'est toujours intéressant d'aller voir ce qui s'était passé trois quatre mois avant 10 ans ou en fait je suis parti de ce point là et j'arrive aujourd'hui à être dans une situation tout à fait voilà tout à
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fait cohérente et tout à fait équilibré et le cdja il ya une sorte de devoir de souvenir de patrimoine là qui nous moi matin m'intéresse beaucoup parce que on a l'impression souvent que chaque année
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on redémarre tout à zéro vous relève marie rien à zéro du tout en fait vous poursuivez votre carrière oui vous avez décroché les décorations face y en a que quand on arrive dans les classes les premiers jours c'est un as il vide pour
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que justement on puisse se le réapproprier mais c'est pas vite d'histoire à l'intérieur vous avez vécu plein de choses tout au long de l'année et c'est très intéressant je trouve de pouvoir avoir ce travail un peu de deux
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traces de tout ce qui a été fait et de tout ce qui a été fait avant alors il ya aussi un travail qui est extrêmement intéressant et là qui vous donne pour le coup beaucoup de possibilités c de travailler sur des postures minimum
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incontournable celle sur lequel en fait on va se mettre d'accord dans l'équipe éducative de dire voilà là c'est un peu notre notre repère au niveau des
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postures vous allez me dire c'est vous allez rien à prendre par rapport à ça vous le savez si ce n'est que là c'est écrit noir sur blanc et que pour le couple reprendre aussi dans les réunions pédagogiques ou à d'autres moments si
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vous avez d'autres possibilités donc c'était se mettre à la hauteur de l'enfant pour lui parler c'est rien que cette première phrase là en fait c'est se mettre à la hauteur de l'enfant de l'adolescent de deux jeunes enfants du
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plus grand enfant ou de l'adolescent se mettre à sa hauteur intellectuelle émotionnel physique c'est à dire que comme vous vous adressez à un enfant de deux ans et demi peut-être convainc pas toujours lui parler du haut de notre
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auteur d'adultes mais on va se mettre à sa hotte peur mais aussi par rapport à sa hauteur dans son c'est à dire que peut-être qu'on va pas lui exposer quelque chose parce qu'il est tout petit
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ou parce qu'il a cinq six ans comme on le ferait par rapport à des ados bien évidemment donc se mettre à la hauteur de l'enfant pour lui parler pour s'adresser à lui ne jamais le fort c'est donc c'est quelque chose voilà un
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concept de base qui est aussi le fait qu on est là sur le respect aussi la convention internationale des droits de l'enfant tout simplement lui laisser le temps et sa part d'autonomie c'est à
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dire que sa part de compréhension son rythme de compréhension et que bien sûr que quand vous avez un groupe là où c'est le plus confortable c'est quand le collectif et quand tout collectif et la
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même chose en même temps vous avez un groupe class qui joue premier coup tout ce que vous avez présenté et que voilà la clara ça avance tous ensemble bien sûr que c'est plus confortable que si vous avez une tête de classe avec
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trois quatre ou cinq enfants et puis que derrière ça voilà c'est plus laborieux c'est plus difficile et que les enfants comprennent peut-être moins vite ce que vous voudriez qu'ils comprennent au premier coup on maîtrise bien sûr la
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parole au dessus de la tête des enfants donc là c'est tout ce qui se pa la cour de récréation où la ces il ya une étude canadienne qui a été fait sur les cours de récréation où il ya eu d une étude canadienne une étude
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française du reste qui a été rattaché à l'université de nanterre où ils sont allés filmer et enregistrer des jeux d'enfants dé la position des adultes dans la cour de récréation les temps
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d'attentes entre voilà un groupe d'animateurs qui étaient dans la cour de récréation les demandes d'enfants le temps d'attentes les enseignants qui arrivent et qui discutent et qui disent plutôt si la
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tête des enfants c'était extrêmement intéressant et là aussi en parlant de cour de récréation il ya tout un travail effectivement est toute une réflexion qui auraient affaire après affaire en fait sur les l'aménagement des espaces
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extérieurs qui voit là sont souvent très austère il ya pas grand chose en fait dans les cours de récréation et dû crier tous ces groupes d'enfants qui partent alors qu'ils ont été très contenue comment
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effectivement en coton nouveau lapin ça explose à l'extérieur mais pour se retrouver en groupe et de devoir composer avec pas grand chose en fait donc ça peut être très compliqué pour eux aussi bien sûr on verbalise nos
