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on va commencer par ses lignes puisque on va ouvrir avec cette question réalisatrice de sauvetage si vous ne l'avez pas vu vous allez en découvrir une partie ne s'agit pas de le regarder dans son entier j'ai pour ma part
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voilà on ne l'ait pas vu en direct il a été passé sur public sénat je pense que c'est au mois de mai l'année dernière quelque chose comme ça et à peu près un an mais là dans le petit réseau
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ça a beaucoup communiqué c'est un film extrêmement sensible très bien fait un regard en même temps extérieur mais met vraiment en plongée dans un itep sur
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plusieurs mois on va laisser ces lignes nous parler de ça c'est en fait la première parole qu'on va donner aux enfants après toutes nos rencontres où on a parlé d'eux et c'est dans ce sens là que j'ai demandé à ces lignes de bien
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vouloir nous donner des extraits 1 voilà pour pouvoir avoir ces paroles d'enfants à qui sont essentiels merci à philippe jamet d'être présent on a eu l'occasion
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voilà de se retrouver avec philippe jamet aliens et s'acheva dans une forme du ministère sur les troubles du comportement et leur évaluation leur prise en charge et puis à nos deux collègues gilles
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renard et françois de la cour qui représente l'air l'association des itep et de leurs réseaux qui est une association professionnelle mais très influente qui réfléchit beaucoup à ces
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questions de dispositif et notamment qui porte le nouveau dispositif qui va nous nous à nous faire réfléchir sur l'évolution institutionnelle aussi qu'on connaît globalement dans le champ du handicap mais particulièrement autour des
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questions des itep voilà donc on se passera la parole sera un peu bien entendu petit groupe vous intervenez 1 c'est un échange absolument direct et est très facile ce soir mais on va
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commencer donc par par céline un voile alors pendant que vous dit quelques mots je m'installe enfin j'ouvre leur dis ok je dise quelques mots il faut je dise
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quoi moi là tu vas trop quoi vous dire avant de vous montrer les images du film juste vous donner le contexte donc j'ai tourné pendant un an dans un itep qui
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accueillait 40 [Musique] jeune garçon il y avait l'année où j'ai tourné il y avait que des gardes sont d'après il y avait une fille mais bon voilà vous savez c'est essentiellement à
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80% les dont 80% des enfants dans les étapes sont des garçons donc cette année là il y avait que des petits gars et j'ai j'ai tourné 80 jours avec eux j'ai
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suivi trois enfants principalement trois les plus petits je me suis attaché aux plus petits voilà sachant que ce que j'avais compris qu'en gt gt avait d'abord fait avant de tourner et j'ai fait l'année d'avant une semaine de
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repérage moi ce qui m'intéressait c'était de c'était d'essayer de filmer le ski était le contrat qui leur a été donné dans sept des plats en tout cas quand il arrivait il était hors du
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système scolaire à plein enfin je sais que ça se passe plus comme ça maintenant les eaux là où j'ai filmé les enfants il n'allait plus du tout à l'école normale comme il l'appelle et donc du coup il
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était pour deux tiers d'entre eux interne dans cette étape où ils passaient leur temps tout couleur toute leur journée et tout leur ennui quoi voilà donc du coup moi je me suis attaché à 6 mai trois des plus jeunes
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passant par les internes j'ai pas filmer je filme les externes enfin je veux dire c'est pas les personnages principaux et les petits parce que c'était ceux à qui on on donnait un deal à leur arrivée qui
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était en gros si tu si tu te calmes tu pourras retourner à l'école extérieur donc l'idée voilà dans sim pour moi ça a été ça ça a été d'essayer de suivre des enfants et de voir ceux qui
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réussissaient ce parcours pas tous hein logiquement les petits en tout cas majoritairement ils y retournent progressivement à l'école là c'est une heure par semaine le graal
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accomplissez ça mais voilà et parallèlement je les ai suivis parce qu'ils aient tous partie d'une opération qui s'appelait le challenge rugby et donc du coup il s'entraînait toute
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l'année à jouer au rugby constituer une équipe qui était encore lié au fait que ceux qui se comporte bien pourront partir et c'est parce qu'il doit en rester que 7 à la fin et du coup le challenge rugby ça a réuni le flon
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dessous les items français qui se réunissent une fois l'an nous parle années où j'ai tourné c'était à paris donc en plus c'était sale et à la capitale s'étaient et là concentrée pendant trois jours il ya 1 400 mots me
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dit est donc très 80 % des garçons et ses muscles et quoi c'est super et en plus isolé vous verrez pas la fin du film et ça se termine bien ils sont terminé 3e du challenge de rugby ce qui leur était jamais arrivé et ils ont fini
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contre des géants a lutté comme des lions ils ont été héroïques et du coup voilà ça donnait un regard positif sur sur ses sales gosses on peut éteindre la
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lumière ou pas les crieurs pas juste pour la projection super ici c'est bon ouais c'est ça ok
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ça va venir on l'avait tout à l'heure [Musique] avant de sortir quand j'étais repris en
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sortant de ma classe étaient des mères c'est en fait oui tu es sorti en dansant jusque là les autres ignorent et bave
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espérer toi c'est simple je pense à s'était excité à 200 l'api ce matin tu fais le fou tu fais des donneurs du chômage que les autres mais n'arrive pas
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à comprendre car au bout d'un moment ça énerve les autres m non j'ai juste très insolente et ensuite passer les vacances je parie des
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compliqué que tu en parles étoiles est ce que tu es prêt à en parler non tu veux préfère ressasser ça comme ça tout seul tu étais chez qui chez papa ou maman était chez qui des deux a été
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et ça s'est bien passé chez peak est mal passée chez qui tue sont en colère tu as tout à fait le droit d'être en colère et dur du monde et opère je peux tu en colère c'est humain il ya pas qu aux
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entraînements et chambre prend les ballons c'est la télé pareil là est pire après ben moi je fais dans les beaux depuis saillie qui met une fois thannois il a il n'a pas
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accouché t d'affaires et puis on n'est pas vous battre sa solution rompu et moi ce qui met en colère après c'est moi j'interviens pour justement vous fassiez pas mal en trempant au dessus et qu'est ce que j'ai
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comme réponse génial offrons tout ça etc il faut qu'on pu se terrer nous et si en retour c'est insultes ça cette coupe on
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ne peut pas faire en chaume ou nouveau roman voilà qui devrait permettre une boîte avec des gros mots à gogo tu vois que tu es dedans et puis tu fermes bien pour les sortir compter une héroïne dans
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tous les sens dylan explique mauritel d aubry qu'est-ce que c'est cet endroit une tête d aubry c'est pour aider l'enfant bas
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qui arrive pas à travailler qu'on fait des bêtises à l'école donc les parents les amène à et pub après ben chez
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plumeau dont les dres on va dire c'est pour briser les enfants non mais chez puyal à la place et pour les chiens dressés meilleurs chiens pure est coté
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là toi tout à fait pour l'abattoir alors j'ai fait une très grosse bêtise la très grosse bêtise fait bah pareil quand même finnair mettre à sac les prix
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dans les faits si l'on met des la colle sur la chaîne la2 la glu ou sinon je fous sinon j'ai cassé l'ordinateur et j'ai fait tomber de l'armoire sur la
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tête de la maîtresse voilà effet ça bon je vous passe je vous passe le sang et les larmes et bagarres et du coup j'ai reprendre vous devez alive finalement ce petit garçon là va
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réussir à retourner à l'école et donc l'extrait que vous montrez c'est la première fois qu'il est à la lie à un énervement c'est la première fois à elle a aussi en
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un joli là d'un soulagement de ce qui est trop bon et donc va la lui a donnée à l'école [Musique] et pour la première fois de les
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collecter [Musique] sur place toute la tribu mais je n'ai
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moi c'était très bien je te dis des
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parfums est parfait y a un truc comme un
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ballon sauvé un ballon sur les vous le perdez pas ce que vous faites la passe aveugle on fait attention de pas perdre un match comme ça c'est dommage vraiment alors ça a été le premier jour d'école après
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et qu'est ce que tu as dit la maîtresse pas rien tu sens beaucoup de rigueur sur toi non non et mais là ce matin on a fait une
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course le du rail kiala et enfin lui veut frapper tout le monde ira q et moi tu as gagné et lui qui dit pouvoir moi bah c'est mon cas gagner tu les appelles tu ta repéré
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un dur à cuire ouais bah tu dans ta classe ouais ouais diack quoi tu pourquoi du rhin cul parce qu en fait dès que ça fasse principe
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d'un son cartable pour lui et lui vous le frappez même les plus grands tuyaux par deux moi ça fait pas trop peur budget je vais vous base du j'ai vu se bat et évoluer
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je pense qu'il ne veut pas trop fort mais n'est-ce pas intéressant de faire peur aux autres alors l'ambiance là-bas c'est comment la nouvelle intégration c'est mieux c'est quoi qu'est ce qui est mieux
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abassian sens [Musique] parce qu'en fait là on dirait que la l'école là nous ayons des dick ap il est pénible
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qu'est ce qui est pénible c'est une personne alors à part les insultes ya quoi qui est mieux [Musique] à clairefontaine un gars ont fait un bond
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est ce un car son oreille [Musique] temps normal quand tu es là bas quand et aux bruits tu te sens pas normal mais ça revient souvent au push
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j'ai envie d'attendre sont normales alors peut-être qu'on vous dit pas assez vous êtes des enfants de rang pour en fait [Musique] je et
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bon depuis plusieurs années ouais la digue l'année sous ritaline est lui lui prend non les petits que c'est ça c'est à dire mais qui pour pour un médicament je
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lisais là que je sais plus comment j'ai en tout cas c'est un nom c'est un antipsychotique et qu'apparemment il utilisé pour les enfants pour calmer la violence enfin pour les enfants de cet
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âge là c'est ce que j'ai lu sur vous allez nous éclairer là dessus il est il et il prend beaucoup de médicaments beaucoup de médicaments dans les it up
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beaucoup d'enfants sont sous traitement c'est la proportion gillet françois dans votre établissement en tout cas dire ça paraît si si ils marchent ils marchent
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mentir ça paraît beaucoup mais c'est pas impossible selon les situations et les structures on en soit là ça à ces niveaux là mais ça paraît quand
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même - ouais t'as fais toi internet en
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france notamment développé peut-être
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moins de réticences de la part des équipes parce que je considère à s'approprier ce nouvel ce nouvel outil donc il ya moins de réticences au sein de nos équipes pour prendre en compte
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cette question là puis il ya peut-être un deuxième élément mais ça philippe jamet va sûrement mieux le développer que moi aussi avec en tout cas de temps en temps des questionnements fort du côté des équipes interdisciplinaires
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dans leur capacité à accompagner ses troubles du comportement et et de faire qu'à un moment donné il est peut-être nécessaire pour que l'équipe interdisciplinaire entame un travail
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soit d'élaboration de psy chic soit éducatif soit pédagogique qu'un certain nombre de ce que moi j'ai décidé d'écrire est de ma place tout mon métier de base mois ces instituteurs donc j'essaie de lecture là de temps en
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temps qui vient qui vient de traverser même si maintenant je une place de direction de faire qu'à un moment donné pour que chacun des professionnels puissent permettre à l'enfant voilà de
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réaliser des activités de réaliser des apprentissages d'être accessible à une thérapie et bien qu'il faut que partie de ces tensions intra psychique puisse être à un moment donné un peu un peu apaisée mais je pense que je soutiendrai
