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bonjour nous avons aujourd'hui une [Musique] une conférence particulière et je dirais même fondamental dans le cycle du pôle
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universitaire de le faculté de médecine de l'Université Versailles Saint-Quentin qui est justement
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fondamental puisque nous allons aborder la signification tout simplement de ce que wannelf veut dire je ne voudrais surtout pas commencer mais peut-être dire comme quoi nous
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avons eu la chance grâce au présent de l'Académie André Gestin et et au professeur de guerre de l'école vétérinaire de Maisons-Alfort d'avoir
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deux personnes deux collègues de chercheurs qui particulièrement vont nous orienter par rapport à leur problématique proc qui nous permettront
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n'est-ce pas de de d'essayer de CIR accomplir un domaine nous en avons discuté un peu avec Renaud au début qui apparaît peut-être complexe et qui risque de se retrouver sur cette aspect
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un peu corseté et qui nécessite peut-être un peu comment dire de liberté nous allons en discuter sûrement suite donc le premier des deux car en fait ce sera deux
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interventions qui vont se répandre l'une l'autre et il y aura des questions après si vous le voulez bien ces marques de nain donc le premier qui va nous présenter comment il appréhende et ses
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travaux et rapports autour de wannels tu as la parole je suis très honoré d'être ici à l'hôpital Foch et j'appartiens à l'université Paris-Saclay donc on est on est proche et je crois
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qu'on se rapproche de plus en plus donc voilà je suis je suis directeur de recherche du CNRS je vétérinaire aussi et puis
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je suis parti de l'Académie nationale de médecine aussi donc j'ai une vision qui est assez intégrée de de la médecine de l'animal
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jusqu'à l'homme et donc j'ai géré avec d'autres collègues bien sûr mais la cellule covid de l'Académie vétérinaire de France quand il y a eu la crise du
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covid et donc on a beaucoup réfléchi à cette cette question de de covid et pourquoi le covid était apparu on sait que c'est apparu via les animaux
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et puis et puis finalement la gestion de la crise comment comment il y a eu ou surtout pourquoi il y a pas eu autant d'interactions qu'il y aurait dû y avoir
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entre les vétérinaires et les médecins je commence avec un mauvais jeu de mots qui est le jeu de mots anthropo centré ou anthroposante pour dire qu'en fait on a une vision
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très anthropocentrique de des maladies ou en fait en général on considère que le le vrai problème c'est quand les
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maladies touchent les humains et donc on a le terme de de zonos qui est le terme qui est utilisé pour dire de pour parler des maladies qui se transmettent de l'animal à l'homme aussi et de l'homme à
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l'animal [Musique] donc ça c'est la vision c'est la vision qui va de l'animal vers l'homme il y a même une vision qui est encore qui est un peu la même mais qui est que
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finalement l'homme est vraiment au centre de cette de cette de ce cycle de pathologie à partir donc d'animaux qui viennent de
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donc sur la gauche en fait ici de d'animaux de marché donc on pense que le covid est apparu cette via cette ce système via la chasse d'animaux sauvages
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il y a notamment Ébola on pense que c'est apparu chez l'homme de cette façon là les les via les animaux domestiques donc la grosse éloge
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passe de des animaux domestiques jusque l'homme et puis il y a de l'utilisation des animaux sauvages dans des fermes pour des fermes un peu particulières pour les animaux qui sont pas les animaux domestiques enfin de
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rentabilités alors ça c'est la vision donc j'appelle anthropocentré ou anthropocenté mais en fait il y a le concept de wannels qui est apparu et dont on parle aujourd'hui qui a un
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concept beaucoup plus intégré ou en fait finalement l'homme ne se retrouve pas au centre de de cette vision wanals mais l'homme est un élément comme comme les autres éléments de l'écosystème donc les
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animaux et l'environnement et donc on va essayer de voir un peu comment quels ont été les champs de pensée qui ont amené à cette ce concept de wannels alors on en
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a pris conscience au moment de la crise covid en fait la population générale on a pris confiance au moment de la crise covid mais ça fait très très longtemps que dans le en tout cas dans le milieu vétérinaire on parle du on parle du wannels et on en parlait peut-être un
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peu moins avant alors on va commencer par des jalons historiques et puis on va on va commencer avec un peu le père de la microbiologie moderne qui est qui est pasteur et la
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révolution pastorienne j'ai mis un schéma assez simple qui est qui veut illustrer le fait que avant pasteur on pensait que les maladies infectieuses donc il
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n'était pas affectueuse à l'époque était lié à des phénomènes de génération spontanée et donc en fait pasteur a eu cette idée de faire cette expérience qui est en fait extrêmement simple qui nous paraît extrêmement simpliste même aujourd'hui mais qui
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était qui a changé la façon de voir les choses donc il prenait un bouillon de type bouillon de viande et en fait il faisait il faisait chauffer ce bouillon et avoir ensuite il laissait il laissait
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refroidir et puis le laisser à l'air et puis et puis ce bouillon se contaminer avec tout ce qu'on t'a de bactéries et de choses qui pouvaient pousser dessus et puis en fait il a eu cette idée de de
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faire exactement la même expérience mais de mettre un élément coudé et en fait ce que ce que lui voyait c'était que avec cet élément
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coudé les les bactéries ou les microbes que lui pensait être important n'allez pas remonter jusque jusque dans le jusque dans son pêcheur et donc en fait il a montré
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qu'il y avait pas qu'il y avait pas de transformation en chose qui était lié à des contaminations puis ensuite il a il a cassé son son tube de bêcheur et puis en fait il a montré qu'il y avait une contamination et que
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en fait c'était l'expérience qui a montré qu'il y a eu une contamination alors de là est née toute la Révolution postérienne le fait que finalement il y a beaucoup de il y a beaucoup de de maladies qui sont liées à des à des
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bactéries à des microbes qui se qui se transmettent d'une personne à l'autre ou d'un animal à l'autre alors suite à cette révolution pastorienne il y a eu une deuxième révolution qui est qui est cachée par le
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par le zoom qui est en fait a découvert des antibiotiques et puis en fait on a commencé à comprendre qu'il y avait des échanges de microbes entre les animaux les donc entre les animaux ici
