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effectivement donc Frédéric Bull je suis à la base biologiste chercheur inser mais au cours de mon parcours j'ai travaillé pour les expertises collectives pardon de l'incerme et euh
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actuellement je suis adjointe à la drar donc délégation régionale académique pour la recherche et l'innovation et euh B je vous en parlerai un petit peu
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plus tout à l'heure c'est justement à travers les expertises collectives et à travers la drarie que ma fois je vais présenter des choses plus opérationnelles sur la confrontation des cultures scientifiques
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des différents mondes que auquels on est confronté et et qu'est-ce qu'on peut apporter effectivement à à la décision publique ou privée d'ailleurs voilà alors bonjour à tous donc Laurent
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Simon je remplace au piedlevé vous avez compris Stéphane Foucard pour V plus grand bonheur j'espère euh je donc je suis journaliste euh je suis fondateur d'un média que vous connaissez peut-être
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ou pas qui s'appelle metans euh certains vous d'entre vous sont peut-être déjà abonnés dans la salle sans le savoir vous pourrez pour en discuter ensemble après euh on s'intéresse à la politique de recherche on s'intéresse à la vie des labos et on est lu exclusivement c'est
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notre particularité on est les seuls aujourd'hui en France à le faire s'adresse aux chercheurs et aux chercheuses des universités des organismes de recherche quand je dis chercheurs c'est au sens large du terme enseignant chercheurs personnel technique BIAT et C et ce tous les
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acronymes que vous ne connaissez que trop bien i voilà ah voyez c'est compliqué donc il y a du journalisme à faire et c'est pour ça
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qu'on est là je suis par ailleurs vice-président de la jspi donc la jspi vous avez avez peut-être entendu parler ce matin grâce à ma collègue Laurence Sarfati voilà qui vous a présenté l'association donc on est euh j'en suis le vice-président on est 300
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journalistes donc qui font euh euh qui sont euh membres de l'assut avec qui représente donc à peu près tout ce que la France compte de de titre de presse euh pratiquant le journalisme scientifique
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euh et je je je vais pas épiloguer si tu as déjà parlé de de la jspi en enfin si vous avez des questions sur la jspi je suis aussi à votre je suis aussi à votre à votre disposition euh je vous parlerai effectivement de deux choses outre les
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questions que vous pourrez avoir euh à à me poser la première c'est qu'il il y a un point d'actu alors vous allez dire ça me tombe bien apparemment vu la euh l'intitulé de la thématique de cet après-midi c'est il y a un rapport qui a
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été rendu al c'est un rapport parmi d'autres he bien sûr mais il dit des choses sur le sur la thématique de de votre journée et de celle de cet après-midi qui est s'appelle le rapport gilet et je vous confierai également un
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travail coulisses on va dire d'un travail qu'on a fait au moment de la présidentielle euh auprès de tous les partis politique de lichiqué à qui on a posé des questions sur la recherche alors il il y a leurs réponses qui sont intéressantes mais il y a la manière
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dont ils ont répondu qui est encore plus intéressante et c'est de ça donc on va essayer de vous vous parler voilà je passe la parole maintenant bonjour à toutes et à tous c'est bon merci donc je m'appelle
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Nathalie CLI je travaille à l'remè au laboratoire environnement ressources d'Arcachon je suis basée à anglette au Pays-Basque donc je suis chercheure en écologie des ressources exploitées par
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la pêche et mon métier principal une grosse partie de mon activité c'est d'avoir une activité d'expertise au services de des services de l'État déconcentré ou pas et pour muscler cette expertise pour avoir des éléments les
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plus solide possible je m'appuie sur une activité de recherche que je développe avec différents partenaires universitaires français ou ou étranger donc aujourd'hui en fonction des questions qui seront posées je pourrais
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répondre sur cette activité qui est lié directement à à mon métier de de chercheur et ensuite aussi donc j'aiété invité je remercie he les organisateurs pour présenter aussi l'activité d'aclimatera qui est un
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conseil scientifique régional sur le changement climatique qui a été installé en 2010 fin 2010 début 2011 en région nouvelleaquitaine pour éclairer enfin voilà modestement mais voilà éclairer à
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son niveau les décision les décisions à prendre au niveau régional sur le champ les impacts du changement climatique donc je vais surtout parler enfin dans un premier temps sur ce sujet et après
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voilà et après je suis ouverte à toutes les questions merci en avant oui d'accord et oui juste en formation parce que ça fait chcho à ce matin donc moi je suis de formation Ingénieur ingénieur
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agro et après tardivement j'ai passé enfin tardivement 10 ans après ou non 15 ans après j'ai passé une thèse voilà donc j'ai fait j'ai fait le chemin un chemin différent donc j vais donc j'ai un petit
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support vous inquiétez pas il est pas il est pas long c'est pas l'idée c'est pas de mobiliser la salle sur un support donc je vais parler d'aclimaterra donc laaclimaterra c'est un conseil scientifique donc régional donc qui a qui a été en fait
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l'histoire ça a commencé en 2011 fin 2010 début 2011 sous l'impulsion de la région nouvelaquitaine le président al Roussé voulait avoir disposé d'éléments factuels pour mieux comprendre les impacts du changement climatique au
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niveau régional et pas au niveau national ou méta ou à une échelle encore supérieure afin de déterminer les les enjeux auxquels la région était confrontée devait faire face et d'anticiper aussi les besoins
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d'adaptation du territoire qui sont à différentes échelles du local enfin qui peutêtre très local à à plus large et même empiété sur la dimension région Aquitaine donc la mission enfin le projet ça a été confié enfin la le
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pilotage a été confié à Hervé lereut qui était membre du GC et il s'est entouré de 15 personnes 15 chercheurs qui ont été des coordinateurs responsables de chapitre et chacun avait on avait la chance d'avoir carte blanche on allait
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chercher dans notre réseau dans notre connaissance les scientifiques qui pouvaient nous aider à alimenter dans notre domaine donc moi je me suis occupé de les ressources exploitées par la pêche et la conquilculture qui pouvait permettre
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d'apporter une connaissance alors on avait 25 pages on a négocié un peu plus parfois ou ou des web compléments aussi voilà en complément mais on avit 25 pages où il fallait décrire pour la région quels étaient l'état des
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connaissances sur le changement climatique pour notre pour notre domaine donc c'était un travail prospectif qui était inspiré par ce mené par par le GC donc on a réalisé un premier rapport en 2013 donc je vais pas rentrer dans les
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détails qui décrivait les l'impact du changement climatique et c'était voilà c'était à l'époque c'était le le premier du du genre en France sachant évidemment qu'il y en a eu d'autres ensuite et donc l'idée c'était d'aider les décisions
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publiques informer et éduquer la population ensuite il y a eu l'évolution des régions et puis avec la la région nouvelle Aquitaine qui qui s'est qui a été constituée qui où les les
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questionnements on aussi changé les questionnements aussi changé avec beaucoup enfin beaucoup d'habitants une région économique importante au niveau de la France une forte activité le tourisme un littoral aussi importante
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la conquiliculture aussi qui prenait une autre dimension avec cette région nouvelle-aquitaine et donc on a décidé de refaire un autre document donc l'idée c'est pas d'en faire tous les 3 ans ou tous les 4 ans mais on s'est lancé dans un nouveau document pour à la fois
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combler des des des chapitres qu'on avait pas traité dans le premier par manque de temps ou de de personnes ressources qu'on avait pas trouvé et aussi prendre prendre cette dimension grande grande enfin nouvelle aquitain donc ça c'est le dernier rapport que
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l'on a réalisé en 2018 donc qui fait un peu plus de de 500 pages il est inement entièrement téléchargeable hein sur le site de l'association et vous voyez donc ça traite à la fois des éléments de climat global climat local la la
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question de la mémoire des instruments juridiques de santé environnementale voilà on a essayé donc où c'est une entrée milieu ressources ou filière ou des fois c'est une entrée autre qu qui a été il y a l'appropriation il y a
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territoire urbain enjeux climatique voilà il y a plein de la participation citoyenne et l'appropriation citoyenne donc ce sont des nouveaux chapitres qui sont apparus dans à l'occasion de ce secondte ouvrage donc ce deuxème ENF cette
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deuxème production a été réalisée en 2018 donc aujourd'hui àlimatera comment enfin comment on fonctionne au niveau de cette structure donc on a un bureau composé de cinq membres euh est tous bénévol hein et pour nous aider au
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quotidien les deux enfin les ressources financières de d'aclimaterra elles servent à à rémunérer une charge de Miss et une médiatrice scientifique qui nous aide à faire fonctionner le le le l'association au jour le jour ensuite il
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y a un conseil d'administration les membres c'est du sur le volontariat et puis pour nos productions B on s'appuie sur notre réseau puisque en tout là sur les deux ouvrages on a à peu près sollicité 450 contributeurs sur des
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questions régionales donc c'est ça qui est la richesse et c'est moi c'est ce qui me plaît aussi dans ce dans dans cette communauté voilà c'est un travail vraiment collaboratif donc les objectifs
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d'aclimatera aujourd'hui c'est de mettre en valeur les rapports et poursuivre la vi la veille la vieille la veille scientifique de thématique sélectionné de diffuser des communiqués donc c'est pour ça c'était aussi en lien
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avec la journée de diffuser communiquer auprès des élus des collectivités territoriales des citoyens des acteurs économiques société civile organisée service de l'État monde associatif et puis de sensibiliser de le
