Video: Journée scientifique 2021 Session 1 : Familles et pratiques parentales (DocDrop)

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donc en fait pour le bonjour et à toutes et à tous our bonjour pour la seconde session on commence on fait la première partie de la session sur les pratiques parentales après une pause et on fera la

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deuxième partie tout à l'heure avant le déjeuner pour que la matinée soit suffisamment aéré et agréable donc c'est une session consacrée aux familles et pratiques parentales donc il ya franck ramuz qui va

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intervenir dans la première partie je viens de solliciter sabine plancoulaine mais je crois que nicolas que je suis duval est arrivé en fait non donc nicolas coup comme ça ça restera

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pluridisciplinaire donc nicolas tu peux te rapprocher si tu veux oui donc juste quelques mots là-dessus pas sur le fond mais sur l'intérêt pluridisciplinaire d'une session comme celle là le terme de

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famille un objet classiques des sciences sociales et notamment pour les démographes les sociologues la notion de pratique elle est typiquement dans le vocabulaire des sociologues occasionne

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de nombreuses réflexions de nombreux débats sur l'intérêt de cette notion du point de vue de la spontanéité des comportements parentaux à l'égard de leurs enfants mais là on a bien plusieurs disciplines

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qui sont mobilisés et on voit du coup des épidémiologistes qui viennent s'aventurait ou qui avaient plaisir vont chaparder quelques variables concernant

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ce qui se passe du point de vue des relations à l'intérieur de la famille et il faut dire quelques mots là-dessus sur la cohorte le l'accorte elf a pour particularité avec ses membres associés

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avec tous les domaines qui sont associés à la cohorte d'avoir une très grande diversité d'épistémologie et de référents théorique c'est sa richesse c'est pas le cas dans toutes les cordes

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à l'échelle internationale on a aussi chacun nos champs de publication spécifique mais un des enjeux et on va le vivre là c'est aussi de croiser les regards et on essaye de le faire de plus

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en plus de promouvoir un domaine qui pourrait être celui des sciences de l'enfance et voilà c'est ça aussi qui paraît intéressant donc quand on va voir les questions qui ont trait à l'entente au climat familial

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les rapports entre la composition de la famille les relations intrafamiliales et le développement du langage ou bien en amont quand on étudie la préparation à la naissance les rapports des parents

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aux institutions ou encore les rapports entre les pratiques alimentaires et le sommeil de l'enfant et bien on va voir qu'il ya une dimension santé et il ya une dimension sociale qui s'entrecroisent dans ces questions dont

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pour en parler franck ramuz directeur de recherche au cnrs nicolas cauchy duval maître de conférence à l'université de strasbourg la prochaine fois je mettrais un autre masque aux chercheurs aux sages jérôme

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camus maître de conférences à l'université tour citerne attali oria professeur agrégé à l'université de cergy-pontoise laboratoire emma et sabine plancoulaine chercheur à l'inserm

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merci bertrand bonjour à toutes et à tous et merci pour l'invitation à vous présenter nos premières analyses dans la cohorte elfe nous on est on est plutôt chercheurs en psychologie avant tout

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même s'il ya parmi nous un chercheur en épidémiologie et santé publique hugo père et donc je vous présente en fait surtout le travail de lille à durban qui en a fait son stage de master et voilà

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comment cadrer avec le beau père et donc c'est sûr l'effet de durant dans la fratrie du rang de naissance des enfants sur le développement cognitif

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c'est quelque chose qui a été observé il ya déjà très très longtemps par francis galton et c'est un effet qui est décroissante c'est à dire si vous regardez les points noirs ici donc là la

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mesure c'est le quotient intellectuel et vous voyez que le quotient intellectuel des croix de quelques points à chaque rang successifs dans la fratrie alors et c'est un résultat qui a été très bien

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répliqué depuis de nombreuses fois un quasiment n'importe quelle étude qui a un effectif suffisant peut l'observer alors évidemment il faut il faut ajuster sur un certain nombre de facteurs puisque les familles qui ont trois

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enfants c'est pas forcément les mêmes que les familles qui ont un enfant et puis il s'est posé assez vite la question de savoir quel était le mécanisme et notamment la question de départager un mécanisme de nature

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sociale d'un mécanisme de nature qui pourraient être plus biologiques liés à la gestation et je vous montre en introduction cette étude très astucieuse qui est une étude suédoise je crois

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qu'il est basé sur une immense cohorte de conscrits suédois c'est une analyse rétrospective où ils ont comparé donc disons la plupart des dés d des enfants qui étaient nés premier

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deuxième ou troisième avec donc deux ou trois grands frères plutôt un ou deux grands frères et soeurs à ceux qui dont les grands frères ou soeurs étaient

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décédés en bas âge et qui par conséquent avait été par exemple le deuxième en tant en termes de nombre de gestations mais qui finalement avait été le premier enfant véritablement élevé dans la famille il n'avait pas de grands frères

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ou soeurs présent dans la cellule familiale ce qui a permis finalement de découpler le nombre de gestations avec le nombre d'enfants présents dans le foyer et donc ce que vous voyez c'est que ceux qui avaient juste un grand

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frère ou une grande soeur mais décédé en bas âge mais il avait le même qi que si l'appel s'il en avait eu 0 et ceux qui en avaient deux qui étaient décédés en bas âge est pas pareil il avait le même qi que si il en avait pas eu du tout ce

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qui suggère bien que le mécanisme est de nature sociale voilà est donc bon c'est un effet qu'on connaissait et dont on s'est dit parmi toutes les causes variables qu'on met dans nos études sur le développement cognitif

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du coup on va peut-être mettre aussi le nombre de grands frères et deux grandes soeurs parce que ça a l'air d'expliquer quelque chose et on a pu le vérifier très tôt dans nos analyses de la cohorte eden donc là je vous montre un article du beau-père qui date déjà d'il ya

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quelques années je vais pas vous montrez vous détailler tout le tableau mais ce que vous pouvez voir c'est que parmi tous nos tous nos facteurs pré post nataux qui ont été inclus dans certaines

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analyses et ben voilà le nombre de grand frère ou une grande soeur ça a un effet sur sur les variables cognitives mesurer à cinq ans dans la cohorte eden est bon voilà un effet qui est quand

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même pas négligeable 1,012 écart-type et de manière intéressante ce qu'on avait montré dans cette étude c'est excès de cet effet du nombre de grands frères et soeurs et donc qui est négatif comme tout le monde l'a observé auparavant

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eh bien il est plus important significativement plus important sur les mesures cognitives verbal que sur les mesures non verbale ce qui vient aussi à l'appui de l'idée non seulement d'un

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mécanisme de nature sociale mais véritablement de type interactions verbales entre les parents et les enfants voilà alors que le l'effet du nombre de deux frères et soeurs plus petit est

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négligeable même si évidemment on n'a pas évidemment beaucoup à l'âge de 5 ans il ya beaucoup moins deux frères et soeurs plus petit que deux frères et soeurs plus âgés et de toute façon dans la corte d'elle il y avait trop peu

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d'enfants pour aller au delà d'un frère ou d'une soeur on a on a refait cette analyse on a essayé de l'amener un petit peu plus loin alors là je vous montre juste visuellement un petit peu à quoi

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à quoi correspond les fait là celle-là c'est une analyse ou en fait on a pris les out comme verbal donc de les niveaux de langage à la fois deux ans à trois ans et à 5 ans et demi dans la cohorte eden donc voila vous voyez à quoi ça ça

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ressemble un effet de 0,1 écart type est donc après on l'a on a voulu recréer la question notamment à l'occasion de l'arrivée d'une post doc néomie avron qui avaient des hypothèses un petit peu

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plus spécifique au jeu jusque là pour nous c'était un peu une co variable finalement ce nombre de grands frères et soeurs là on en a fait vraiment un facteur d'intérêt elle avait pour hypothèse donc évidemment il ya plusieurs il ya

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plusieurs scénarios pour pour expliquer cet effet il ya l'hypothèse principale c'est un effet de compétition un finalement plus il ya d'enfants dans la fratrie et plus les ressources parentales et l'attention que les parents peuvent

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alloués aux enfants doit se diviser entre les multiples enfants dont ils ont chacun un petit peu moins donc ça c'est l'hypothèse principale mais n'est omis avait aussi l'intuition que oui sans

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doute c'est vrai mais en même temps doit y avoir des facteurs qui module ça il ya peut-être des situations dans lesquelles les grands frères grandes soeurs sont en compétition mais en même temps ils sont aussi un petit peu à même de compenser

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le la moindre attention parentale et elle elle se disait que et ce d'autant plus que s'ils sont motivés pour pour faire cette compensation et s'ils sont plus compétents

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cognitivement ce qui nous a conduit à formuler les prédictions suivante qui serait que les grandes soeurs pourrait avoir un effet moins négatif sur le développement du langage que les grands frères on se disait que d'une part les

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grandes sphères sont peut-être plus motivés à s'occuper du petit frère ou de la petite soeur où elles sont peut-être plus incités à le faire et puis par ailleurs on sait qu'elles sont plus compétentes en langage que les garçons

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les filles sont en avance sur les garçons en langage et donc bas âge égal elles sont l offre un environnement langagier qui est plus riche à l'heure à leur petit frère ou une petite soeur et puis on avait une autre prédiction

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qui est que cet effet négatif du grand frais ou la grande syrte pourrait s'atténuer avec l'écart d'âge entre les deux puisque au fur et à mesure que l'enfant grandit on imagine que des ombres des les frères et soeurs très rapprochés en âge ils ont les mêmes

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besoins ils sont très fortement en compétition pour la tension parental alors que plus l'écart d'âge augmente et bien avalé les besoins du plus âgés sont un petit peu différent il est moins directement compétition et puis comme il

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est plus développée cognitivement il est peut être aussi plus à même d'enrichir l'environnement cognitif du petit donc voilà on a fait ces deux prédictions pour éviter d'être tenté de fouiller les

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données jusqu'à trouver ce qu'on cherche et on a pré enregistré nos hypothèses et notre plan de l'analyse complet et et puis on a fait les analyses et le résultat qu'on a trouvé donc la réponse à la première question

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elle est positive effectivement les grandes soeurs ont un effet moins négatifs sur le langage que les grands frères et en vérité ce qu'on a trouvé c'est que l'effet négatif des grands frères et soeurs c'est un effet négatif

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des grands frères lorsque l'effet des grandes soeurs nuls dans cette analyse donc voilà en confirmation de la première prédiction et concernant la deuxième prédictions l'effet de la

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différence d'âge et bien elle n'a pas été confirmée on n'a trouvé aucun effet de la différence d'âge et si quelque chose vous voyez la vague tendance décroissante ça irait dans le sens

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opposé à notre prédiction puisque nous on pensait que les scores de langage remontrer au fur et à mesure que l'intervalle augmente voilà donc çà çà çà çà clos notre étude

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sur sur la cohorte éden qui a essayé de gratter un petit peu ce qu'il y avait derrière cet effet d'ordre de rendre la fratrie bon évidemment dans la corte des noms étaient assez limitées donc ça on est sur un effectif d'à peu près mille deux

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cents enfants mais mais en gros toutes les analyses sont restreintes aux familles qui ont zéro enfin aux enfants qui ont zéro ou un grand frère et soeur on pouvait pas aller à deux grands frères et soeurs parce qu'il n'y avait

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pas assez d'effectifs d'où l'intérêt de d'essayer de deux à la fois de répliquer nos résultats dans la cohorte elfe et puis d'aller un petit peu plus loin donc là on a une analyse qui porte sur douze mille six cents enfants

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on notera haute comme c'est le le vocabulaire expressif mesurée par le questionnaire macarthur donc qui est juste une liste de mots produit par l'enfant une liste de 100 mo produite

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par l'enfant qui donne un score donc sur 100 à l'âge de deux ans et puis évidemment dans notre analyse on inclut bas tout l'écho variable habituel que vous connaissez par coeur je pense qu'on a pas été très original de ce point de

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vue là voilà et je vous montre emballer les effectifs pour les différentes compositions la fratrie donc à peu près à peu près la moitié des enfants étaient des enfants uniques enfin elle n'avait pas de grands frères

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et soeurs en tout cas une presque une autre moitié avait un grand frère ou une grande soeur et puis dénombre plus faible en avait 2 où elle en avait trois et là vous voyez le fractionnement en fonction du sexe des grands frères et