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domestiques la faune sauvage les humains donc cet échange de microbes vous pouvez se faire de façon directe vous pouvez se faire via des différents milieux donc il y a de l'environnement et puis via des
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vecteurs et donc là est né le concept que finalement il y avait tout un tas de d'interventions qu'on pouvait mettre en place pour éviter le transfert de le
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passage de ces microbes entre entre espèces et donc il y a eu donc avec l'invention des antibiotiques des anti- des antifongiques tout un tas de thérapies
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qui ont été mis en place et puis tout un tas de modifications de mode de vie qui ont permis de réduire la diffusion des maladies alors ça c'est des choses évidemment qu'on connaît tous avant de faire une chirurgie il faut il faut se
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laver les mains mais bon c'est toutes les éléments d'hygiène et en fait il faut voir quand même que ces éléments d'hygiène c'est c'est les éléments qui ont changé l'espérance de vie de l'espèce humaine donc ça c'est la grande
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victoire de de l'espèce humaine sur la vie est liée en fait à cette assez découverte alors cela étant dit donc on pourrait penser tout est gagné et que tout est tout est parfait dans le
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meilleur des mondes mais en fait on se rend compte c'est que il y a toujours des nouvelles maladies qui qui apparaissent et donc il y a des maladies qui qui émergent tout le temps
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donc depuis 1970 il y a 335 maladies alors bon peut-être que le chiffre est pas tout à fait exact mais c'est un ordre d'idée qui sont qui sont apparus pour l'espèce humaine qui sont liées à des nouveaux pathogènes donc en gros ça
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fait à peu près une nouvelle une nouvelle maladie importante qui apparaît chaque année alors j'ai représenté en fait ici de type de données donc l'apparition de
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nouvelles maladies dans différents pays du monde et en fait ce qu'on voit ici sur le sur la gauche c'est les les comportements qui sont liés à l'apparition de ces nouvelles maladies
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donc il y a différents types de comportements donc ici c'est une moyenne au niveau de de ce qui se passe dans tous les pays il y a un certain nombre de comportements qui sont liés à des
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changements d'utilisation des des sols donc le fait que par exemple en déforest il y a des il y a des comportements qui sont enfin il y a des apparitions qui sont liées à une intensification de haut niveau de de l'agriculture il y a des
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comportements qui sont liés aux changements de l'industrie agroalimentaire qui vont entraîner des nouveaux des nouvelles types de de maladies il y a des comportements qui sont liés
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au fait que les humains redeviennent plus sensibles à certaines infections donc par exemple il y a des il y a des risques d'antibio d'antibiorésistance qui se qui se développe et puis il y a
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des comportements qui entraînent des maladies qui sont liées aux guerres et aux famines mais bon c'est pas tellement de ça quoi quand on parle quand on parle de de wanna et puis bon il y a d'autres causes
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on va pas parler aujourd'hui alors en fait la diapositive suivante elle vous montre qu'en fait les choses sont pas simples et que en fait on peut partir avec des idées un peu un peu simples sur les choses mais que des fois
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il y a des il peut se produire des événements qui sont complètement inattendus et qui changent en fait l'apparition des maladies et donc en fait je vais vous parler de d'apparition de de maladies de Lyme chez
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il y a une augmentation en fait de la maladie de Lyme dans certaines régions des des Etats-Unis et en fait on peut se demander pourquoi finalement il y a une augmentation de la maladie de Lyme dans le dans cette dans certaines régions de
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de des États-Unis et en fait dans dans une des régions des États-Unis où il y a une augmentation de la maladie de Lyme il y avait ce petit animal qui vivait qui était l'opposant de Virginie donc
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c'est un animal fort sympathique et en fait l'opossum de Virginie était un animal qui était contaminé par des tiques donc il y avait ces tiques qui sont des animaux qui s'accrochent qui s'accrochent au qui s'accrochait à
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l'oposomes de Virginie et en fait il consommait le sang de l'opossum et en fait il transmettait la maladie de Lyme en fait ce qui se passe c'est que l'oposomes de Virginie en fait il est assez efficace pour se débarrasser de
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ses tiques donc quand il y avait une tique qui arrivait sur lui il arrivait très rapidement rapidement à l'enlever et donc en fait la tique se retrouvait par terre et elle mourrait de sa de sa belle-mère ce qui fait qu'en fait
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finalement l'éthique qu'on retrouve sur les opposants de Virginie était très peu contaminantes donc en fait quand elle sortait de l'opposant de Virginie même si elle se pue même si elle piquait un humain elle ne transmettait pas beaucoup
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la maladie de Lyme seulement en fait ce qui s'est passé c'est que dans cette région on sait en fait c'est en Virginie il y a eu des phénomènes de réchauffement climatique des phénomènes
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de de changement de l'environnement local et l'opposome de Virginie a eu tendance à disparaître et donc en fait l'animal était plus présent et donc l'éthique qui cherchait quand même à manger elles ont continué d'essayer de
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se nourrir en fait comme elles avaient pu à manger sur le sur l'opposant de Virginie elles se sont déplacées sur un autre animal qui était en plus un animal qui est apparu de façon beaucoup plus importante parce qu'en fait il faisait
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plus chaud donc c'était un animal qui vivait un peu plus un peu plus au sud et en fait il est remonté et en fait c'était la c'était la souris à pied blanc et la souris appelé blanc en fait contrairement à l'oxyde de Virginie elle est pas tellement capable de se
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débarrasser de la tique donc quand elle a une tique sur elle la tique a le temps de prendre ce repas aussi longtemps qu'elle qu'elle veut et finalement les tiques qui vivent sur les sur les souris les souris à pied blanc et bien en fait
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ce sont des tiques qui sont très contaminantes parce qu'en fait elles sont ultra chargées de de du vecteur de la maladie de Lyme et donc en fait on s'est retrouvé avec des tiques très très contaminantes et donc
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finalement l'éthique qui passaient par cette petite souris quand elle quand elle se mettait sur un humain elle transmettait la pathologie de façon majeure alors la morale en fait de cette histoire c'est que en fait
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de se dire il y a un réchauffement climatique il y a des changements de de de l'environnement local qui vont faire que l'oposom va disparaître la petite souris va apparaître et en fait il va y
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avoir une augmentation de de quantité de maladies de Lyme qui va qui va toucher les humains et qui va qui va tuer ou entre entraîner des pathologies très graves chez les humains c'est un chemin qui est difficile à prédire et après