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actes et on les anticipant pour que l'enfant puisse comprendre ce qui se passe on se centre sur le moment présent ça c'est vraiment la pleine conscience ici et maintenant pas d'étiquette on compare pas aux croix ans l'enfant et en
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ses compétences on sait qu'il peut y arriver que tous les enfants peuvent y arriver ces postures en fait elle découle des valeurs professionnelles communes qui sont reconnus et inondent c est ce qui est très intéressant c'est que voilà ça
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c'est ça fait penser un peu à une charte donc ça peut être la charte de l'élève la charte de la posture de l'adulte à l'école une fois que vous avez ça au mur on se dit bon bah c'est bien voilà on a
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ça on a travaillé sur les postures minimum incontournable et puis on s'aperçoit que basse et là ça fait partie du décor c'est comme beaucoup de choses qui sont affichés lui reste donc c'est bien ça rassure tout le monde on a
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ce label en dix ans par amour on les a écrits tout va bien et puis bah finalement ça s'étiole un peu ce qui est très intéressant c'est de partir de ça de découper chaque item se mettra autour
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de l'enfant ne jamais le forcée voilà on découpe chaque item on le met dans une petite enveloppe une petite boîte peu importe qui est bien visible qui est bien reconnaissable et en fait chaque fois qu'il ya une réunion pédagogique où
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chaque fois qu'on se retrouve à plusieurs pour discuter des enfants de la classe ou de l'organisation de l'école en fait avant de démarrer quoi que ce soit on tire au sort un ou deux items et puis on en parle rapidement ça
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prend quelques minutes vraiment c'est de très courte durée et puis on se dit tiens voilà par exemple se centrer sur le moment présent on en est où hélas spontanément les enseignants quand il ya
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une bonne confiance mutuelle évidemment donc ça ça fait partie du travail de l'auto empathie que vous aurez mis en place dans l'équipe on arrive à se dire ben tu vois mon présent oies mais non mais là on est sûr la fête la
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préparation de la fête de fin d'année moment présent pas trop en fait ou c'est sûr je ne sais rien fait en tout genre ou une exposition qui
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est organisée ou un temps de rencontre où un temps de repas ou un temps de transition peu importe en tout cas un moment présent pas trop quoi je moi je suis plus en difficulté par rapport à ça je me projette sur le programme que soit
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complétée il ya des choses que je suis pas arrivé à faire avec les enfants dans il faut vraiment que et en fait on s'aperçoit que quand on n'est pas dans le moment présent on fait un bon c'est à dire que l'enfant commence à peine quelque chose que déjà on est dans le
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rangement d'activité que déjà on est dans on va préparer ce qui se passe après et que bon notre société nous amène à ça aussi un et parfois on se dit mais là ici et maintenant ça ce pain parce que moi en fait il ya un groupe
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d'enfants qui jouent qui ça se passe bien donc on va s'appuyer sur ce temps là ce temps allez tout le temps au delà ou plus loin et en reprenant tous ces items en fait ça permet d'abord un de
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l'erap l'eau ça paraît évident on sait de bari ne jamais forcer bien sûr je n'ai pas forcé les enfants ont fait ça paraît évident vous sortez l'item vous leur mettez dans un contexte quotidien nous étions mais finalement si c'est
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clair je n'ai peut-être pas sortir en récréation pour pouvoir finir parce que je voulais qu'ils terminent et comment ça a été présenté comment je vous dis pas que la démarche pédagogique elle va pas en disant un coup tu restes
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là le temps de terminer mais comment ça lui a été présenté comme en lui il a compris comment lui a donné la réponse à ça et je pense que c'est dans toute cette belle alchimie là qu'on arrive effectivement à donner du sens à ce
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qu'on fait et à se recentrer vraiment sur ces postures minimum incontournable j'ai presque envie d elles sont pas négociables celle là elles sont pas négociables parce que c'est le b à ba du respect de l'enfant dans une situation
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d'apprentissage dans une situation éducative ou tout simplement dans la vie de tous les jours voilà c'est c'est le coeur même de la notion de respect de l'enfant alors à côté de ça il ya des expériences très
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intéressante qui ont été faites avec plusieurs équipes donc éducative donc il ya effectivement le faire le fait de de découper les items avec les postures incontournable donc ça on vraiment c'est
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un travail que j'ai mené autant à la crèche à l'école il ya une école primaire qui qui a beaucoup travaillé dessus aussi et qui a ouvert toutes les toutes les réunions à partir de ça ce qui était