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soeurs dont vous voyez bon là partir de trois grands frères et soeurs et en fonction des différentes combinaisons de sexe on voit qu'on a peint des effectifs qu'il devienne un petit peu limite donc on s'est dit on va pas aller à quatre

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c'est pas la peine donc toutes les analyses que je vous montre à partir de là sont sûrs c'est cette population de zéro à trois grands frères et soeurs et du coup on l'a posée tout une toute une série de questions donc les trois

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premières sont juste des réplications direct de ce qu'on a fait dans la cohorte eden la question numéro 4 s'est c'est la même chose mais en allant jusqu'à trois grands frères et soeurs est ce que finalement chaque grand frère

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et soeur additionnel induit un effet négatif supplémentaire est ce qu'il ya eu un effet proportionnelle et puis à partir de deux trois grands frères et soeurs est ce que finalement le nombre de grands frères au sein du nombre de

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frais de frères et soeurs a un impact négatif comme comme on pouvait le supposer depuis l'accord eden et puis après des questions subsidiaires qui sont plutôt des analyses exploratoire est ce que ces associations sont modérées par le niveau socio-économique

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de la famille et est-ce qu'elles sont médiée par le niveau de stimulation des enfants par les parents voilà donc pour ce qui est

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de savoir si il ya toujours un effet négatif du nombre de grands frères et soeurs ici se cumule avec chaque frère fr additionnel et bien la réponse est oui là vous voyez pour 0,1 2,3 et grands

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frères et soeurs alors vous voyez aux distributions que le score du mac arthur plafonne donc ça fait partie des problèmes qu'on a mais malgré tout ça nous empêche pas de voir cette décroissance en fonction du nombre qui

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est bien linéaire et qui est de l'ordre de 2 points du mac arthur donc deux mots deux mots sur 100 en moins pour chaque grand frère et soeur additionnel

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autrement dit 0,08 écart-type ce qu'ils aient une taille des faits un tout petit peu inférieur par rapport à ce qu'on avait observé dans et ben voilà ensuite la question de l'effet du sexe de des

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grands frères et soeurs et du de l'intervalle alors ça c'est une analyse qui est restreinte aux enfants qui avait seulement un seul grand frère ou une seule grande soeur et on a regardé les intervalles d'âge allant de 1 à 7 ans

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parce qu'au delà de 7 ans il n'y avait plus assez d'effectifs et alors là le le truc et le paysage est un petit peu plus complexe du fait qu'on a une interaction entre le sexe du frère ou de la soeur et

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l'intervalle d'âge une interaction négative qui voilà qui se traduit par ce graphe là alors bon on regarde pas trop la partie droite parce que à partir de là il ya peu d'effectif et ça devient

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bruitées mais on voit bien ce qui se passe finalement sur les quatre premier intervalle de 1 à 4 ans d'intervalle c'est à dire que il ya globalement un effet de sexe c'est à dire qu'effectivement les vocabulaires son meilleur quand on a une grande soeur

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quand on a un grand frère mais ça se voit surtout au faible intervalle d'âge c'est surtout quand on a un intervalle de 1 ou 2 2 ans que avoir une grande soeur apporte un

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bénéfice par rapport à avoir un grand frère et puis on voit aussi qu'il ya un effet d'intervalle autrement dit les vocabulaires baisse avec la taille de

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l'intervalle contrairement à l'hypothèse qu'on avait émise dans la cohorte eden mais cette tendance n'est significative que pour les grandes soeurs donc c'est la courbe bleue qui est bien qui est significativement pentu alors

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que la courbe rouge ne l'est pas tant que ça bon concernant l'interprétation de cette interaction de ses effets honnêtement on cherche un peu encore enfin bon on peut imaginer des histoires

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évidemment mais c'était clairement pas une hypothèse a priori et on peut en imaginer plusieurs dons bon voilà en tout cas c'est ce qu'on a trouvé je vous le livre je livre à votre sagacité aux

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questions suivantes donc sur sur les fratries plus grande est-ce que la proportion de grand frère joue un rôle le négatif additionnel par rapport au nombre brut de grands frères

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et soeurs et donc balle à la réponse qu'on a trouvé c'était non donc là vous voyez vous voyez le détail des données pour un grand frère et soeur donc là il peut y avoir zéro grand frère ou un grand frère ou quand on en a deux il

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peut y avoir zéro grand frère un grand frère sur 2 et 2 sur 2 et quand on en a trois il peut y avoir zéro en frères 1 sur 3 2 sur 3 et trois sur trois est bon on voit clairement un effet du nombre de grands frères et soeurs sur l'axé

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vertical mais sur les faits du de la proportion des grands frères c'est pas c'est pas ça saute pas aux yeux c'est pas statistiquement significatifs on a une analyse exploratoire où on trouve que peut-être c'est l'effet

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d'avoir un grand frère enfin un grand frère ou plus qui pourraient avoir un effet significatif négatif sur sur le langage plus que le nombre de grands frères finale voilà un ali suivante est

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ce que ces associations sont modérées par le niveau socio-économique de la famille la réponse est oui il ya une interaction entre le nombre de grands frères et soeurs et le niveau

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d'éducation des parents sur langage à deux ans et donc je voulais représenter comme ça donc là on a fractionné le niveau d'éducation des parents andy des cils et vous voyez les scores

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de vocabulaire en fonction du nombre de grands frères et soeurs pour chacun des déciles alors ignorer ces deux points là parce que je ne sais pas ce qu'il vient de faire là je pense que c'est une erreur mais donc en gros ce que ça vous montre donc à l'oeil nu la paire

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prédation c'est vrai que de l'interaction que suggère ce grave c'est que pour les 8es s'ils les plus élevés donc en gros la plupart des familles il ya bien un effet décroissant du nombre de grands frères et soeurs plusieurs grands frères et soeurs et

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plus les ressources des parents sont divisés etc mais pour les deux déciles de niveau socio économiques les plus bas sont les bars les plus foncées qu'on voit ici les faits à l'air soit constant soit

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croissance autrement dit peut-être d'en haut niveau d'éducation le plus bas finalement l'effet des parents est tellement faible que peut-être les grands frères et soeurs il apporte un effet positif

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relativement à ce que n'apporte pas les parents ce qui est pas inintéressant voilà est la dernière question qu'on appose s était est ce qu'il y avait une relation de médiation par la stimulation

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parental alors on a on a un petit peu racler les fonds de tiroir dans l pour trouver les variables qui pour nous pour et avec l'aide de xavier d'ailleurs qui pourrait nous permettre de de créer un score de stimulation parentale et donc

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on a récupéré ces questions là qu'ils avaient été apposées à deux mois un an et à deux ans voilà qui avaient trait à la manière dont il parlait à l'enfant aux activités qui faisait avec l'enfant

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et voilà et donc on a fait une quinzaine score moyen de tout ça pour avoir un score de stimulation parental voilà et le modèle de médiation c'est le suivant

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donc effectivement il ya bien une médiation significative via la stimulation parentale est en gros c'est la moitié de l'effet dans cette analyse qui passe par la stimulation parentale dont vous voyez on a on a deux points de

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macarthur de scor macarthur perdu par chaque grand frère ou une grande soeur additionnel et on a un point qui reste une effets directs vers le score est un

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point qui passe via la stimulation parental donc chaque grand frère ou soeur additionnel diminue la stimulation parental de huit centièmes d'écart type et chaque écart type de stimulation vont

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parental supplémentaire augmente le score de macarthur de 12 points voilà donc évidemment bon cet effet qui à moitié direct à moitié en direct ça dépend beaucoup de nos scores de stimulation parental peut-être que si on

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était arrivé à capturer tous les aspects pertinents de ce qui se passe dans la famille l'effet serait complètement médiers mais bon voilà on fait avec les variables qu'on a bien entendu voilà sur ce je pense que on a essayé de

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de creuser encore un petit peu plus loin ce que ce que nous apprend cet effet de rendre la fratrie finalement et quels sont les mécanismes sous jacents quels en sont les modérateurs quels en sont les médiateurs et est de

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ce point de vue là c'est clair que la cohorte elfe a apporté beaucoup par rapport à la cohorte eden je pense aussi que c'est pas non plus la fin l'histoire on sera très intéressé de refaire des analyses similaires sur d

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autres comme cognitif un peu plus tardif notamment en moyenne section et en est en ce2 cognitifs et scolaires d'ailleurs puisque on s'interroge aussi sur l'impact scolaire et ce d'autant plus que quand on avait fait les analysant la

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cohorte eden les effets qu'on observait était plutôt plus robuste à trois ans et à 5 ans qu'à deux ans c'est peut-être à cause du fait que le le score du mac arthur plafonne voilà je vous remercie [Applaudissements]

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merci donc est ce qu'il ya des questions des réactions merci franck de cette présentation est ce qu'il ya une différence en fonction du sexe de l'enfant elf étudiés ouais on a une

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analyse exploratoire là dessus alors est ce que c'est ça voyez en fonction du temps les deux sexes donc là si tu as un livre donc laquelle quand il ya marqué bruce ici donc c'est en fonction de si c'est un grand frère ou

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une grande soeur et puis boys ou girls c'est le sexe de l'enfant elf bon en fait ce qu'on voit essentiellement sur sur ce graphe c'est que ben willey les garçons elles font un

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score de le vocabulaire qui est inférieur aux filles elf après sur l'effet de 2 deux grands frères et deux grandes soeurs et sur l'effet du de l'intervalle d'âge c'est pas hyper clair donc je sais

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pas si on a les statistiques là dessus mais je suis pas sûr qu'ils aient une interaction supplémentaire avec le sexe de l'enfant est vraiment merci beaucoup je rentre pour cette présentation et pour avoir fait le lien entre ce qu'ils

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avaient trouvé été trouvé dans éden et dorette je trouve ça vraiment super de pouvoir creuser comme tu l'as fait et pour poursuivre la question de sabine ou une interaction qu'on avait observé par

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rapport au sexe de l'enfant princesse c'était avec le niveau d'études justement départ ont donc ça serait l'idée c'est d'aller encore plus loin dans l'interaction tu montrait tout à l'heure avec le niveau d'études pour

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voir s'il y avait pas aussi en effet du sexe de l'enfant lui-même oui bonne idée donc et je la joute à

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notre liste de l'analyse exploratoire en

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france où le français jusqu'au complexe

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et préados family speaker language de from french il ya une question du jet

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qui demandent quel est l'impact d'un jumeau sur le score de langage si vous avez des éléments alors c'est pas bon et dany dans l on peut répondre à la question j'essaie de

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de creuser ma mémoire des études que je connais je sais par mais peut-être quelqu'un a la réponse ici je suis désolé moi j'ai pas la réponse comme ça

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voilà frédéric a peut-être la réponse je dois ma présentation de cet après midi je parlerai de la gd l'arrêté de l'effet la javel arrêté sur l'acquisition du langage donc suspense quelques bons

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supplémentaires sont en train de bien plus de questions bon bah merci beaucoup en tout cas je propose qu'on enchaîne avec la présentation donné que la cocher duval voilà merci

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alors désolé pour pour le retard effectivement mais comment on va parler de d'entente et de répartition au sein des découpes je me permette la petite anecdote en fait au moment de partir en bons jeunes schisme a demandé à boire

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alors qu'ils étaient ollier que ma compagne dormait je me suis dit est ce que je lui donne à boire et je prendre le risque d'être en retard ou est-ce que je rentre dans un stéréotype je vais voir ma compagne nous lisons moi je vais travailler donc tu te lèves

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voilà ma réponse a été de donner à voir mon fils mais je suis arrivé en retard donc je m'en excuse encore une fois arrivé dans mon train j'ai plus le temps de relire un peu les notes de ce que je

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devais vous présenter et puis je sais j'étais un peu déprimé en fait en dix ans mais j'aurais peut-être dû prévenir mettre une petite signalétique disant que si on attendait un enfant on si on espérait un jour avoir un enfant cours de sa vie peut-être qu'il faudrait pas

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assister à cette présentation puisque l'arrivée d'un enfant c'est pas forcément la grande joueurs tout cas pas tout de suite puisque les différents travaux montrent que d'une part l'arrivée de l'enfant ça fait partie des

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principales sources d'insatisfaction conjugales si on peut être on veut se rassurer on peut toujours dire qu'il ya d'autres raisons d'être insatisfait donc ça ça permet de relativiser un peu puis quand on regarde les différents

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sujets de désaccords au sein du couple eh bien les enfants sont la principale source de désaccord si on regarde la deuxième raison de désaccords la plus fréquemment cités on va avoir les tâches