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prévoir avec juste l'intellect d'un d'une d'une personne donc il peut se passer d'un tas de un tas de phénomènes qu'on a qu'on a du mal en fait à prévoir et à anticiper qui vont augmenter
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l'apparition des des pathologies alors donc ça c'est c'est un exemple qui était qui était un exemple un peu historique de cette de cette augmentation de
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quantité de maïs Line et là en fait on voit bien aussi le l'exemple qui est l'exemple qui est très connu maintenant qui est l'exemple de la contamination par le par le covid ou la covid qui est
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en fait un exemple aussi qui montre bien les changements de de mode de vie des humains en fait ce qui se passe ce qui s'est passé avec la
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covid c'est que le c'est que le virus est capable de se dépasser beaucoup plus vite que le temps de que le délai d'incubation de la pathologie chez les humains quand en
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fait on se déplaçait relativement doucement on pouvait se contaminer avec un nouveau virus quelque part mais en fait le temps de se déplacer pour aller dans un autre pays en fait on avait le temps de déclarer la
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maladie de déclarer une maladie de se rendre compte qu'on était infectieux et donc finalement on a arrêté de se déplacer tandis que là maintenant et c'est ce qui s'est passé au départ de ouhan c'est qu'en fait les gens se sont contaminés ils sont partis partout dans
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le monde et en fait ça a permis l'explosion de la pathologie parce que les gens ne se déplaçaient trop vite par rapport au temps d'incubation de la de la de la maladie
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alors voilà des exemples un peu qui montre quand il y a des relations très complexes entre le l'environnement les modes les modes de vie les microbes qui se déplacent et
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puis l'apparition de de pathologies et donc en fait autour de cette ambiance et c'est là est apparu le concept de wannel alors j'ai fait un petit historique des principaux
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jalons qui ont qui sont apparus au moment de des différentes discussions qui ont amené vers le vers le concept de wanals alors le concept de wannels il est apparu en fait en 1984 c'est la première fois
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qu'on parle de wannels dans la dans la littérature et c'est un article c'est un article qui est qui a été publié dans un dans un livre qui parlait de médecine
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vétérinaire et de santé humaine et en fait c'était un livre qui utilisait le one else plutôt le sens de médecine comparée c'est à dire en gros les pathologies chez les animaux sont les mêmes que les pathologies chez l'homme
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et en fait on peut comparer les maladies donc on peut comparer une tuberculose chez la vache et une tuberculose chez le chez l'humain donc c'était c'était un peu la base de l'idée de manel mais en
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fait ce donc le côté médecine comparais c'est plus dont on parle quand on parle de wannels aujourd'hui et en fait aujourd'hui quand on parle de wannels on s'appuie sur un un constat qui a été qui
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a été créé pour la première fois par la société de conservation d'espèces sauvages en 2004 et c'est ce qu'on appelle les 12 concepts de Manhattan donc c'est vraiment une étape qui est très très importante
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et en fait c'est donc posé donc je vous ai mis le lien qui vous permet d'aller voir le les principes de de Manhattan en gros ce qui est ce qui expliquait dans les principes de Manhattan c'est que il
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y a un lien entre la santé des animaux et des humains donc les animaux qui sont domestiques ou sauvages il y a une rue il y a une relation assez claire entre l'utilisation des terres et de l'eau et
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la santé la santé humaine il est important et l'épidémie de covid le montre bien d'inclure la science de la santé de la faune donc la faune sauvage comme élément essentiel de
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essentiel de prévention mondiale des des maladies alors quand on est quand on est en Europe quand on est en France et un concept qui est un peu difficile à appréhender parce que la faune sauvage ça nous paraît un peu loin mais en fait
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il faut se rendre compte que les la proximité avec la faune sauvage c'est quelque chose qui est très important dans beaucoup de pays dans le monde donc en Afrique en Asie et entre autres ce qui est dit aussi dans
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le dans les principes de Manhattan c'est qu'il faut réduire le commerce international des animaux sauvages vivants et donc on est des animaux de brousse de la viande de brousse donc
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c'est aussi une pratique qui peut nous paraître un peu étonnante vu de vues de France mais qui est une pratique qui est très très importante dans dans beaucoup de pays donc il faut former la collaboration entre les gouvernements et
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les populations locales donc en fait c'est important aussi et c'est important dans tous les deux de faire ça dans tous les pays du monde et pas seulement pas seulement en France donc il faut fournir des réseaux de
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mondiaux de surveillance de la santé de la faune et des animaux et des systèmes d'alerte qui soit précoce en bois on voit vraiment que tout ça donc ça date de 2004 c'est vraiment tout ce qui a manqué au moment de la crise la
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crise covid et en fait il faut il faut investir dans dans l'éducation des personne dans le monde et encore une fois on a une vision peut-être d'un pays où la population est relativement éduquée mais c'est pas forcément le cas
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de toute la de tous les tous les pays du monde alors en fait comment est-ce que donc ça c'est un peu c'est le la prise de conscience du manuel c'est des concepts de Wemmel mais en fait derrière
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ça bon des concepts c'est toujours c'est toujours bien c'est des grandes c'est la grande théorie mais comment est-ce que c'est ces choses se mettent en œuvre d'un point de vue opérationnel et en fait il y a là il faut qu'on essaie de
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penser au niveau opérationnel et au niveau global et donc il y a trois structures qui gèrent qui gèrent ça au niveau international il y a la foule d'un agriculture organisation FAO la
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World organisation for animal else donc c'est c'est l'oie donc géré par la France il faut donc c'est c'est l'organisme mondial qui gère le la santé animale et puis la World elle s'organisation
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donc c'est l'OMS ou en anglais donc trois directions opérationnelles donc qui gère l'agriculture le les aliments les animaux et les humains
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et donc en fait ce qui est important et je vais revenir un petit peu après c'est que en fait finalement il faut lutter de façon très importante contre les maladies émergentes donc avec des systèmes de type épidémiosurveillance donc surveiller l'apparition des
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nouvelles des nouvelles maladies donc au niveau local national et international donc ça c'est le premier point premier point opérationnel le deuxième point qui est un point qui qui va être majeur dans les dans les