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jeune public donc on a differs diverses actions euh ça peut être on est peut être sollicité dans le cadre de pcaet donc euh par par les collectivités pour accompagner le débat euh ça peut être
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dans des acclimat campus donc on on accompagne des projets d'étudiants euh en lien avec avec des problématiques où ils se saisissent d'un chapitre et ils le traduisent dans le cadre de leur formation c'est ça c'est très très c'est très très variable donc on a des des
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actions diverses et varié on on est pas mal sollicité et donc sensibilisé le jeune public euh ça jeai passé et donc les actions donc au-delà du rapport aussi puisque les rapports sont figés on veut pas
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refaire des rapports trop trop régulièrement on s'est inscrit aussi dans une dynamique d'écriture de cahier thématique donc il y en a trois publiés actuellement euh un sur le numérique un
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sur l'énergie les énergies renouvelables et un autre sur les zones humides et il y en a il y en a deux en cours en fait un sur la biodiversité et un sur eau et agriculture donc ça peut être ou des cahiers thématiques vraiment thématiqu
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ou trans transthématique et après on participe voilà là là est chiffré le nombre de conférences d'intervention donc en 2022 il y a eu plus de 100 programmés et on a on estime que depuis 2016 on a touché 43000 personnes et oui
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c'était ça je voulais dire avant de de terminer c'est que euh C ces éléments pour faire le lien avec le politique les deux ouvrages et essentiellement celui de 2018 la région
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s'en est saisie alors pas tout hein mais une partie de du contenu pour écrire sa feuille de route néoterra sur la transition écologique et donc qui a été décliné ensuite en 11 ambitions donc voilà l'idée c'était elle
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s'est appuyé une en partie sur cette production de d'aclimatera et sur la production d'écobios qui était aussi une structure à un conseil scientifique sur la biodiversité pour nourrir les et créer enfin et écrire ses ambitions à
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l'échelle de la région on a également un site web mais je pense que c'est pas le le l'objet je vais passer rapidement et donc par rapport aux jeunes public donc on participe à un certain nombre d'animations avec les en lien avec les
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rectorats donc ça peut être la semaine du climat la semaine du développement durable euh les acclimat campus j'en ai parlé où là voilà des chercheurs qui sont sont dans le membre du membre ou qui ont enfin qui qui sont partants pour
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pour cette dynamique vont accompagner des jeunes qui sont qui vont sélectionner un sujet ou un chapitre et le mettre ben en image ou en avec sur différents supports hein ça peut être les arts ça peut être de la fiction
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enfin voilà qui vont qui vont se l'approprier et et le restituer pour pour leurs camarades et pour terminer donc donc je vous ai parlé de la dynamique à climatra donc il a un conseil scientifique un statut
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d'association qui permet donc c'est la alors je sais pas tout à l'heure enfin ce matin a été fait la distinction entre la la recherche et la science du coup je vais essayer de reprendre de rebondir c'est
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plutôt la la science enfin même si on est pas forcément tous d'accord làdessus mais moi je le vois à climaterra comme la science c'est ce qui est connu et qu'il faut enfin qu'il faut absolument qu'il faut qu'il faut transmettre qu'il faut alors ça fait pas toujours
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consensus mais il faut parfois polyphonique comme ça a été dit mais il faut le il faut le dire il faut le diffuser donc acclimaterra c'est son rôle de de partager ce qui est connu de faire une veille scientifique sur ce qui
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arrive dans les dans les connaissances de diffuser d'être le plus limpide possible le plus clair le plus honnête honnête c'est forcé mais vraiment le plus factuel sur ce qui existe et en complément la Région nouvelquitaine a
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lancé depuis 2019 des réseaux recherche réseaux de recherche régionaux euh donc alors je ne sais plus combien en a lancé il y en plus d'une dizaine et il y en a un qui est sur le réseau recherche rionale sur l'anticipation du changement
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climatique dans le territoire et donc l'idée c'est vraiment des dispositifs qui sont complémentaires puisque celui-ci vise à dynamiser la struc la la communauté scientifique autour de ce qui n'est pas connu et donc d'aller en lien avec les territoires avec les besoins du
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territoire d'aller mobiliser les chercheurs pas pas pour euh enfin divulguer la connaissance qui voilà qui est connue comme dans climaterra mais pour faire mobiliser structurer la les
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chercheurs autour de questions fortes pour pour le territoire avec de coup un un lien fort avec les acteurs qui sont qui sont mobilisés donc évidemment on retrouve pour beaucoup entre ces deux actions les des mêmes chercheurs il y a
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un pool commun mais ce sont vraiment deux dispositifs communs qui ont des finalités enfin complémentaires pardon des finalité complémentaire la communauté mobilisée est commune pour parti et en tout elle touche à peu près
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250 à 350 contributeurs en commun entre ces deux filières et je promis la dernière diapo c'était pour dire la faire un tour du voilà de de France des desmarches similaires
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donc au niveau d' cllimaterra donc acclimaterrin en nouvellequitaine et donc la chargée de mission qui n'est pas là aujourd'hui mais Joan cabaret est en lien avec les dynamiques similaires qui
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ont lieu qui sont mis en place en France donc là vous avez listé le grec Sud le RO enfin je vais pas faire mais vous avez la carte qui montre qu'il y a des dynamiques similaires qui sont mis en place déjà qui ont avec des degrés de de
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enfin d'avancement plus ou moins variés qui voilà qui mais qui se mettent en place donc il y a une forte dynamique et tout c'est l'intérêt de mutualiser ce genre de démarche puisque les enjeux qui sont identifiés pour certains ont des
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des composantes locales territoriales d'action qui sont fortes et évidentes mais pour certains elle dépasse forcément largement la région et c'est en tissant ce maillage de d'appropriation des connaissances et d'action que que que les choses pourront
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changer voilà donc merci pour votre attention et donc je je serai à votre disposition pour toutes questions sur ce sujet-là notamment merci beaucoup donc maintenant on va passer un côté un petit peu plus
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institutionnel mais toujours toujours régional donc en passant la la parole à Frédéric je suis déléguée adjointe à la drar de Normandie euh donc les draris
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sont je vais planter un petit peu le décor ça vous permettra de voir en fait avec quels interlocuteurs on interagit et on en viendra effectivement à la question de culture scientifique et aide
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à la décision publique donc au sein de de enfin l'émission de la drarie en gros c'est la promotion de de la recherche d'excellence bien sûr et de favoriser le transfert des résultats de la recherche
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de favoriser les partenariats public privés et bien sûr nous disposons pour ça d'outils financiers tels que le CP donc c'est le contrat plan État-Région donc il y a un
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volet recherche euh innovation qui nous concern qu'on construit avec le Conseil régional et bien sûr la promotion de la culture scientifique ou en région on interagit
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beaucoup avec les centres de communication scientifique technique et industriel qu'on appelle les CSTI cette promotion de la culture scientifique he puisque enfin des cultures scientifique
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puisque c'est en c'est avec un S dans dans l'intitulé on le fait auprès deci privé à travers des dispositifs tels que le crédit imp pour recherche dont on
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assure le processus et l'expertise et à travers le l'attribution des thèses CIFRES aussi dont on fait le l'examen socio-économique de l'entreprise donc ce qui est intéressant en fait dans cette
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dans cette structure c'est que on a un pied vers bah la recherche bien sûr on interagit avec les présidents d'université pour les grandes orientations stratégiques et savoir un peu où est-ce qu'on peut mettre des
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soutiens financiers avec le Conseil régional donc ce sont là des élus j'insiste bien sur cette notion où là on essaie de s'accorder sur les priorités de chacun pour en trouver des communes
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et abonderer financièrement et aussi au niveau donc des dirigeants de sociétés privées ou ou le monde de la recherche et quelquefois un peu en décalage avec
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nos notions aussi donc là aussi une notion de culture scientifique un peu autre voilà et cet après-midi donc on va plus se concentrer sur la culture scientifique et aide à la décision publique donc nous on interagit beaucoup
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avec des décideurs he public ou privés comme exemple je vais plutôt revenir sur une expérience passée qui était qui est le travail des expertises collectives de l'incerern je sais pas si vous
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connaissez mais c'est un service de l'incerme qui a euh comme mission de répondre à des questions de santé publique qui peuvent être énoncées par
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des ministères des structures d'action sociale et cetera et ce qui est très intéressant en fait euh dans cette expertise dans ce service c'est la la confrontation justement entre
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commanditaire qui arrive avec sa question euh on va dire très brut et la façon dont nous on doit la décortiquer un programme scientifique avec des vraies questions scientifiques derrière
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parce que comment se déroule une expertise une fois que le programme scientifique est établi là on on convoque pardon les experts scientifiques des différents domaines que l'on aura identifié que l'on place
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autour d'une table de de façon à faire des réunions collégiales tous les mois chacun a son programme de question et pour arriver à bon une analyse de la littérature à un instanté mais surtout à
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des recommandations d'action et de recherche qui seront à destination du commanditaire alors ce qui est intéressant dans ce parcours c'est la première étape la première étape donc de confrontation de de du commanditaire