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qu'on parle très bien c'est chez lui que jamais donc c'est peut-être l'occasion de lui donner la parole sur cette question là parce qu'il en parlera mail il en part en août mois mais ce qui est sûr actuelle on n'a pas de chiffres 2 et c'est très variable
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d'un établissement peut-être peut-être ça se présente de manière plus fréquente sur les internats que sur les structures ambulatoires mais c'est un sujet qu'on a mis à
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l'ordre du jour à plusieurs reprises avec notamment philippe jamet et puis effectivement nous en dire quelques mots pipe mais oui même bien
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volant capacité totale et le poids des contraintes pour tout le monde il faut il faut vivre avec ce garçon qui à la fois on voit ses possibilités à ce côté
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aussi attachants et sa violence qu'il subit alors le problème c'est pas tant de savoir s'il ya beaucoup de il faut bien sûr description-cd anciens
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sites adéquats qu'est-ce qui est adéquat quand est-ce qu'il faut prescrire et pourquoi est il faut comprendre que pour les médicaments c'est des outils de liberté c'est avant tout les médicaments
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on ne prend pas pour le plaisir de contenir ou des outils de liberté que ce soit des antibiotiques soient l'insuline que ce soit c'est à dire pour échapper à des contraintes biologique et qui sont
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pathogènes dans la mesure où elle nous a handicapés on voit bien que ce comportement violent va pas faciliter le nation de ce garçon donc je crois que
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maintenant on est en lui une phase quand même c'était long mais c'est pour moi là quelque chose de très important de comprendre un effort à faire à tous les niveaux d'ailleurs pour
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qu'on commence à parler se rendre compte des progrès de la compréhension de ce qu'est la vie depuis 50 ans nous n'a pas on a plus appris sur fonctionnement de
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la vie que dans toute l'histoire de l'humanité ces trente dernières années est sans comparaison avec les ce qu'on a pu apprendre avant donc il ya eu des progrès formidables il reste énormément à apprendre mais plus on avance dans
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dans dans la science plus on comprend qu'il ya quelque chose de complètement dépassé dans l'opposition du psychologique du biologique apparemment ça n'a pas de sens c'est bon c'est à
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dire que effectivement la vie c'est biologique que encore une fois le le commandent la vie on demande pourquoi on ne sait pas donc pas la peine de s'entretuer sur les croyances donc on
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n'est pas prêt de le savoir vraisemblablement enfin sauf et nouveaux métiers peu vraisemblable il ya une apparition qui nous confirme bon mais par contre le comme on a énormément progressé bon et puis on comprend le
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commandent la vie plus on est ébloui par la complexité du vivant et l'extraordinaire de diversité richesse de ce qui est vivant sa fragilité et
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ceux vivant son qu'on sache pourquoi est entièrement tourné vers quoi vers la transmission la vie c'est pas la mort et la mort c'est une invention humaine parce qu'on aurait qu'on est conscient on a acquis l'activité de la capacité
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réflexive donc on est les seuls à savoir qu' on pourrait toujours plus à voir et qu'on va tous perdre ce qui n'est pas tout à fait indifférent pour notre moral mais c'est une conséquence de la réflexivité la vie c'est pas la mort la vie c'est la transmission maintenant et
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que dans cette transmission mais il ya des difficultés et encore plus chez l'être humain parce qu'il est il et il a créé une des capacités de créativité formidable mais
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de destructivité à la mesure de cela et que vous voyez bien que ce gamin essayer d'être comme ça vous n'y arriverai jamais c'est pas un choix qu'il a d'être comme ça on voit la force de ses contraintes et on voit comment la
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qualité du lien si on leur accompagnement respectifs qui est fait par l'éducateur qui essaient de remplacer sa la réflectivité absente de l'enfant en lui parlant des conséquences
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de ce qui fait de commencer retenti sur les autres comment tout ceci une certaine fonction apaisantes mais partielle et qu'il est pris par moment comme quand il va renverser l'étape c'est pas lui qui décide de renverser
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les tables c'est pas vous d'ailleurs qui décidez d'être tranquille ici est ainsi comme ça vous pourriez décider pas le faire de faire une excentricité mais en gros ça s'impose à vous parce que conditionné pour ça
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c'est pareil pour lui mais il l'est il s'impose à lui à certains moments parce qu'il est sous la poids d'émotion d'une contrariété de ce qui vit comme une menace de se défendre donc de son point de vue c'est pas fou
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et là je crois si on l'abordera si on peut mes affaires je pense que il nous reste encore d'énormes efforts à faire pour comprendre ce qu'est la maladie dite mental si peu mental est tellement
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émotionnel parce que là c'est une décide rien c'est pas des pensées qui sont anormales c'est qu'il est sous l'emprise de contraintes émotionnelle qui fait que dès qu'il ya quelque chose qui ne maîtrisent pas dans l'environnement et
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qui l'inquiète avait réagi comme il peut avec ce qu'il a qui n'est pas choisie et qui s'impose à lui alors ça c'est important andré réponse elle appartient à tout le
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monde que quelquefois on demand à sa place et pas dans les items il faut aller à l'hôpital sauf que l'hôpital ça sera pareil pour les infirmiers pour tout le monde surtout en valent même problème ils sont pas plus à même que
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simplement l'hôpital saint saëns quand il faut le calmer peut-être le sortir d'un milieu qui est devenu trop excitant et pour ajuster la médication mais sinon après il faudra que les autres la famille s'ils le peuvent l'école quand
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ils le peuvent s'adapte pour ne pas pour comprendre le sens de se comporter et ne pas le accentuer les difficultés et actuellement on a un effort je pense
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qu'on a une époque quand même où on est resté encore très archaïque vis-à-vis de la maladie dite mental on n'a pas beaucoup progressé ou comprendre encore une fois qu'on ne peut plus opposer le
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biologique la vie c'est de la biologie c'est de la chimie et ce qui met en oeuvre la chimie des êtres vivants c'est la relation et la relation c'est ce qu'on appelle la psychologie c'est la
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qualité de la relation de l'ambiance qui va nous mobiliser nos notre chimie cérébrale dans un sens ou dans un autre et que tout ça c'est un ajustement entre
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un jeune homme qui a conditionné notre cerveau est un environnement qui va faciliter les potences de la mise en oeuvre des potentialités de ce cerveau ou pas bon et dès qu'il ya des
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difficultés de fonctionnement eh bien il faudra que nous avons nous nous nous aménageons et on a la chance de commencer mais on n'est qu'au début un peu mieux comprendre ce fonctionnement cérébral et d'ajuster des
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médicaments qui doivent encore être pensée vue et 10 pour lui que c'est un outil de liberté pour qu'il ne soit pas contraint d'avoir un comportement dont il est la première victime
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parce que tout ceci de l'empêchent de se jouer je m'arrête là et je pourrais dire que ce qui me frappe après 50 ans de recul de la pratique psychiatrique c'est de voir comment c'est comme d'ailleurs ses comportements
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destructrice cache avec la même force une potentialités créatrices c'est que c'est cesser de côté toute la vie qu'est-ce que cet avis et david ayer
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c'est la violence violent de la violence et danses etc force de dit le dictionnaire donc la vie c'est une force à quelque chose de violent
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cette violence elle peut être créatrice elle peut être destructrice mans mais c'est avec la même force et c'est ça m'a pris deux reprises avec des patients que j'ai pu suivre c'est comment les mêmes qui étaient dans destructivité que ce
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mode là où du mode schizophrénie ou des troubles bipolaires ou de l'anorexie mentale c'est les mêmes qui après peuvent mettre dans la créativité la même intensité peut-être avec la même vulnérabilité à
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la déception en particulier c'est que justement plus vous avez des attentes fortes plus vous avez des appétences forte plus vous risquez d'être blessé par la déception que la déception du 10 de dell
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quand c'est le cancer des émotions c'est à dire comme le cancer se nourrit du développement des de la déspécialisation des cellules qui tout d'un couvre deviennent des cellules qui vont
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proliférer en se spécialisant et bien la déception à se nourrit de la force de la tente c'est important de savoir qu'à chaque fois qu'il est issu est bien c'est que derrière il y avait une attente quelque chose d'autre et que c'est ça qu'il faut
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retrouver un comment derrière cette apparente destructivité il aurait envie aussi comme tout le monde il préférait être dans une relation des changes de de plaisir partagé et ça c'est tout ça qui est important à
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savoir pour donner du sens et le comprendre et je crois que c'est ce qu'on voit émerger dans avec les griffes d'ajustement céline est ce que ces propos de philippe jamesse et vous d'abord vous vous y retrouvez et est-ce
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que venant de l'extérieur c'est ce qui vous a profondément touchés chez ces enfants et que vous faites passer dans votre film du coup pas le seul show près
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cet enfant par exemple il renverse la table parce qu'on vient de lui annoncer qu'il va falloir absolument qu'ils aillent dans une famille d'accueil dans laquelle il aime pas aller je pense que c'est vachement important de dire ça parce que du coup moi ce qui m'interroge rapport à ça et c'est là où je pense que
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ma lecture divergent c'est que à certains moments je me suis dit mais je le disais d'ailleurs aux éduqués aux enseignants je leur disais mais c'est incroyable mois de l'extérieur je trouve ce comportement sain c'est à dire que je
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trouve que je me dis c'est quand même extrêmement raisonnable d'exprimer sa colère quand successivement à 12 ans on doit ont encaissé sans arrêt sans arrêt
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sans arrêt d c'est pas que la frustration d'un désir c'est pas au genre tu as dit que tu allais avoir un pain au chocolat et on va donner une tartelette aux fraises je ne sais pas de cet ordre là c'est quand même socialement des difficultés c'est un
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type c'est quand même des enfants qui sont aux prises avec des difficultés sociales l'écrasante majorité des enfants ni tête c'est les enfants issus des classes populaires donc il ya aussi quand même pour moi le il ya indéniablement cette histoire de
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pages je m'interroge du coup mais après j'imagine que c'est une question à laquelle je posais mille fois mais je suis une grande fan de ronald david lang donc du coup à quel partir de quel moment la maladie mentale est pas
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fondamentalement lié à je veux dire à des cas des circonstances sociales quoi du coup du coup enfin ça me parait vachement intéressant de se reposer cette question là tout le temps c'est à dire moi ce qui m'a intéressé dans fils
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mais aussi ses enfants j'aime faire des films documentaires parce que j'aime rencontrer des gens qui vivent pas ce que je vis et moi je suis une fille issue de la classe moyenne ont parents mon père était prof voilà donc un milieux éduqués et quand
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je quand je passe du temps avec ses enfants je je je vois d'autres vies voilà j'ai grandi dans une cité je retrouve des choses que j'ai pu voir chez d'autres enfants comme moi j'étais petit il y
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avait 70 % d'enfants d'origine étrangère dans la cité où j'ai grandi mais je vois là je retrouve aussi ça c'est à dire moi je suis allé au lycée à la fac et c'est jamel qui était à côté de moi en cp bas je veux dire à 18 ans il était en prison
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et après il essayait de me vendre des magnétoscopes tombé du camion quoi donc il ya aussi quand même il ya aussi quand même moi c'est un peu ça aussi que j'ai je me
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dis comment il faut évidemment ces gens absolument admirable que j'ai adoré et filmé au travail qui sont pour moi des héros moderne bien plus que d'autres qu'on voudrait nous vendre comme des
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héros moderne c'est-à-dire qui se colle qui se coltine à sa cet enfant cela abîmé et au quotidien quoi pas comme moi qui vont voilà un an faire mumuse à faire un film qui sont tous les jours
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quoi je veux évidemment qu'il leur faut des outils pour travailler mais après ça m'interroge quand même sur collectivement quelle question se repose politiquement enfin je veux dire en plus demandés dans les temps dans lesquels on est et je me
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dis faut jamais oublier cette question là quand même alors justement en reprenant et on fera la passerelle avec le fonctionnement des itep vous étiez sensible et vous avez choisi un extrait dans lequel on voit