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années à venir et en fait on prend pas assez conscience de ça c'est de lutter contre la résistance aux antibiotiques et aux anti-infectieux qui va être un problème majeur dans les dans
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les années à venir donc les 60000 tonnes d'antibiotiques sont utilisés par an la moitié à peu près en médecine humaine l'autre moitié en médecine animale en médecine animale les antibiotiques
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sont pas forcément utilisés pour pour traiter les animaux malades c'est important d'avoir gardé ça en tête mais c'est aussi utilisé comme facteur de de croissance en gros on réduit la quantité de de bactéries qui mangent à la place
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de l'animal à l'intérieur de son organisme et comme ça les animaux grossissent un peu plus vite alors c'est maintenant c'est plus autorisé en Europe mais c'est encore autorisé dans beaucoup de pays du monde et en fait aujourd'hui
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l'antibiosistance c'est 700000 décès par an mais on anticipe 10 millions de décès par an dans le dans le monde donc un des changements en fait majeurs en termes de de mode de pensée de la résistance aux
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antibiotiques de la gravité que ça va que ça va [Musique] dans la mise en oeuvre de cette de du concept de wannel dans la mise en oeuvre pratiquée en fait cette ces
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grands changements on les doit à un Français qui est Jean-Luc Angot qui est qui travaille au ministère de l'agriculture française et qui qui en fait a
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initié lancer le le programme qui s'appelle le programme présode qui en fait un programme international de lutte contre les problèmes liés au wannalce alors il avait
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déjà en 2020 écrit dans un article qui est publié dans le Bulletin de l'Académie vétérinaire de France donc c'est pas c'est pas le le journal avec le plus haut impact facteur au monde bien sûr mais en fait il a il avait il
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avait déjà écrit le concept de de onel c'est de préode et ensuite il a donc Jean-Luc Angot c'est ce qu'on se rend compte c'est c'est pour fonctionner quelqu'un qui est extrêmement
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déjà avec un niveau d'intelligence qui est hors du commun et qui est qui est en fait qui est proche en fait des personnes qui vont prendre des décisions politiques fortes pour pour les faire
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changer les choses au niveau mondial et donc en fait il a il a participé de façon majeure à la mise en place de prison et donc il a eu la gentillesse de me prêter quelques diapositives que je vais vous présenter sur le concept de présent alors présente c'est c'est
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l'action majeure aujourd'hui dans le monde pour lutter contre les problèmes de santé humaine liés aux qu'est-ce que c'est que ce présent c'est
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quelque chose qui se présente pas très bien que ça se passe pas très grave donc en gros l'idée l'idée c'est de se dire que il y a donc ce que je vous ai déjà un peu dit il y a tout un tas de de pathologies qui vont
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apparaître chez les animaux qui vont se vivre qui vont se déplacer d'animaux en animaux il va se passer plein de choses au niveau des animaux ça on va en général avoir du mal à le voir
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un moment c'est c'est différent des éléments pathogènes vont passer à l'humain et si ça se passe vraiment pas bien il va y avoir de la transmission interhumaine et une diffusion mondiale et c'est exactement ce qui s'est passé
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au moment de du covid et donc finalement comment est-ce qu'on fait pour essayer de prévenir ces émergences de zones majeures alors présente
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donc là je vous montre quelques quelques images de de dirigeants nationaux et internationaux parce qu'en fait c'est pour c'est pour vous montrer que présente c'est pas c'est pas une initiative qui s'est fait
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qui s'est fait dans un coin ou dans le coin de la tête d'un directeur de recherche du CNRS c'est quelque chose qui s'est fait au niveau international et en fait c'est une initiative qui a été lancée par le président de Macron au
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moment du du sommet one one Planet une seule planète qui a eu à Paris donc je crois que c'était en 2020 et en fait tout de suite ça a obtenu un support politique de plein de personnes dans le
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dans le monde donc ici on voit par exemple la Commission européenne avec qui a poussé vers la création de de de présode et donc en fait aujourd'hui
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il y a 12 gouvernements qui se sont engagés dans cette direction là donc bon il y a évidemment la France il y a le Mexique et puis il y a des pays qui sont un peu un peu partout dans le monde et
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puis au-delà des gouvernements il y a des organismes de recherche du monde entier de 50 pays différents qui ont déjà signé la déclaration d'intention de prison alors qu'est-ce qui se passe dans
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prison en fait il y a il y a là donc là on est vraiment sur le sur le l'opérationnel du du One S je suis désolé parce que là que certaines des diapositives sont en anglais en fait il y a quatre quatre piliers dans dans
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prison il y a comprendre les risques de de d'émergence de nouvelles pathologies réduire les risques détecter les risques et les nouvelles les nouvelles zones de façon précoce
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pour pouvoir réagir de façon précoce et puis mettre en place des systèmes de surveillance pour prévenir les risques de zonos de façon le plus
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le plus efficace possible et puis le cinquième pilier c'est en fait l'engagement des pays parce que tout ça c'est c'est bien beau en théorie mais en fait il faut que les pays soient engagés pour développer en fait des politiques de santé publique pour prévenir les
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zones alors on a vu par exemple avec le covid le la zone ose est apparue en Chine en tout cas c'est ce qu'on pense et en fait elle est apparue mon film mais peut-être que demain il y en a d'autres qui vont apparaître dans
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d'autres pays du monde et en fait il faut que les gouvernements locaux soient prêts à répondre et en fait c'est pas forcément la France ou un autre pays qui va dicter un autre pays du ce qu'il a à
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faire c'est pas comme ça que ça fonctionne et donc en fait il faut il faut pouvoir avoir des relations de confiance avec avec les pays les autres pays du monde pour pouvoir prévenir en fait les zones qui vont
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avoir des conséquences mondiales et donc derrière donc derrière c'est piliers il y a des résultats qui sont attendus donc je vais vous parler un petit peu un petit peu par la suite alors on va passer en revue c'est ces différents piliers donc le premier pilier donc
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c'est prévenir les l'émergence de des maladies zones nautiques donc en gros ce qui est prévu dans ce pays là c'est d'intégrer en fait les connaissances scientifiques sur les les
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risques zones nautiques donc on sait pas exactement quelles sont ses risques aux nautiques et en fait il faut il faut continuer de de les comprendre on sait toujours pas ce qui s'est passé de façon certaine avec la covid