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domestiques pourquoi peut-être aussi parce que les enfants viennent encore expliqué une petite partie de l'inégalé répartition des tâches tout cas ils viennent renforcer un peu cette ces

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inégalités alors rapidement je me suis finalement dit non mais il faudrait pas simplement demandé aux personnes qui espère avoir des enfants de sortir de la salle faudrait aussi demander à tous ceux qui ont déjà des enfants parce

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qu'en plus quand on commence à s'intéresser aux conflits conjugaux on se rend compte que c'est très culpabilisant c'est à dire que les conflits conjugaux vont parmi quelques résultats on peut on peut mettre en lien entre développement de l'enfant et conflits conjugaux

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c'est que ces conflits conjugaux ils vont réduire la réussite scolaire des enfants et des fois ils vont même plus réduire la réussite scolaire qu'une simple séparation du couple conjugal il faut décider ce qu'on sait par où s

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continue à se disputer et puis on a d'autres travaux qui montrent que ça va altérer la capacité d'adaptation psychosociale des enfants et puis ça va alimenter l'apparition ou

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développement de certains troupe quelques l'anxiété la colère la dépression et d'isolement alors à ce moment là je me suis bon c'est quand même le premier colloque que je refais en présentiel depuis plus d'un an et

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demi donc peut-être que j'ai bien fait de fenêtres de signalétique puis on va profiter d'avoir un peu de gens en face à nous d'autant que la raison pour laquelle je m'étais intéressé aux conflits conjugaux sur sur l'étude elfe

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elle était plutôt optimiste c'est à dire que mon objectif c'était de regarder si ces disputes il ya des travaux de psychologie qui montrent que finalement le conflit ce pas forcément quelque chose de négatif puisque s'il est

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résolue il permet justement de mettre en place une meilleure interaction entre les partenaires et d'autres travaux montrent que effectivement ça a des conséquences aussi chez les enfants notamment à l'adolescence où la présence

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de conflit résolu peut entraîner une meilleure relation entre les parents et les adolescents du coup c'était plutôt intéressant de regarder ça dans l oeuf donc pourra regarder surtout je pense sur la durée un mais c'était

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d'essayer de regarder comment les petites originalités d'elf allez pouvoir voir si les conflits permettent des ajustements permettent de faire en sorte que la relation s'améliore un peu avec

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le temps alors elle fait elle se distingue un petit peu de des enquêtes en population générale sur lesquels on s'appuie habituellement pour étudier les conflits conjugaux puisque dans la

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grande majorité des cas ces enquêtes cd enquête transversale et rétrospectives ce qui fait qu'on a une observation relativement courtes des conflits en tout cas sur une période relativement récente

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on demande au cours de l'année passée et puis même là en cours de l'année passée on peut imaginer que c'est relativement difficile de se remémorer l'ensemble des disputes qu'on aurait connu au sein de

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son couple sur toute une année peut-être qu'il ya un effet de focalisation sur les derniers jours les dernières semaines passées et surtout on peut regarder la relation entre répartition

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des tâches par exemple et conflits conjugaux à un instant donné mais on n'a pas la possibilité de regarder si des conflits passés ont permis d'améliorer les choses et si la répartition des tâches

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l'évolution de cette répartition des tâches dépend éventuellement des conflits qu'on a eus précédemment il ya une alliée des travaux sur les ajustements y en a beaucoup mais c'est la plupart du temps sur des ajustements

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entre le travail et la famille fillon voit finalement que les femmes vont plutôt se spécialiser dans les tâches domestiques et les hommes vont se spécialiser dans le

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dans le travail salarié pour être assez schématique puis enfin dernière petite particularité c'est que ces enquêtes en population générale souvent pour des raisons de coût le

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l'information relative la répartition des tâches et aux conflits ou aux désaccords sont collectées uniquement auprès d'un des deux parents alors qu'a priori il peut y

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avoir et on le sait on va le revoir l'air je vais vérifier dans l'elf qu'on retrouve la même chose on a des déclarations différentiel entre les hommes et les femmes concernant autant les disputes que la

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répartition des tâches est dans l oeuf on a cette originalité en tout cas aux deux mois et aux deux ans de l'enfant de poser la question aux deux parents sur les disputes et sur la répartition des

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tâches donc ce qui va ce qui m'intéressait c'était de me dire avait peut-être qu est ce qui fait que je vais moins travailler ou ce qui fait que je vais moins participer aux tâches c'est que j'ai l'impression moi que je fais beaucoup de boulot et du coup si ma

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compagne considère au contraire que je ne fais rien et qu'on a un petit désaccord sur la situation effective on va peut-être un peu plus se disputer que si finalement tout le monde a la même perception des choses

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alors pour ne pas divulguer h et la suite j'avais quand même le petit espoir que une partie des résultats soit négatif étonnamment puisque souvent quand on fait une hypothèse on aime bien qu'elle soit positif c'est que pour des

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raisons de coût encore et bien le le questionnement auprès des deux parents s'arrête après l' enquête à deux ans et donc par la suite on va revenir sur une situation où on ne pose la question car un seul de dopant donc j'espérais quand

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même que et pas trop trop de résultats significatifs sur le différentiel de perception la deuxième question je l' ai déjà un petit peu et non c'est un c'est de voir si les conflits qu'on a connu un moment vont affecter ou pas l'évolution

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de la répartition de tâches pour qui un ajustement au sein des couples ou pas et puis dernièrement le pour essayer de finir sur un aspect un peu positif est-ce que l'ajustement des cette

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répartition entraîne ou pas une satisfaction conjugale à une satisfaction conjugale c'est c'est beaucoup dire en fait c'est la satisfaction de la répartition des tâches parentales et la satisfaction des tâches domestiques donc c'est pas la

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satisfaction conjugale dans son ensemble mais est ce que c'est à juste en effet sur cette satisfaction sur ces deux types de satisfaction l'échantillon il a été resserrée 1 c'est pas l'ensemble des enfants elles qui ont pu

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être observés d'abord parce que comme j'observe sur les deux années il fallait que j'assure les deux enquêtes à deux ans et deux mois il fallait que les parents aient répondu aux deux enquêtes il fallait que les deux parents il répondu à l'ensemble des questions qui

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m'intéressait 1 sur les tâches domestiques les tâches parentales la satisfaction sur cette répartition est sur l'entente ce qui finalement fait déjà beaucoup de contraintes et réduit beaucoup d'effectifs mais en étant un

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4000 enfants du même âge donc six qui sont relativement homogène on est quand même sur quelque chose qui est bien plus intéressant que sur la plupart des enquêtes en population générale on va peut-être avoir dix mille individus au

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départ mais si on ne prend que les parents qui ont des enfants d'un âge à peu près identique on se retrouve vite avec 1000 2000 personnes donc c'est loin d'être honteux de travailler sur aussi

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peint je parle de la corde elle fin c'est vraiment plutôt chouette d'avoir un effectif aussi élevé même en restreignant beaucoup d'autres et chantier donc si on regarde la fréquence des disputes

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on demandait aux deux mois 2 de l'enfant est ce qu'il vous arrive de vous disputer au sujet des enfants des tâches domestiques du travail et puis alors là on voit que plus et

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foncez un à gauche plus et foncez plus les gens se disputent et on voit que finalement les disputes sont pas si nombreuses que ça puisque si on regarde notamment les déclarations des maires avant la grossesse

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une femme sur deux dit qu'elles n'ont jamais de disputes ou alors elles ont rarement des disputes avec leurs pages ce qui est finalement montre que les disputes sont pas si nombreuses et ce qui est intéressant avec l'enquêté elfe

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c'est que comme on est au tout début de l'arrivée de l'enfant mais on voit que l'arrivée de l'enfant dont on savait qu'elle était plutôt délétère pour l'entendre conjugales et bien c'est quelque chose qui s'effectue bien après

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l'arrivée de l'enfant parce que à l'arrivée pendant la grossesse est alors et après la juste après la naissance mais on voit que les conflits conjugaux ont légèrement tendance à diminuer et puis on retrouve un comme comme dans

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d'autres enquêtes des déclarations des pères qui montre que les disputes sont moins nombreuses quand c'est les pères qui déclare que quand c'est les femmes qui que quand c'est les maires qui déclare alors que a priori les disputes ils les ont 1 2 alors il ya une

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perception qui est un petit peu différente ok mais moi ce qui m'intéressait c'était de voir est ce que vraiment si je prends n'importe quel couple je vais avoir des hommes qui disent que les disputes sont nombreuses ou est ce

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qu il existe d un petit peu chaque situation mais déjà on voit que dans près d'un cas sur deux cette partie dont près d'un cas sur deux les les perceptions c'est

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exactement les mêmes c'est à dire que les pères et les mères savent très bien qu'elle se dise qui se disputera en bons souvent fréquemment malgré tout il ya effectivement une part plus importante de situations où les

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maires des classes plus de disputes mais il existe aussi des situations où les pères déclare un petit peu plus de disputes on voit que c'est à peu près 20% des situations alors je voulais regarder mais très rapidement un petit peu

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quelles étaient les caractéristiques liées à ce différentiel des disputes mais je vais aller très très vite parce que finalement bon c'est pas très clair c'est il n'y a pas de beaucoup de caractéristiques sociodémographiques qui

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ressortent tout simplement enfin probablement parce que finalement la perception des disputes elle dépend aussi probablement du vécu qu'on les parents des disputes de leurs parents et sa dont elle faisait des

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éléments qui ont pas du tout intégré dont on ne dispose pas et c'est bien normal puisqu'on et 7 se focalisaient pour une première fois sur les enfants et non pas sur les adultes et on verra que sont les tâches parentales et

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domestiques c'est pas tout à fait sûr l'inégalé répartition des tâches domestiques là aussi en répliquant un petit peu ce qui s'observe dans d'autres dans d'autres travaux

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on va voir alors là en violet c'est c'est les mères qui travaillent plus alors qu'on sait très foncé c'est toujours les maires quand c'est violer plus clair c'est plus souvent la mère puis les hommes ont fait pas trop de

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distinction entre plus souvent ou toujours le père parce que exception faite des réparations bas la plupart du temps c'est vraiment le plus souvent l'homme s'il est très rare que ce soit

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toujours l'homme qui exécute une des tâches domestiques est ce qui est intéressant c'est que on retrouve aussi le même ordonnancement des tâches domestiques c'est à dire que quel que soit l'enquète comprend retrouve

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toujours à peu près cet ordre avec le linge qui est très très très prise en charge par les maires puis les repas le ménage la vaisselle et pour finir les courses et là encore on voit que les pères vont

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avoir une déclaration moins importants de parts dans plus inégal plus égalitaire de la reprise en charge mais pourtant j'insiste sur ce point la

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déclaration moyenne et plus égalitaire mais on voit bien que la tendance reste la même les hommes ne disent pas nécessairement que leur couple la répartition des tâches est égalitaire elle est inégalitaire mais elle est un

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petit peu moins inégalitaire que ce que disent les maires si on regarde les tâches parentales alors là on a deux mois de l'enfance est assez important quand même puisque les

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maires vont être pour la très grande majorité d'entre elles encore en congé maternité la répartition des tâches là elle est encore plus et d'égalité on voit que du verre on en a quasiment pas un que ce

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soit pour changer de l'enfance le seul leur levée dans déjà doute à 8 c se lever la nuit quand l'enfant pleure nourrir de mai chez le médecin le laver

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et c'est donc le la veille en a un petit peu plus mais l'idée c'était toujours encore de voir si oui ou non quand on regarde au sein des couples

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on a des différences de perception et la répartition des tâches elle se distingue du fait qu' il existe une répartition des tâches effective on en donne pas la

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même déclaration mais très clairement on est totalement incapable de savoir si le père ou la mère donne des déclarations qui se rapproche le plus de la réalité donc là il faut voilà c'est juste les

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individus perçoivent les choses différemment et moi ce qui m'intéressait c'était de me dire tiens mais du coup si je regarde la différence je vais pas pouvoir savoir lequel d'y vivre et puis d'une certaine manière ça m'est égal par contre je vais pouvoir comment ils perçoivent leur prise en charge

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respectives donc en fait en violet l'appropriation le terme est un peu épais pas très bon mais j'arrive pas à trouver quelque chose de plus pertinents ça signifie pas que les individus disent qu'ils ils prennent en charge la reine