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public avec qu'est-ce que c'est qu'en fait lui il pense que ça va aller vite que ben voilà par exemple je voudrais savoir qu'en est-il de la déficienceces intellectuelles aujourd'hui alors non on
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pose pas alors donc déjà il faut prendre du temps avec lui pour expliquer essayer de cerner sa question qu'est-ce qu'il veut réellement savoir et nous ensuite pouvoir la décliner en est-ce
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que c'est au niveau des études génétiques est-ce que c'est au niveau de l'inclusion sociale voilà afin de définir le champ d'opération donc déjà là effectivement au point de vue appropriation par par le décideur de de
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de cette démarche scientifique c'est quelquefois un peu compliqué après on arrive au groupe d'experts et là aussi c'est intéressant je fais une parenthèse parce que c'est pas le sujet de de cet après-midi mais plutôt de ce matin où là
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vous avez effectivement des chercheurs de différents domaines ça va être du du généticien aux sciences de l'éducation où là on est confronté aux cultures scientifique au pluriel où là aussi il faudra un temps d'adaptation de
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rencontre pour que chacun se comprennent et apporte l'un à l'autre et puis arrive le temps de l'écriture synthèse et recommandation et restitution commanditaire et là le commanditaire il
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est content parce qu'il va avoir en fait des argumentations solides basées sur les preuves il leur a montré qu'il fait preuve de transparence parce qu'il s'est adressé à un institut indépendant que
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les choses ont été faites de façon claire scientifique et transparente mais il faut bien voir après ce qu'il en fait on a bien conscience que à partir du moment où
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nous on a rendu l'expertise avec ces ces ces différentes recommandations en fait elle ne nous appartient plus nous n'avons plus aucun aucun levier aucune action on a fini notre job en fait et là
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c'est vrai que c'est intéressant de voir ce que devient euh la vie d'après pour une expertise aussi bien au niveau politique au niveau des médias ou au niveau public où chacun s'en àapa et chacun se se l'approprie et se la
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traduit d'une certaine manière voilà l'autre aspect je reviens à la notion de régionale et de drarie donc je vous disais on a des interlocuteurs bon bien sûr académiques des des interactions
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avec les élus euh où là il faut effectivement avoir beaucoup de dialogue entre bah les intérêts économiques évidents d'un président de région et les intérêts scientifiques ilil faudrait
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promouvoir donc là c'est toute la la difficulté et un autre angle que j'ai cité au début c'est euh les les interactions avec des décideurs privés que sont par exemple les dirigeants de
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sociétés d'entre prise plutôt type PME voire start-up où euh là on se trouve quelque foois voir souvent un décalage complet sur la notion de recherche et
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euh où là encore il faut beaucoup discuter notre action est avant tout pédagogique et et on est là quand même pour euh aider ces entreprises et euh
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voilà les discussions sont quelquefois euh pas simple voilà merci beaucoup ben je vais passer la parole à à Laurent merci je vais essayer de vous
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parler de de deux choses une qui est dans l'actualité l'autre qui l' beaucoup moins puisque c'était la la présidentielle de 2022 sur laquelle on on a travaillé je vais commencer par la je vais commencer par le point d'actu a été
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rendu le 15 juin un rapport qui va dans lecture pour vous intéressé alors je sais pas s'il fera date euh parce que on sait pas ce que la ministre au jour d'aujourd'hui fera à la rentrée parce que ça va être à la rentrée que tout va se tout va se jouer il y a les
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arbitrages budgétaires qui arrivent là on est en pleine pleine période de décision sur sur beaucoup de choses ce rapport s'appelle le rapport le rapport gilet alors il y a les habituels constat sur lesquels tout le
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monde est d'accord puis les propositions sur lesquelles personne ne l'ai forcément euh la chose étant que Philippe gilet donc qui a été directeur de cabinet de
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de Valérie pcrress a bien lu sa lre de mission puis qu'il a rendu un rapport conforme en tout point à ce qui lui a été ce qui lui a été demandé donc en ça la mission est accomplie il fait des propositions il fait pas mal de propositions certaines intéressantes
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d'autres qui sont à examiner j'en prends une au hasard il veut par exemple pouvoir doter les les jeunes chercheurs d'une somme qui varierait de 10 à 100000 € par an en fonction des disciplines sur 3 ans à l'embauche ça semble difficile
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d'être contre là comme ça même si la mesure n'est pas n'est pas financé euh mais pour le le bien de cet après-midi il y en a une qui vous intéresse ser peut-être plus il s'agit de la création de ce qu'il appelle un HCS c'est un haut
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conseiller à la science un Haut Conseil à la science c'est c'est Al c'est un peu tout et n'importe quoi euh le rapport dit lui-même que en fait en France la le rapport entre les politiques et la
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communauté scientifique a connu beaucoup beaucoup beaucoup de commité de conseil de haut conseil même il y en a déjà eu donc je je vous les cite c'est les rapports qu'il cite he il y a eu le conseil Conseil supérieur de la recherche et de la technologie 82 comité
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d'orientation stratégique en 95 le Conseil national de la science en 98 le Haut Conseil pour la science et la technologie en 2006 et ça s fini avec le conseil stratégique de la
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recherche dont vous avez a priori pas entendu parler c'est normal puisquils sont inactifs depuis 2015 ils ont été fondés en 2013 quand j'ai dit ça j'ai pas dit grand-chose et et le rapport non plus mais pour tenter de d'aller à l'encontre de cette de ce qui semble
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être un défaut de dialogue entre les politiques là il s'agit surtout en réalité de de Lisée Matignon et les chercheurs ou la communauté scientifique il propose du coup sur un peu à la mode
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anglosaxon en fait de mettre de voir qu'une tête c'est qu'il veut un haut conseiller à la science qui serait alors je cite de Têtre l'interview de Philippe gilet que j'ai fait vendredi qui serait
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l'équivalent de ce qu'est Mona ner qui est la scientifique en chef CSO du du Canada alors c'est intéressant c'est intéressant parce que alors c'est intéressant parce que déjà il pense au
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modè l'anglaxon pour l'importer en France sachant qu'on a pas tout à fait la même culture politique que les que les Anglo-Saxons euh et parce que en réalité je on on ne sait pas et le
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rapport ne le dit ne fait que le l'évoquer euh ne sait pas quel serait réellement les capacités de cette de cette personne alors donc on imagine être un un scientifique reconnu ou en tout cas suffisamment reconnu pour être
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à la pour que sa parole soit acceptée par ses pères donc un peu vous j'imagine et en même temps des politiques alors je dis ça mais on on a connu quand même un un moment de la de la vie politique et
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de la vie tout court en France qui est celui du covid avec un un jean-françis delelfelfressi qui a été un moment ce scientifique en chef de la France alors certes sur un point précis qui été le covid et est-ce qu'il fallait porter un
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masque pas porter de masque fermer les écoles pas fermer les écoles c'est finalement ça a permis de faire ESP de crash test de la de la relation entre entre scientifiqu entre la communauté des chercheurs et euh et celle des celle
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celle des politiques est-ce que ça a été réussi j'ai envie de dire qu'emmanel Macron est quand même allé voir did raou c'est-à-dire que j'ai entendu une interview Didier raou sur BFM TV il y a il y a pas il y a de semaines de ça
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interview assez longue de 40 minutes dans lequel il développe malheureusement sans sans trop de sans trop de contradiction ces ces argument mais il refuse la contradiction donc c'est difficile de de la lui porter
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et il se réclame sans cesse de sa rencontre avec Emmanuel Macron et du fait qu'Emmanuel Macron bah comprenez comprenez moi il est venu me voir donc c'est bien que je représente quelque chose non seulement auprès de la France mais en plus auprès de la auprès de la
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science parce que malheureusement beaucoup de scientifiques beaucoup moins connus mais certainement beaucoup plus compétents que lui se sont échinés à prouver l'inverse pendant pendant des mois alors euh c'est un peu le problème
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voilà c'est un peu le problème de ce de ce qui serait au conseil scientifique il il y a cet aspect expertise c'està-dire j'ai une question en tant politique j'ai une question je la pose à quelqu'un mais le Conseil Scientifique tel que le le le propose le
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rapport Giles il y a en plus une forme d'élaboration de stratégie de stratégie de recherche il y a pas que du Conseil parce que pour le conseil vous allez me dire il y a les
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académies il y a le CNRS il y a les alliances on a vu qu'au moment de la la pseudo enquête de Frédérique Vidal sur l'islam gauchisme il des questions que CNRS fasse une enquête c'était bien c'était bien l'expertise déporté que qui
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était demandé à à aux scientifiques chose que CNRS a refusé certainement à raison mais voilà le ce poste de Haut Conseil pour nouveau qui soit et je
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pense que cette mesure en tout cas sera certainement retenue peut-être retenue voà en tout cas au doigt mouiller aujourd'hui si je voyais une en plus c'est la première c'est la première proposition du rapport c'est pas la 15e c'est vraent la première
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elle a elle a le le don de pouvoir séduire un petit peu les gens parce qu'elle est assez visible et qu'elle qu'elle aurait peut-être la allez la l'avantage de pouvoir mettre en en face
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deux politiques qui sont ça ça va être un peu la l'objet de la deuxième partie de mon propos qui sont très peu acculturer à ce qu'elle la science et ce quelle la manière dont les scientifiques pensent bah ça permettrait d'avoir quelqu'un qui soit a priori au plus haut