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quand Ebola est apparu quand le sida est apparu c'est le silence aussi une géoneuse au départ on sait pas exactement pourquoi pourquoi ces maladies sont sont apparues donc il faut continuer de faire de la recherche dans
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ce dans ce domaine il faut construire des des indicateurs pour pouvoir évaluer le risque d'apparition de de zones il faut que il faut que ces indicateurs
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soient testés dans les zones pilotes donc c'est pas forcément dans l'hôpital Foch dans une zone qui est qui est très comment dire favoriser en termes de
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santé globale de public qu'on va tester forcément l'apparition des zones c'est dans des zones où il y a une promiscuité entre les animaux sauvages les humains qui vivent dans des conditions qui sont pas forcément
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complètement pasteuriennes au terme de de nettoyage de main etc donc il faut il faut tester ça il faut qu'il y ait des systèmes de de report en
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fait de l'information qui soit transparent donc parce que évidemment un pays qui va où il y a une zone os qui apparaît il y a pas forcément envie de le dire de le dire à tout le monde et donc il faut qu'il y ait l'information qui circule beaucoup donc ça c'est le
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premier pilier le deuxième pilier c'est que essayer de réduire le risque des émergences donc il faut préparer des stratégies de prévention donc construire ces
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stratégies dans des zones pilotes donc on revient sur le concept de zone de pilote il faut construire des des plateformes et des mécanismes financiers qui vont permettre en fait à ces zones pilotes de
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de d'exercer et puis évaluer l'impact des risques et de l'émergence des de pathologies donc ça c'est là c'est le deuxième pilier donc le troisième pilier
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c'est de faire des détections assez précoces et des risques en fait en termes sociaux enfin des évaluations socio-économiques donc finalement comprendre quel est le
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le rôle et la responsabilité de chaque de chaque personne chaque intervenant chaque pays en fait dans l'apparition des zones développer des systèmes de surveillance de santé de risque de de
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santé publique donc d'un point de vue pratique en fait mettre en place un système de collection de données sur l'apparition des maladies et que ces apparitions puissent être
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transmise de façon extrêmement rapide et donc en fait en faisant tout ça on pense donc on vient un peu à ce qu'on dit aussi avant qu'on va pouvoir mieux comprendre l'apparition de de nouvelles maladies et les risques associés
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le troisième le quatrième élément en fait c'est construire en fait des systèmes d'information globale globaux donc en fait c'est encore une fois c'est pas quelque chose qui se réfléchit que au niveau de la France mais tu dois se
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réfléchir au niveau du monde entier et donc en fait ça ça veut dire qu'il faut pouvoir diffuser au monde entier du système d'évaluation des risques et de de transfert de d'information de
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d'un pays vers l'autre donc il faut qu'il y ait de la transparence sur les sur les règles enfin qui l'a transparence et des règles de partage de de données et voilà et puis donc le dernier le
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dernier élément en fait c'est que c'est important d'accompagner tous les pays du monde vers la formation des des gens et notamment la formation des formateurs
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ceux qui vont être capables de de participer à en fait à la population des risques des risques d'apparition de de zones et puis
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de de porter un peu l'importance en fait de ce concept de tous ces concepts qui sont développés dans dans voilà alors ça c'est ça c'est vraiment ce qui est en train de se faire au
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niveau international avec ce avec ce président donc il y a eu il y a eu des gros gros financements qui ont été attribués par la France par l'Union européenne et puis par les autres d'autres pays du monde alors ça c'est ce
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qui se passe au niveau international maintenant qu'est-ce qui se passe au niveau au niveau local alors quand je dis niveau local si on est français en fait ce qu'on voit c'est que en fait ce concept de wannel ce qui est discuté au
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niveau des diplomates au niveau diplomatique c'est un concept qui a du mal à redescendre jusqu'à la France alors il y a des cours qui sont donnés des cycles de conférence qui sont donnés autour du onnels mais c'est des concepts qui sont pas très bien il y a un énorme
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cloisonnement en fait système des systèmes de gestion de de du monde vétérinaire du monde de la
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médecine humaine du monde de l'écologie et donc actuellement il y a beaucoup de difficultés qui sont liées à ce cloisonnement alors il y a des financements qui sont différents pour les pour les différents champs d'actions
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il y a des ministères qui sont qui sont différents et quand en général les choses se passent dans deux ministères différents c'est c'est toujours très difficile de de faciliter les discussions entre entre
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les ministères les ministères différents donc au niveau de l'Académie de médecine par exemple on avait mis un avis qui est qui est montré ici sur le sur cette
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difficulté en fait liées aux cloisonnement et donc jusque là il y avait peu d'enseignements de du concept de wanal c'est donc je c'est des choses qui sont en train de changer et en fait c'est important que ça change pas seulement au niveau
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pas seulement au niveau au niveau de des vétérinaires parce que les vétérinaires ils en parlent depuis longtemps mais il faut que ça il faut que ça percole en fait dans le monde de la de la médecine humaine
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alors est-ce que en fait le onele il faut l'arrêter au niveau au niveau des pathologies infectieuses et là c'est c'est des questions qu'il faut se poser en fait le onele ce ne doit pas s'arrêter à mon avis uniquement aux
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maladies infectieuses mais le concept qu'on fait c'est une santé globale ben c'est aussi il y a d'autres concepts qui apparaissent donc par exemple le concept d'exposants donc le fait qu'on soit tous exposer au même au même élément même
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polluants et en fait c'est aussi quelque chose qu'il faut prendre en compte donc l'exposition des éléments pathologiques c'est c'est l'affaire de tous et donc là c'est aussi un endroit où se relie là la
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santé de l'écosystème la santé des animaux et la santé des des humains je mets un petit mot sur sur les maladies à prions
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c'est c'est un des éléments sur lequel je travaille beaucoup dans mon dans mon travail académique en fait pour dire que sur ces maladies de type triomphe aujourd'hui donc on