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la tâche ils disent simplement qu'ils apprennent un peu plus en charge que ce que nous dit leurs conjoints par exemple si un homme dit que la plupart du temps c'est sa compagne qui s'occupe du repas

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et que sa compagne dit qu' elle s'occupe toujours des repas eh bien on va dire que chacun s'approprie la prise en charge de la tâche alors qu en fait l'homme ne dis pas qu'il le fait il dit simplement qu'il le

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fait un peu plus que le dit la femme et donc on a effectivement la plupart du temps plus d'appropriation que d'attribution donc l'attribution se serait elle à l'inversé quand finalement on a tendance à dire que notre conjoint

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notre conjoint ne participe plus que ce que lui même où elle même ne le dit à son égard mais pour autant on voit que déjà encore une fois on a à peu près la moitié des couples qui ont à peu près la même vision

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et puis on a quand même 10 % des cas où on a tendance à attribuer à son compagnon ou sa compagne une prise en charge plus importante que lui-même où

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elle même ne considère donc l'idée c'était encore une fois de regarder si on allait avoir des caractéristiques qui était liée à ses déclarations différentiel au sein des couples entre

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en distinguant tâches domestiques tâches parentales et en regardant si l'appropriation l'attribution s'observait plus souvent qu une égale qu'une déclaration identique

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et là je vais aller très vite parce que c'est pas du tout les questions et puis je pense que le temps passe plus vite il n'y paraît mais les caractéristiques sociodémographiques vont bien plus joué sur les déclarations différentiel de la

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prise en charge de chacune des tâches domestiques et parentales qu'elle n'avait d'effet sur les déclarations différentiel des conflits conjugaux ce qu'ils montrent que la répartition des

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tâches et la manière dont on les perçoit est bien plus lié à comment dire l'environnement dans lequel on évolue au quotidien et la manière dont tu en as été on a acquis un capital

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culturel social économique et c'est que la perception des disputes qui est peut-être plus intime en tout cas que cette répartition des tâches moi ce qui m'intéressait et j'y viens

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enfin c'est est ce qu'il existe donc un effet du différentiel des déclarations sur la répartition des tâches et éventuellement sur pas sur la base sur

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les dix points est-ce qu'il existe une de un effet du différentiel de la répartition des tâches sur les disputes et puis je vous rappelle j'espérais que ce soit négatif bas sur ce coup là je

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suis plutôt content tout casser on voit que quel que soit le critère d'arrêt puisque là on fait je fais des révélations logistique multi nominale mais puisqu'on a jamais rarement [Musique]

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quelquefois souvent et à la question de savoir est ce que je risque pas de cacher un effet ou d'en créer un selon que je décide de dichotomisé à l'une ou l'autre des fréquences donc

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j'ai fait pour chacune des fréquences à chaque fois on va rarement ou plus plutôt que jamais quelquefois ou plus plutôt que moins etc etc et en fait quel que soit le seuil

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on a finalement assez peu d'effet effectivement on a un peu d'attribuer un petit effet de l'attribution qui fait qu'on va un peu moins se disputer

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lorsqu'on regarde la déclaration des mères mais quand on regarde les pères on voit qu'on a plutôt un effet inverse donc même là c'est pas très claires donc finalement peut-être que de regarder la perception de la répartition des tâches

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sur les disputes dans une enquête c'est pas très intéressant et donc finalement avoir décidé de ne s'intéresser de nouveau qu'à un seul des deux parents c'est peut-être pas plus mal si on regarde pour les sur ce même effet

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mais sur l'effet de la perception différentiel la cité des tâches parentales et maintenant on regarde les tâches domestiques là encore on a quelques effets mais rien de très flagrant rien qui ne se retrouve

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quelles que soient la dichotomie nation etc donc il ya semble-t-il assez peu d'effet maintenant essayer de voir du coup là la deuxième question qui était sur les

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ajustements induits si on regarde la manière dont on va avoir des ajustements au cours du temps donc là c'est en violet la mère prend en charge plus qu'avant les tâches

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domestiques envers le père prend plus qu'avant les tâches domestiques et en grisé on a une situation identique à 2 ans et à deux mois alors ça peut paraître un petit peu

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égalitaires là du coup puisqu'on a pas mal de gris on a à peu près autant de bleus de verts par donc de violer sauf qu'en fait puisque au départ on a déjà plus d'inégalités et une prise en charge

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féminine ça veut simplement dire que même si dans certains couples les hommes prennent un peu plus en charge comme dans d'autres couples les femmes prennent encore un peu plus en charge des tâches domestiques qu'elle prenait déjà plus

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souvent à leur compte on va voir une augmentation de 7 inégal une répartition des tâches alors je parle pas de la cmu la chc pas très grave et puis si par contre sur la ligne sur

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les tâches parentales là on voit que al'inverse on a une bien plus importante prise en charge des tâches parentales des pères alors il ya plusieurs raisons à le premier c'est que

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avant comme les mères étaient en congé de maternité c'était facile de justifier en disant qu' elle prenait en charge les tâches parentales et puis aussi x est bien plus valorisant de dire qu'on s'occupe de ses

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enfants que de bien nettoyer son appartement donc la prise en charge parentale est un peu plus aisés ou tout cas un peu plus intéressante quand on est un homme que la prise en charge des

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tâches domestiques ok alors sur les la probabilité c'était de regarder s'il y avait un rôle des disputes et du point de vue des partenaires sur l'évolution

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est bien là par contre voilà la perception des tâches différentiel elle est là bien un effet sur les tâches parentales c'est à dire que quand on a quand on attribue à l'autre la prise en charge de tâches

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parentales et bien où on a une évolution des tâches parentales autrement dit quand on se rend compte du travail que fait l'autre eh bien on va peut-être un peu plus prendre à son compte les tâches qui sont qui devraient

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être les nôtres en tout cas selon ce que considère notre conjoint ou notre conjointe et sur les disputes bas c'est un peu décevant parce que oui il ya un

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effet entre les disputes à deux mois et l'évolution des tâches parentales mais ce qu'on constate c'est que ce sont les couples où il ya le plus de disputes que

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les charges parental sont encore un peu plus à la charge des mères autrement dit la de ce qu'on en voit pour l'instant dans elf c'est que les disputes c'est pas des bonnes dispute entre guillemets

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elles vont pas donner lieu à une prise en compte de la situation et à une amélioration c'est finalement là où on a des climats un peu plus délétère bien ce sont les femmes qui vont devoir encore un peu plus prendre en charge les tâches

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domestiques que les tâches parentales excusé et puis juste pour finir sur les satisfactions est-ce que les évolutions de sept de ses prises en charge ont un effet sur la satisfaction des tâches domestiques et

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les tâches parentales rats vous voyez qu'il ya les répartitions et l'évolution de la prise en charge dont l'idée de te dire c'est pas simplement va pas juste regarder la situation à un moment donné mais est-ce qu'en fixant la situation à

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un moment donné on voit qu'il existe un effet de l'évolution de cette prise en charge est là c'est plutôt rassurant on constate qu'effectivement caen la mer

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prend un peu plus en charge elle va être un peu moins souvent satisfaite et à linverse quand le père va prendre un peu plus leur charge là les femmes vont être un peu plus

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satisfaite de cette répartition des tâches et sa hache répartition des tâches parentales identique je vais directement donc pour finir et

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pour conclure sur les trois questions qui étaient posées la perception différentiel est ce qu'elle est sans conséquence la perception différentiel des disputes à priori oui mais la perception différentiel de la prise en charge non

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et donc sur cet aspect là c'est dommage que l'on ne puisse pas conserver le regard du père et de la mère est ce que les conflits sont vecteurs d'ajustement conjugaux la très probablement qu'on a

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en fait une grosse limite sur l' enquête à deux mois c'est que l'anc est à deux mois on pose des questions sur les disputes sans distinguer les tâches domestiques le travail etc et c est ce qui fait que on amalgame

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beaucoup de situations différentes choses qu'on pourra faire dans l' enquête à partir de 2 ans et 5 ans ça qu'on va pouvoir dissocier les disputes qui porte sur les tâches domestiques sur

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le travail et c'est donc on va pouvoir voir si les disputes sur les tâches domestiques affecte une évolution des tâches domestiques et est ce que les ajustements participe à la satisfaction

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conjugale des parents bien là heureusement oui donc sur les cinq ans l'avantagent c'est qu'on va pouvoir dissocier différencier un peu les différentes natures des disputes et puis surtout on va pouvoir

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commencer à regarder s'il ya un effet cumulatif est à dire que est ce qu'au bout d'un moment si les disputes continue et que rien ne se passe il n'y a pas une insatisfaction qui vient sa

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propre qui apparaît merci beaucoup merci donc on a encore deux trois minutes pour échanger autour de cette présentation

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bonjour merci beaucoup pour la présentation est ce que vous avez prévu de faire des focus en fonction de la composition parental fin millions booba homoparentales

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famille de jumeaux famille multiple alors non au moc familles homoparentales il ya deux raisons pour lesquelles je sais pas prévu d'une part ce est

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difficile de faire une distinction genre et entre les hommes et les femmes si il ya deux hommes ou deux femmes et puis d'autre part l'effectif l'avoir compté très très faible de mémoire je ne sais plus mais on est vraiment quelque chose qui permet pas d'aborder des

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comparaisons significatives moi j'avais une petite question est une interrogation qu'on a toujours avec elle c est ce que les non répond dans les non participants à lenquête ne présente pas un billet du point de vue de la

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désirabilité leurs familles de de l'image que l'on donne et du coup de la question des conflits elle est importante par rapport à ça et quand vous resserrez on peut se poser le même genre de questions quand vous resserrez sur les 4000 dons comprenant que les

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doubles répondant ce que vous avez pu faire une comparaison dans les déclarations des mères en tout cas entre celles des couples doublement répondants et contient que la mère qui a répondu

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est-ce que ça va dans le même sens à ce niveau là les déclarations pas alors sur la deuxième non je sais la participation des pères peut-être un peu lié au climat familial effectivement les uns sur le deuxième

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suspect c'est un élément qu'il faudrait vérifier qu'ils mais je suis passé un peu à côté il faudra effectivement regarder ce que déclarent les mers selon que le père déclare hoop sur l'attrition

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est ce que ceux qui ont des conflits conjugaux vont plus ou moins rester dans l' enquête elf en fait ce qu'on observe c'est que alors moi je n'utilise que des données

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pondérées donc la pondération elle permet un peu de corriger ça donc a priori on va pas avoir d'effets mais c'est un peu trompeur parce que ce qu'on peut regarder ces les disputes à deux mois les disputes à deux ans par exemple

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et donc on va regarder si ceux qui sortent à 2 ans se disputaient plus ou moins à deux mois sauf qu'en fait la sortie elle peut être lié à un climat plus délétère en allemand mais elle peut

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aussi être lié à un climat qui c'est qui est devenu un peu moins agréable et du coup la sortie de la séparation et elle s'est fait parce que on avait une moins

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bonne situation qu'avant en termes de conflits conjugaux donc on peut difficilement donner une réponse définitive sur cette question de l'attrition même si d'autres travaux en

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fait montre les entrées les femmes sont pas forcément gêné sur les déclarations des conflits conjugaux bien au contraire c'est à dire qu' il ya des travaux qualitatif qui montrent que dire qu'il

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ya des conflits dire qu'à une de l'inégalé répartition sein de son couple c'est aussi un moyen un petit peu d'en faire état alors que au quotidien on est amené à devoir donner une bonne image de ce n'est pas que dans les enquêtes ou on

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doit donner une sorte de désirabilité sociale aussi en dehors des enquêtes je sais plus si c'est des questions qui

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sont passés en face à face aux fins mais est ce qu'on a le sexe de l'enquêteur est ce que tu as regardé ce qu'il fallait je crois pas qu'on ait le sexe de l'enquêteur on a non non non non je

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crois vraiment pas je doute un mec l'un si regardez qui répond et le sexe de l'enquêteur ça aurait certainement en effet alors on peut peut-être une

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question de chat et une dans la salle et après on arrête une des questions du chat c'était de savoir si concernant les conflits conjugaux le fait qu'il y ait d'autres enfants changent les résultats ou est-ce que c'est uniquement pour le premier enfant

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alors c'est le premier enfin le premier enfant fait augmenter les conflits conjugaux mais alors attendez j'essaie de

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retrouver l'image que j'ai en tête mais le fait d'avoir deux enfants va augmenter encore un petit peu les conflits conjugaux par contre quand on regarde le troisième enfant c'est un peu tendance à se tasser c'est à dire que