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niveau de de décision puisque le HCS serait rapporterait à l'Élysée et à Matignon évidemment en n'oubliant pas le ministère de l'AR cherche mais on imagine mal comment le ministère de la recherche pourrait voilà sortir gagnant
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du jeu dans la mesure où les prise de décision serait nécessairement prise entre deux portes enfin c'est déjà le cas aujourd'hui avec les conseillers à la recherche vous allez me dire Mathieu Landon il voilà c'est lui qui fait en partie la recherche aujourd'hui en
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France quand bien même je pense que c'est une mesure qui sera discutée qui est intéressante en soi je j'ai pas de jugement de valeur sur le sur le sur le fond mais vous pourvez PZ réagir si vous
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voulez vous avez envie de réagir je sens et euh et puis euh bah on on prendra date pour rediscuter de rediscuter de tout ça euh je termine juste en disant que si euh les euh et là je j'enfonce
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une porte ouverte euh mais si les les politiques qui sont souvent des haut fonctionnaires ou assimilés euh connaissent peu la recherche c'est que ils en fréquentent peu hein depuis leur depuis leur formation initiale euh il y
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a en France une séparation historique entre on est plus une ne serce que dans les termes quand on est docteur on est plutôt médecin en France voilà on n pas chercheur mais ça vous POS la question
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dans votre entourage docteur c'est un médecin c'est pas c'est pas un chercheur contrairement à l'Allemagne où voilà le PID a une réelle importance Merkel le fait qu'elle soit ça a une
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importance c'est marqué sur la carte d'identité c'est marqué sur la boîte au let c'est marqué partout marqué sur la carte bleue on m'a dit euh voilà donc a une a une méconnaissance qui est aussi forgée grâce à ça donc le le scientifique c'est
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toujours un petit peu le voilà le le gentil diable sur les sur l'épaule vous réagir non c'était pour cette histoire de de de haut conseiller en fait c'est vrai que quand j'ai vu cette proposition
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passer en premier lieu tout porter sur une personne ça fait peur voilà clairement mais après effectivement il faut voir comment ça va se décliner le seul point positif que j'y vois c'est que il y a au moins un conseiller
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scientifique euh proche des enfin qui rentre dans les instances du pouvoir c'est déjà un premier pas et quand même le Ministère de la Recherche va piloter l'interministérialité de la chose quand
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même voilà euh après j'ose espérer que dans la déclinaison de cette fonction que il y ait nominéement quelqu'un à qui on puisse se référer pourquoi pas mais c'est évident que c'est pas une seule
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person je peux répondre sur en partie le si ça passe on verra une tête on verra une tête on aura un Jean-François delfri ou son équivalent mais qui sera plus simplement chargé du covid et des masques qui sera chargé de sciences voilà alors est-ce que c'est bien est-ce
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que c'est mal la discussion est ouverte et c'est et c'est sera intéressant euh mais si on se base sur l'exemple canadien notamment je connais mieux l'exemple québécois parce que j'avais interviewé le scientifique en chef québécois qui s'appelle Rémy Kiron euh
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lui al pour le coup il est identifié comme étant scientifique en chef hein c'est vraiment dans dans son titre euh il a d'ailleurs plein de fonctions à la tête des fonds de fond d'est enfin pas de fond investissement agence de financement québécoise mais il a un
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conseil scientifique qui l'accompagne c'est que en gros les politiques lui donnent lui pose des questions et il y répond par l'intermédire de ce conseil scientifique voilà mais l'avantage c'est que l'avantage objectif que lui m'a en tout cas m'en a' m'a fait part c'est que
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quand un ministre a une question il l'appelle lui voilà alors qu'aujourd'hui peut-être moins évident quand on a une question d' d'appeler quelqu'un au scénarest dont on sait pas qui on va appeler en réalité quoi première partie
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euh alors la deuxième on a mené un travail à à mets en 2022 lors de l'élection présidentielle qui était de poser des questions alors c'est des questions qu'on avait fait posé par nos lecteurs qu'on a demandé à nos lecteurs
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de nous ramener des questions à destination de tous les candidats à la présidentielle quand je dis tous c'est tous cas Jean-Luc Mélenchon comme Éric Zémour euh il y avait 10 questions c'était 10 questions qui étaient
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vraiment qui qui allait du financement de la recherche le C le crédit impimportcherche pardon je vais pas faire trop de sigle euh c'était la culture scientifique c'était les rémunération des chercheurs les dotations de base les ANR enfin tous ces
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toutes ces questions qui vous préoccupent au premier plan et la question c'était de savoir si ça allait préoccuper également les candidats tout en sachant que sans se
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cacher derrière son petit doigt la recherche c'est c'est pas un enjeu de campagne majeur c'est pas sur ça que on y a toujours question plus ou moins surtout de recherche médicale d'ailleurs mais euh c'est pas ça c'est pas avec ça
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c'est pas avec la recherche qu'on gagne un débat à 20h30 sur TF1 c'est voilà par contre auprès de communautés affinitair avoir des
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préconisations des recommandations intéressantes si possible construite bah ça apporte évidemment des votes euh à peu près équivalent de ce qu'on peut de ce qu'on peut proposer comme comme comme pertinent alors la
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sociologie politique des chercheurs je la connais pas je je vous dis je la connais pas parce je je regrette de pas la connaître on a posé la question à un institut de sondage avec qui on voulait faire une audience sur qui allit voter les chercheurs ils ont refusé de nous
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suivre c'est c'est dommage on nespère pas pouvoir le faire dans les années à venir euh pourquoi je vous dis ça parce que on a l'impression comme ça que les chercheurs vent plutôt à gauche et plutôt pas à droite mais ça dépense des disciplines ça dépend des machins bon et
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cetera euh le fait est que quand on s'est penché euh quand on a appelé les équipes de campagne parce que le premier euh une fois qu'on avait récôé les questions l'idée C d'aller voir ensuite les équipes de campagne ne pour leur poser ses questions et ensuite avoir
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leurs réponses ce qui prend toujours un certain temps euh le premier temps en fait euh c'est de trouver qui s'occupe de ça dans les équipes de campagne forc de constater que à gauche ça pas été très compliqué à droite ça été beaucoup
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plus alors il y a différentes raisons qui expliquent ça à droite tout le monde se désintéressait pas de la recherche loin de là il y a eu des problèmes de démarrage de campagne je pense notamment ave ler pcress ça été un peu compliqué pour elle qui est de mémoire les
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primaires des républicains ça arrivé un peu plus tard donc on a fin par avoir des réponses de son Philippe gilet le le rapport gilet c'était son ancien directeur de cabinet il y a pas de il y a pas de secret et finalement on en a eu de on en a eu de tous alors je j'ai pas
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envie de porter un un jugement sur le fond mais il y avait quand même ça ça disait quelque chose quand même du rapport de la connaissance préalable de la recherche et de la
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science qu'avait ces équipes de campagne euh je vous donnais je vous donnais deux exemples aux même questions on a eu des réponses évidemment différentes euh alors cohérentes d'une certaine manière
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avec leur leur mode de pensé qui sont celles alors je vais prendre deux exemples C celui d' Zemour euh et celui de et celui de jean-l Mélenchon aucun des deux n'est au second tour on est
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bien d'accord mais euh il se trouve que Marine Le Pen le ou la chercheuse qui n'a pas voulu donner son nom qui nous a répondu euh nous a envoyé des des réponses qui étaient vraiment inexploitables enfin
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c'était vraiment des bribes et c'était un de bouts de copiercollés qu'on m' envoyé dans un mail donc on les a publié évidemment par souci de d'équité euh c'était al il y avait pas chatpt à l'époque mais mais je pense que chatpt
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aurait fait mieux pour le coup euh donc je fais pas offense à cette personne mais il a objectivement pas eu le temps ou pas bossé le le le sujet voilà objectivement objectivement après
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quand on analise le le le programme de Marine Le Pen il y avait pas beaucoup plus de choses non plus he il y avait quand même quelques trops c'està-dire il y avait des chose qui revenait un peu dans tous les programmes de campagne du style le 3 % du PIB pour la recherche ce genre de chos mais bon ça ça mange pas
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de pain de proposer dans la mesure où toute façon c'est pas un axe de campagne c'est pas un axe de campagne pour eux je reviens au cas d'ry Zemour et de de jean-que méenchon on a reçu des réponses quand même assez fouillé alors très
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fouillé de la part de Jean-Luc Mélenchon alors pour le coup qui pour le coup cé entouré de de beaucoup de chercheurs on est vraiment les noms alors je peux vous les citer si vous voulez hein il y a pas de pas de souci c'est c'est publque ouis
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autour de Jean-Luc Mélenchon qui lui-même s'il n'était pas élu affirmait de vouloir devenir soci anthropologue il a menti il est pas devenu anthropologue mais ça dit alors ça ça dit ça dit deux choses intéressantes ça dit un que la
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recherche bah ça lui parlerit quand même un petit peu et deux que euh s'il avait fait de la recherche il aurait fait des sciences sociales et ça c'est quand même un gros une grosse différence entre les deux candidats et de manière générale un
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peu plus entre la gauche et la droite plus que les les sciences dites dures qui sont euh de gauche à droite analyser soit en terme de progrès soit en terme d'innovation c'est plus on va ver la droite plus question d'industrie de progrès technologique et cetera mais
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finalement il y a pas une énorme différence fondamentale on va dire de voilà c'est la science quoi c'est la science en revanche quand on arrive sur les les sciences sociales et c'est là où vraiment il y a une il y a une césure la lecture qui en est faite est