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connaît les maladies prions de type maladie de la vache folle maladie de Cancale Jacob etc mais en fait ce qu'on sait pas encore bien c'est que de nombreuses maladies neurodégénératives se propagent ont des capacités de se
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propager comme les maladies à prions et bon par le planaï Alzheimer la protéine est capable de se propager à l'intérieur d'un cerveau je dis pas qu'elle est transmissible aujourd'hui comme un prion et donc en fait il y a il y a des
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évolutions des courants de pensée qui vont se produire dans les années à venir quand on parle de maladies à prions il y a il y a quelque chose qui est en train de se passer actuellement c'est la contamination des des comment on appelle
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ça des dires des [Musique] aux États-Unis maintenant en Europe par des maladies de type crossfell Jacob et donc il y a une il y a des populations de dingue qui sont décimées et donc les
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humains qui les chasseurs qui alors quand l'animal est en train de mourir bon c'est pas là que le chasseur le mange mais avant qu'il soit qu'il soit mort il peut y avoir des contaminations en mangeant du daim du daim contaminé avec un prix
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donc ça c'est l'apparition c'est un autre type d'apparition de de pathologies qui est pas forcément une maladie infectieuse au sens bactérienne mais quand même au sens prions c'est il y a une infection et je termine je
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termine sur quelque chose qui est qui est je trouve assez triste aussi et en fait je vais vous parler pour dire qu'en fait j'ai commencé en disant qu'on avait une
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approche qui pouvait être anthropocentré et donc en fait on trouve toujours que c'est très triste quand il y a des épidémies qui tuent beaucoup d'être humain et évidemment c'est c'est triste et c'est horrible mais en fait il faut
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bien se rendre compte que les transmissions de maladie ne touchent pas que les que les humains et là je vous montre l'exemple des flux de bassin alors ce sont des animaux qui sont absolument incroyables ces animaux qui
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vivent quasiment toute l'année en haute mer donc en fait ils voient tout le temps où ils sont toujours en haute mer et ils reviennent pour se reproduire à des endroits très précis et il y a très très peu
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d'endroits dans le monde où ils se reproduit c'est quand ils se reproduisent ils vont passer un tout petit peu de temps au même endroit là il y a des il y a des il y a des milliers d'animaux qui sont tous ensemble et donc il y a une île qui s'appelle les sept
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îles qui se trouvent en face de la Bretagne où il y a les fous de Bassan et en fait là vous voyez sur cette image c'est qu'il y a plein de fous de bassin qui sont au sol là et en fait ils ont tous été contaminés par une par une par une maladie qui est le
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ripavien et en fait il y a une épidémie de foot Bassan sur un des rares spots dans le monde où il se reproduisent donc voilà des grandes épidémies qui vont décimer des populations entières ça se
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produit pas que chez les humains et là c'est un exemple où c'est je veux dire l'espèce fou de bassin peut-être mise en danger par ce genre de d'événements donc encore une fois il y a pas que les
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humains qui peuvent être touchés par des grandes grandes difficultés voilà donc en conclusion donc je voulais donc je voulais revenir sur ce concept de One S mais bon je vous
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ai montré que effectivement il y avait il y avait beaucoup de d'interactions et puis j'aime beaucoup cette phrase que pasteur avait publié dans Le la Société centrale de médecine vétérinaire donc
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c'est quand il a été il a fait son introduction quand il a été accueilli au sein de ce qui était qui allait devenir l'Académie vétérinaire de France il dit dis-moi qui suis s'il peut mettre ça s'ils peuvent
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être énerve la science est une et moi je crois je crois fortement à ça en fait c'est pas forcément une question de de médecine ou de vétérinaire c'est la science qui est derrière tout ça et donc c'est l'homme seulement qui aurait donc la faiblesse de son intelligence il
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établit des catégories merci beaucoup et merci Marc pour l'introduction je crois que tu nous as montré effectivement la vision actuelle du wennel en tout cas tel que l'acception de la plupart tel qu'on est l'exception de la plupart
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de nos collègues moi je vais essayer de développer l'idée qui est pas forcément enfin que à laquelle j'ai souscris en bonne partie mais qui est pas forcément complètement juste que c'est un peu un rendez-vous manqué malgré tout parce que finalement
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derrière cette notion de Wan elfe il y a deux choses différentes il y a finalement les zones tu l'as bien montré il y a un danger absolument considérable abordé la question des homoses des façons différentes qui représentent une bonne partie de la présentation t
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effectuée et l'enjeu mondial il est énorme sur le sujet évidemment dans l'interaction environnementale et c'est une vision qui qu'on le veuille ou non reste entrepôtre sortait parce que dans le onenel il y a toujours un petit bonhomme au milieu donc de toute façon
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c'est entrepôt centré et je crois que finalement c'est définition aujourd'hui pour nous vétérinaire c'est une bataille qu'on a perdu les médecins l'ont récupéré ils ont récupéré loi Elf en laissant l'homme au milieu donc je crois qu'il faut qu'on remette quelque chose d'autre au cœur et je crois que c'est
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terminé finalement elle nous dépasse un peu et elle répond plus elle est plus capable de répondre en tout cas c'est ce que je vais essayer de développer à ce besoin qui existe néanmoins de décloisonnement de décloisonnement les savoirs n'interdisciplinarité donc
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finalement on met des choses un petit peu différentes derrière ce onef cette notion d'aborder les questions différentes pour répondre à des enjeux sociétaux considérables notamment autour des zones mais pour y en avoir d'autres
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et l'idée que pour y répondre il faudrait qu'on ait une approche différente de nos pratiques de recherche une approche différente de nos formations et je crois que ces deux injonctions aujourd'hui elles sont en partie contradictoire je vais d'abord définir quelques
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conflits d'intérêts la position que j'exprime est une position un parti virtuelle qui est potentiellement la mienne et même pas entièrement ça n'est pas celle de l'établissement que je représente une école vétérinaire d'une part j'ai des conflits par ailleurs d'autres natures industriels ou autres
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muscles je crois penser qu'aujourd'hui il influiront pas mon propos j'avais une question un peu avant on n'est pas très nombreux mais c'est une question que j'avais envie de poser parce qu'on peut se dire mais nous est-ce qu'on est légitime pour savoir ce que c'est que le concept onef je sais
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pas si moi je suis légitime pour savoir ce que c'est que le concept wannf la preuve en est que toi tu es partiellement affectologue un petit peu moi je suis pas du tout infectiologue et finalement est-ce qu'on peut s'exprimer