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finalement il ya peut-être soi n'est fait sélection et les couples les vraiment là où il ya le plus de discorde finissent par séparer et donc ils n'ont pas le temps de faire de troisième enfant soit il ya un effet d'apprentissage finalement on s'est un

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petit peu plus à quoi on va être confronté et donc on se dispute plus merci pour la présentation jugée plus en tête les questions et du coup je me demandais s'il y avait moyen de qualifier un peu ces disputes j'ai plus

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en tête comment ils formuler la question mais parce que ce qu'il n'y a pas moyen - de voir des disputes qui seraient des tensions qu'on pourrait imaginer autour de la répartition des tâches est de celles qui sont des violences oui alors

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on peut distinguer les tensions et alors là moi je pense que comme je les distingue pas c'est vraiment des tensions des conflits des choses qui sont finalement un peu dans l'air qui

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pose pas forcément de problème c'est pas des violences parce qu on a des questions sur les violences mais j'ai pour l'instant je n'ai pas voulu les aborder parce que je suis un peu gêné c'est à dire que on demande aux individus est ce qui vous arrive de vous

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disputer jamais rarement quelquefois souvent et si on a répondu quelques fois où souvent alors on va leur demander est ce qui vous arrive de temps en temps d'insultés votre conjoint d'en venir aux

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mains et je sais pas du tout comment le traiter pour l'instant j'avoue c'est que je sais pas ce qu'ils le plus problématique pas un enfant c'est à dire que de nombreuses disputes avec quelques

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jamais d' insulte est-ce que c'est plus important que de très rares dispute mais quand il ya une dispute on en vient aux mains et on se fait insulter donc du queen's ça permettrait en tout cas dans le tableau où tu posait la question de foi ou

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envoyer que finalement là où il y avait le plus de disputes c'était là où les mères en fait tu prenais le plus en en charge la répartition bas au moins ça permettrait de voir faudrait prendre ça en compte pour corps pour voir s'il ya

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des corrélations et si ça fait deux teams ouais mais alors le ce qui est gênant c'est que du coup il ya un filtre chez les pères il ya un filtre chez les mères et si les pères déclare déjà pas la même fréquence de disputes

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les maires vont pouvoir répondre l'existence de la présence de violence alors que les pères en déclarons peut-être pas parce qu'on leur a pas posé la question mais je suis d'accord c est quelque chose qui est qui est faisable mais les filtres fonte le

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traitement et est un peu compliquée pense bon ben merci beaucoup pour cette discussion très techniques est en fait une pause s'il fallait que j'aille oui c'est bon

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donc on reprend avec tout d'abord jérôme camut natalio ria et ensuite sabine plancoulaine pour toi

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bien donc notre sujet c'est un peu avant la fin un peu avant le temps qui est la temporalité qui a été présenté par les autres intervenants nous ce qui nous intéresse c'est la manière dont les

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familles vont enfin déclare dans elfes se préparer à la naissance voilà en effet le le fait d'avoir un enfant c'est une période pardon ouais

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c'est ça le fait d'avoir un temps la période qui entourent la naissance des enfants est une période qui est très marquante évidemment pour les familles mais qui est aussi très encadrés par des

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institutions qui travaillent avec et autour de ces familles si la naissance est présenté comme un événement très intime un événement qui va fonder la famille qui va fonder l'ordre des générations

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en même temps il relève deux logiques qui peuvent être concurrentes par exemple la détermination du bon

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moment pour avoir un enfant la façon dont on va appréhender un don on va vivre sa grossesse mais aussi la

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manière dont on se prépare à l'arrivée de cet enfant même si elles sont soumises à des normes qui sont des normes à ses écrasantes peu varié et variés en particulier en fonction parce qu'on va essayer de vous

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montrer varie en particulier en fonction de la classe sociale des parents et en particulier des mères puisque nous nous sommes penchés particulièrement sur les

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mers les maires alors on a retenu près de 13000 mère qui ont donc été interrogé à la maternité

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aussi à la maternité mais aussi lors des deux mois de l'enfant et 100 euros selon les données qu'on a travaillé pour cette pour cette communication pour essayer de

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comprendre ce qui se joue aux mamans d'avoir un enfant nous allons commencer d'abord par nous pencher sur la question du choix du bon maman est ce qu'avoir un

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enfant at-elle maman est toujours volontaire et arrive toujours est ce qu'avoir un enfant arrive toujours à point ou pas et qu'est ce qui fait que les mères disent ou non se permettent ou non de dire qu' elles sont heureuses

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d'avoir un enfant ou de ne pas avoir un enfant dans un deuxième temps nous nous intéresserons aux projections dont font l'objet de futurs enfants qui sont nombreuses mais nous avons choisi de

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nous penser particulièrement sur la question du sexe est ce que la famille je connais la mère veut connaître ou non le sexe de l'enfant mais aussi dans un deuxième temps la question du choix du prénom

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ce prénom est ce qu'on le choisit ensemble ou pas ensemble et enfin dans un troisième temps les pratiques qui sont propres à la grossesse de la part des maires 1 quelles sont les pratiques elle adopte ou pas est-ce qu'elle arrête

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de fumer ou est-ce qu'elle n'arrête pas de fumée est ce qu'elle arrête de boire ou pas est ce qu'elles font dé préparation à la naissance ou non ainsi nous arrivons à 10 nous allons nous pencher sur ce qui n'est pas obligatoire

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pendant la période de la grossesse donc dans un premier temps à nous nous sommes penchés sur la question du bon moment le bon moment décidé d'avoir un enfant

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aujourd'hui en france il ya dix ans en france et est présenté comme un acte volontaire un choix de la part des parents une décision personnelle qu'il s'agisse

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d'arrêter une contraception mais qu'il s'agisse aussi en cas d'accident de décider de mener à bien cette grossesse ce serait donc une norme une norme qui est quasiment une norme de

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responsabilité c'est ce que par exemple nos dit dominique memmi n'y ait cette norme de responsabilité elles perdent elles reposent en grande partie sur les maires sur les femmes et donc sur les mers

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lorsque l'on regarde les données de elf on s'aperçoit que massivement les femmes nous disent être heureuse va avoir été heureuse lorsqu'elle ont su qu'elle était enceinte

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seulement les trois quarts d'entre elles nous disent qu'elles sont heureuses et seuls 2 % d'entre elles de 1 % au se dire que l aurait préféré ne pas s'être enceinte

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on a essayé de comprendre ce qui a amené enfin ceux qui quels sont les déterminants de cette de cette logique le premier élément qui nous semblait important c'était la question de l'âge

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de la mère en effet le l'âge de la mère l'âge de la mère a un impact sur la manière dont on déclare le bonheur lorsqu'on regarde les données

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elles font s'aperçoit que la tranche d'âge dans lequel le bonheur on déclare le plus le sentiment de bonheur d'être enceinte est extrêmement rapprochés de l'âge moyen à la première naissance

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c'est à dire en france à l'époque de 28,5 ans mais plus on s'éloigne de cet âge moyen est plus les femmes sont nombreuses à déclarer ne ne pas avoir

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été heureuse d'apprendre à d'avoir appris à avoir un enfant c'est vrai plus on s'éloigne vers vers l'est la quarantaine et au delà mais c'est vrai aussi pour les plus jeunes mères évidemment on nous n'avions

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dans l'elf que des maires de plus de 18 ans on n'a pas du tout les toutes les mères adolescentes néanmoins ce que l'on peut observer c'est une le rapport à une norme on est heureuse d'être enceinte

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lorsqu'on a l'âge d'être enceinte donc l'âge agit certes sur les déclarations mais au-delà de cela cet âge ne suffit sans doute pas à

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comprendre ce qui ce qui suscite le sentiment de bonheur ou pas le sentiment de bonheur et donc on s'est penché sur une deuxième sur un deuxième un deuxième élément qui est le couple et

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en particulier l'ancienneté du couple puisque nous avions choisi de nous concentrer sur les femmes en couple est encore en couple au moment de la deuxième passation ce qui nous

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intéressait donc c'était de comprendre afin d'essayer de percevoir ce qui dans la durée d'ancienneté du couple pouvait expliquer quant au choix du bon moment

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alors l'ancienneté du groupe c'est un peu compliqué à appréhender ce que nous avons choisi de faire c'est de choisir la cohabitation la durée de cohabitation

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entre les entre les avec les entre les deux parents et je vais vous montrer le tableau nous avons choisi de regarder l'ancienneté du couple rapportés à la

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classe sociale de la mer l1 lorsque l'on regarde ce tableau on s'aperçoit que l'ancienneté du couple a évidemment un

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impact les en moyenne la première naissance intervient 3 après 3,9 années de cohabitation mais avec d'importantes d'importantes variations en fonction de la catégorie socioprofessionnelle de la

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mer 7 7 fois plus on va vers les milieux populaires et plus l'âge allait durer de cohabitation diminue est au contraire

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plus on se dirige vers des indépendants des professions indépendantes et plus le temps de cohabitation augmente la

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ce choix du bon maman il est aussi il dépend aussi donc de la catégorie socioprofessionnelle des parents et de la mer par dont la propension à se

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déclarer heureuse et maximale chez les cadres et chez les professions et chez les professions intermédiaires celle de 9,1 se déclarer ne pas avoir aurait

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enfin aurait préféré ne pas être enceintes restent toujours inférieurs à 5% néanmoins voix de là encore de fortes variations évidemment ce taux il est faible on peut se demander ainsi la situation d'

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enquête ne diminue pas encore la prévalence de ce terme ne pas avoir faim ne pas être heureuse d'être enceinte parce que c'est quand même difficile de déclarer à la maternité ne pas être heureuse d'être enceinte

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entre les deux extrêmes entre les cadres donc entre les cadres qui déclare le moins ne pas avoir aurait préféré ne pas

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être enceinte et les ouvrières qui sont 4 26% à déclarer qu'elle aurait préféré ne pas être enceinte on voit des variations assez importante + plus haut

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il en va de même pour le type de grossesse le moment de la grossesse certaines déclare qu'elle aurait préféré que la grossesse arrive plus tard ou encore qu'elle arrive plutôt l'air est

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ce que c'était vraiment le bon moment pour être enceinte apparemment ce qui est plus compliqué a déclaré c'est le sait le souhaitent d'une grossesse plus précoce est ce que vous auriez aimé que l'enfant arrive

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plus tôt ils rament elle ramène en effet à cette figure de repoussoir qui peut être la figure de la delà de la fille mère les catégories dominante l'esu

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déclare alors que les catégories populaires sont un peu plus nombreuses à la sueur déclaré enfin le fait qu'une grossesse arrive plus tard elle est assez massivement elle apparaît assez

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massivement dans certaines catégories en particulier la catégorie autres personnes sans activité professionnelle ça nous ramène donc à l'idée que le bon moment pour avoir une grossesse c'est

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non seulement avoir l'âge pour être parents mais aussi et surtout peut-être être être installés dans la vie avoir un emploi

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avoir un conjoint être enfin comme être en cohabitation avec l'enfant avec le conjoint donc répondre finalement ou aux normes

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2 du bon moment pour être mère pour devenir pour devenir parents ceci étant posé je vais laisser la parole à jérôme alors je sais me retrouver avec mes

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écrans on passe donc un deuxième temps je vais s'est passé assez vite il s'agit de regarder un petit peu quelles peuvent être les pratiques dominantes dans l'anticipation de la venue de l'enfant lors de la grossesse

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il ya un monde a choisi de s'intéresser à deux variables qui permettent de regarder ça à savoir le choix du prénom un moment un peu important qui va engager le couple est qui et qui se

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matérialise comme un choix libre et puis deuxième deuxième variable qui constituait un choix important le fait de choisir ou pas de vouloir connaître le sexe de l'enfant concernant le prénom

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ce dont on s'aperçoit c'est que ce qui domine c'est pas si on voit mon pointer non peu importe c'est que moi je peux regarder la colonne de la ligne total ce qui domine c'est que ce qui est déclaré

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massivement ses 60 plus de 63% ce fait que le prénom est choisi par les deux parents mais immédiatement on voit qu'il ya une distribution aussi en fonction du

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milieu social c'est à dire que ce modèle du choix concerté donc il n'est pas sans rappeler une espèce de vision du couple dominant actuellement qui est celui du couple justement égalitaire dans lequel père et

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maire s'engage à égalité dans les affaires d'éducation des enfants et dans l'est et dans la venue de l'enfant voilà ce modèle là on voit bon qui sans doute l'expression qu'on retrouve ici