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très différente quand on s'adresse alors c les insoumis parce qu'il Ctait pas encore la nupes je crois à l'époque et le mouvement le mouvement reconquête le titre de l'interview d'mour qu'on avait qu'on avait choisi c'est les sciences ne peuvent être polluées par des pressions
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politiques et quand il dit sciences là c'est les sciences humaines he pour le coup au-delà de les réponses qu'il nous a fait il d'ailleurs c'était rempli par un chercheur dont on connaît pas le nom il n'a pas voulu nous le donner malgré notre insistance les réponses étaient assez précises c'est-à dire qu'il y
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avait eu la LPR quelques mois auparavant donc céit du mieux disant sur la LPR plus d'argent sauvegarder la recherche et c'était important c'était c'était cohérent on va dire c'était pas révolutionnaire mais c'était cohérent par rapport à à l'ambiance politique du moment donc ça avait été fait par
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quelqu'un qui avait suivi de l'histoire qui a des choses à proposer mais là où ça se ça se ceinde on va dire complètement par rapport notamment à Jean-Luc menchon c'est que il y a cette cette politisation des sciences sociales voilà alors on sait que exé c'est un
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grand comment on va dire ça je je pas dire historien je je vexer tout le monde il utilise l'histoire pour son roman politique personnel iltil l'histoire pour pour illustrer son propos politique il il empreinte des théories qui n'en
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sont pas type de grand remplacement donc on voit que c'est son substrat euh personnel voilà et donc quand on lui pose la question de savoir comment allez-vous tenir compte de la bonne science dans l'élaboration des politiques il dit la liberté académique
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notamment en science sera préservé des dérives idéologiques et politiques alors évidemment ça vous l'ppte à toutes les toutes les interprétations le discours à tous les niveaux du gouvernement sera clair et non ambigu les sciences ne peuvent être polluées par des pressions et des considérations idéologiques ou
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politiques là on voit bien qu'il ne parle strictement que des sciences sociales il y a que ça qui l'intéresse c'est le hisme c'est l'histoire c'est euh dont on discuté avec Monsieur Val Valéri Entem de c'est c'est le son son idée du roman national ce qui est commun
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avec beaucoup de de régimes libéraux d'ailleurs en en Europe de l'Est après il a des opinions sur le crédit imp pourcherche des opinions sur sur le 3 % PIB sur le l'innovation industriel il
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veut notamment et ça c'est c'est un truc assez assez commun à toute la droite il veut rapprocher la recherche de l'industrie et si j'en viens j'en reviens pardon à Jean-Luc Mélenchon et après je cède la parole le programme alors la grosse différence avec
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avec hisemour c'est qu'il était pour le coup entouré de chercheurs donc j'en cite quelques-uns puisque aujourd'hui ils sont bah ils sont en fonction he on a Aurélie Trouvé Henrik David qui est aujourd'hui député Karine Fischer je
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crois qu'en tout il y a si députés issus de soit la France insoumis soit laanupes qui sont chercheurs donc c'est pas une c'est pas une façade il y a une vraie il y a un vrai entourage de Jean-Luc Mélanchon la recherche en plus de son
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apparemment de son envie de faire de l'anthropolog logie euh le programme qui nous a présenté de manière assez simple avec son service de Press et communication même s'il a été long de récupérer les questions parce qu'il y a
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tout un un étage de décision qui est qui est en réalité très verticale enfin en tout cas c'est comme ça que nous on l'a on l'a ressenti euh mais les réponses qu'il qu'il propose
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sont cohérentes Dénes quand même d'une connaissence du du sujet euh même si elles sont extrêmement radicales quand je dis extrêmement radicales c'est extrê rical par rapport aux autres candidats donc c'est notamment une suppression
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définitive de la NR qui a été une voilà sujet qui enfin c'est plus un sujet aujourd'hui mais bon la question de la NR est toujours sur la sur la table suppression du crédit impô recherche les moyens récurents des laboratoire enfin
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voilà on est dans cette et il n'est pas question enfin il est question des sciences sociales mais il est pas question des sciens social en au sens où il faudrait les défendre contre des dérives de méchants
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quiste mais comme de de sciences comme les autres qui doivent être considérés comme les autres voilà c'est évidemment leseffet de son de son entourage et du fait que des chercheurs des chercheuses ont aidé à à produire son son programme
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voilà je m'arrête merci alors on a pas mal parlé des élus on a moins parlé des cadres territoriaux je dis ça aussi parce que vous avez peut-être vu passer il y a eu une circulaire ministérielle
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récente qui disait que parmi les mission des chercheurs il y avait maintenant la formation des cadres territoriaux on est 70000 on est plutôt une population qui en nombre est en train de baisser du fait que les recrutements sont largement
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insuffisants mais par contre il y a une il y a une extension des missions de plus en plus donc on arrive à se demander bon ben c'est très bien tout ça mais peut-être que c'est pas à nous de le faire voilà donc juste peut-être euh Nathalie et et Frédéric si vous pouvez
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commenter sur l'interaction avec les cadres territoriaux merci alors alors effectivement j'ai vu passer cette cette annonce et au niveau d'aclimaterra on est en train de réfléchir à comment
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comment répondre si c'est une réponse individuelle ou si ça va être une réponse groupée de d'aclimaterra donc ça c'est quelque chose qui est en cours après par rapport à votre question je fais le lien avec les pcaet le plan rir
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climat transition territoriaux pardon territoriaux donc ce sont des plans qui sont mis en place à l'échelle de territoire pour accompagner la transition transition écologique et donc
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on on accompagne à la demande des territoires donc dans les réflexions donc on peut être ou en amont en plinière on vient présenter les éléments factuels pour la région avec après un zoom sur sur la localisation du
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territoire sur ce qui est connu et après on accompagne éventuellement dans le débat les il y a aussi une action mais en lien avec les services de la région où il y a des mini formations qui avaient été mis en place alors ça ça
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date a déjà 2 ans pour accompagner sur C certains besoins de la région donc ça ça existe mais Frédéric sur la même sur la même question les les cadres territoriaux est-ce que vous vous interagissez avec en fait qui s'occupe
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des cadres qui forme les cadres territoriaux actuellement quoi je vais parler pour la Normandie parce que je ne connais que la Normandie et euh on travaille nous principalement avec le Conseil Régional et le département
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er du conseil régional et effectivement en fait ils n'ont aucune formation scientifique donc c'est vrai que les interactions que l'on a avec eux euh vont il faut bien qu'on sa accorde sur
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parce que c'est basé sur des projets de recherche présentés par les équipes de recherche pour donner des financements donc il faut bien qu'on s'accorde avec eux en leur explicitant l'intérêt et la qualité
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de la recherche quand même donc c'est heureusement des gens à l'écoute mais ils ont une vision très budgétaire économique des filières de la région donc c'est une une discussion une
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balance pour essayer de conserver ou de favoriser des des des sujets scientifiques mais il y a pas de de formation et c'est pareil au niveau des élus en fait toujours pour la région Normandie on sent très bien que ces
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personnes dépendantes ils n'ont pas de formation non plus et après ça dépend de leur appétence ou de leur désir de l'intérêt de de d'une ouverture scientifique et d'aller vers engager des
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des des actions dans ce sens là revenez juste au rapport gilet où on a parlé du haut conseiller conseillèreux donc possible mais il y a un point qui était aussi récent qui est toujours dans le
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premier objectif et c'est le point numéro 3 en fait où euh dans ce rapport il conseille en fait une acculturation alors je lis pour pas dire des bêtises acculturation des
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services de l'État aux enjeux et aux spécificités de la recherche au grand défi scientifique alors après comment ça peut se traduire c'est par effectivement la formation des cadres d'administration publique au principe qui régissent la
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recherche et l'innovation donc ça ça irait plutôt dans dans le sens désiré et et ce qui est déjà mis en place en fait depuis cette année donc il y a il existe déjà le
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dispositif des thèses CIFRES c'est pour favoriser l'intégration des jeunes docteurs dans l'entreprise mais il existe l'équivalent avec ce qu'on appelle les thèses COFRAC il y a 1000
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thèses qui sont disponibles et c'est pour que ça soit des jeunes docteurs qui s'insèrent dans l'administration le but c'est effectivement uneult tion du monde
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de de l'administration et en même temps apporter une pensée une démarche scientifique une pensée scientifique dans les diff différentes
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administrations voilà je juste ça à préciser ça et puis l'autre chose c'est quand vous avez parlé ça m'a beaucoup amusé que vous mettiez que vous
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accolliez sur le panel recherche jusqu'à innovation une couleur politique qui va de gauche à droite moi c'est une remarque personnelle mais on voit que dans les dans les discours il est souvent plus question de la recherche en
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tant queetel à gauche et d'une recherche qui serait plus liée à une forme de progrès technologique voir de technolutionnisme euh à droite la comment dire la distinction se joue entre la entre entre la sur la
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définition peut-être de ce qu'il y a derrière le mot innovation euh et et de progrès voilà c'est c'est entre ces deux mots-là parce qu'à un moment le mot innovation a remplacé le mot progrès ce quiétien clin que j'aiécoutis dans une conférence jour situé à un moment assez
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précis de l'histoire je crois au début des années 2000 et je pense que c'est C plutôt cette différence entre le la définition de progrès la définition d'innovation qui se joue chez chez les politiques voilà on associe aussi beaucoup la recherche et ses résultats à