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que cet enfant qui retourne en dispositifs inclusif le grand terme l'inclusion qui va passer une heure ou deux dans un autre établissement scolaire dans lequel l'appareil comme
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normal vous êtes très sensible à cette question vous montrer dans le film à quel point de vivre en itep renforce le sentiment d'exclusion paradoxalement par
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rapport à la qualité des personnes qui y travaillent et par rapport aux avantages quand même que ça présente son veut dire un encadrement un contenant quelque chose comme comment vous sortez de cette
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d'une certaine manière ambivalence puisque vous fait dire aux enfants que être dans l'itep c est randy enfin vous faites dire leur décès laisse exprimer ils expriment très clairement qu'ils ne veulent pas être là le patient est en
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avance il est exclu fin on n'a jamais là après moi j'imagine que vous allez en parler parce que depuis moi j'ai fait plein d'idées j'ai rencontré plein de directs au visage bien plein de choses gentilles situe à être contente newey et voilà non maintenant mais pour
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le coup ça m'a vraiment intéressé parce que cette idée plough à la voyez chaque item j'ai compris et quand même une grande liberté d'action pour chaque direction et chaque directeur ou directrice même si c'est souvent des directeurs
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jeunes hôtes et si physiquement et du coup ce que j'ai entendu se développer en en discutant c'était le fait que plus ça allait plus l'inclusion elle est là
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tout le temps et dès le début et qui avait même de plus en plus cela j'ai discuté avec un directeur dit et qui me disait que les classes elles sont au sein d'un collège normal donc avec les autres môme et que du coup en plus ça
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apporte est considérablement est ce que comme du coup il y avait des ducs au sein du collège ce qui se passe pas habituellement il y avait des vraies discussions de fond entre les enseignants et les éduque
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jusqu'au fait par exemple que certains profs pouvaient se rendre compte que ces mobiles pouvaient être intéressés dans certaines classes je sais que par exemple jérôme la oak alley j adore l'histoire il adore les cours d'histoire
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et que ça voulait pas dire qu'ils avaient les compétences pour avoir un 18 sur 20 parce qu'ils écrivent avec plein de fautes et parce qu'ils maîtrisent pas bien les cris etc mais que tout d'un coup le fait qu' un dispositif itep au
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sein d'un collège ça pouvait permettre à un prof de se dire mais on s'en fout enfin je veux dire la note à la note l'évaluation elle est passée par là qu'elle est intéressante c'est pas de
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savoir s'il va réussir à avoir au dessus de la moyenne quoi c'était simplement dit que le le mot me sois là ils sont intéressés ils participent ils soient au sein du collectif et que du coup ça
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modifiait sa modifiait le travail des enseignants qui sont soit disant là pour les normaux entre guillemets c'est à dire ceux qui se conforment au système tel qu'il est et moi je suis papa après je sais pas comment moi ça me paraissait
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est vachement riche quoi gilles mais françois la première rend compte qu'on a eus ensemble c'était volcaniques parce que c'est vraiment avec françois
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on était dans l' en pleine expérimentation dispositif elle nous présentait un film qui montrait unités pour toute l'activité était 100 très dans la dans l'établissement et
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nous on dit ah et françois maintenant c'est dit ce total ne s'est pas possible aujourd'hui nous n'hésitez plus à et tu nous as dit très justement mais moi je
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m'en fiche des items ce que je veux c'est fini mais la vie d'un enfant qui rencontrent des caractéristiques particulières dans son parcours de vie et des institutions il y en a encore et
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je me souvienne sept premiers échanges on s'est dit mais c'est pas un film sur le dispositif intégré des itep tu te souviens je ne suis pas là pour faire un film pour soutenir votre thèse est votre
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votre démarche politique niveau de r mais bien un film présentant des enfants qui ont des troubles psychologiques ou du comportement et qui rencontraient institution à un moment donné de leur vie
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je crois que c'est à partir de là moi que j'ai avec françois quand on est retourné voir les adhérentes de verre et à aix-les-bains quand on a fait la projection du film en première on est on a surtout très vite
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commencé en disant attention c'est pas c'est pas un film qui décrit l'itep de domaine c'est un film avec des acteurs que sont les enfants je crois que c'est ça qui est qui est
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aussi tu le disais à l'époque qui était essentiel dans le tournage que tu as fait tu as pas essayer de prendre en compte de l'institution et de filmer la plus value ou les difficultés d'une vie
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2-2 de la structure institutionnelle mais bien de la vie d'un enfant moi j'avais que tu vois c'est une dimanche photographies de l'institution qui est pas l'heure était enfin effectivement de gens j'ai rencontré
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plein de directeurs et de gens qui tentent de travailler alors après ya deux choses pour moi j'ai rencontré depuis plein de gens qui travaillent différemment et ça m'a passionné après il ya eu autre chose si on est totalement honnête quand on fait la projection à l'air mois ya une chose qui
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m'a fait qui me fait toujours un peu marre et c'est que dans l'assemblée il ya toujours un ou deux professionnels pour dire notamment la scène de contention jamais chez nous ferait une chose pareille et les gens les plus incroyables que j'ai rencontré
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dernièrement de dire en direction des thèmes qui font des choses qui sont dans le dispositif it et qui m'ont dit mais arrêtons les blagues évidemment qui te qu'on fait de la contention dans ces établissements arrêtons de se cacher et moi ça me parait vachement plus moi je
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vous avoue sincèrement que c'est pas du tout une scène c'est pas la scène de contention j'en ai vu plein dans l'est un ange est passé c'est pas du tout ça qui m'a le plus fait violence parce que
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je pense que la violence c'est pas il ya un an et du quinze jours qui m'a dit un truc que je trouve formidable parce que dans une séance dans un festival il ya eu un binz pas possible une femme c'est atrocement offusqué en me disant mais
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comment j'avais pu continuer à filmer j'aurais dû poser la caméra mais de poser mon corps entre l'enfant et l'éducateur pour empêcher c'est ce juge mais j'ai halluciné jeudi mais est il ya un an et duke dans la salle qui a dit
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quand un enfant risque de se faire écraser en traversant la rue ont leurs attaques par le bras même si ça lui fait mal et je me suis dit mais ça c'est super beau coup je me dis je la garde c'est l'âge
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la re donnerait dans les dents les projections parce que ce qui m'a beaucoup plus fait violence c'est c'est ouais c'est une forme de violence sociale quoi c'est à dire comment qui
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commence tôt pour eux quand même pour beaucoup de ces enfants familiale et piaf mais voilà parce que c'est des c'est quand même beaucoup de familles où il ya du chômage depuis plusieurs générations enfin la très concrètement le l'itep que j'ai filmé c'est la white
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trash de la sarthe quoi c'est le petit blanc des campagnes et du coup c'est cette violence là moi qui me dérange beaucoup plus que un môme qui pète un plomb et à un moment voilà il ya 2 et du kill kill qu'il arrête parce que il va
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il va se jeter par la fenêtre quoi enfin la jalle ça me choque beaucoup moins que de se dire qu'est ce qu'on fait ce que qui peut être fait comment on peut penser l'école autrement que comme une machine à exclure les enfants une certaine frange de des
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classes populaires ce que c'est ça aussi quoi moi justement ce que je voulais dire ce qui me semble intéressant et important et ce qui peut nous réunir aujourd'hui c'est la question des
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besoins des enfants déjà en main qu'on comprenne comment ils sont comment ils fonctionnent et donnez nous les décrire
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mois comptez longtemps il ya aussi la question qu'on pourrait dire des jalons d'une fragilité narcissique vous l'avez un tout petit peu un tout petit peu abordée en tout cas souvent ce qu'on
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vient constater dans le quotidien c'est que ces enfants sont très fragiles sont pas sûrs d'eux mêmes ils viennent aussi souvent testé la relation mois souvent ce que je dis c'est que souvent j'ai l'impression qu'on est roi
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avec ses enfants il ya nous en tant que professionnel il ya l'enfant qui est là puis il ya la relation ou de temps en temps dont même régulièrement quand ils sont pas bien ils viennent attaquer cette relation pour voir s'ils peuvent avoir vraiment confiance dans cette
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relation est ce que vous pourriez jamais un petit peu je suis un peu feignant donc j'ai un peu de choses cette tendance a redonné la parole à l'autre mais deux complices bien approfondir le fonctionnement ses enfants comment ils
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fonctionnent donc vous nous les avait d'abord décrit un peu sur cette décharge d'émotion qu'ils avaient beaucoup de mal à contrôler ça on vient constater mais est-ce qu'il ya aussi d'autres modes sur lequel ils viennent un peu se structurer sur cette fragilité ce manque de
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confiance qu'ils ont en eux sur le fait qu'ils viennent tout le temps tester la relation et puis aussi je pense alors c'est parce qu'il ya madame j'étais inquiet là ça me fait toujours ce petit clin d'oeil mais seront aussi les répercussions pour les parents parce que
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là on parle on parle professionnel et tout c'est aussi quand on est parent d'un enfant dit m voilà quels sont les moments qu'on traverse qui peuvent être simples
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d'autres compliqué et donc si vous pouviez un petit peu voilà nous nous re développer cette définition de ce que son sont essayé de les décrire pour qu'après on puisse envisager comme ont collectivement les un chacun à nos
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places on peut trouver les meilleures solutions pour c'était un peu la démarche non plus qu'on souhaitait voir on va essayer de faire cette démarche c'est toujours ce malentendu sur des
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troubles psychiques qu'est ce que ça veut dire mais qu'est ce que cet enfant il va pas bien bien sûr que nous sommes tous le résultat de la rencontre entre angers nomme et un environnement et on a
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choisi ni l'un ni l'autre mais on a cette chance assez extraordinaire très mal utilisé qu'en tant qu'être humain on a si on n'est pas trop envahir par les émotions et lui sait pas c'est justement
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son cas il peut pas je peux pas choisir il n'a pas de choix pour pouvoir avoir un choix il faut pouvoir prendre de la distance et pour pouvoir prendre de la distance il faut avoir une sécurité intérieure minima voilà sinon il est
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imité tout le temps prisonnier iso nier des contraintes venus de l'extérieur et le problème c'est pas qu'ils renversent la table c'est qui peut pas s'empêcher de renverser la table n'est
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pas un choix et ça il faut voir ce que ces deux poids justement de ce qu'on appelle ces troubles la si vous avez des obsessions vous pouvez être tout ce qu'il ya de plus beau être un grand savant vous pouvez être un style vous
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pouvez être pas si pour vous rassurer vous avez besoin de vous laver les mains 15 fois eh bien vous savez que c'est idiot que ça rime à rien et que si vous le faites pas vous n'êtes pas bien si
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vous avez peur des souris on a beau vous dire la souris n est pas et vous n'avez pas à dire on est soudé contraint tous émotionnel eux le sont plus que d'autres et il ne choisit pas
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c'est pas parce que nous entourent que c'est compréhensible qu'ils renversent la table de problème c'est qui lui ne peut pas faire autrement et qu'à chaque fois ça va se répéter si là où il n'y a plus de liberté c'est tout à fait la
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bonne comparaison qui traversent la route il peut pas empêcher de traverser dès qu'il ya quelque chose qui clignote hop il dérange il va finir par se faire écraser pas parce qu'il veut se faire écraser et là on prête beaucoup trop d'intention et
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quand on dit nos tests mais non il ne reste même pas il ne teste pas pour savoir si on les aime c'est qu'à la fois il essaie d'aller vers vers nous et qu'en même temps ils ont peur en même
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temps c'est pas maîtrisé en tiens je vais voir quand il en arrive là c'est déjà qu'on a fait un pas énorme et c'est ce paquet c'est de faire faire l'éducateur et il a une grande chance d'être en était une grande chance et
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voient leur dire c'est le marginalise bien sûr qu'il va dire c'est différent mais la différence elle est dans ces contraintes la qui pèsent sur lui élite est pas prêt c'est secondaire comme différence c'est à nous de l'aider