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très intéressant c'est que on est parti de quelque chose qui était assez formel 1 c'est à dire 'voilà ce petit sac la pause et et puis repéré repérable 1 c'est pas quelque chose qu'on va poser sur une étagère entre trois bouquins
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c'était vraiment quelque chose qui était accroché au mur elle le savait elle avait eu ferme qui tu as un petit j'avais un petit signe un petit symbole dessus qui voilà qui était reconnaissable par tous on est du coup
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ça fonctionne très bien et cet outil très formel sur lequel on a travaillé on a découpé les items en somme on les a rediscuté on à redonner du sens à tout ce qu'il y avait à l'intérieur pour le rattacher effectivement au principe de
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réalité c'est tout il a été utilisé un jour où elle prenait le café ont semblent ils étaient 3,4 et se sont dit tiens ben on va les voir je me souviens plus tous les items qui avait dedans et
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en fait cet outil formelle et de est passé dans l'informel et c'est quand un outil passe dans l'informel qui devient absolument génial parce que on se l'approprient il est approprié il est
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possible effectivement de le de se l'approprier dans son propre contexte et dans son propre aux prêtres dans ses propres principes de réalité et c'est extrêmement intéressant il ya eu des choses qui ont été posées qui était qui
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était très très très très sincère très très profonde et où on est on est on a vraiment mis en lumière un les points de bascule 2 les principales difficultés
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dans lesquelles les enseignants à se trouver en situation d'apprentissage est en situation de deux temps de classe en fait un et ce tant de classe qu'il faut effectivement organisé en fonction évidemment des dés de l'âge des enfants
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après on a fait des journées sans alors ça c'est venu effectivement sur des expériences en faire des expériences des tout un travail quand d'amener à la crèche et on l'a on l'a après voilà
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reformuler par rapport aux équipes de deux d'école donc on a fait des des journées sanchez donc on a retiré toutes les chaises et on a regardé comment les enfants évoluer dans l'espace c'est extrêmement intéressant parce qu'en fait
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on s'est rendu compte que le temps de concentration était quasiment doublé chez les tout petits donc parce que les chaises non plus n'étaient pas adaptés ils n'avaient pas les pieds qui touchait par terre
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donc il était beaucoup plus en difficulté pour se concentrer on a fait des journées sans montre alors ça c'est extrêmement intéressant aussi la notion de temps ou du coup le dépêche-toi a
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complètement disparu où on s'est rendu compte que la le l'angoissent du temps de ce temps qui passe et de l'organisation surtout dans
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le dans dans un temps donné en fait il se s'estomper complètement et que ce qui était le plus dans le ludique dans la créativité en fait ils ont lâché
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les montres le temps très rapidement ce qui était dans quelque chose de très formelle de trait carré de très organisé en fait ont eu beaucoup de mal à se dire mais j'ai plus le repaire du temps donc alors on l'avait fait effectivement sur
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des temps de sur des temps de classe voilà cent 100 événements particuliers évidemment et en serrant on s'est très vite rendu compte que en fonction de sa
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propre représentation du temps et de des obligations qu'on a le rythme est différent et la représentation du temps est différente aussi donc c'est vraiment c'est très très intéressant il y avait
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aussi par rapport à ça la posture de l'adulte qui à un moment donné se met donc à côté de l'élève l'élève le voit ou le voit pas donc ça
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c'était c'était très intéressant c'était comment je me situe et comment je me positionne par rapport à lons à l'enfant assis à table donc là on avait remis les chaises évidemment les montrant fallait les pendules et est de nouveau là mais
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c'était juste de se dire allez on va faire de l'observation pointu sur le langage du corps de l'enfant quand l'enseignant est à côté de lui debout
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voire même une main posée sur son épaule ya effectivement du contact donc il n'est pas plus stressé que ça mais il est quand même plus en repli il est
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moins à l'aise en ouverture on va dire quand l'enseignant prend une chaise semer en fat de l'élève lui parle à la même hauteur en le regardant en face à face on s'aperçoit que l'enfant est
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complètement en ouverture il a les pieds bien au sol et il n'est pas du tout dans cette dans cette posture un peu recroquevillés où il ya les deux pieds sous la chaise qui intrigue cote un peu parce qu'il ya pas mal de stress et donc