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la notion de progrès ce qui est pas systématique non plus en fait donc le débat peut être large alors est-ce qu'il y a des est-ce qu'il y a des questions alors oui je
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Pascal si si je reprends ta ta question c'est euh faut-il cibler principalement l'échelon local plutôt que l'échelon national pour augmenter euh l'impact des scientifiques alors juste pour revenir
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sur votre question enfin ou votre remarque effectivement la région nouvelleaquitane enfin je on avait fait vraim par contre on a vraiment fait attention dans le fonctionnement du groupe enfin du comité scientifique a resté neutre non influencé par les
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attentes on avait une commande de la région nouvelle-aquitaine mais après c'était vraiment le groupe scientifique qui a mené ce rapport et le contenu de ce rapport on a évidemment on n pas eu enfin on nous a pas dicté ce qu'il fallait sortir c'est c'est vraiment
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factuel et on s'est basé sur la littérature publiée euh donc oui la la région nouvelqu après c'est saisie de contenus pas tout hein évidemment enfin c'était pas pour plusieurs raisons de de contenus en en les déclinant dans ses 11
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ambitions donc par exemple il y a la préservation de la biodiversité objectif zéro déchets urbanisme durable donc elle est allé chercher dans certains un chapitre et je voudrais mieux répondre que tout à l'heure à la question oui il y a eu des formations mais elle concnait
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pas mon enfin mon chapitre auprès de service de la région sur certains domaines spécifiques du rapport donc oui il y a eu des interactions et des des formations de certains agents territoriaux mais pour ça il faudrait se rapprocher de de la charge de mission
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euh donc oui enfin pour moi c'est une chance qu'on ait pu aller jusqu'au bout et le bout enfin en plus le chemin n n'est pas terminé mais voilà qu'on a qu'il y a eu cette étape làà et ce travail qui qui qui continue ensuite sur
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la question de la temporalité oui c'est quelque chose qui est très très important parce que bon dans le cadre de la climaterra l'interlocuteur c'était la la région mais après par mon métier si je prends la casquette hiremè l'interlocuteur ça peut être les
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gestionnaires de la pêche donc pour une gestion durable des ressources donc euh les services desdtm euh délégation territoriale de la mer euh ça peut être les le le préfet le
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cabinet du préfet ça peut être les gestions pour des ressources locales les comités de de pêche et donc on a la cette difficulté de la temporalité entre la recherche et et l'attente du questionnement et par exemple les
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usagers les les pêcheurs ont une un fonctionnement au quotidien avec des s'adapter au quotidien avec leur activité qui Chang en fction de la météo enfin de la présence des espèces ou pas et puis la question des quotas qui est pour l'année suivante et nous notre là
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c'est leur temps de fonctionnement et nous notre temps de la recherche et ben il est il est vous le savez bien sûr bien plus long pour essayer de répondre à la question et en plus quand on travaille sur des prévisions du changement climatique on on parle à 2030
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voir 2050 et donc là très très concrètement on n'est plus du tout sur la même échelle alors que eux enfin le le le seul l'accroche est que eux commencent à percevoir les changements donc c'est pour ça qu' nous écoute enfin et qu'on a qu'on arrive à dialoguer
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ensemble mais cette différence de temporalité entre bah notre temps de la recherche et le temps de de l'action pour les professionnels fait que voilà c'est c'est une difficulté qu'il faut prendre en compte dans dans les échanges
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au-delà de cette difficulté de temporalité il y a aussi le fait que ça change les gens tournent dans les comités dans les dans les structures qui sont au relais et donc il y a une forme d'appropriation sur lequelle il faut travailler à chaque fois donc qui fait qui rallonge aussi le
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temps d'appropriation et qui qui fait que c'est un peu un peu plus long mais c'est quelque chose sur lequel il faut travailler continuellement frééric alors effectivement qu'est-ce qui accompagne un peu les élus
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régionaux alors en Normandie on a votre équivalent en fait comme structure qu'on appelle nous le GC normand voilà qui a été une décision de notre président de Région donc c'est pour ça que je dis que
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c'est aussi personne dépendante à sensibilité dépendante euh qui fonctionne en gros comme vous et après sen en parle le conseil régional il en faitin ce qu'il en veut suivant ses contraintes au niveau des régions il y a
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aussi les cers qui sont aussi source d'analys et de rapports euh dont on peut s'emparer les les euh les conseils régionaux ou les élus locaux ce qui se passe aussi au niveau des régions et ça a été fait cette année je pense pareil
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pour votre région euh il y a obligation et ça ça vient de l'Europe faut pas oublier quand même que les conseils régionaux sont surtout financés par des fonds de l'État certes et européens donc en cela ils doivent quand même répondre à certaines directives ou orientations
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qui viennent de l'Europe et entre autres ils ont à euh pour ça écrire le schéma euh régional à l'enseignement supérieur et à la recherche le sesser donc j'ai
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doubl bien s je sais plus voilà je des acronymes et euh pour la construction de ce sesserie en Normandie cette année en fait ça a été très enfin 2022 ça a été
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très très intéressant parce que euh il y a eu des groupes de travail une dizaine de groupes de travail répondant à une dizaine de thématiques qui allaient de l'enseignement la recherche l'innovation
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la culture scientifique le partenariat européen qui a associer donc les différents chercheurs et pas décideurs mais les personnes des
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collectivités territoriales pour construire ensemble ce schéma territorial donc ça veut dire qu'il y a quand même une consultation et une implication des chercheurs et un échange avec les
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politiques locales voilà ce qu'il en est pour l'instant ah bah la temparalité ça c'est ça c'est ça c'est le gros souci ça ça effectivement alors ça c'est je va plutôt voir ça du côté de l'expertise
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collective où effectivement quand un politique vient ou un organisme d'état peu importe pour vous faire vous poser une question il pense que ça va être réglé allez dans
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les 6 mois et on explique le temps de la recherche de l'analyse et et et de l'écriture c'est impossible donc que il y a nécessité d'échang de débat euh
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d'appropriation des connaissances en tout lieu enfin en premier lieu et que ça peut prendre 3 ans donc effectivement là on sent un peu un effondrement du côté de mais bon quand les choses les
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choses s'expliquent et que c'est pour arriver à un produit que on estime transparent et de qualité ça se passe bien mais c'est évident que pour eux ça ne convient pas donc là aussi il y a peut-être un entre deux mais c'est
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difficile c'est difficile merci une question qu'on se posait c'était les assemblées citoyennes on en avait discuté un petit peu avec avec Nathalie effectivement euh je vais donner un exemple donc par rapport aux
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assemblées citoyennes donc moi je viens d'Anglette et à côté d'Anglette il y a une petite ville qui s'appelle hurugne où il y a une assemblée citoyenne qui a été mise en place composée de 20 personnes et parmi les sujets qui ont
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été proposés euh à l'assemblée citoyenne il y avait urung solidaire euh la la gestion des biens communs au forêt biodiversité et puis et puis d'autres voilà donc l'assemblée citoyenne a
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retenu alors je ne sais plus comment s'est fait le vote mais a retenu hurugne solidaire mais dans le cas où elle aurait retenu le le sujet gestion des des biens communs forêt au biodiversité
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nous nous nous sommes en train d'organiser pour la dans le enfin pour le 14 octobre prochain avec urung une journée citoyenne pour pour alors c'est àulturer enfin pour sensibiliser le
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citoyen en tant que acteur de la société sur la la enfin la gestion de ces biens communs et l'interconnexion la vision écosystémique indispensable entre la forêt l'eau et et la biodiversité donc
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l'idée c'est de faire germer au sein de de cette commune des citoyens informés en faisant venir donc il y aura un débat enfin un débat scientifique qui sera qui va être organisé par acclimatera en lien
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avec futur acte donc les deux les deux structures sont sont imp expliqué donc celui-ci il est il est sous lesgide de plutôt de de futurac donc c'est le réseau R3 dont j'ai parlé ce matin sur enfin tout à l'heure sur l'anticipation
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et donc c'estfin ces outils c'est de justement faire le lien entre les enfin la la sensibilité des des citoyens les assemblées citoyennes qui peuvent mettre être misise en place et donc si
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enfin pour la prochaine assemblée citoyenne par qu'elles ont une vie de 18 mois sur sur la commune je sais pas si c'est pareil si c'est partout pareil euh pour la prochaine assemblée cito yen sera reproposé le sujet de de ce bien
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commun de ces biens communs et donc l'idée voilà c'est de de faire germer de et que que des échanges existent et que du coup les citoyens puissent ensuite ben voter demander des choses à leur élu de de manière informée sur la formation
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des députés alors si je me souviens bien il y a une petite minorité des députés qui sont allés à cette formation exactement je pense que c'était c'était très c'était très polarisé et et même parmi la gauche je
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pense c'est pas tous du tout et et ce n'était pas obligatoire voilà don donc la chose qu'on peut proposer c'est qu'il a une formation obligatoire pour les députés les députés ils peuvent être formés en région aussi hein si les
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communautés si leur si leurs constituants leur propos de les former voire demande fortement s'ils ont des avis sur des choses assez précises sil y a pas que les députés à former ou les ou