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justement à comprendre que mais non il est aussi valable que s'il était à l'école et que ça va lui permettre d'avoir des moyens qui n'auraient pas d'école parce qu'à l'école ils n'ont pas le temps de pouvoir aussi s'occuper de
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passer le temps que va passer l'éducateur avec lui et que c'est intolérable aussi pour une partie des eaux trenet c'est une violence qui leur est faite et qui comprennent pas pourquoi lui parce que justement il peut pas se retenir il
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devrait se retenir alors bien sûr que les pour eux ça leur a par une très grande injustice aussi à lui on va tolérer où était sa soi disant que c'est pourquoi on va le tolérer bon vous voyez que c'est plus compliqué
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c'est à dire c'est notre degré de liberté c'est pour ça que ça nous renvoie ces problèmes-là à une philosophie humaine c'est là où la vraie philosophie humaine c'est à dire quel est le sens de la vie et que c'est
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justement au travers de la biologie là qu'on peut maintenant comprendre combien nous sommes sous des contraintes nous mêmes tous bons encore une fois vous n'avez pas le choix vous êtes obligé de parler le français peut pas parler
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japonais vous n'avez pas pensé pour vous a pas vu qu'il avait choisi bien si vous êtes dans une famille qui parle très peu bien évidemment ça va aussi vous gêner dans l'expression qui parle très mal ou qui parle un bon et c'est souvent ce qui
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se passe dans les dents le bilinguisme quand il est mal adaptée de dire eh oui le jargon des choses comme ça qui vont faire que l'enfant bête et c'est très injuste bien sûr tout ça mais ça fait
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partie du vivant et que ceux vivant bien nous c'est une construction permanente alors on a la foi je dirais pas des maladies pour ça que pour moi je penserai que je propose dans mes derniers livres de de parler de conduite
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adaptative mais c'est pas toujours bien reçu par des collègues en page ans est bon de conduite adaptative parce qu'en même temps quand on dit qu adaptative les 6 et adaptatif s'il est pas malade alors voir pourquoi on va rentrer le rsa
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bon il a qu'a faire comme les autres non il est des conduites qui sont pathogènes parce que toutes ces conduites nous prive de ce à quoi on a droit c'est à dire c'est injuste c'est pas fou de
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réagir comme il fait parce que c'est logique avec ce qu'il ressent mais c'est pas juste que pour ne pas se sentir trop mal il soit obligé à chaque fois d'exploser de taper ou de casser parce que ça va le priver de ce à quoi il a
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droit c'est à dire des relations de confiance avec l'entourage et il n'arrivera pas r il va falloir tout un temps et c'est pas ça c'est pas juste oui c'est comme si vous disiez à l'aveuglé il aveugle c'est pareil de la
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capeb comme tout le mondial mais non il faudra qu'ils adaptent à ce fait qu'il n'a pas de vue et c'est pas juste ne pas tenir compte il n'a pas choisi ce c'est le même ordre il n'a pas choisi et si à chaque fois qu'on le compteur
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lee pète les plombs et bien et va se retrouver seul dans la vie c'est pas juste il y as droit quand vous avez en effet boto que vous les suivez c'est normal parce que vous êtes mieux quand vous avez une anorexie que vous
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mangez pas c'est pas fou parce que ça vous fait du bien vous vous sentez rassurer sauf que vous risquez en mourir alors que c'est pas c'est pas ça c'est pas cela si vous vous qualifiez pour que parce que vous êtes sous tension et quand vous vous demandez
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à quelqu'un qui se scarifie dit je sais pas c'est moi c'est pas moi c'est plus fort que moi mais ça me fait du bien alors c'est pas fou parce que ça lui fait du bien sauf que c'est pas juste qu'ils soient contraints de s'abîmer pour se sentir moins mal nous on sait qu'il ya d'autres moyens
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que de se faire du mal oui c'est toute cette dimension qui va bien au delà de la maladie dite mental c'est pour ça que je dis c'est une philosophie humaine qui fait que l'être humain quand il est dans une situation
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où il se sent sans pouvoir et on n'est pas fait pour comme tout tous des êtres biologique les êtres vivants en effet pour répondre activement à une menace sur notre territoire on est programmé
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pour ça les végétaux les animaux et nous encore plus puisqu'on a le cerveau pour on n'est pas programmé pour se sentir impuissant il faut nous rage et activement mais réagir activement en allant vers les
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autres et bien ça nous rend dépendant de ses autres voilà et ça ça va si on a essayé là où tout le passif toute l'éducation qu'il a pu avoir la sécurité quand on a été effectivement dans
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l'insécurité dans une fin de certaines formes de maltraitance de ben ça va peser et aller vers les autres ça devient effrayant ça devient inquiétant ça devient très difficile et que de toute façon dès que vous voulez
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aller vers les autres vous d'épée des autres et d'être pas sûrs de leur réponse ne s'est pas la tester c'est le fait de d'avoir eu des réponses satisfaisantes sur des années vac et cette confiance au risque toujours de
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la déception on risque toujours d'être déçus et la vie ne se contrôle pas vous pouvez pas contrôler notre si vous commencez à dire à quelqu un je t'aime tellement que je tends ferme dans la cave c'est pas bon pour l'amour on le sent tout de suite que ça va pas mal se
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passer oui et c'est ce qui se passe dans certaines formes passionnel je te veux à moitié et si je te veux à moi mais il est plus et c'est ce paradoxe de la vie c'est qu'il est plus lui même alors à ce moment là et c'est vécu comme quelque chose d'impossible
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par contre et c'est ça qui est quand même devrait être pris en compte de façon essentielle c'est qu'il ya une chose qu'on arrive à contrôler c'est la destructivité là on a besoin de personne
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on est toujours sûr de résultats le seul moyen d'être sûr du résultat d'un examen ces deux pas le passer dès que vous le passez vous pouvez avoir 99 9% de chances de le réussir vous tomberez sur
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un connard qui va vous humilier qui va pas vous comprendre qu'il va vous déstabiliser et puis c'est l'échec ou dit c'est pas possible j'y vais pas ou d'être sûr du résultat c'est pas que vous êtes heureux c'est même pas du masochisme
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mais comprendre que c'est la seule forme de créativité la destructivité que j'appelle la créativité du pauvre pas au sens économique et si je me sens impuissant si je me sens humilié si j'ai aucune valeur il ya toujours
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quelque chose qui reste avant de disparaître c'est détruire y compris se détruire et pour moi le suicide est un acte de vie voilà et hou là là parce que c'est un moyen de re devenir acteur de sa vie et c'est ce qui se passe avec le
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terrorisme il n'a rien de nouveau d'ailleurs qui a toujours été pareil c'est à dire d'aller mal c'est toujours pareil c'est à dire on est mal on se sent dans l'infériorité on a peur et comment on va réagir et bien dans des tentes dans des
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choses qu'on maîtrise c'est à dire la rupture du lien je dirais que tous les troubles psychiatriques vont se caractériser par une rupture du lien aux trois niveaux de ces échanges que son prendre soin de son
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corps se nourrir et augmenter ses capes ses compétences et la sociabilité et dès qu'on va mal et on a toujours la possibilité de la faire la gueule dans sa chambre deux sont fermées de se détruire
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si c'est un moment actif mais c'est pas grave lui aussi si par moments il avait des cris de colère était d'accord et problème c'est quand ils s'enferment là dedans et qu'à chaque tension trop grande il va réagir comme
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ça et ça va le coupé des autres plus ça le coupe des autres puis les renvoyer à sa solitude et il ya ces peurs et plus et ce comportement se tord en force et c'est pour ça que pour moi les items dont je
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suis un grand défenseur c'est des outils de liberté prodigieux à l'heure après c'est qu'ils rencontrent parce qu'on voit comment il va va se nouer avec les personnes y avait des choses plus positives des choses moins négatif mais c'est une chance parce que
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ça leur permet justement un niveau d'adaptation de l'environnement qui est un niveau non pas d'humiliation et de contraire de d'arrivée c'est ce qu'on voit quand ils arrivent petit à petit en voiture comme ça à l'air de rien et
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qu'on arrive à faire passer toute une possibilité de résonant d'interrogation sur ce crime mais il ya aussi d'autres moments et on l'a vu tout à fait par hasard dans l'extrait quand ce garçon est un petit peu tenu de façon violente
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on sent l'éducateur qui le prend par le bras qui le sert qui lui fait mal ce garçon va se retrouver quasiment à genoux en tout cas accroupi trois adultes autour de lui et vous avez sans
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doute été sensible à ça la violence de l'interprétation qui lui est fait autour d'eux qu'est ce qui s'est passé ce week-end avec qui tu étais c'était avec ton papa c'est pour ça que c'est on a tous été sensible à cette question
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alors comment ne pas justement attaqué ces liens alors que chez les adultes c'est déjà extrêmement compliqué de ne pas rentrer dans ce jeu là parce qu'on l'a vu et c'est tout à fait par hasard mais à mon avis c'est pas le fait de le
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faire c'est comment c'est fait et dans quel esprit et ça peut être tout à fait positif parce que si la confiance en d'éducateurs s'il sait qu'il ya toute une histoire entre eux où ils savent que le père par moments ça se passe très mal
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ou la mer il ya des taux alors chez qui tu étais pas ce qui c'est pas une accusation c'est nous qui le voyons de l'extérieur mais ça c'est terrible c'est qu'il faut se dire qu'on a chacun une grande propension à ne comprendre que
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ceux qui nous parlent et que là aussi on a le même problème de racisme je dirais c'est que celui qui est différent si moi je ne comprends pas comme lui le comprend et bien je vous dis mais qu'est ce qu'il fait là il lui fait une
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violence intolérable du tout c'est comme si vous êtes dans le midi qui a une mère qui vous cliquer à son fils je préfèrerais te voir mort que te voir comme ça ça veut dire je t'adore et je veux pas me passer de toi bon messi s'est dit par un danois froidement et comme ça alors là ça ça va dire cesser
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ça va être effectivement ça va ça va avoir c'est à dire il faut passer pas le contenu c'est l'ambiance le climat affectif qui va énormément et moi je ne suis pas choqué du tout
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parce fait de prendre deux bras etc si je te ramène l'aéroport et c'est un peu dire mais c'est le climat dans lequel se fait et six ans que cet éducateur il s'intéresse à lui
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il s'occupe il sait ce qui se passe il comprend et là ça devienne complicité qui se construit mais si c'est fait par quelqu'un qui le fait que comme ça sans qu'on ait déjà ça va être c'est pour ça que ces pâles comme pour les paroles et quand on dit il ya le
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contenu de l'interprétation de ceux ci c'est patent ça que le sens émotionnel qu'on donne c'est le clip un effectif qui est tout à fait important est que sans arrêt on a pris
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les mots pour des finalités et sesat et de terribles canton à partir de la psychanalyse ou d'autres on a sorti des rengaines tout fait ou on va comme c'est à dire des choses qui en soi ne sont pas faute fausse mais qui sont non plus du
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tout le même sens dans tel ou tel de débouter l'application santis à céline cette question de la relation affective est positif de la part de l'ensemble des
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professionnels alors pas de l'ensemble parce que comme je lai du coup comme on en avait discuté aussi moi j'ai je peux filmer mon problème psychologique je peux filmer que des gens pour qui j'ai de l'empathie
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sinon je peux pas les encadrer au sens propre du terme c'est à dire je peux pas les encadrer donc du coup je n'ai naturellement dans cette étape filmer
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les gens qu dont le travail m'émerveiller quoi d'une certaine manière je me dis qu'est là il se passe quelque chose la ja de la relation il ya de l'humanité qui se trame donc c'est ça qui m'a intéressé après j'ai tout le monde n'est
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pas un héros dans chaque institution n'y a pas que des héros on le sait dans chaque entreprise ya pas que des héros dans chaque fois là il ya des gens moyens il ya des gens mauvais il ya des gens excellents bon donc du coup je je
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pense à cette scène là particulièrement ouais c'est pas cher ne sais pas ce pagne violence pour moi c'est pas du ne s'est pas dit c'est pas mais bon c'est pas forcément super pertinent et voilà