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au nom du concert du concept Wan elfe on travaille d'ailleurs y compris dans les sujets qui sont pas du tout dans son affectologie je prends l'exemple d'une intervention sur France Culture de de marque sur l'Alzheimer qui est pas du tout marque qu'il est vétérinaire directeur de Sciences CNRS dans un
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centre de Primatologie il parle de l'Alzheimer est-ce que c'est du onef moi je sais pas il y a des gens qui vont dire bah oui dès lors qu'on met des médecins des vétérinaires c'est du wannels je sais pas si ça en est ou si ça en est pas moi j'ai une équipe une
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serre j'ai dans mon équipe principalement des réanimateurs humains ça m'a amené à développer un certain nombre de travaux qui fait que je fais aujourd'hui dans une partie de mon temps directeur médical d'une qui vise un qui
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développe un dispositif humain et ce que je fais du wannf non c'est pas parce que ce que j'essaye de faire c'est développé un dispositif à destination de l'homme mais est-ce que d'être vétérinaire m'a pas apporté des choses pour le faire je suis pourtant un convaincu que si donc
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je n'arrive pas à savoir si finalement ça c'est du onef ou pas et pourtant on a effectivement un certain nombre d'approches qui croisent des cercles avec des axes divers et variés et qui nous expliquent ce que c'est que le
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wannel avec bien souvent un très gros tropisme autour de l'infectiologie et puis des choses un peu satellites il y a l'environnement les hommes est très à l'aise avec l'environnement mais un petit peu à côté on sent bien qu'il y a un truc à faire sur l'exposé on sent bien que c'est en train de de devenir un
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enjeu qui nous dépasse qu'on n'est pas capable d'apprécier sur les enjeux sanitaires et on sent bien que dans le cursus c'est inexistant nous dans notre cursus vétérinaire quel est le temps qu'on passe à sensibiliser nos étudiants au challenge que sera à la pratique dans
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30 ans à la transition climatique dégagée deux heures de temps c'est compliqué dans les études aujourd'hui quel temps passe à expliquer que la pratique va changer que il y a le problématique des réfugiés climatiques est-ce qu'on passe beaucoup de temps à
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expliquer ça je suis pas complètement certain parce qu'enlever deux heures à neuroschirurgien c'est compliqué donc est-ce que vraiment on prépare nos étudiants à ça demain j'ai rien contre les neuroscience j'ai pris l'exemple une spécialité extrêmement spécialisée mais
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c'est pas le propos et alors par ailleurs on s'oriente peut-être pas vers là et probablement plutôt qu'on a régressé sur le One Elf c'est très probable il est extrêmement probable que
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au 19e siècle le jeudi après-midi à l'Académie des Sciences quand pasteur rencontrait les médecins et des vétérinaires qu'il y avait des débats autour du charbon pour savoir si un poulet pouvait avoir le charbon qu'ils
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étaient en train de s'engueuler entre vétérinaire médecin etc 15 jours pasteur débarque avec une poule à qui l'a mis du charbon dans de la glace pour démontrer que ça à votre ait une poule comme il a diminué sa température elle est capable de développer le charbon ça prouve bien
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que c'est une zone ose ça prouve tout ça c'est du onef c'est des anecdotes qui fait que le onef ça se passe tout simplement dans un amphithéâtre ou les penseurs sont un jeudi après-midi et partage finalement ce savoir dans les
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derniers temps peut-être ou dans certaines disciplines au moins on affectiologie on pouvait partager une bonne partie du savoir parce qu'aujourd'hui difficile probablement que quand Claude Bernard fait la médecine expérimentale il
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travaille sur les animaux c'est probablement déjà du WEMF quand on s'en s’inverse Auguste Chauveau fait l'un des premiers cathétérismes cardiaques sur des chevaux ça a des impacts dans la compréhension
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de la mécanique ventriculaire gauche qui probablement font que peut-être qu'effectivement c'est un décloisonnement donc je suis pas sûr qu'à l'époque il se posait la question de savoir ce que c'était que onef je suis pas tellement sûr de ça et finalement c'est quelque chose qui vient
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beaucoup de nous les vétérinaires parce qu'à un moment donné on s'est senti mal reconnus on s'est dit ouais il nous oublie les médecins puis nous on a passé de moyens on est toujours oublié de tout donc on a fait un peu les cas numéro alors on a un peu utilisé le onef et
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avant avant le covid on nous disait ça les médecins nous disaient mais louanelle ça c'est la médecine des vet on avait un petit peu l'impression que c'était notre truc à nous qu'on nous laissait et que c'était un petit peu une un moyen d'affirmer notre identité
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d'ailleurs lorsqu'on fait les 250 ans de l'école Nationale Vétérinaire de Lyon que l'année vétérinaire mondiale a lieu en grande pompe lancé à Versailles par l'Organisation Mondiale de la Santé et Organisation mondiale de la santé
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animale puis nous en 2016 5 ans plus tard des 250 ans d'école d'Alfort bien sûr on dit on fait du wannel c'est très important on a été créé au 18e siècle pour lutter contre les grandes épidémies
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à l'époque de peste bovine parce qu'on avait besoin des bovins non pas pour les manger mais tout simplement comme animal de trait parce que sinon on avait plus de céréales donc lorsque les écoles vétérinaires sont créées bien sûr c'est dans un état
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d'esprit qui est un état d'esprit pris en charge et donc finalement j'ai un peu l'impression qu'au fur et à mesure du temps on a régressé et là aujourd'hui on a une réémergence
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complète du onef dans une lecture qui est extrêmement orientée qui finalement aujourd'hui n'est lecture politique que je trouve positive parce qu'elle fait prendre conscience un certain nombre de choses aux concitoyens mais qui n'est
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probablement pas l'intention que nous avions lorsque vous nous voulions développer loi neige donc j'ai l'impression que l'intention que nous avions n'est plus celle-ci et qu'aujourd'hui le wannel c'est un concept qui est récupéré pour désigner autre chose qui est nécessaire mais qui
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n'est peut-être pas ce que nous voulons porter je prends l'exemple d'un coloc qui avait dû à la semaine dernière pas très loin d'ici à au Campus Paris santé pas loin de Balard
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donc c'est la Journée Nationale d'accélération organisée par le SGPI donc Matignon secrétaire général pour l'investissement les grands appels à projets sont divulgués maladies infectieuses et
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menaces NRBC là on a parlé de loin neuve toute la journée d'étudier à la fois et c'est un excellent Master et c'est super de partager l'étude des agents infectieux humains et animaux c'est absolument nécessaire mais finalement on pourrait
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appeler ça autrement ce serait probablement quelque chose de d'identique c'est le la définition du manuel d'abord quand on regarde les appels d'offres les appels d'offres qui parlent du onef ils sont très orientés et en gros c'est l'infexiologie en gros