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les sénateurs il y a aussi tous leur tous leur staff en fait tous leurs collègues parlementaires et sont généralement eux beaucoup plus beaucoup plus Friant de de mon expérience de de formation de formation scientifique et
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donc la deuxième c'est les critères d'attribution en fait de de l'argent des des régions et ça Frédéric justement j'espère que ça va vous faire plaisir donc c'est vrai que les les
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conseils régionaux ENF en tout cas en Normandie chaque année font des appels à projet pour les projets de recherche ou pour les doctorants finance énormément la recherche en région et cette année
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pour la première fois a été ajouté obligation de valorisation quelle qu'elle soit hein voilà des travaux scientifiques qui seront liés à cet appel à projet au financement de cet appel à projet dans le même ordre d'idée
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donc vous vous savez peut-être suite à la suite à la LPR chaque fois que vous avez un projet ANR il y a donc 1 % de l'argent qui est qui doit être utilisé pour de la
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de la communication scientifique sur ce projet c'est de l'argent qui arrive en plus alors c'est depuis 2019 les premiers projets sont ceux de 2019 c'est 1 % c'est de l'argent que les chercheurs ne voient jamais et qui généralement
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alors au moins au CNRS est capté par le CNRS mais par contre si vous allez voir votre délégation et vous dites ah mais j'ai un projet de valorisation scientifique ils vont vous tout à fait tout à fait ils vont vous demander vous
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êtes sur quel projet ah mais là on a euh 2000 € pour ce projet pour la valorisation scientifique mais mais en tout cas dans ma délégation faut aller les voir si toujours dans le cadre de la LPR les appels à projet purement dédiés
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à la communication scientifique avec chaque année en fait des thématiques dans les appels à projet sciences participativ qui sont des pour des projets de recherche sur la communication scientifique
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voilà la seule différence pour moi ce serait le l'éventuelle médiatisation l'éventuelle publicité faite au au post c'est est-ce qu'on conna est-ce qu' un moment on connaîtra cette personne
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est-ce que au-delà de des organigramme un peu sibilin qu'on trouve dans Journal Officiel parce que Arna muni vous le connaissezon moi je le connais parce que je travaille ces sujets là mais peut pas dire qu'au niveau du grand public ce
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soit ce soit figure connue ça peut changer les chos chose ça peut changer la donne si un peu comme Anthony fossi aux États-Unis ou Delfi en France il y a voilà il y a une tête moi je vois les choses d'une manière médiatique hein
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vous l'avez compris mais bon je je me fais pas je suis journaliste donc voilà quelqu'un de connu aura plus de poids parce que c'est comme ça que quelqu'un de pas connu en fait la différence avec avec Arnold muniich et compagnie c'est
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que là ça sera un poste affiché enfin une mission affichée en fait alors on peut voir le le côté sombre mais ou le côté positif côté positif c'est que c'est peut-être une volonté d'
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d'inscrire un peu du scientifique dans dans dans les politiques publiques voilà mais après faut voir comment ça sera décliné c'est ça que je si on lit le texte du rapport gilet c'est très vague la référence c'est intéressant la
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référence à Mona NEMA donc qui est une c'est une biologiste d'ailleurs aussi qui est la scientifique en chef du du Canada dans ces missions il y a une mission de coordination des de ce qui se passe
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entre les différents alors c'est pas des ministères des différents départements au Canada et ça c'est clairement proposé par par gilet c'est c'est de dire finalement une grande partie enfin une bonne partie du budget de la recherche
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échappe actuellement au meser enfin au MRE il y a plus de i quelque part le but de ce de ce conseiller c'est de mettre en réseau tous les conseillers scientifiques des différents ministères
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techniques et et l'autre chose c'est une mission principale de monanema c'est de s'assurer que les consensus scientifiques sont pris en compte lors des décisions des des
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différents ministères ça c'est c'est c'est sa mission c'est presque sa mission principale je dirais et c'est c'est évoqué à un endroit dans le rapport c'est évoqué mais pas du tout dans au moment où on décrit ce que
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devrait être ce conseiller scientifique donc je serai assez d'accord avec Laurent penser que de toute façon ça s'il y a une chose qui passe dans ce rapport ça sera ça et donc c'est c'est à la communauté de se mobiliser pour dire qu'est-ce que qu'est-ce que l'on veut
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comme conseiller scientifique qu'est-ce qu'est-ce que cette personne doit avoir comme moyen aussi ça peut pas suffire une personne faut tout un bureau quel doit être le niveau d'accessibilité publique de cette personne est-ce que cette personne peut être saisie disons
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par une association en disant ah mais cette loi là qui est proposée elle va à l'encontre du consensus scientifique donc là la balle est dans notre camp si vous voulez un autre texte sur le sur le le haut conseiller scientifique Alain
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Berret qui était le le président de l'Université de Strasbourg qui a été DGRI aussi euh a publié un article dans the conversation sur que devait être un haut conseiller scientifique pourquoi il fallait qu'il y ait un haut conseiller
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scientifique et et lui ça son raisonnement principal c'est de dire tous les conseillers actuels sont partiese prenantes de la décision politique ce conseiller doit strictement être en dehors donc ça doit pas être un
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poste ministériel de type ministériel ou autre il doit être en dehors de la mise en application et de la décision il y a de fortes chances qu'il y en ait un donc c'est à nous de nous saisir de ça maintenant en un mot on avait on Ava interv Rémi Kiron donc le le
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scientifique en chef québécois qui disait que voilà pour les pour ses collègues arrivit à faire de l'expertise au sens où lui il l'entendait c'était scomètre et et ça ça ça sousentend peut-être que il faut s'y prendre très tôt dans la formation des
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scientifiques pour que ils soi confronté à cet autre rôle qu'il pourrait avoir en se souvenant aussi que il y a très peu de gens formés par la recherche qui restent dans la recherche donc c'est important de pouvoir former
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les gens aussi à la prise de décision donc Nathalie a une expérience là-dessus j'interviens en master biologie et j'interviens aussi à à à sciencep Bordeaux et dans les deux cas j'interviens sur enfin parti sur les
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cours sur la place de l'expertise scientifique dans les décisions de gesture en matière de pêche et ce qui m'a donné l'idée de de faire interagir sur la forme d'un mini séminaire entre les deux formations donc j'ai fait j'ai fait se rencontrer les les futurs enfin
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les biologistes et les et les futurs politologues et je les ai fait travailler sur des déplacements d'espèces importantes pour les pêcheries locales et de voir quels étaient les solution d'adaptation et ce que ça sous-entendait et donc ils ont travaillé
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sur un projet commun qu'ils ont qu'ils ont restitué et c'est vraiment quelque chose qui a qui a vraiment bien marché que les enfin les étudiants ont vraiment aimé parce qu'ils se sont rendus compte des difficultés enfin de sous la forme enfin à leur échelle hein puis à
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l'échelle du projet entre les les besoins de connaissance qui n'étaient pas les mêmes les la façon de travailler qui n'était pas les mêmes euh les difficultés des enfin des des biologistes qui avaient des incertitudes sur les les migrations la temporalité des migrations et après les besoins
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politiques d'adaptation donc ça j'ai fait je fais ça avec une politologue de Line Raay Cathy Catriona et on a on a l'idée donc on a proposé ça dans un FabLab de l'étendre avec en mouillant cette fois-ci les les pêcheurs les
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futurs pêcheurs professionnels en associant un lycée un lycée maritime et on est curieuse on espère que ça va être retenu et euh et donc faire faire travailler ensemble avant que toutes ces personnes aient des postes après de métier
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où ils sont format enfin malheureusement enfin c'est comme ça ils sont formatés ils ont une posture et qu'il puissent travailler ensemble et voir les choses autrement plus jeunes plus voilà plus c'est ça c'est quelque chose qui me qui me plaît beaucoup et voilà qu'on essaie
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de de mener à notre échelle voilà quit des SHS aussi quit du financement des SHS par les régions je suis surprise de ta question parce que pour moi c'est que enfin c'est une ce sont des des disciplines des des
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sciences que l'on associe euh enfin forcément dans nos projets pour intégrer l'acceptabilité sociale enfin si c'est des sujet purement biologique on va pas les associer mais dè dès que ça touche la gestion on va les associer pour
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réfléchir à aussi l'acceptabilité sociale travailler sur l'appropriation de la problématique et pour identifier des des solutions qui soient acceptables et et aussi dans le cadre de du R3 sur
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l'anticipation pour imaginer des trajectoires donc c'est vrai qu'on a des difficultés à trouver des des des personnes en en SHS qui soient disponibles parce qu'ils sont très demandés oou il y en a pas très peu j'en sais rien mais mais c'est pas toujours
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facile de les enfin de de trouver du monde mais c'est si si c'est c'est un besoin très très important et sauf erreur euh dans plusieurs appels à projet c'est une condition d'intégrer les SHS comme ça a été mentionné pour
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pour avoir aussi euh enfin cocher les cases pour euh répondre à l'appel d'offre donc euh mais mais c'est principalement pour parce que l'acceptabilité sociale c'est une vision peut-être un petit peu réductrice de l'apport des
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SHS je voulais surtout pas frisser du monde c'était pour te dire au minimum c'était enfin il fallait les prendre en compte non non après pour moi c'est c'est naturel cette interdisciplinarité ENF j'aif peut-être
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que vous surez me plé moi pour pour répondre mais je sais pas enfin en fonction du sujet on va chercher les des disciplines les sciences enfin nécessaire et suffisante je sais