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et en même temps même les gens formidables que j'ai filmé dans ce film c'est pas des vastes comme spider man mon l'aiment parce qu'il fait plein d'erreurs quoi comme tous les super héros et du coup c'est comme c'est des
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humains ben voilà des fois il se plante puis ses enfants ils ont quand même la particularité de de savoir ils ont une intelligence relationnelle au dessus de la moyenne ils ont ils ont ils ont vécu ils ont
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traversé pour la grande partie nord de caen même tellement d'épreuves qui sont redoutables en termes de lecture de l'être humain qu'ils ont en face d'eux ça par exemple c'est dommage que ce soit pas des compétences valorisé à l'école parce qu'il a il serait nettement au dessus des autres
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et du coup ils ont une capacité quand un adulte va pas super bien moi ça m'est arrivé une fois d'arriver à l'itep j'étais pas bien j'ai tourné une demi heure j'ai rangé ma caméra et je suis parti parce que ça fusait et je
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veux dire un ils le sentent et du coup tu viennes pile appuyé là où ça peut faire mal ils savent immédiatement houssaye et du cou du coup ben voilà enfin c'est quand on est obligé de
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travailler de faire sa journée là bas et que on est en plein divorce ou que voilà dans la vie à côté c'est alors c'est aussi des enfants qui rendent enfin je sais pas quelle expérience en avait mais ils peuvent être insupportable et est
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hyper méchant et et puis parle parfois ils sont au contraire d'une grande empathie parce qu'ils sentent que ça va pas et j'ai vu aussi des enfants protégés entre guillemets des adultes en disant aux autres la lâcher les baskets
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là c'est pas le moment de venir de la ramener quoi avec vous dans les fonds quand vous n'étiez pas en fait l'amérique
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ne plaît pas il a évoqué on mais depuis hier si je ne me sens pas en fait yann à régler
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moi non mais non mais non mais oh non mais je prends un exemple très simple je prends un exemple très simple de deux doubles de gens qui font du documentaire prenions michael moore par exemple michael moore son truc en tant que
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documentariste c'est d'aller par exemple film et quand il s'appelait charles le président de la national moi je pourrais pas filmer ce gars-là c'est bien je trouve ça super fort d'y aller et de luppé lui michael moore
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il sait qu'il prend partie du fait qu'il a raison donc il va aller pourrir la tronche de comment il s'appelle déjà charms charlton heston voilà et il va nous le montrer moitié
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avec du fromage blanc dans le cerveau tellement il est il et il est complètement devenu débile et est il le film et il va jusqu'au bout et nous montrer et nous ont dit ouah quel gros
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pourri je je je pense qu'en plus je ne crois pas à l'objectivité de j'ai aucune objectivité moi quand je tourne c'est à dire je je partage avec vous ma subjectivité
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donc effectivement j'ai un kobe comme tout à petit ce faisant quelque chose je suis dieu je suis dieu j'arrive et je choisis et je vous montre que j'ai envie de vous montrer et je fais 2 2 après on fait du montage ça veut dire qu on vous manipule
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mais oui mais oui mais oui mais oui mais le cinéma et l'art ce n'est que manipulation et que 80 heures de film pour 1h20 dans la la forme est réalisé
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en 52 minutes pour ce qui a été diffusé sur la chaîne donc je suis ouais je me revendique alors comme artiste exactement c'est pas un film d'entreprise c'est à dire si la
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discussion qu'on a eue c'est ça s'est passé mais même si j'avais fait un film d'entreprise en même temps il ya assez peu d'objectivité si ce n'est que tu mets ouais alors on se serait vu on se serait vu avant et on aux pions on aurait écrit
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la bande son ne réécris la bande son en disant voilà voilà ce qu'il faut penser bon et que cette présence de m mais je compte je comprends pas je
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comprends pas en quoi pour vous là du coup tout à l'heure vous dis ah la la le film ne montre pas la complexité de ces enfants là j'arrive pas à comprendre votre votre point de vue du coût à
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d'accord je mets mes parce qu'on voit mais dans l'ensemble je ressentais voix a priori connaissance
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mais chacun interprète en fait chacun a son interprétation d'une représentation qu'en plus là on est dans l'interprétation d'une représentation qui elle même est empreinte de ma
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subjectivité puisque quelqu'un d'autre aurait filmé cette scène c'est ça qui est formidable quand on vois c'est qu'il aurait pas du tout il suffisait j'ai pas qu'il le film du point de vue de l'adul c'est à dire la la caméra la hauteur des yeux de l'enfant on aurait pu filmer la scène en plongée
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parce que l'adulte est au dessus de l'enfant en termes de taille on en art est une autre là on aurait de lecture du pouvoir par exemple je veux dire
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malheureusement moi je suis pas un artiste tu essaies de me définir comme un humble à un humble artisan du secteur médico-social et de l'enfance ce qui me semble éventuellement intéressant de ce qui est développée là c'est et c'est
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souvent ce qui peut se passer avec les enfants qui sont accueillis dans nos établissements qui présentent des difficultés psychologiques c'est la reproduction de la forme si c'est un moment donné comment dans leur comportement nous mêmes en tant que
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professionnel on va pouvoir moment donné justement essayer de construire des relations tel que le décrivaient philippe jamet qui ne soit pas une représentation à l'identique ou non une attitude en miroir par rapport à
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ce que nous proposent les jeunes et c'est bien là un moment donné qu'on peut éventuellement essayer de se prétendent être des professionnels et c'est en ça je dirais que les items revanche je suis pas là pour vendre mais pas là pour
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vendre la soupe des itep c'est simplement une préoccupation en tant que professionnel dans ce qu'elle essaye de mettre en place il ya dans le travail à plusieurs la question de l'interdisciplinarité essayer de se dire que autour des trois piliers du
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pédagogique de l'éducatif et du groupe sicot logique on va pouvoir ensemble dans une réflexion collective pour voir offrir une réponse la plus cohérente possible à l'enfant est justement à un moment donné on va dire faire
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institutions pas tellement dans une construction de murs et dans une réponse cohérente entre professionnels justement qui est passée réaction en miroir c'est comment un moment donné on va pouvoir s'entraider les uns et les autres
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lorsque l'enfant nous propose une situation et on va pouvoir avoir cet aspect un peu compatissant ou à avoir beaucoup d'empathie à son égard de façon à trouver la meilleure solution
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est meilleur positionnement et c'est en ça que à un moment donné des réponses institutionnelles sont intéressantes et c'est aussi c'est un outil technique qui peut sembler tout bête c'est aussi en ça que le décret sur les items à un moment
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donné vient proposer c'est les seuls établissements pour lesquels il ya cette proposition 1 un travail d'analysé de la pratique et ça c'est fondamental c'est comment nous en tant que professionnel alors on est
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bien d'accord c'est pas toujours parfait je suis directeur d'établissement j'ai déjà licencié des professionnels donc je suis pas en train de vous vendre un modèle parfait on est sur une organisation humaine maintenant c'est la
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question de nos intentions collectives et ça je pense que c'est fondamental est le deuxième point peut-être on y reviendra ce qui me semble très important aussi sur la question de l'inclusion scolaire sait comment à un moment donné dans le parcours de vie d'un enfant
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le fait qu'ils puissent venir dans un itep ne soit pas stigmatisant mais c'est pas forcément l'itep qui est stigmatisant c'est aussi peut-être le parcours de l'enfant qui être parsemée d'échecs et quand un
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enfant alors là je crois que je m'adresse à des professionnels quand un enfant va avoir un parcours qui va du cmpp ou le cmpp va éventuellement un moment donné pour un certain nombre de raisons considérer qu'il est nécessaire
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qu'il y ait autre chose on voit bien à un moment donné qu' il y a un parcours de l'enfant qui n'est pas on va pas lui dire là cet endroit va être bon pour toi de façon à venir te re solidifier de
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façon à pouvoir éventuellement gérer ces renversements de table qui sont un peu destructeur et qui va faire que tu vas pouvoir être un peu moins dans une destructivité et de faire que ce moment
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soit un moment soignants éducatif que l'enfant va aussi pouvoir faire des activités qui vont leur assurer que aussi les parents vont pouvoir moi ça va être un mot tout sur tout tout bête mais les parents vont pouvoir être
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fiers de leur enfant je pense qu'on peut tous nous témoigner lorsque des des parents viennent dans nos établissements qu'ils voient un moment donné ce cas était capable de faire leurs enfants et sur lequel on va mettre du positif en
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effet et on va aussi traiter les aspects qui sont plus compliquées donc je pense que c'est tous ces éléments là qu'il faut prendre en compte cette notion de bien faire attention à cette question de la reproduction de la forme et ses enfants parfois en tant que
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professionnels peuvent nous emmener sur ce type de comportement notamment sur la question de la violence pour ça je dirais qu'on a deux outils qui est la question de l'interdisciplinarité le travail à plusieurs et qui à là question
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de l'analyse de nos pratiques d'essayer de voir de comprendre à un moment donné comment on a été confronté à ça et aussi de faire que l'itep ne soit pas une espèce de bulle dans lequel l'enfant
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passe de l'itep au milieu ordinaire dire que ça soit un lieu qui est bon pour lui sur lequel il va pouvoir venir un petit peu moyennement beaucoup pas longtemps longtemps et ça je pense que c'est fondamental de bien essayé de l'analyser
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comme ça alors on est bien d'accord à l'heure actuelle les items nous sommes sur un chemin ça veut pas dire que tous les items ont cette réponse là mais en tout cas à l'heure actuelle on essaie d'offrir ses réponses là alors c'est une très bonne transition parce que on va
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vous laisser quelques minutes pour nous présenter françois gilles le dispositif itep et vous avez bien compris que le dispositif s'est pas l'établissement et c'est cette perspective qui va nous
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est présenté de façon un petit peu structurée par les nos deux collègues c'est la première sur sur 7 sur 7 diapos là on peut peut-être là passé mais ce
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qui est important aussi c'est convient de resituer nouèrent conviennent un peu dire qui on est souvent on se définit comme une association de professionnels militants parce qu'on a travaillé dans ces établissements et qu' il ya une
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réalité en effet à l'heure actuelle sociale dont il ya aucun lobby à l'heure actuelle où il ya très peu de lobby d'associations de parents qui peuvent qui viennent défendre les intérêts de ses enfants et c'est souvent
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nous l'air qui venons au niveau des pouvoirs publics un peu développée donc dans la réflexion qu'on a eu on est bien évidemment partie de la question des enfants de comment il fonctionnait on sait tous et ça philippe jamet pourrait
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leur développer c'est la variabilité des troubles c'est qu'en effet les enfants dit tu es puis un jour où ils vont bien et parfois souvent je le dit en blaguant un des inspecteurs ars certains jours vous pourriez venir dans un item vous
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diriez mais pourquoi met-on autant d'argent dans ces établissements les enfants disent bonjour tout va bien oh c'est vrai qu'il ya des moments vous les voyez peuvent être en classe et puis il ya des moments où il renverse étape donc il ya cette variabilité des
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troubles qui est un élément important qui nous a mené une réflexion sur le fonctionnement nos établissements ce qu'on disait une grande fragilité narcissique c'est des enfants qui sont fragiles ils ont ils n'ont pas confiance
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en eux et donc alors ferez peut-être que je change une fragilité qui les conduit à mettre à l'épreuve la capacité de leur environnement à maintenir un lien qui les sécurise il faudrait que je reprenne
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leur disiez deux ou trois fois et puis on est fait sur ce fait qu' il nomme et mini n'ont même pas cette capacité éventuellement à venir tester lien un point hyper important qui est quand même la question du handicap invisible
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on est bien d'accord ces enfants là et ça a été beaucoup développée par philippe jamet c'est cette question entre le pouvoir et le vouloir très souvent on va dire mais il veut pas il veut pas être sage et il peut pas aller