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sur le choix concerté ce modèle là il n'est pas partagé par tout le monde dans la société puisqu'on voit que plus on va vers le haut de l'espace social puis on va les catégories sociales dominantes plus on voit que cette propension à caux déclaré

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en fin de la cauchoise here le prénom intervient fréquemment deuxième il faudrait préciser parce que c'est pas les seules variables qui fonctionne il ya aussi par exemple à le rendre naissance on a observé que pour les

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primipares le choix concerté plus fréquemment déclaré un petit peu plus on est autour de 70% lorsque les multipares au contraire il de moins souvent déclaré on voit monter le rôle de la mère dans ce dans ses

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choix à ce moment là concernant le prénom le choix du prénom ce que l'on observe bon on observe des choses un peu similaire mais de façon un peu plus de moi nuancé on pourrait dire en somme celui de social dans ces enfants que ses

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parents le choix du sexe enfin pas le choix du sexe de l'enfant n'importe quoi on n'en est pas là le fait de ceux de choisir de savoir de

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connaître ou pas le fait que de l'enfant avant la naissance à la deuxième échographie le plus souvent donc c'est une pratique est largement diffusé puisqu'on est à peu près de 90% des

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maires qui le déclare mais là aussi on observe des variations de cette anticipation de la venue de l'enfant en la connaissance de son sexe semble plus importante dans les milieux

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populaires que dans les milieux classe supérieure ce qui rejoint des travaux d'autres travaux conduits par d'autres équipes sur les sur ces variables là à partir des données elf ce qui est

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intéressant je passe rapidement mais ça montre bien que donc il ya bien des normes qui encadre tous ses choix tout ces anticipations qui se présentent comme des choix un peu personnel intime mais que ces normes la ne s'applique pas de

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façon homogène à tous les points de l'espace social dernier élément qui ont souhaité vous présenter c'est tout ce qui va concerner l'accompagnement de la grossesse et notamment l'accompagnement médical ce que l'on peut dire de façon rapide

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c'est que en france aujourd'hui il ya un accompagnement relativement homogène de l'institution médicale en tout cas pour ce qui concerne ce qu'on pourra ce qu'on appellera rapidement le parcours de soins tout c'est à dire tout ce qui concerne tous

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les actes des institutions médicales qui concerne la santé de la mère et de l'enfant à savoir les échographies et les visites mensuelles du suivi de grossesse en effet lorsqu'on regarde ces variables

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là qu'on essaye de les croiser avec nos variable un petit peu d'indications de positionnement social on voit pas vraiment beaucoup on va pas de différence tout à fait significative par contre pl on va s'éloigner de ce dispositif là et plus on va regarder en

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fait cela pourrait dire les options en tout cas les les pratiques un peu optionnel que propose la l'institution médicale plus on va vous on va retrouver nos variables sociales les faits nos variables sociales c'est notamment le

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cas pour ce qui concerne les visites le papa les visites prénatales mais plutôt les séances de préparation à la naissance dans lesquels là on voit une différence alors qu'ils sont fortement à cette préparation à naissance ce qui

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concerne donc familiarité avec l'institution médicale de l'accouchement et puis la préparation physiologique on pourrait dire et psychologiques un peu aussi de la naissance donc ces séances là sont

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souvent encouragés par les praticiens les médecins et sages femmes mais pas le même caractère obligatoire que les visites de suivi de la grossesse et là on retrouve comme vous le voyez on

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retrouve des variations sociale très importante notamment en fonction du niveau de diplôme de la mer un plus niveau de diplôme de niveau de diplôme de la mer augmente et plus la propension à suivre en fait plus le nombre de

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séances de préparation à la naissance augmente alors on voit donc le l'action en fait de l'institution médicale à ce petit indicateurs nous montrent sac l'action de l'institution médicale elle et elle doit être

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il faudrait la regarder de façon plus précise qu'elle n'est pas homogène de la même façon dire que il ya une action quand même assez fort de l'institution médicale dans le suivi de la grossesse et dans

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l'accompagnement des femmes pendant la grossesse ne signifie pas pour autant les médecins savent bien ça que les prescriptions du conseil et en matière

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de santé sont observés façon intégrée la même façon en fonction du milieu social notamment on a regardé notre par exemple les attitudes concernant la consommation de

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tabac et d'alcool pendant la grossesse et là on voit des choses qui sont un peu complexe c'est à dire si on regarde c'est ce que la deuxième flèche vous trouverez les chiffres quand on regarde la consommation de tabac on voit

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que les ouvrières sont plus tolérantes concernant les consommations de tabac en tout cas déclarent plus souvent que les cadres avoir fumé pendant la grossesse alors que quand on compte quand on

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regarde les consommations d'alcool vous est-il arrivé c'est pas des consommations excessives c'est au moins une fois je crois notre indicateur avoir consommé de l'alcool au cours de la grossesse on voit que celle inverse

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c'est plutôt les les femmes de milieux modestes qui sont assez stricts sur la consommation de la non consommation d'alcool alors que semble avec les cadres et professions intellectuelles supérieures soit un petit peu plus

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tolérant donc on voit des effets en fait qu'ils sont un peu inversés de ce point de vue là ce qui est intéressant en présence du père n'est pas dedans je passe ce qui est intéressant c'est

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précisément de voir que les donc l'institution médicale transmet bien un certain nombre de normes de mais pas de façon homogène et surtout que ces conseils ne sont pas reçus de la même

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façon et bien entendu il ne faudrait pas en déduire de sa que les catégories populaires serait mécaniquement on pourrait dire les mauvais élèves et ne respecterait pas des conseils d'institutions alors que les cadres supérieurs ferez linverse en

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l'occurrence parce que mon par exemple l'exemple de l'accueil le tabac c'est parce que monde ce dernier indicateur également enfin cette dernière variable ont demandé aux aux femmes à la maternité si elle connaissait déjà l'identité enfin d'identité aux sources parce

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qu'elles avaient déjà repéré le praticien qui ferait s'occuperait du suivi de l'enfant à la sortie de la maternité et on voit là que ce sont plutôt les femmes qui ont un niveau de

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diplôme plus modestes qui déclare que en effet elles connaissent déjà elles savent déjà qu'ils ont déjà une idée de qui suivra l'enfant une fois là une fois sortie de la maternité ce qui

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va souvent aussi avec le fait que pour les classes y enfin pour les femmes ayant un faible avoir un petit niveau de diplôme c'est plutôt le médecin de famille alors que dans les catégories supérieures c'est plutôt un pédiatre

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quelques mots pour conclure je passe rapidement quelques mots pour conclure ce que l'on peut dire voilà en définitive c'est nos travaux essaye de travailler ça c'est que les données de

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l'enquêté elfe permettent de mesurer en tout cas d'essayer de mesurer à la fois le poids des normes qui entoure la grossesse et la naissance mais aussi leur distribution sociale grossesse et

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naissances au delà des phénomènes physiologiques sont aussi une période au cours de laquelle se réalise un ensemble de choix par les parents et séchoirs ont

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tout à voir enfin d'un point de vue sociologique avec le vécu des individus que l'on soit socialiser comme un homme comme une femme plutôt dans les classes populaires

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ont pu tourner avec la supérieure tout cela va avoir un effet sur la façon dont on envisage ces moments mais aussi et à travers ces moments l'idée que l'on se fait de la

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place du père des différentes prescriptions de l'institution médicale et de l'attention que l'on va porter à ses prescriptions mais aussi l'attention pour apporter aux conseils qui peuvent être si qui peuvent circuler par la

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famille d'origine et tout ça bien évidemment à des effets c'est ce qu'on cherche à travailler dans nos dans nos travaux et ceux qui ont suivi ce qu'on vous a présenté aujourd'hui tout ça va conditionner les choix réalisés par les parents merci de votre attention

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alors huit minutes d'échangés autour de cette présentation du coup vous avez peut-être pas d'éléments sur ce n'est pas dans elfes des éléments suffisants pour éclairer les corrélations observées est-ce que

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vous avez des hypothèses ou des travaux sur lesquels on peut s'appuyer sur la question du tabac et de l'alcool est ce qu'il ya un effet d'énormes différentiel mans diffusée sur ces questions là est ce qu'il ya un pratique

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qui serait est ce que c'est une question de contrôle social est ce que c'est voilà est-ce que vous avez des idées là-dessus pourquoi l'alcool d'un côté pourquoi le tabac de l'autre c'est un question on peut répondre peut-être

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quelques hypothèses qui qui ont à voir avec la contredire la connaissance de ces différents milieux sociaux peut-être c'est à dire que sans doute que l'appréhension des consommations h bal

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colis par exemple sont assez différentes à l'intérieur des classes supérieures et à l'intérieur des classes populaires mais aussi les messages de prévention sont adressés aux uns et aux autres souvent de façon inverse de ce qu on

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sait par exemple la consommation d'alcools forts sont plus forte dans les milieux supérieur par exemple alors que les campagnes je suis pas spécialiste de ça mais les

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campagnes si vous savez comme une partie des campagnes notamment autour de la naissance qui sont très ciblés quand même sur les catégories populaires qui stigmatise un peu enfin stigmatiser le moto d'être un peu fort mais qui repèrent très fortement la question de

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l'alcool comme étant susceptible est possible que ce qui monte puis il ya un autre élément il ya un autre élément qui était de la question de la de la consommation genre et d'alcool et en particulier dans les milieux populaires il ya une très forte connotation masculine dans la consommation d'alcool

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est très négatif pour les femmes boire quand on est une femme ça se paie pas donc contrairement aux à la consommation du tabac qui aujourd'hui on sait qu'on a plus de 50 % des

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consommateurs de tabac qui sont des femmes voilà peut-être que ça explique un peu ces différences entre consommation de tabac et consommation d'alcool en fonction des classes populaires avoir des classes différentes

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classes sociales d'autres pouvait intervenir sur ce sujet là d'ailleurs ou sur d'autres le chat

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oui bonjour moi j'avais une remarque en fait je trouve ça je sais pas si vous l'avez regardé mais c'est en fonction de la parité en fait de si c'était une

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primipare la fable ou si c'était une multi part parce que ça va jouer aussi beaucoup sur le suivi de grossesse ou ou même aussi sur peut-être la nature une cohabitation l'âge maternel fin et je voulais savoir un peu si vous aviez

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ajusté ou si vous aviez elle a pris en compte 7 cette variable de parité pour toutes nos variable d'intérêt on a regardé le milieu social

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enfin la pcs de la mer le dire les choses rapidement le niveau de diplôme le sexe de l'enfant et la parité ça faisait partie là évidemment présente les choses un petit peu vite dans un autre travail

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dans lequel on a intégré aussi des données d'une enquête à deux ans et d'en quête à trois ans on voit qu'effectivement on pour dire des choses un peu rapidement la primipare le fait

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d'être primipares va avoir des effets on pourrait dire de conformation avec les prescriptions notamment les prescriptions médicales et plus et quand

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on regarde plutôt les multipares il va y aura une mise à distance et sans doute une espèce de pondération de ses conseils par l'expérience acquise à travers le premier enfant oui bien une question du chat qui porte

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justement sur ces autres variables est ce que fait heins quel autre variable justement vous avez pu prendre en compte et notamment est ce que vous avez pu prendre en compte la santé mentale des des parents dans les analyses non ce n'était pas une main qui bon

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m'écouter s'il n'y a pas d'autres réactions vous remercier et leur place à notre quatrième intervenante à écouter

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bonjour merci d'être là et merci de me donner l'opportunité de présenter les travaux sur l'alimentation pendant la première année de vie et le sommeil de l'enfant un an qui sont en fait les travaux de doctorat de sabine mais ça

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qui est et qui a fait l'opportunité d'une publication pour cette thèse alors le sommeil je vais commencer par le sommeil ce qu'est ma spécialité le sommeil avec une fonction vitale de l'organisme alors elle semblerait

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nécessaire à la récupération physique n'hésite chic mais pas que parce qu'en fait c'est une fonction très très conserver entre les espèces et vous voyez ici la phylogénétique même les

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méduses dorment donc doit y avoir des fonctions qu'on n'a pas encore bien identifiés et pas mal de recherches sont sans focaliser là dessus notamment chez les méduses pour certains de mes collègues le sommeil ont passé un tiers

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de notre vie à dormir ça se décompose en fait en différents cycles qui chaque chaque chacun d'entre eux est composé de sommeil lent avec différents stades et de sommeil paradoxal le sommeil lent en

