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alors oui alors là on est presque sur la question des routines du quotidien de l'opposition client n'est presque sur des stratégies qui concernent les enfants avec TDAH et troubles oppositionnels ordinaire alors c'est pas pour banaliser
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non plus parce que je dis pas que c'est que c'est pas problématique mais là aussi comme moi j'ai l'habitude d'animer les programmes de Barclay qui sont destinés aux parents d'enfants avec TVH où on va être plus dans l'idée
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du renforcement positif et de trouver des motivations pour faire pour pour comment dire pour faire céder l'opposition ordinaire en fait donc ordinaire ça peut être très gênant mais quand on dit ordinaire c'est qu'il y a
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pas forcément cette dimension de violence et de prise de contrôle et et aussi ce côté se différencier entre l'agressivité hyper forte à la maison les crises et le
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côté un peu exemplaire à l'extérieur etc donc on est sur ces questions des routines on est très on est un peu sur des sur de la stratégie plus Barclay l'idée souvent dans un premier temps c'est de trouver non pas de le prendre
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sur le moment en se disant comment je fais là tout de suite pour faire céder mon enfant parce que on sait qu'il y a beaucoup d'opposition mais de le prendre un peu j'allais dire par la banque en disant ben comment pourrais-je le motiver pour qui se prépare le matin
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mais hop je peux éventuellement envisager un système de points je peux envisager des des renforcements positifs un truc qui fait que ça va rouler un peu plus simplement dans le quotidien après je crois qu'il y a aussi sur
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l'histoire des devoirs il y a beaucoup il y a beaucoup à réfléchir sur la question du lâcher prise aussi par rapport au travail scolaire moi je dirais que depuis le temps que je travaille avec des enfants
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qui ont des troubles 10 TDAH et autres si je devais regarder cette question là avec un peu plus de d'objectivité médicale je j'aurais tendance à dire en fait presque les devoirs on s'en fout
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quoi enfin c'est un peu radical mais et pourtant j'ai accompagné des enfants qui ont des tas de troubles des apprentissages donc la scolarité c'est compliqué pour eux et c'est important etc je remets pas en question mais les devoirs scolaires eux-mêmes
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par rapport à l'impact que ça dans la vie de certaines familles en terme de de liens et de régulation des émotions il y a plus de côté négatifs que ce qui
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aurait de positif dans l'idée de de faire des nouveaux apprentissages et en réalité pour la suite pour la suite dans 20 ans enfin dans peut-être dans 10 ans enfin c'est beaucoup plus important ce qu'on
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aura préservé au niveau au niveau du lien affectif etc que que le côté du parcours scolaire alors je m'entends bien je veux pas dire que le parcours scolaire c'est pas mais même pour le côté professionnel en fait le
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parcours scolaire même en France où c'est très scolaire mais c'est pas si important que ça et pas si important que ce qu'on imagine en fait chez les enfants en particulier qui ont qui ont
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des et c'est donc du coup je trouve que parfois il y a trop les devoirs scolaires c'est une affaire dans ces pour les enseignants c'est une affaire que l'on règle avec avec les enseignants mais on se
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il y a pas de raison de se mettre en guerre là-dessus il y a trop à perdre sur d'autres plans après vous allez me dire on peut pas lâcher prise sur tout de la même façon et parce que l'enfant il doit bien se lever pour aller en cours etc donc après c'est de réfléchir
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aux stratégies qu'on peut avoir pour motiver l'enfant dans le quotidien quels sont-elles après moi j'ai plein de parents d'ados aussi finalement enfin d'ado je veux dire à partir du collège petit ado mais
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où c'est tellement les routines sont tellement un enfer il y a tellement d'oppositions que la solution qui qui peut être vraiment intéressante c'est la question de l'internat pour le coup et j'ai plein de jeunes ados dans ma
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consultation que j'ai suivi petit mais qui sont maintenant des jeunes adultes qui peuvent dire à quel point ça a été salvateur pour eux d'être en internat quoi parce que ça a été c'était
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trop compliqué trop compliqué chez eux ils sont capables d'avoir ce recul aujourd'hui de l'autonomie que ça leur a apporté donc je pense que des fois il faut se poser aussi cette question pour beaucoup de parents c'est dur il y a beaucoup de parents qui me disent en consultation mais nous on n'a pas une aux enfants pour qu'ils soient en
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internat je suis enfin je suis pas être d'accord ou pas d'accord mais en fait il y a des moments où il faut réfléchir surtout à l'intérêt de l'enfant enfin après je dis pas que ses parents ne réfléchissent pas à l'intérêt de l'enfant mais c'est se dire peut-être
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que cet enfant la précisément pour apprendre son autonomie il a besoin de quelque chose d'autre que ce qu'on avait imaginé au départ pour un enfant qui aurait pas eu de difficultés particulières donc
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l'objectif l'intérêt de l'enfance ce sera toujours son autonomie donc il faut toujours essayer de réfléchir par rapport à ça dans les dans les stratégies après ce que je me