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en classe et y compris nous mêmes parfois en tant que professionnel on peut me suis déjà surpris elle dira coûte 2 tu veux pas qu'ils sachent pourquoi tu veux pas aller en classe non c'est qu'à un moment donné il ne
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peut pas et puis comme on disait des états variable au retour de regard de leur environnement et de ses propres fragilités et c'est à dire que si on prend la question du handicap physique c'est vrai que je caricature un peu mais un plan incliné va venir compenser le
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handicap ces enfants là leur situation l'environnement va être beaucoup liée à la capacité relationnelle de l'environnement de pouvoir travailler
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avec ses enfants alors on est bien d'accord c'est que ce sont que des professionnels qui sont aussi de tous les noms c'est pour savoir donc à l'heure actuelle les réponses
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qu'on avait notre disposition c'était de sézanne avec un travail autour de la proximité et puis l'itep 1 qui avait souvent deux possibilités de réponses qui est l accueil de jour et l'internât autour de
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logique de 210 jours par an et on avait ces outils qui venait un peu constitué des tuyaux d'orgue et on était dans l'ain où on était dans l'autre un et on avait une réponse soit à domicile soit en institution et pour passer de l'epan
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passer de l'un à l'autre si nécessaire il fallait repasser par les commissions deux types mdph d'accord donc ce qu'on est venu constater nous assez rapidement
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c'est qu'on va dire que le temps de vie de l'enfant on va dire que les temps administratif n'était pas calé sur le temps d'évolution du parcours de vie de l'enfant et que justement pour changer c'était s'est placé ses tuyaux d'orgue parfois ça pouvait être problématique
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sur ces enfants qui avaient quand même besoin d'être d'être assurée régulièrement donc pour nous les constats c'étaient qu'il y avait beaucoup de foin de frein pour la fluidité du parcours fallait repasser devant des commissions fallait
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justifier on avait des fonctionnements parfois qu'ils pouvaient être aussi interrogeant pour les parents dire que les parents et bien l'enfant passé d'un dit est pincé zadeh il fallait qu'ils reviennent qui est à nouveau une
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procédure d'admission et il y avait on va dire des lourdeurs de fonctionnement qui était propre à nos institutions et qui était pas propres besoins de l'enfant donc il y avait cette question de passage une réponse à l'autre et puis il
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y avait aussi de trouver la bonne dose acceptable par l'enfant pour leopard ou où le jeune comme je vous disais ce qu'on constatait nous dans nos établissements c'était que les uns et les autres alors je vais pas dire qu on bricolait
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parce que j'ai changé on faisait de l'artisanat c'est un peu plus noble on faisait de l'artisanat ouais on est non non je suis artisan je partirai j'étais ont pesé de l'artisanat et on essayait
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de moduler les parcours des enfants les besoins des enfants et de leur offrir des réponses et on avait de plus en plus des parcours d'enfants ou de jeunes 1 qui prévoyait des temps de scolarisation en école ordinaire un petit peu
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moyennement ou beaucoup et on voyait bien que de temps en temps il était nécessaire de trouver cette bonne dose et donc justement pour nous l'objectif final était d'éviter une organisation en
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tuyaux d'orgues qui qui évite les ruptures de parcours si c'est de trouver une organisation qui répondent aux besoins de ses enfants et que l'on soit pas sur des fonctionnement institutionnel où on met l'enfant dans
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une case d'une institution ou d'un type de prise en charge alors ce qu'il faut dire pour compléter c'est que quand on dit t'es pas que hay du jour un terrain de 5 10 jours par an l'enfant devait être présent à l'itep de
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110 jours par an physiquement ça qu'il n'y avait pas là cette souplesse qui correspondait à ses besoins ce n'était pas un internat nécessité que j'ai 25 x
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210 jours par an de présence on était quelque chose de très marquées concernant aussi la dose acceptable parce qu'on peut dire souvent chez nous aussi ce que l'enfant ou l'adolescent peut supporter on se retrouvait
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fréquemment dans des situations où l'ado pour des adolescents déscolarisés après un long parcours de consultation et d'échec scolaire déscolarisé pour lesquels mdph indiqué
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internes a dit m après une une année ou deux d'errance alors moi je parle je parle d'une ville urbain je paie en mille suite du jour le
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nommé va pouvoir récupérer un ado qui vit dans des cités à marseille puisque c est lui dire du jour en semaine tu vas à l'internât 210 jours par an il y avait là quand même des choses qui pouvait
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vraiment créer de la rupture et tendre dans la relation avant même qu'ils aient leur relation tendre dans la peu dans la rencontre de thé les autres qualités qu'elle était irréalisable irréalisable
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donc là aussi essayer de prendre l'enfant et l'adolescent parce qu'il peut subir la partie j'irai parle ce qui pourra supporter pour qualité puisse lutter pour sens global delà de la
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définition c'est à dire accueil de jour internat et sade puisse se mettre en oeuvre cheikh on pourrait quasiment avoir le même raisonnement avec les parents dire que pour les parents il est évident que de faire des premières
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propositions de réponses qui peuvent être partielle ambulatoire un petit peu bien évidemment peuvent être dans ce côté mon enfant n'est pas un enfant
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normal moi je l'on pourrait considérer ordinaire qui sort dire voilà n'est pas un enfant tout à fait comme les autres il a des besoins spécifiques et donc aussi dans ce travail qu'on peut avoir avec les parents on se rend compte à l'heure actuelle quand on le met à
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l'épreuve c'est ce qu'on va vous qu'on essaye de promouvoir à l'heure actuelle est un outil très intéressant alors les
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conséquences c'est qu'on se retrouvait parfois dans des impasses parfois il y avait des ruptures et puis alors là ça vous concerne peut-être un petit peu moins c'est qu'il y avait pour nous
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parfois en tant que gestionnaire rapport parce qu'il ya aussi des enjeux financiers il y avait des prises de risques qu'on pouvait être amené à prendre qui pourrait être éventuellement limites et qu' on va dire ce qui était bon dans
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l'intérêt de l'enfant éventuellement nous un moment donné nous met en tant que professionnel en tension est donc qui fait qu éventuellement on pouvait avoir des arbitrages faut pas
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non plus caricaturer cet aspect là des choses il est à prendre en compte kiffer qu'éventuellement on aurait pu avoir tendance à avoir des arbitrages qui n'aille pas forcément dans l'intérêt de l'enfant mais qui soit parce qu'il fallait qu'on fasse vivre la structure
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en tôle tech donc on a commencé à prendre des risques on les a faits on les a assumées au bout d'un moment c'est pour ça qu'on a milité pour un pour un autre chemin pour nous il y avait cette nécessité c'était la question de
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garantir la continuité de l'accompagnement alors excusez moi j'aime et j'ai mes lunettes je m'étais ouais voilà c c'est la question de ce que je disais tout à l'heure de l'accompagnement soignants qui s'appuie sur une
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intervention interdisciplinaire souvent quand on a mais les parents les uns et les autres on aime bien dire aux parents parce qu on est bien d'accord les enfants et les familles qui arrivent très souvent même s'ils sont un peu tristes que leur enfant vienne à l'itep
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sont souvent très fâché après l'école ordinaire sort souvent très fâché après l'école ordinaire parce que ça a été souvent pour eux quelque chose de compliqué qu'ils ont été renvoyés parfois un certain nombre de leurs
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difficultés qu'ils ont dû parfois être la main sur le téléphone est que lorsque l'école les appelait il devait venir je vous dis franchement moi dans mon environnement j'ai un collègue proche il
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ya un enfant qui est un peu toniques et hyperactif on a un code ensemble il a son téléphone portable il peut se faire appeler à tout moment par le collège et on voit bien là il ya une souplesse mais donc pour vous
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dire que souvent ce qu'on aime bien dire aux parents c'est qu'on n'est pas meilleur que l'école c'est qu'on est différent on est différent autour notamment de cette question de l'interdisciplinarité une de nos forces c'est la question du travail à plusieurs
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et là c'est aussi un des aspects que nous on promeut notamment dans le travail avec les secteurs sanitaires avec les secteurs sociaux et avec l'éducation nationale c'est que cette force qu'on a qu'on
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puisse d'une certaine manière la rendent contagieuse et que pour bien s'occuper de ses enfants pour avec les parents en proposer des réponses cohérentes il faut être plusieurs réfléchir à
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plusieurs et être plusieurs métiers sinon il nous semble que c'est trop difficile et trop complexe voilà on va on va passer ou tout complète oui je voudrais qu'on pète et c'est
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souvent on nous dit dans ce que vous avez construit sur un dispositif itep l'étape fait tout peut tout faire si tu aimes faire le thérapeutique éducatif le pédagogie et nous dans ce
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qu'on défende composition c'est surtout pas tout seul les thèmes ne fait surtout pas tout seul et dans la notion de bon si vous lisez les textes de dispositifs intégrés des itep la notion d' intégrer
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veut pas dire que l'itep intègre toutes les réponses mais qui va intérêts dans l'environnement les réponses réponse réalisable dans l'environnement de l'enfant ça peut être la famille l'école
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de quartier le collège les institutions médico-sociales en fait partie alors souvent l'enjeu était de dire l'itep fait tout en interne fait tout tout seul non surtout pas je crois que c'est une grande
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c'est une garantie de sécurité pour les enfants mais aussi pour les personnels et toutes les équipes voilà moi j'aimais bien je suis plus les admissions d'enfants mais j'aimais bien que lorsque je faisais des admissions
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d'enfants souvent quand je sentais que c'était possible de regarder l'enfant et ses parents il faut leur disais c'est nous on n'a qu'un objectif c'est de mettre dehors le plus vite possible alors il y avait toujours un espèce de moment de sidération et au bout d'un moment c'est là où on voit quand même
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qu'il avait énormément de ressources ils se paient toujours sur la ressource il comprenait bien le sens de ce qu'on voulait de ce qu'on voulait leur dire à ce moment là et de dire en effet que le l'itep était ce passage est que
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justement la question de l'exclusion ne venez pas jouer là dessus et venait de jouer sur leur capacité à pouvoir gérer leurs émotions de façon à pouvoir vivre des relations sociales un peu près stable au sein au sein de l'école et
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plus tard chez leur employeur parce qu on est bien d'accord nous notre objectif c'est pas de les préparer à l'école c'est de les préparer à leur vie d'adulte c'est un objectif entre guillemets plus ambitieux donc voilà on
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comme on vous disait pour nous dit m c'est une conception clinique c'est un ensemble de moyens d'accompagnement qui est propre à l'itep avec justement cette idée aussi de de l'internât de bien vous
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dire que quand nous nous parlons d'internât la question n'est pas d'être un internat sociale parce que les parents seraient éventuellement pas capable de s'occuper de leurs enfants c'est simplement à un moment donné soit
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une proposition pour l'enfant de vivre en groupe soit un moment donné parce que les tensions sont trop fortes et on vient faire le constat ensemble entre part entre les parents et nous même qu'il est nécessaire de mettre un peu de distanciation et l'internât doit
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vraiment se concevoir dans cet esprit là et puis comme on vous le disait un ensemble de moyens humains qui vont être organisées de façon à offrir toute une
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série de réponses alors on va on va aussi passer vite nous ce qui est important pour nous c'est la question de l' égide institutionnels comme on vous disait mais l'institution pas penser comme étant dans les murs un cirque à
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l'heure actuelle avec des enjeux qui a eu autour de l'europe on parle toujours l'institution les murs nous on parle d'une institution va dire une capacité de penser à plusieurs c'est surtout autour de cette idée là de l'égide institutionnels comme on vous disait
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d'essayer de mettre en place un maximum de possibilités de scolarisation ou de formation parce qu'il ya des jeunes des jeunes adultes à titre individuel ou collectif soit au sein de l'école soit