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pas mais logique pour répondre avec les moyens disponible aussi à à la question qui est posée mais je je moi je fais pas de différence entre science SHS ou science dur
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dans le conseil àlimaterra on retrouve une représentation à peu près équilibrée des différentes sciences j'ai pas les chiffres mais oui oui a les différentes sciances son sont présentes oui et pareil et dans le R3 qui est le réseau
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régionale justement vu qu'on veut se construire avec les acteurs de la société pour les besoins du territoire c'est forcé enfin c'est d'ailleurs c'est c'est le le point le point d'entrée majeur qui qui
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caractérise ce réseau recherche également c'est le le le maillon fort du du réseau aussi c'est le besoin des SHS en en pivot Frédéric en Normandie en fait donc il y a il y a trois université
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qui représente les trois villes principales le RIN Le Havre et camp et sur chacun des sites en fait il y a des gros départements de SHS qui sont très bien considérés et étonnemment nous côté
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état je vous rappelle on intervient dans le CPR pour financer des équipements donc on voit on inscrit des projets en accord avec la région c'est collégial sur le contrat de plan ettat
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région les SHS en fait demandent souvent pas d'équipement pas besoin de microscope qui font 3 tonnes ou de voilà par ailleurs c'est vrai que eux sont déjà très bien financé il y a des
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projets européens ou ce sont des infrastructures nationales donc en fait les SHS de ce point de vue là en recherche Normandie on va dire ça va pas trop mal après là où nous toujours dans le cadre des fonctionsrar ce que l'on a
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vu quand même apparaître c'est au niveau des thèses CIFRES et là il y a une vraie volonté quand même de pousser les les SHS donc on a eu de plus en plus il y a
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eu une promotionin envers les les les chercheurs enfin les unités de recherche en SHS toute discipline confondue hein ce soit histoire économie ou SHS voilà et c'est vrai qu'on a vu apparaître on
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voit apparaître en tout cas de plus en plus de dossiers de thèses qui qui qui qui passent et qui sont acceptés voilà après je vais revenir sur le côté expertise collective de
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l'incerme alors là d'emblé des puisque c'est un un groupe d'experts qui va analyser une tique de donné d'emblé il y avait les donc ça ça remonte moin à une
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une vingtaine d'années he des scientifique en SHS qui était associé au travail donc c'est pas une nouveauté en fait de de ce côté-là ner peut-être une dernière question et
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puis après on va on va excusez-moi pour en revenir au aussi aux ciffres euh je on se rend bien compte aussi de la difficulté donc bon le but des ciifres c'est le partenariat partenariat public privé donc c'est
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c'est la définition même d'où effectivement le côté un peu appliqué euh mais la difficulté pour les laboratoires de recherche s'ils veulent faire une test cre en SHS c'est de trouver un un partenaire privé c'est
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très compliqué alors en fait ce qui se passe c'est beaucoup les collectivités qui qui dans ces cas-là répondent et et avec des des projets et sujets très intéressants en fait que ça soit au niveau de la ville enfin au niveau
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de donc pour ça c'est bien mais sinon un dans chez un industriel ou chose comme ça c'est beaucoup plus compliqué donc j'avoue que c'est remarquable pour ceux qui font
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l'effort de de vouloir s'engager dans cette voie donc je pense qu'on va on va arriver à la fin j'aimerais terminer sur une sur une note un peu positive qui est de demander à chacun de nos intervenants voilà si vous vous aviez une chose à
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mettre en place qui améliorerait les choses qu'est-ce que vous choisiriez je pense qu'il faut que les scientifiques passe à la télé en fait mais beaucoup plus ça marche pour certains on a vu Michel Zemour pendant la réforme des
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retraites quand c'est bien fait c'est enfin c'est en fait c'est magique ça vraiment ça c'est un politiste s'appelle Bruno Pier qui me disait que un politique croira toujours plus
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une interview sur BFM qu'une publication scientifique quo quoi que vous pu puie faire quoi que vous puissiez publier il y a il y a pas voilà on vit dans une société cé du spectacle voilà je vais pas vous faire le le le le le
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l'explication de ça c'est pour moi c'est incontournable voilà passer à la télé alors comment dire ben moi je serais plus effectivement sur une
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infiltration des des des des scientifiques dans les différentes instances effectivement comme peut-être l'interface ou la formation du politique l'aider à décrypter l'aider à à prendre
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du recul l'aider à avoir un esprit critique et cetera enfin toutes ces notions de de de démarche scientifique que l'on peut avoir à se poser les bonnes questions et cetera c'est un peu ce qu'on a évoqué cet après-midi et à
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noter que alors je sais pas combien il y a de docteurs dans l'assemblée actuelle en Allemagne c'est 20 % en France généralement c'est moins de 5 donc peut-être aussi encourager les
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les scientifique à à avoir des postes élus moi je suis inscrite dans les dynamiques à climaterra futurct les R3 rien de M oblige hein et c'est pas forcément reconnu he au niveau carrière
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c'est pas grave mais du coup enfin je me dis que c'est enfin c'est quelque chose auquel je crois et et qu'il faut voilà qu'il faut favoriser il faut trouver des moyens de valoriser aussi cette activité parce que ça ben mine de rien ça ça prend du temps mais c'est pour moi c'est
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utile il faut le faire voilà et après je ça me tient à cœur l'interaction avec les jeunes donc euh du on a parlé ce matin des primaires aussi voilà mais par exemple au niveau des masters là l'interaction master biologie et Science
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Po c'était enfin une expérience vraiment enfin très très intéressante très enrichissante à voir comment les deux réagissaient c'était sur le brexit hein donc il y avait parce qu'on a des bateaux qui travaillent aussi dans les eaux jusqu' dans les eaux anglaises donc
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c'était de les faire réfléchir à ça et de voir comment ils avaient l'approche différente complémentaire c'était enrichissant même même pour nous hein pour traiter pour traiter les sujets pour voir comment leur expliquer les chose donc ça je je je pense que
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interagir sur la formation initiale aussi c'est c'est très très important et voilà si ça pouvait je sais qu'il y a plein de gens qui le font mais voilà continueer sur C ce type d'action merci ben on arrive on arrive à 16h et la fin
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de cette journée euh donc d'abord un très très grand merci aux intervenants et intervenantes ce matin et et cet après-midi euh un très grand merci à
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vous euh pour vos questions pour euh pour les débats dans ces Tabl rondes l'innovation en fait était exclu pour aller justement vers les choses qui sont pas l'innovation qui sont vers vers le public vers les décideurs ce qui est
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apparu très souvent quand même dans nos débats c'est le fait qu'on peut pas tout demander aux chercheurs il faudrait 15000 médiateurs en plus non ça peut pas être 15000 chercheurs parce qu'on nous demande de faire autre chose il faudrait
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former telle et telle population il faudrait être dans des conseils scientifiques qui seraient dans les différentes municipalités il y en a 36000 quand même en France euh arrive un moment où on se dit euh on peut pas tout
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demander aux chercheurs il faut qu'il y ait des intermédiaires très bien identifiés en nombre suffisant entre les chercheurs et la catégorie cible qu'on veut euh qu'on veut toucher pour
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l'innovation c'est simple c'est les ingénieurs pour la santé c'est simple c'est les médecins pour la médiation c'est relativement simple il y a pas mal de médiateurs potentiellement il y a pas mal de docteurs aussi que l'on forme qui
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aimeraient s'investir dans la médiation par contre il y a pas de modèle économique et ça c'est ce qu'on a bien vu avec la l'intervention de de François Deo il y a simplement pas d'argent publ pour ce genre de chose donc là il y a
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vraiment une courroie une courroie manquante si on regarde l'interface avec les politiques j'ai l'impression que c'est pas uniquement le financement de la courroie qui manque c'est c'est l'intermédiaire il y a pas
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d'intermédiaire vraiment identifié qui serait alors on peut dire que c'est effectivement c'est des c'est des lobby mais pour ça il faut des gens qui connaissent les sciences qui connaissent le monde politique et surtout il faut de l'argent pour que ces
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gens-là puissent se faire puissent se faire l'avocat alors il y a des possibilités institutionnelles ce qu'on a mentionné avec des conseillers qui soient plus visibl mais on s'aperçoit que là il y a vraiment une catégorie de population qui manque complètement avec
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des conséquences qui sont en fait extrêmement importantes pas que pour les scientifiques surtout pour la société c'est-à-dire essayer de se battre contre des décisions politiques qui ne répondent pas à une rationalité de bien
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commun ça peut être une rationalité de suivre des intérêts une rationalité qui est de suivre son intuition plus ou moins informé mais de ne pas avoir cette idée
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d'aller vers des vers des conseils scientifique en France il y a depuis peu mais enfin la création de Master spécialisés en commun métion scientifique
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médiation scientifique ça commence à à s'installer dans les différentes universités quand même il y aire sur le média et le climat qui a été fait à SACL notamment et puis il y a la formation
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que tu que tu mentionnais quelque part qui est pas vraiment une formation mais l'idée de de faire des formations communes entre plusieurs masters donc de jouer peut-être à ce niveau-là effectivement sur la formation initiale on en est là finalement développer la
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formation initiale de cette interface merci beaucoup au [Applaudissements] revoir
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