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en en regardant ces micro communication du corps en fait on s'est aperçu que la posture en fonction de l'enseignant toujours debout qui ne vient pas au contact et qui n'est pas en phase
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créé beaucoup plus de stress en fait et rend les choses un petit peu plus un petit peu plus difficile alors c'est vrai que c'est il ya énormément de choses à découvrir il y
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aurait des idées voilà je pense que ce qui est important par rapport à cette notion de 12 violence c'est que à partir du moment où on commence à en parler c'est quelque chose qu'on ne peut pas
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conclure c'est à dire que là c'est une invitation évidemment parce que en deux fois une heure c'est j'ai pas pu aller ou fin fond du sujet évidemment mais je pense que ce qui est important c'est que
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à partir du moment où on ouvre cette problématique des douze violence où on sait que nos paroles nos gestes nos nos respiration on ne regarde la manière dont on va s'adresser à l'autre et cette
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posture qui qui fait que voilà on va on va être effectivement dans ce dans cette représentation la lfc c'est un code qu'on va avoir et
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c'est une manière d'être et le fait de travailler avec sur ces situations de violence elle et elle ouvre sur une nouvelle manière d'être un nouvel état d'esprit en fait donc c'est pas voilà je
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travaille sur les 12 aux lancers puis je referme ça et c'est pour ça que en fait j'ai vraiment insister sur le fait de ne pas conclure parce que parce que c'est important de
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voilà deux de ne pas refermer en fait alors je suis bien embêté parce que je n'ai plus la main sur la présentation qui s'est bloqué normalement en vous deviez avoir deux petites phrases qui devait qui
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devait se sa ni mai et puis surtout les références donc donc voilà donc si effectivement je pouvais avoir les deux dernières j'ai pas de j'ai pu le contrôle sur la sur la
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présentation en tout cas et je voulais simplement vous dire pour moi c'est c'est vraiment un grand d'abord un grand honneur de vous présenter ce travail que je fais depuis de nombreuses années
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autour de autour des 12 violence donc je trouve que c'est vraiment c'est vraiment intéressant de pouvoir le partager de pouvoir partager alors je n'ai plus
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je sais pas si peut-être que madame bodiot si court pas de panique si on te remercie beaucoup effectivement la conclusion ne s'est pas affiché ni les ressources
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bibliographiques et voilà suivent la réflexion donc on prévient donc je peux afficher le conte moi je pourrais l'affiché mais en fait on va plutôt réservé il ya eu énormément de remarques
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d'observation de réaction à des propos donc il nous reste que 5 6 minutes je vais plutôt revenir sur deux trois remarques importantes terminer sur l'ordinaire aujourd'hui les
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cylons rassurez-vous nous avons noté toutes vos questions et vos observations et lors du temps prochain avec christine soul du 6 octobre nous allons vous proposer de repartir sur toutes vos
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remarques et observations de les plier et d'apporter déjà des réponses en fonction du nombre où vous êtes on fera des questions réponses en réel directement avec christine soul en vous donnant la possibilité d'activer votre
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micro donc ce que je voulais vous pour le diaporama vous l'aurez tous en accès rapide 1 et sur terre va vous le mettre en accès normalement vous
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l'avez dans votre espace de connexion et d'inscription sur réseau canoë vous verrez que christine chaude vous a proposé vous poursuivre la réflexion sur ces travaux et de recherche sur la
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violence de ses publications et nous avons ajouté quelques ressources possibles qui sont disponibles sur réseau canopée entre autres en lien avec les compétences psychosociales on vous a proposé des ressources de
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l'inspecteur général christophe marsollier puis s'est beaucoup penché sur tout le bien-être à l'école puisqu'il est en charge par le ministre sur ce dossier là pour notre institution
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et que du coup on a beaucoup de ressources produites par les autres adopté avec monsieur marc saulnier je vous en ai sélectionné trois webinaire qui ont été enregistrés sur l'accueil des émotions des élèves sur les besoins
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fondamentaux en classe comment être attentif à la vulnérabilité des élèves et sur les compétences psychosociales je vous ai et gagne également mis le lien dans le fichier dans le document
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pdf dans le diaporama de madame soul un podcast une ré un lien à une série de podcasts que nous avons proposé et entre autres le podcast vous avez vous traîne qui est un prof de lycée est en fait qui