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au sein de l'itep et de toujours essayer de jouer sur un territoire géographique qui est proche de l'itep ne pas oublier aussi la question de l'accessibilité de la participation sociale parce que je
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crois qu'il est aussi important de toujours pour ces jeunes là dedans visage et il peut y avoir un moment un moment de vivre ensemble au sein d'un club de sport et que au sein d'une activité culturelle et que
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si à un moment donné c'est trop compliqué l'école parce que il ya un certain nombre de codes et de règles pour lequel l'enfant va avoir du mal à gérer ses émotions il ya aussi ces outils là qui vont permettre de pouvoir
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envisager une inclusion de l'enfant donc là le projet c'est que chaque enfant puisse bénéficier de l'une ou l'autre des trois modalités c'est en ça qu'on
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parle d'un dispositif itep c'est à dire qu'il n'ya plus un cloisonnement entre le cézanne de l'accueil de jour et de l'internât il ya trois grandes dynamiques qui viennent une intervention
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de proximité auprès de l'enfant au sein de l'école d'un club culturel au domicile 1 auprès de son environnement aussi parce que c'est important et sa petite jamais nous l'a dit il ya aussi une action auprès de l'environnement
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c'est justement dans cette question de comprendre l'enfant de se vouloir et de pouvoir c'est vrai que si un enseignant qui est tout seul un moment donné se dit pas cet enfant ne veut pas eh bien ça
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sera toujours très compliqué pour lui il faut à un moment donné que ensemble on arrive à comprendre que l'enfant ne peut pas et que si à un moment donné en effet il a des comportements tels que ce qu'il a et c qui ne peut pas faire autrement
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et ça c'est fondamental aussi et puis comme on le disait un accueil au sein d'établissements en journée qui va permettre déscolarisation toutes les modalités possibles la question de la formation
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professionnelle c'est important la question des stages en entreprise pour les plus grands ça peut être très valorisant pour eux des groupes de parole tout ce que vous connaissez un petit peu pour si vous êtes du secteur qui vont nous permettre et qui sont tous
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les outils qu'on utilise et puis comme on le disait accueille au sein de l'établissement en soirée ou ennui au tour de dos modalités alors qu'ils sont pas toujours présente dans tous les items mais qui sont quand même moi je
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pense fort intéressante qui est le ca effet c'est un centre d'accueil familial spécialisé c'est grosso modo deux sets sur des familles d'accueil est donc une possibilité qu'un enfant puisse être accueilli seul et donc on a un outil de
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distanciation individuel entre nous parfois même si ça peut être intéressant parce que c'est vrai qu' il ya quelque chose dont on a peu parlé j'aurais aimé lentement qu'un jour vous re développer là dessus et philippe jamet dans les étapes la question de la
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sexualité est quelque chose qui est aussi présente donc l'internât collectif de temps en temps peut être quelque chose de complexe pour un certain nombre d'enfants qui ont vécu des traumas eux
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mêmes et que donc d'avoir ces deux outils peut être un outil est quelque chose d'un train d'intéressant et autour de cette réflexion autour de l'internât il ya cette dimension qui est importante parce que ben voila et certains diraient
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ya de la libido il qu'il faut qu'il faut un peu gérer cette question là et qu'il faut pas qu'on les évacue l'internât est un outil intéressant dans le fait du vivre ensemble il peut présenter quelques complexité et le fait d'avoir ces deux outils peut permettre
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de moduler les propositions qu'on peut faire des familles à des enfants ce qu'on peut pour compléter au départ de l'expérimentation l'expérimentation ces six régions en france s'est mis le jeune
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concerné le handicap l'objectif c'était de se dire comment on va passer d'une modalité à l'autre modalités sans faire quatre ou cinq mois d'attentes via les mdph et puis à la sortie des deux des 2/3 première année
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d'expérimentation on se rend compte que si ce qui ressort le plus c'est des réponses concomitante la même semaine le jeune un itep peut
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avoir une réponse de proximité de jours et même une nuits par semaine vers vers l'internât et sa passion pas surpris c'était pas dans les clous initialement
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de l'expérimentation c'était pas un double objectif c'était de passer de l'une à l'autre de manière de manière en bloc ou du tout sessad vers l'internet verdissement et ses combinaisons permettent aujourd'hui
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d'avoir des programmes pour les jeunes qui sont reçus sans hésiter des six régions un dispositif majorité d'avoir quelque chose de très ajustée circuit peut avoir un enfant ou un adolescent qui est toujours un sessad dans son
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école sur le collège puis un jour en puis le lendemain ou le surlendemain va être accueilli dans le cadre de l'itep paru non dans ce que tu appelles l' accueil au sein de l'établissement la journée même une nuit et une nuits
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d'internât thérapeutique c'est que ces combinaisons permettent vraiment des réponses a prénommé quoi c'est ça qui est intéressant et c'était pas la dynamique initiale dynamique édition on
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pensait que ça allait être ça qui allait rosso les expériences aussi il faut se laisser tenter un peu et voir ce que ça résout ce cas d'important dans ce que tu dis françois c malgré tout c'est la combinaison sous l'oeil institutionnels
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énergie d'institutionnels sûr que c'est pas de la prestation de services individuels et à la carte tout ça est relié par un collectif quelques chiffres juste pour vous dire
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dans les items en ile de france et normandie la première réponse proposée majoritairement pourcentage de réponses c'est l'internât en paca c'est
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l'ambulatoire pourquoi en sortent et m'ont dit pascal soleil mais je pense qu'un pas que saint philippe il ya aussi là aussi à une forme de réponse culturelle historique qui se
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sont inscrits dans les différentes régions et on n'est pas mais on n'est pas maître de sa quinzaine de jeunes dit m selon où on est et on n'a pas la même réponse c'était pour c'est un peu pour toi aussi tu disais ça
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[Musique] c'est un petit tableau mais on vous donnera le powerpoint sinon je vous invite on a un site aussi air vous tapez air et toute une série de ces documents vous pourrez vous pourrez les retrouver
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c'était un peu la combinaison globale et la cohérence vous y retrouvez c'est l'idée de ces trois modalités mais comme le disait gide vraiment à très juste titre c'est de considérer qu'à un moment de
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l'accompagnement de l'enfant l'enfant va pouvoir bénéficier des différents types d'accompagnement et puis qui renforçait aussi cette question d'interdisciplinarité et tickets pour
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nous fondamental alors ça s'était rapidement on va passer dessus c'est toute une partie de l'étude qui a été fait dans les pays de noirs dans les pays de loire justement sur la question
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de la participation des parents parce qu'on a un des éléments qu'on a eu en matière de réflexion et était de quand même de considérer que le système se complexifiant la richesse devenant plus
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forte bien évidemment le travail ou l'élaboration et la construction avec les parents du projet de leurs enfants devenaient plus complexe si je vous fais simple moi il ya 15 ans j'étais directeur d'un item quand une famille
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arrivait dans mon bureau visait à votre enfant il est là 210 jours s'il à l'internât c'est du lundi au vendredi et puis madame c'est fini point barre si vous êtes d'accord vous mais j'étais persuadé que c'était bon ce que je
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propose est un élu puis peut-être que dans un contexte c'était pas si mauvais la société évolue maintenant la donne est beaucoup plus complexes et les plus complexes pour nous en tant que professionnel mais aussi pour les parents parce que les parents sont aussi
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empreint de cette idée d'un système où on est à l'école ou pas à l'école et ont donc on vient proposer aux parents et à leurs enfants la construction d'un projet qui va pouvoir comprendre
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l'intégralité de ses dimensions éventuellement de la visite à domicile ce qui est quand même pour nous aussi une évolution forte et donc il ya eu toute une réflexion qui a été menée dans les pays de loire c'est pareil donc si
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jamais il besoin nous on pourra vous redonner les documents qui vont donc bien mettre en avant cette importance quand on fait
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bouger le système pour nous de prendre en compte cette dimension dans le travail qu'on mène avec les parents parce que c'est fondamental je vais vous prendre un autre exemple parce que parfois ce qu'on va proposer notamment
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un ado je vous prends l'exemple tout bête dire que quand on passe quand on sort du carcan de 110 jours et qu'on va dire un adolescent bon ben voilà on va travailler ton projet un moment donné on va pas être forcément d'accord avec lui
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et ses parents vont pouvoir aussi pas être d'accord avec lui on va peut-être dire maintient la petit là au moment des vacances de février ça serait bien qu'ils aient pendant deux jours tu puisse venir pour faire telles activités ou pour venir voir ton psychologue parce
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que c'est important et donc là on a pu le cadre institutionnel où la règle institutionnels pour le tenir on a plus que des montages individuelle est donc là ça vient mettre en place des complexités c'est passionnant moi je trouve ça c'est beaucoup plus
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passionnant que dire c'est 210 jours où rien mais néanmoins ça vient mettre en place des complexités donc d'où ces deux ou trois dia qui sont sur cette question de la co-construction avec les parents
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de façon à trouver la bonne solution pour leurs enfants à partir de tous les conseils qu'on peut leur donner voilà on voit là c'était un peu la paix la participation de quoi parle-t-on
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c'était la voyez la question des tracteurs d'être responsable la question de la tolérance la question de la citoyenneté c'est important la question de la place de chacun de l'engagement de chacune des deux parties entendent par
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an et en tant que professionnel et aussi le rôle et la place de chacun sait c'est fondamental de voir que nous dans ces nouvelles organisations qu'on essaye de mettre en place il est bien évident que nous n'avons pas à prendre la place des parents nous avons un rôle différent
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nous sommes des professionnels et nous nous positionnons en termes de conseil vis à vis des parents en termes de propositions de solutions de façon à trouver le la meilleure solution pour leurs enfants
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moi je vais peut-être vous vous anticipez s'il ya quelques questions de votre part mais est-ce que vous avez déjà un recul sur le parcours de ces jeunes par rapport aux modèles
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anciens de l'itep établissements internat et j'allais dire réponse éducative de la société par rapport aux défaillances et aux histoires individuelles
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est-ce qu'il ya déjà donc un recul un petit peu sur le parcours de ces jeunes qu'elle est sans parler de leur destin mais mais leur devenir dans le dispositif que vous proposez puis une
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deuxième question qui est un peu annexe de ma part mais mon avis qui est importante vous disposez quand même en gros deux structures plutôt à la campagne comme celle qu'on a vue aux aubry etc
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comment ce nouveau dispositif d'accompagnement sachant que ça touche beaucoup des jeunes en milieu urbain comment ce dispositif peut fonctionner quand on est à 40 km du pôle de vie de
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ces enfants là est ce que ça va vous vous inviter à penser autrement ces institutions qui sont en général des châteaux entouré d'un parc etc on connaît les sms et et leur histoire
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voilà alors alors ce qu'est ce qui apparaît sur trois ans c'est une plus grande de y
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avait un point fort dans la relation de l'it partenariale de icap sté l'école mais au début de l'étude la salle a vraiment renforcé de manière
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pardon ça le remet à renforcer de manière très importante la relation avec la scolarité l'apprentissage est beaucoup plus souple
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évite justement d'attendre que la scolarité soit mise à mal de manière définitive dans le cadre ordinaire pour passer à l'itep tout ça se combine de
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manière beaucoup plus douce il peut y avoir des allers-retours beaucoup plus fréquent du temps partiel pour beaucoup plus fréquents donc là cette modularité c'est un plus dans le parcours en moins