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peut-être que voilà je dérive un peu mais cette question de l'opposition au quotidien déjà même dans le Barclay et même pour les enfants qui ont juste un TDAH on travaille finalement beaucoup on travaille sur des techniques mais je crois qu'il y a quelque chose de de très
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intéressant qui est sur le lâcher prise et lâcher prise sur ce qui est pas fondamental quoi parce que c'est vrai que sinon ce sont des enfants avec qui on est tout le temps tout le temps tout le temps en guerre donc il va falloir prioriser les choses importantes par
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exemple le respect le fait que les enfants n'aient pas de violence et qui soit respectueux et après le reste il va falloir aussi le dégager le dégager de ses pensées en
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fait où trouver des petits systèmes de valorisation mais sinon ne pas y faire plus attention que ça et c'est vrai que ça me fait penser à un truc c'était dans les je crois que je disais un groupe récemment mais je sais
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plus parce que peut-être je m'embrouille un peu peut-être l'ont déjà entendu mais on avait partir on avait fait un autre programme dans le service qui était plus branché sur la méditation et qui était il y avait toute une partie aussi adaptée aux parents et dans les
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stratégies il y avait il y avait une diapo c'était pas moi qui l'avais qu'il avait faite c'était vraiment le travail d'une collègue et c'était un peu l'idée c'était de dire voilà vous vous
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imaginez dans dans 50 ans vous fêtez mettons en 40 ans vous fêtez vos 80 ans enfin et il y a toutes vos familles qui est là vos enfants vos petits-enfants et vos enfants sont amenés à faire un
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discours où ils vont parler de vous finalement qu'est-ce que vous aimeriez qu'il est qui transmettent sur sur vous qu'est-ce que quels sont les souvenirs dont vous aimeriez qu'ils évoquent quels sont les
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donc en fait il y a cette idée de transposer alors je dis pas ça vaut ce que ça vaut mais en fait il y a cette idée de ce transposer dans le dans le futur et je trouve c'est intéressant des fois d'y réfléchir en tant que en tant que parents pas forcément en tant que professionnel je tiens finalement
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qu'est-ce qui est important dans notre vie d'aujourd'hui qu'est-ce qu'il en restera est-ce que ça vaut la peine des fois de se mettre en guerre pour des trucs qui sont pas si importants est-ce qu'on peut pas voilà ça j'entends bien que quand il y a de la violence et tout on peut pas raisonner comme ça mais
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justement retourner dans des petits trucs il faut pas tout mettre au même niveau je pense que la non-violence c'est la priorité c'est la base et après les routines et le machin et le truc il faut essayer de voir ce qu'on peut dégager de son
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cerveau et dégager de la relation j'ai l'impression en tout cas que il y a quelque chose qui est parfois important autour de ça et par contre la violence on peut pas la mettre au même niveau la violence c'est là qu'il faut être
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qu'il faut être proactif donc enfin et qu'il faut se dire ma priorité dans les valeurs que je veux transmettre c'est de lutter contre cette violence mais après
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savoir si la mis la table ou sorti des poubelles ou ranger sa chambre ou fait ses devoirs comme bien même les devoirs je me dis que c'est pas si important c'est pas si important que ça alors
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peut-être ça peut paraître un peu à contre-courant mais je voilà après tout dépend bien sûr c'est j'entends bien qu'entre l'opposition et la violence parfois il y a en tout cas l'agressivité il y a juste un fil
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mais c'est important de se reposer question parce qu'on pourra pas être en guerre surtout de toute façon et dans la déclaration quand on fait une déclaration on cible la violence on cible pas je voudrais que tu ranges ta chambre et
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que et que machin on l'oublie on dit bien aux parents on concentrez-vous sur l'essentiel l'essentiel c'est peut-être que votre enfant ne soit pas violent ça peut être aussi que votre enfant retourne en classe s'il est déscolarisé totalement vous avez quand même envie
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qu'il ait une vie sociale en fait même pas scolaire mais une vie sociale donc pour son bien-être vous avez envie qu'il soit heureuse scolarisé et puis le reste à la limite on s'envoie oui parce que les priorités c'est celle là et voilà ça
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je réponds pas du tout finalement je donne pas de technique pour la maman qui pose cette question parce que j'imagine que c'est une maman je sais pas exactement mais je ne sais pas pourquoi mais mais bon voilà c'est
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la question un peu de de quels sont les priorités et sur l'opposition du quotidien c'est la question de la un peu des de du trouble oppositionnel avec le programme de Barclay et quand c'est infernal aussi il y a toujours la
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question des traitements parce que dans l'opposition il y a beaucoup de problèmes de régulation des émotions il y a le TDAH il y a tout ça derrière mais d'abord on essaye d'aménager un petit peu à son niveau quoi donc
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je sais pas si je réponds vraiment à la question parce que finalement je l'ai un peu contourné mais mais voilà
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