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est dans l'esprit de ce que madame souvient de dire de scrat et une chaudière faire des journées sans lui il a passé une journée sans son hôte ou sans annotations il a pensé ça ses cours
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de français et ces corrections de copies d'une dissertation sur district sans aucune observation sur la dissipation elle-même il mettait la note puisque on est dans un système bomback et même des
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notes né il a fait des corrections sans observation pour ne pas laisser de traces aux élèves et donc je vous invite à écouter ce podcast et
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toute sa réflexion qui l'acheminé pourquoi il a fait ça et quelles sont les réactions et le côté positif de ces élèves je rebondis du coup par rapport à une observation intéressante que vous avez faire en
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disant que ce que matt ce que christine schuhl 10 et plus et c'est difficilement transposable pour le laissait donc pour rappel effectivement vous avez raison de dire ça qu'ils se moquent est au départ
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le webinaire cette série de webinaires été réservé plus tôt on avait pensé pour les enseignants de maternelle et l'école primaire de premier degré est en fait nous avons eu beaucoup beaucoup d'inscrits de professeurs du second
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degré donc nous avons retravaillé avec christine foule c'est à ce qu'elle a pour essayer en fait pour effectivement voir et en fait vous proposer des pistes qui peuvent
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tout à fait s'adapter donc bien sûr la journée sanchez quoique il y en a qui ont fait des observations intéressantes dans le chap mais effectivement il ya des choses qui sont pas forcément transposable de ce conflit en maternelle
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et du lycée bien sûr mais on a trouvé comme intéressant que de s'adresser à tout public de la maternelle lui c'est parce que cette prise de conscience cette
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possibilité de penser à remédier facilement sur ces petits gestes du quotidien vous les voulez pratiquer également ce que tu du quotidien donc je m'excuse j'ai pris la parole un peu longtemps geste et une seule question
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par rapport à son contenu parce qu'il nous reste plus que deux minutes est ce que tu pourrais revenir sur le point de bascule parce que c'est important et il ya quelqu'un qui n'a pas bien compris quand tu parles de ce point de bascule
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par rapport à la douce violence est ce que tu peux revenir a réexpliqué parce que ça donne un élément fort de temps de tout à fait tout à fait en fait le point de bascule on pourrait les on pourrait
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l'expliquer qui sûr on peut leur père et d'un point de vue physique même c'est à dire que quand vous sentez que voilà la paire la personne vous agace vous vous
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perturbe dans sa danse à réaction qui n'est pas la réaction vous aviez anticipé que c'est pas dans votre temporalité physiquement par exemple vous pouvez effectivement sentir que voilà vous avez des crispations un peu
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un peu un peu physique vos gestes s'accélère un petit peu que votre tonalité votre timbre de voix se se modifie que vous regardez l'enfant peut
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être un tout petit peu différemment et là il ya un moment où effectivement ça va ça va basculer ou le geste va être plus insistants ou vous allez peut-être être plus agacé plus et c'est vraiment
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un point où on se rend compte que on était dans sa propre temporalité dans sa propre représentation dans sa propre attente dans sa propre anticipation d'adultes et que en fait ça ne répond
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pas en face que ce soit un enfant ou un adulte mais vous pouvez le mettre aussi avec une personne âgée vous pouvez mettre avec tes peu importe c'est peu importe le l'individu que vous avez en face de vous comme cette personne ne donne pas la réponse que vous que vous
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vous attendiez en fait il ya une sorte de d'agacement qui se met en place et là à ce moment là à ce point justement de bascule la 12e en selle se l est elle donne une réponse pour mais j'attends plus
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maintenant en fait je suis plus dans la patience deux je le fais à sa place ou alors je laisse tomber ou alors enfin j'abandonne j'arrête la relation ou alors je je détourne le regard ou alors je soupire parce que c'est trop
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compliqué et c'est vraiment quelque chose quand on se connaît bien on le repère assez facilement en fait ce côté d'eux il ya une notion d'agacement dedans parce que l'autre n'est pas dans sa promo dans dans dans notre
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temporalité dans notre attente dans ce que nous nous représentions ni dans ce que nous aimerions anticipées
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