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de rupture - deux points de rupture dans l'item quand vous avez il ya quelques années quelques temps quand on était hier mm itep un enfant ou un adolescent insupportable en internat la seule solution qui avait c'était de le sortir
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de l'itep et d'attendre qui est notre décision qui sont pris par la mdph là dans le jeu du dispositif à l'itep de combiner avec son temps de jour et 206 s16 had proposer des réponses qui vont
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continuer à maintenir le lien au cas plus cette rupture là y'a plus je me demande fectivement où c'est que ces convois les points de les points de force
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c'est vraiment à ce niveau là dans l'organisation de l'itep ce qui impacte et françois l'a très justement abordé c'est une complexité terrible parce que
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quand tu as 50 jeunes un itep tu as plus une liste avec 25 interne 25,6 adtc analyse de 50 est pratiquement tu es tu composes c'est du cousu main
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ce qui pose la question des des temps où l'enfant et l'adolescent tu n'es pas à l'itep et dans les parcours aujourd'hui ce qui nous est demandé c'est de réfléchir à la
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prise en compte 210 jusqu'à 365 à 150 jours où il n'y a pas dit m et on nous demande dans le parcours de commencer à raisonner sur ses 105 jours
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alors nous on a des on n'a pas des réponses on ad on me remettre une entrée notre intelligence à tous aux services de réflexion mais on est interpellé là-dessus ce que ça fait apparaître
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c'est des variétés des variations d'un territoire à l'autre qui sont phénoménales avec des villes et d'aidé alors six régions pour l'expérimentation paca pays de loire haute et basse
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normandie ile de france champagne ardenne ou et bien c'est pas des régions que la même densité de population des grands mieux des grands centres urbains avec des régions qui sont à connotation plus rurales on a rencontré des choses
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absolument d'étonnantes des itep dans des eaux des plats cités dans des hôpitaux en ile-de-france des places dites est pour enfants épileptiques des
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places dites et un château où tout se faisait dans le château et le gamay arrivé le lundi reportée de dimanche on a tout ça on a pu l'observer au fur et à mesure de l'expérimentation
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ce qui est compliqué parce que r on n'est pas un organisme gestionnaire air est une fédération qui aident à penser au tour la peau de la problématique de ce public là c'est comment va ramener un curseur qui va être à peu près équitable
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sur tous les territoires comment on va amener des gestionnaires et y en a certains dans certaines régions qui ont été alors je prends l'exemple que je connais très bien du du département du 06 alpes maritimes nice
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cinquième ville de france l'internât pour ados de l'itep à 20 kilomètres du centre-ville n'en voyait pas beaucoup donc entre l'objectif de dire tu vas à l'itep
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il fallait que l'adolescent de 15 16 ans prennent la micheline le bus pourrait derrière pays niçois et la volonté de donc l'organisationnel est en train de réfléchir à comment rapatrier des places
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d'internât de manière plus souple vers l'a9 vers nice tu as d'état des coen ou c'est jouable d'autres ça va être plus compliqué parce que une gestionnaire avec sont à rs devra prendre peut-être
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plus de temps pour aller vers cette paire cette démarche là il ya un itep qui est entre peut-être vous connaissez ce qu'en fait partir aux sports d'hiver entre gap et briançon et qui a développé
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des petites unités dans les vallées des alpes donc qu'il ya déjà des marchés du côté de tout en ramenant sur l'accueil de jour vers du cfs vers des structures verve vert de l'institution plus plus
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lourd depuis continent donc il y a de cette énergie il ya cette volonté le décret vienne poucet de ce côté là le soutien que l'on
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a de manière très positive par les par les pouvoirs publics puisque au-delà des 6 ars qui sont rentrés à l'expérimentation de manière initiales sont venus être bon sans rature auvergne
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rhône-alpes est venu se joindre à nous l'occitanie on était à toulouse ya trois semaines mois la rs10 faut quand il faut connaître plus loin au delà des itep dans cette réponse là et je crois que c'est une dynamique d'ensemble qui va
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faire que les institutions s'est passé c'est pas les fermer décision c'est repenser repenser un modèle parce que si on ferme les institutions n'aura peut-être plus les moyens dans dix ans de deux les réouvrir et moi je vois je
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je vois puisqu'un certain on arrive on s'est rencontrés au niveau européen nos amis italiens nous disent aujourd'hui on a fermé les institutions il ya il ya quelques années et aujourd'hui on n'arrive plus à faire des pauvres entre le social le sanitaire
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donc fait extrêmement attention à ça mais il faut les repenser simplement c'est comme tout c'est la question des images si on boit le château au fin fond
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de la campagne comme un lieu exclusive et ségrégatives c'est vrai que c'est problématique nous dans la réflexion qu'on a c'est vrai que la question du territoire est très importante
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dire c'est de considérer que le dispositif doit pouvoir être en proximité en proximité territoriale de pouvoir et après ccd question je dirai tout bête dire c'est qu'il faut toujours
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en venir aussi à la question de l'effectivité mettons c'est vrai que si on est trop loin il ya un élément c'est que si on veut travailler avec les parents il faut qu'ils se déplacent ou que nous on déplace donc à il ya des impacts
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logistiques donc bien évidemment il faut qu'on repasse qu'on repense également nos organisations territoriales en faisant attention toi 2-2 pas trop caricaturé parfois ça peut être aussi
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intéressant qu'à un moment donné il y à un lieu qui puisse est apaisant pour un enfant sur lequel il ya il ya des possibilités qui sont offertes par contre je sais comme tous y ont réfléchi
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par rapport aux besoins des enfants c'est clair que du côté des ados il est très important que tu sois complètement connecté en matière de transport de façon à ce que quand tu vas travailler l'autonomie tu puisses tu puisse le
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faire donc ça c'est un élément important sur ce que la question tu que tu poses est alors on n'a pas nous à l'heure actuelle de données sur savoir quel est l'effet de cette
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organisation ce qu'on s'est quand même globalement c'est que les durée moyenne de séjour dans nos établissements sont autour de trois ans six mois à peu près trois ans six mois donc ce qui veut dire qu'il ya toujours pour ces enfants 1 après d'étape et que
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alors là moi je suis prendre des chiffres en interne mais je pense qu'ils sont en interne sur des établissements congères nous il ya un peu près 70 % des jeunes qui retourne en milieu ordinaire ou en milieu ouvert une voie de
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formation professionnelle et on en a un certain nombre qui vont toujours avoir besoin d'un accompagnement médico social sur lequel ils vont avoir un accompagnement plus long terme c'est vrai qu'il ya un certain nombre d'enfants dit m
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qui parfois peuvent être réorientés en im pro où on et saturn à nous on en est à peu près à l'heure actuelle vingtaine de pourcents de deux jeunes donc ça donne un peu une idée du parcours de ces
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jeunes là ce qui est important c'est durée moyenne de séjour 3 en 6 mois donc quasiment pour tous les ans pour un grande majorité d'enfants dit qu'il ya un après itep il ya un après ils sortent de cette situation de handicap ça on
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n'est pas revenue dessus c'est à dire qu'ils sont dans un processus les enfants dit elle sont d'un processus handicap on est donc l'idée c'est que l'action de l'itep avec l'école les
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secteurs de psychiatrie éventuellement les services sociaux permettent que des enfants sortent de ce processus handicapant merci on va donner la parole à philippe et à céline pour clôturer
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cette dernière rencontre si vous souhaitez après tous ces débats beaucoup de choses non mais simplement venir pour moi sur l'importance des structures
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comme ça je pense je trouve que je continue à les faits depuis 25 ans ya pas mal de formations dans la suisse romande ne fera pas moi est un vrai
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problème d'un terreau d'un vrai problème d'ailleurs ils ont recours à des structures françaises parce que il ya des foyers qui sont cons les foyers qui sont complètement sans
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cadrage et donc je dirais que c'est souvent pire parce qu'il ya des fêtes entraînements et donc voilà des choses se désorganise ou des internats alors très très éducatif et bon beaucoup monde quel que soit et encore c'est une chance
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de pouvoir y rentrer donc on n'en manque pas si vous rendez comme pour moi ça c'est du recadrage à l'extérieur si à l'intérieur il ya une vie c'était quelque chose de vivant c'est là aussi un outil de liberté parce que les
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contraintes elles sont à l'extérieur celle là elles sont passagères on en sortira c'est le dr risque de ne pas sortir c'est celle des internes et de la d'avoir ses possibilités et même je dirais quelques fois l'idée château enfin tu sais j'ai vu des enfants j'ai
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c'est pour nous on peut avoir droit sa facette qu'il ne vivait pas mais comme quand même on va on va pas les abîmer ça on va pas il y avait quelque chose d'un peu touchant de dire ah bon on a le droit d'être dans quelque chose qui est
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beau qui a deux ça dépend comment tout ça c'est comment le vit c'est la manière si ces faits d'une manière où il n'y a pas de plaisir c'est comme ça on est entre sa mâchoire sait si c'est mes deux cadres quand même important est que
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pourquoi pas des choses et puis après on peut aussi s'arranger avec le secteur pour rencontrer les parents sur le cmp du coin se déplacer d'où aussi enfin oui je crois qu'il faut pas non plus c'est vrai qu'il ya des avantages aussi
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incertaine de cas d'être un peu à distance voilà parce que au fond c'est pour eux c'est ça devient aussi mais tout est dedans il faut que je sois bien présent dans la tête mais c'est pas vrai c'est que c'est pour vous que ces faits parce que vous en bas d à
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peine parce que vous il ya même si vous ne réussit pas vous non pas de la pète est en effet vous avez delà des structures où on a envie de passer du temps avec vous c'est pas une contrainte pour nous c'est qu on a envie de vous
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aider à padoue et aux potentialités c'est ça qu'il faut avoir sans arrêt en tête et je crois qu'il faut qu'on garde vraiment des structures comme cela encore une fois parce que pouvoir contenir quelqu'un qui n'a pas
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dit dans une famille qui elle-même en difficulté quelle que soit sa bonne volonté et ils peuvent pas ils peuvent pas avant donc moi je suis âgée un plaidoyer très merci philippe jamet
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céline un petit mot de nom là la seule chose que ce que je te disais oh gilles tout à l'heure c'est le fait d'avoir tourné avec le film dans pas mal d'étapes en pays de la loire d'ailleurs est d'abord très pleins de et d'enfants
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et parents pas des valeurs en fonction des structures c'était très chouette des fois c'était des projections avec les familles c'était un de comprendre là
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effectivement là la différence et la disparité enfin la définition d'un enfant dit m c'est ce que je vous disais duster je veux toujours bien incapable de dire ce que c'est parce que tous les directeurs météo mais c'est nous on a quand même
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pas des masses ce qu'on voit dans ton film enfin moi j'ai pas voilà je ne suis pas forcément cette population là voilà que j'ai l'impression d'avoir dans mon établissement était ratée qui a une disparité enfin après j'espère tu mets vous
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m'expliquez tout à l'heure qui définirent aussi ce que c'était que les troubles du comportement enfin que ça devait aussi servir à salah tout c'est je vous souhaite bon courage dernier
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c'est votre dernière ouais j'avoue que je trouve je pense que c'est compliqué vu toute la différence des enfants des institutions des et que parce qu'on me semble intéressant donc ce que vous avez développé sur ces tueurs de dispositifs
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c'est la possibilité de répondre à la complexité quoi on va rester sur ces mots là merci à vous pour voilà votre participation votre présence
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on reste en contact on vous donnera l'information un petit peu des suites à ce que ce sera une journée est ce que ce sera voilà comment on va organiser la conférence de consensus mais vous serez les premiers informés
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voilà un bel été à vous et sans doute dans quelques semaines ou quelques mois
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