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gros on dort on a une activité cérébrale on a des fréquences cardiaques et respiratoires qui sont régulières le sommeil paradoxal hui on n'a plus du

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taux d'activité on a pu de du tout de tonus musculaire est par contre on a des mouvements oculaires il ça représente grosso modo la majeure partie des du temps où on

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rêve mais pas que c'est face se succèdent dont de façon régulière et successives au cours de la nuit avec plus de sommeil lent en début de nuit qui est le sommeil des récupérateurs le

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majeur et un peu plus de sommeil paradoxal en fin de nuit ce qu'on voit ici c'est qu'en fait en fin de chaque cycle qui finit par du sommeil paradoxal on a un

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petit et veille qu'on a tous pas mais qui existe en la fin de chaque cycle je vous dis ça pour les pour toute à l'heure parce qu'en fait ça c'est un vrai problème enfin c'est un vrai problème c'est le problème que rencontrent les

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insomniaques c'est à dire ils finissent leur cycle il se réveille et il se rendant pas visuellement on se retourne contre andorre c'est potentiellement un problème chez les enfants on verra ça plus tard et le sommeil se répartit donc

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de façon différente au cours de la vie et donc au début de la naissance à la naissance en fait ce sommeil paradoxal est très très important il représente 50% du sommeil et il décroît au fur et à mesure du

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temps et de l'âge avec par contre une quantité de sommeil lent qui est à peu près stable pour ce qui va nous intéresser aujourd'hui donc on va

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s'intéresser à la case des 1 2 ans qui ont des durées de sommeil recommandé par les associations les sociétés savantes de sommeil optimale de 11 à 14 heures

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par 24 heures donc incluant la sieste avec une petite ouverture sur ce qui est tolérable à noter néanmoins que toutes ces recommandations sont faites des études anglo-saxonnes et que les enfants anglo

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saxons finalement donc pas tant que ça le donc chez le nourrisson d'un an les particularités donc comme je voulais vous avez peut-être pu le voir s'est rapidement et c'est un sommet qui en pleine évolution qui est en transition

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avec des modifications de la répartition du sommeil paradoxal du sommeil lent avec une durée qui est quand même relativement longue sur une journée 11 à 14 heures et avec des cycles ce que je

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vous ai pas présenté là mais les cycles du sommeil de l'enfant ils sont très courts à la naissance puisqu'il dure 1h30 donc les enfants dorment 1h30 ce réveil 1h30 dormi une heure et demie ce réveil under et demi donc quand on dit dormir comme un bébé c'était pas

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forcément super et au fur et à mesure donc cette durée de sommeil s'allonge mais néanmoins ils ont des cycles courts et dont ils ont une fréquence plus sain pourtant tu de ces petits éveils

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nocturnes qui éveille qu'on a tous et pour lesquelles il est donc super important qu'ils apprennent à s'endormir tout seul parce que sinon ils vous réveille et c'est là où on arrive aux troubles du sommeil troubles du sommeil

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donc durée de sommeil inapproprié en général on étudie ceux qui ont une durée de sommeil qu'on estime trop courtes des réveils nocturnes fréquents donc réveils nocturnes fréquents qui sont signalés

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aux parents et par les réveils nocturnes que l'enfant peut avoir et se retourne il se rendort ou pas parce que s'ils sont petits ils se retournent pas m'enfin bon il se rendort et lé difficultés d'endormissement qui sont elles définis quand on en fait un temps

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entre le moment où l'enfant a eu au lit et le moment où il s'endort vraiment qui au delà de 30 minutes la prévalence de ces troubles est assez fréquente en fait chez les jeunes enfants et en france et les moins de 5

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ans elle est d'environ 30% dans la cohorte elfe et un petit un petit peu moins que ça l est autour de 15-20 % on va voir ça le petit problème c'est que ces troubles du sommeil en fait il a été montré que

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d'aider ceux qui étaient présents dans l'enfance pouvait persister à l'âge scolaire à l'adolescence et même jusqu'à l'âge adulte donc cessé à prendre en considération quand même sachant que ils ont été aussi associé à des problèmes de

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santé ultérieure de type de croissance de développement cognitif émotionnel ou de résultats académiques donc l'idée était de se dire voilà comment faire pour pour essayer d'améliorer ça donc il existe des

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facteurs connus associé avec ces troubles du sommeil en général un niveau socio économique d'alors soit trop élevé soit trop bas ça dépend des études différentes origines du cnic donc parce que comme je vous disais la majorité des études sont américaines et donc qu'ils

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regardent beaucoup ces différences et être noir américain est très défavorable l'aja l'accouchement plus plus plus élevé la tabagisme la consommation d'alcool pendant la grossesse favorise

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les trucs du sommeil et les dépressions payer proc' natale favorise aussi faim est associée à plus de troubles du sommeil rapportés par les parents pour être plus exact il existe également des facteurs connus chez l'enfant comme la

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prématurité et le sexe être un garçon à sa manière peu moins bon quand on est un garçon le poids de naissance les petits points naissance les premiers-nés donc le tabagisme passif qui fait écho à la

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consommation de tabac pendant la grossesse et le mode de garde avec des résultats un peu un peu différent en fonction des différentes études nous avons montré dans une étude antérieure que les objets de transition

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de type doudou pouces et titine qui permettent à l'enfant de se calmer et de se rasséréner peu verte aussi associé à différents troubles du sommeil une phase dans un sens ou dans l'autre et après il ya les habitudes de sommeil

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le fait d'avoir une présence parentale à l'endormissement c'est à dire que l'enfant ne veut pas s'endormir sauf si le parent est à côté avec une interaction c'est à dire en leur le tenant en étant là quoi vraiment le fait de l'endroit où on s'endort déroulement

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de la nuit donc il est mieux de s'endormir seul dans un lit gens partager ou pas mais au moins seul dans un clip et l'alimentation donc de manger

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pour s'endormir et paraît pas associée à des bonnes des personnels qu'est ce qu'il en est maintenant de l'alimentation et notamment de l'alimentation lactée au cours de la

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première année de vie donc la recommandation oms général c'est qu'il faut un allaitement exclusif c'est à dire que le seul aliment que reçoit l'enfant et le lait maternel pendant au moins six mois et en europe et en france

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on dit au moins quatre mois néanmoins il ya des femmes qui ne peuvent pas ou qui ne veulent pas allaiter il ya des petits situation de remplacement avec des préparations infantiles qui sont elles adaptées à la jeu et au contexte votre

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qu'en ce qui concerne la diversification alimentaire donc c'est quelque chose qui est normal qui permet de s'adapter à sa vie future et dans les recommandations internationales et les français c'est soit à partir de 6 mois si on a fait les

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vêtements exclusif jusqu'à 6 mois soit entre 4 et 6 mois si on n'a pas fait l'allaitement exclusif jusqu'à 6 mois qu'est ce qu'il en est des relations entre alimentation et sommeil donc la

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majorité études sont des études transversales m outre en fait qu'il ya une association entre le fait d'allaiter et les réveils nocturnes fréquents en tout cas chez les enfants jusqu'à six mois dans les études

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longitudinales c'est assez y a pas d'association a priori entre allaitement à six mois et des réveils nocturnes des durées de sommeil ou de sommeil de l'enfant entre 18 et 24 mois donc on a

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quand même des résultats un petit peu contradictoire et pas très clair il ya eu une et en moins des essais randomisés contrôlés donc qui ont regardé la diversification alimentaire notamment la diversification alimentaire précoce

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c'est à dire avant les âges recommandé et la qualité du sommeil et la quantité du sommeil et qui montre également la des résultats un peu un peu contradictoire donc l'idée c'était de

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lourdes pertes et dans l oeuf qu'est ce qu'il en est et donc de regarder l'alimentation qui a été collecté par d autres par des questionnaires tous les mois entre deux

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mois et dix mois et le sommeil informations collectées un an chez donc les enfants singleton qui avait l'information à tous les points enfin maximum de points et on était donc chez

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l'étude chez 8700 enfants l'allaitement donc comme je voulais 10 a été collectée à la maternité et tous les mois la diversification alimentaire également entre 3 et 10 mans et le sommeil les

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différents systèmes de sommeil que ce soit la durée de sommeil total donc qui inclut les siestes la difficulté dans vos normes ismaël et réveils nocturnes ont été donc collecté un an si on regarde la répartition des troubles du sommeil parce qu'on va

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appeler les troubles du sommeil en tout cas les répartitions des différents sites m on avait quand même environ 15% des enfants qui dormaient moins de 12 heures par 24 heures c'est à dire qu'ils vont être considérés comme étant les

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courts dormeurs on a de la même façon 20% des enfants qui se réveillent plus de deux nuits par semaine qui réveille les parents plus

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exactement puisque c'est les parents qui rapporte que la quantité de réveils nocturnes et de la même façon à peu près 12 13 % d'enfants qui ont des difficultés d'endormissement fréquentes

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concernant l'allaitement donc on a une répartition montrer ici on a 23 % des enfants qui n'ont pas reçu d'allaitement maternel mais donc des préparations infantiles et 25 % d'enfants qui ont eu

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un allaitement maternel d'au moins six mois sans qu'on sache ici l'information si c'est exclusif ou pas alors je vais recommencer une série de graphiques qui vont être un peu lourde je vais essayer

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de vous des idées là-dessus quand on regarde la durée d'allaitement vous avez ici donc un graff qui vous montre vous avez les différentes catégories da deux heures de sommeil par

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rapport à la durée de sommeil vous avez ici ceux qui dorment moins de 12 heures par 24 heures donc les courts dormeurs en relation avec la référence qui va être ceux qui dorment le temps classique

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enfin on va dire adéquat de 12 à 14 heures et ceux qui dorment plus que 14 heures ensuite pour chaque grappe de chaque côté vous avez une barre verticale ici qui est le inquiets le nul tout ce qui est à gauche est une

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association négatif tout ce qu'il ya à droite est une association positive si j'ai plein de modèles mais on va se focaliser sur la réponse du verre et la réponse du bleu pour chaque catégorie

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qui sont les modèles donc entre guillemets le plus simple c'est à dire celui le premier associé enfin ajusté sur les variables maternelle infantile et familiale que je vous ai présenté

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tout à l'heure et la bleue viol est là qui est en plus associés sur les différentes habitudes de succion et les pratiques parentales en termes de sommeil origines du sommeil est donc

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tout ce qui va croiser cette barre verticale et non significatif et tout ce qu'ils ne croisent pas et significatif dans un sens ou dans l'autre donc ce qu'on voit ici c'est que en fait

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il ya le fait d'avoir une durée d'allaitement au delà de six mois est association est associée pardon négativement avec le fait d'appartenir au groupe qui dort le plus longtemps on

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assure le premier modèle mais quand on prend en considération les autres facteurs d'ajustement et notamment les pratiques parentales salah devient non significatif pour les réveils nocturnes nom pareil si on a la référence qui est

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jamais donc par rapport à ceux qui ont des réveils nocturnes peu fréquent une à deux nuits et ceux qui ont les réveils nocturnes fréquents plus de deux nuits on voit de la même façon que sur le modèle le plus simple entre guillemets il ya une association significative

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positif donc les enfants qui sont allaités plus plus de six mois ont plus de réveils nocturnes fréquents que les autres et que cette association diminue fortement

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même si elle pas complètement lorsqu'on prend dans l'ensemble des autres facteurs et notamment les pratiques parentales c'était également le cas en fait pour les difficultés d'endormissement ou on voit là en revanche que le ça devient

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complètement signifie non significatif et donc non associé quand on prend en partant en compte les les pratiques parentales donc ici on a montré qu'une durée d'allaitement de plus de six mois et est associée aux réveils nocturnes

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fréquents et qui avait un rôle très important dans cette relation d un porte des pratiques parentales d'ailleurs on a regardé les s'il y avait des interactions entre la durée

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d'allaitement et la présence parentale puisqu'a priori pour allaiter faut être là et en fait ce qui a été montré c'est que quand il y avait présence parentale il y avait effectivement une association

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importante avec les difficultés d'endormissement alors que quand il n'y avait pas présence parentale alors qu'il y aller tu mens prolongée il n'y a absolument aucune association avec

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les la difficultés d'endormissement ensuite on s'est intéressé à l'âge de diversification hors céréales donc la production de tous les différents aliments on voit ici que les gens suivent quand même beaucoup les recommandations clés

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les précoces représente 400 % de la population de la même façon donc ici je sais même type de graphique donc par rapport à la référence qui est de quatre à six mois ici ceux qui ont une

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diversification précoce fort céréales sont moins souvent parmi les enfants qui dans mon temps pour les réveils nocturnes a pas d'association et pour les difficultés d'endormissement de la

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même façon ceux qui sont diversifiées précocément ont plus souvent des difficultés d'endormissement et ceux qui sont diversifiées le plus tardivement ont moins souvent de difficultés d'endormissement

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ainsi la diversification précoce avant quatre mois est associé à des durées de sommeil moins longue des difficultés d'endormissement plus fréquente du fait des deux des questionnaires successifs entre deux mois et dix mois sur

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l'alimentation on a pu modéliser en fait la prise en la prise de céréales infantiles chez les enfants est identifié différents types de trajectoire et donc différents types et d'introduction et de perpétuation pas

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d'aidé de cette utilisation des céréales infantiles on a une première catégorie qui se sont les bleus ici qui sont ceux qui n'en n'ont jamais jamais eu de céréales ceux qui en ont de temps en temps plutôt

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autour de six mois ce qui en ont eu vraiment de bonne heure c'est à dire avant quatre mois et pourrait qu'ils ont toujours eu des séries des céréales ensuite ceux qui ont eu une introduction des céréales autour de 5 mois et

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toujours eu ensuite et ce qu'ils ont vu autour de 6 de sept mois et qui ont toujours eu ensuite donc on va regarder maintenant que de la même façon tout à l'heure la relation entre ces différentes trajectoires et

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les difficultés de sommeil et par rapport à ceux donc qui ont eu qui n'ont jamais eu de céréales infantiles on voit ce que ceux qui ont eu des céréales infantiles à quatre mois ou 5 mois et

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qui ont eu ensuite tout le reste du temps sont plus souvent chez les enfants qui ont en fait duré de sommeil plus courte à un an de la même façon ils sont parmi ceux qui ont plus de réveils

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nocturnes fréquents et parmi ceux qui ont plus de difficultés d'endormissement pour les mêmes catégories ainsi l'utilisation précoce de céréales

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on va dire avant 5 ans et persistant est associée à plus deux durées courtes de réveils fréquents et difficultés d'endormissement on a fait la même chose avec les préparations et pc qui montent donc une

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trajectoire de jamais uniquement avant six mois à partir de 4 mois et tout le reste du temps une à partir de s'immoler une toujours de la même façon

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donc on montre que l'utilisation des préparations infantiles et pc associé au durée de sommeil mais le fait d'avoir des perdre et des préparations épaissi uniquement avant six mois versus les

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jamais il y a plus un petit peu plus de réveils nocturnes alors que ceux qui ont des préparations épaissi un peu plus tardivement au moins deux réveils nocturnes fréquents c'est

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la même chose en fait pour les difficultés d'endormissement ou on voit que ceux qui ont lu les préparations épaissi avant six mois en plus souvent des difficultés d'endormissement et donc

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l'utilisation de préparations épaissi donc avant six mois est associé avec des troubles du sommeil un peu plus fréquemment sicilien était intéressant parce qu en fait l'utilisation des

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préparations infantiles et l'utilisation des céréales même si elle n'est pas prête forcément préconisé elle est souvent on va dire conseillé par l'entourage familial des grands-parents les tons enfant dort pas

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de lui du serial cavalcade me va dormir ce n'était pas bien de voir que c'était pas le cas en résumé tout cela donc on a un lien entre la durée d'allaitement de plus six mois et le sommeil mais qui est en fait 102 m majoritairement expliqué

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par les comportements les comportements parentaux donc le fait d'être là il faut il faut bien dissocier à l'été et et être là pour les cycles enfants s'endorment mais

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en fait il vaut mieux qu'ils apprennent à s'endormir seul sachant que la montée au riz tories sienne un enfant a à partir de 6 mois grosso modo sur ce

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problème de santé particulier normalement il doit pouvoir faire une nuit complète sans être allaité ou sans être nourris même s'il se réveille la nuit le le réflexe il faut pas lui donne

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à manger s'est passé face à ce problème normalement et la céline a un poids suffisant il a des capacités physiologiques suffisant pour pour faire une licence en manger ce qu'on a montré également donc du coup c'est que la

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diversification alimentaire et la production de céréales infantiles sont pas liés avec des bonnes pratiques de ce afin avec des bonnes qualité quantité de sommeil voire même plutôt délétère et que donc du coup la conclusion c'est que

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le développement de recommandations spécifiques sur l'hygiène et les pratiques du sommeil pour les parents et les nouveaux parents sont vraiment super important en particulier pour les femmes qui veulent allaiter leur enfant pour

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essayer de dissocier le côté nutritifs du côté car un doudou sympathique aussi mais où il ya de la nuit moyens après quoi je vous remercie de votre attention

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[Applaudissements] des questions des réactions merci pour votre présentation très intéressante c'est juste une précision j'ai pas bien

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compris ce que c'était que les pratiques parentales est-ce que c'est simplement le fait d'être auprès de l'enfant moment de l'endormissement ou est-ce que ça recouvrait d'autres variables et comment vous expliquer en fait le lien vous

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enfin plutôt oui quand ça joue le lien alors il est transparent talent qui ont été prises dans ces modèles là c'est enfin il ya plusieurs pratiques parentales mais dans un article précédent en fait on a montré que le

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fait que 2 par an soit à côté de l'enfant au moment de l'endormissement et donc il fallait que sa présence soit obligatoire pour que l'enfant s'endorment étaient excessivement négativement associé avec tous les

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facteurs de bon sommeil céder aux ratios à 6,8 dans ce type d'étude c'est majeur en fait et même plus et c'était vraiment

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des autres ratio super super élevé la difficulté en fait le point c'est que il faut que l'enfant apprenne à s'endormir seul s'il apprend pas à s'endormir seul en fait lorsqu'il va avoir c'est petit réveil de la nuit qui sont

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physiologiques que tout le monde a et qu'on a toute notre vie s'il se réveille et que par malheur en fait nous les yeux pour une raison x y eelv a pu se retrouver dans le même contexte pour se rendormir eelv a pu

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avoir son parent eelv a pu avoir la lumière va pu avoir la musique va pu avoir le coussin n'a pu avoir je sais pas trop quoi et donc il va il va pas comprendre et donc il va appeler parce que c'est pas assez passant où il peut pas se rendormir sens tout ça et c'est

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ça qui fait que la présence parentale est potentiellement associées à cette négativité le vraiment l'élément important c'est qu'il sera prêt n'a restera dormir tout seul et quand il ya le parent voilà il faut que le contexte

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d'endormissement soit toujours le même que ce soit à la sieste au premier couché au milieu de la nuit sinon enfin il comprend pas en fait et donc ils appellent ils pleurent et puis une fois qu'il a bien pleurer pour leur endormir

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ses shows à moins d' épuisement mais c'est voilà du coup qu'est ce que vous pensez des recommandations has qui recommande maintenant aux enfants enfin aux nouveau nés pendant les six premiers mois de

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dormir dans les chambres des parents pas avec les parents spa du co dodo mais on recommande maintenant dans les matières de la bcc super important c'est pour limiter le risque de mort subite du nourrisson et pour faciliter l'allaitement on ne sai a pas de souci

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mais il faut quand même qu'ils apprennent à s'endormir seul dans son lit et pas avec le parent qui est qui lui tient la main ou dans les bras des parents ou c'est pas le même contexte il faut qu'il apprenne à s'endormir seul

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après le sait pas parce que je suis non plus parce qu'ils partagent la chambre des parents que l'enfant dorme s'endort en même temps que les parents s'endorment je veux dire on peut dormir dans la chambre des parents les parents pas forcément exactement les mêmes horaires

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des nouveau-nés même si au tout début peut-être un peu quand même mais c'est c'est très différent en fait la même dormir dans la chambre avec un autre enfant c'est ça pose pas de problème

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merci sabine pour ta présentation très intéressante je voulais savoir quand par rapport aux céréales est-ce que et de mauvais sommeil est ce que c'est pas au départ des enfants qui ont déjà un

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sommeil et il est donc pénible pour les parents et donc on l'est on a introduit les céréales et donc on les retrouve après aussi avec un sommeil difficile mais ce que toi tu as l'air de dire que c'est vraiment dans l'autre sens c'est

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finalement l'introduction des céréales est délétère mais est-ce que c'est pas déjà des enfants qui ont un très mauvais sommeil les céréales 90 n'ayant peut-être pas d'effet sur le sommeil à un an mais c'est déjà des enfants qui

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dorment mal donc je vous ai pas demandé détailler tous les tous les modèles à cause justement du temps mais en faite le le deuxième modèle qui est ici en jeu ne sais pas quelle couleur bleu ciel peut-être fâchez pas les verts chez vous

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bref le le deuxième modèle c'est en prenant en compte le mauvais sommeil à deux mois donc justement pour prendre en compte le fait que potentiellement l'enfant avait un mauvais sommeil et donc les comportements ont pas été

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forcément les mêmes aussi bien pour l'allaitement que pour le l'introduction de tout un tas d'autres choses et en fait ça change pas donc c'est pas parce que l'enfant à un mauvais sommeil à deux

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mois qu'on a produit les céréales c'était un peu plus tôt ça enfin après blandine si tu veux dire des choses plus plus juste sur les questions d'alimentation je pense que ça joue quand même sur l'introduction des céréales des liens

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font aider les pays mais en tout cas ce que les résultats montre c'est que ça fonctionne pas même si on a pris en compte les réveils nocturnes la demande n'a peut-être pas pris en compte toute

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la qualité du sommeil du nourrisson et petites têtes que ça s'est détérioré à trois ou quatre mois avant l'introduction des préparations infantiles mais en tout cas les résultats montrent que ça n'a aucun effet sur le sommeil que si en effet il est délétère

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merci blandine pour la précision l'observation a été conduite pour les âge plus précoce parce que moi j'observe pas mal de familles qui a deux mois introduisait très tôt des choses même si c'est très

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très peureux recommandé mais ça existe pour pour faire dormir les enfants non efficace que là c'est plus tard c'était ça ma question s'est montré pour plutôt aussi pour le chat est ce que disait

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blandine c'est que même à l'introduction avant quatre mois ça fonctionne pas en fait à long terme en tout cas pour améliorer le sommeil peut-être que d'une façon ponctuelle genre je ne sais pas mais mais à long terme c'est même plutôt associé à un moins bon sommeil c'est des

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réflexes de grand-mère mai mais qui n'ont pas de fondement scientifique ya aucun article qui montre que introduire ses shows demain mais s'efface et devrait on s'était dépensé poser la question qu'est ce qu'on sait que ces pratiques existent un mois qui

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on est tous tentés par sakho ce qu'il a faire dormir mon bébé bah c'est pas ce à quoi donc à une question dans le tchat

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non non c'était juste pour voir là la réponse de vive voix oui merci sur les pratiques parentales est ce que vous arrivez à voir l'évolution de ces pratiques c'est là

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que est-ce qu'on voit que lorsque les parents finissent par sortir de la chambre que l'enfant s'endorment on a un effet ou pas ouh là c'est vraiment la pratique à un instant donné n'a malheureusement pas l'évolution et

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on sait pas ce qu'il faut vraiment enfin il ya des exemples dans la question il ya les médias on n'a pas le détail et on à pas l'évolution c'est à dire que la pratique parental elle a été enregistrée

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à un an mais me puis après le coup on veut on pourrait imaginer que les parents sont à côté parce qu'il a du mal à s'endormir mais que c'est pas le fait d'être présent que l'on dit qu'il

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explique l'endormissement du suicide donc on peut pas vérifier qu'en partant dans les soins de plus simple dans cette étude non mais c'est connu or les études d'intervention sur les

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enfants condé f1 les enfants qui ont des gros troubles de sommeil et qu'ils consultent en fait en clinique la première chose que font les cliniciens c'est rectifié l'hygiène et il ya même d'aider des protocoles

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d'extinction des feux fins de mise en place de différents éléments de manière à faire que les parents s'en aille et que et que l'enfant puisse s'endormir souvent en fait c'est les parents qui sont presque plus stressé que de

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l'enfant que le de les laisser seules infos quand même donc il ya tout un travail en fait de comportement parental voilà merci beaucoup on va s'arrêter là et on va aller manger on se retrouve à

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14h15 ah oui c'est ça 14h15