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c'est l'infectiologie le dit moi-même en Île-de-France qui fait de l'inflexologie humaine et animale mais si on propose un projet ne serait-ce environnemental c'est pas quelque chose qui sera reçu parce que la constitution même du
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consortium et le projet lui-même il tourne autour d'une problématique infectiologique le JP wanf qui est porté par nom de ces c'est bien sûr un projet infectiologie à l'étranger c'est pareil la NR lorsqu'elle définit et lorsqu'elle
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utilise de mot Wan elfe c'est dans le thème 8.3 maladie infectieuses et environnement donc de toute façon on a beau tourner autour du truc le onef c'est de l'environnement c'est de l'inflexologie et
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je vais être plus sévère c'est de la flexiologie mais tu nous as parlé très ode on prend le grand objet France 2030 on se dit c'est indispensable de faire quelque chose qu'on affectologie qui avait été délaissé depuis sida c'était
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indispensable donc évidemment la covid on met le paquet sur la problématique de l'inflexologie et on se dit faut créer des programmes exécutants prioritaires de recherche des projets dotés de plusieurs centaines de millions d'euros qui vont eux-mêmes organiser des appels
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à projets et on fait quoi bah on en met deux et après zode qui va faire les zones et puis il y a la maladie infectieuse émergente qui va plutôt étudier la santé humaine et donc finalement Wan elfe mes deux PEP r parce
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que apparemment un moment donné il a absolument indispensable pour des raisons organisationsnelles de gérer un enjeu qui va être très spécifique autour des maladies animales ça sera présode avec un portail inrae yerder et tirade
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et puis un portage à nrsmie parce que le sida la covid finalement c'est un peu différent et les sont pas exactement les mêmes donc au sein même d'un objet qui est la conséquence même directe du covid
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on a du mal à réunir autour de ça donc moi je crois que ce terme-là de Wan Elf il correspond plus à ce qu'on a envie dès aujourd'hui de désigner je me demande si on devrait pas se trouver un autre cheval de bataille alors si je
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fais un benchmarking un peu plus global un petit peu plus quantifié et qu'on regarde le mode onef en fait il apparaît il y a quand même pas mal de temps effectivement tu nous as dit je pense que ce qui apparaît avant 84 c'est les anecdotes on voit effectivement une
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émergence progressive il apparaît avant le covid on a une croissance qui explose au moment du covid mais depuis des années 2011 les vétos commençaient à utiliser loinf donc on voit bien que ça explose avec la covid en 2020 mais le wood wannel si on regarde le nombre de
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citations dans les journaux est un terme qui est largement utilisé on a 7000 articles qui explose depuis une dizaine d'années lorsqu'on regarde à quoi correspondent ces articles c'est pour 1500 de
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la médecine occupationnelle qui est en lien finalement avec les agents infectieux ensuite quand je prends une Flexus Disiz microbiologie voyez j'en ai quand même un certain nombre et pour 1400 les sciences vétérinaires ok on
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peut dire c'est assez logique si je regarde un peu plus dans le détail dans quoi c'est publié c'est publié dans un journal qui s'appelle wannef qui est un journal qui prend beaucoup d'articles dans le monde vétérinaire frontières innvets Saiyan sont-ils
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revue des épisodes aussi clos Swan quand ils ont publié ce microbiote animals pathogène enfin vous voyez on est dans quelque chose qui soit vétérinaire soit purement affectologique et quand on est dans l'inflexologie on n'est pas dans
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l'insecte une quelque chose d'ises bien particuliers je vais plus loin je décline ce que les grands journaux ici dans une composante médicale qu'est-ce que les grands journaux publient sur onef on est passé par le covid
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sur la période qui est dix dernières années en gros un article dans le JAMA 12 dans le landset qui est celui qui le fait apparaître le plus le mot wall set si dans launcher un dans la nature comme dedans
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et trois dans Science à un moment donné où ils ont passé chacun des dizaines d'articles par an sur le covid ça ruisse les articles sur le covid le mot clé n'apparaît pas donc ça n'est pas un mot
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qui est approprié par les acteurs leaders du domaine c'est surprenant quand même un petit peu plus dans l'ancêtre chose ici on a 5 15 j'étais un peu sévère lança de cette planète arrive elle 13 et net sur
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microbiote 7 mais finalement lorsque ça apparaît là encore quand bien même la définition par le comité scientifique du onef qui s'approprie le mot bah au bilan ça n'est que de l'infectiologie sur de
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la zone ose donc la définition au plus haut niveau du onef elle est déjà faite et le covid est passé devant nous ils ont déjà organisé une structuration qui fait que est-ce qu'il faut encore se demander ce que c'est je ne sais pas
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étant donné que l'acception est imposée par un système qui s'est organisé comme tel et c'est bien logique par rapport à les impératifs qui étaient parfaitement naturel en revanche au même moment le même mois il y a un article dans nitcher
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qui dit faut absolument tout prix qu'on étudie les chiens parce que c'est des modèles de maladies humaines notamment cancérologie etc le mot onef n'apparaît pas ce mot là n'existe pas dans ce système social donc ça signifie que le
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plus haut niveau potentiellement en génétique en Cancé de ça n'utilisera pas volonté cette terminologie donc qu'est-ce que c'est le bon terme je ne sais pas et on peut se demander pourquoi il y a des raisons à ça parce que
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finalement les infectiologues mais ils sont pas nombreux ils sont pas nombreux je prends les chiffres j'étais regardé ça m'a intéressé vous au concours de l'internat il y a 56 qui inflexologues sur 8600 par an c'est zéro alors c'est très
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prestigieux parce que c'est le top voilà ils sont quatrième spécialité les plus demandées ou 5e mais il y en a extrêmement peu des infectiologues donc si les infectiologues finissent par s'approprier loi elfe belle affaire il y
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en a très peu donc c'est pas ça qui va aider à faire huisser les Loisel dans une composante médicale parce que globalement ça va représenter au mieux 5% de la communauté et donc si on n'est pas capable de s'adresser à une part
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plus large on ne peut pas approprié un concept d'Autrement nous les vétérinaires c'est pas mieux les vétérinaires ont dans la très peu qui vont partir vers la recherche ok ceux qui vont être le plus intéressés
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finalement c'est les inspecteurs santé publique qui ont une lecture très particulière parce que ce qui les intéresse c'est les zones c'est l'agréé alimentaire le côté s'interroger décloisonner fort mais différemment ça va pas forcément être comme ça qu'on est
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dans quelque chose donc on est vétérinaires qui ont une position qui souffre avec un déficit aujourd'hui c'est pareil on va avoir beaucoup de difficultés puis on a plus cette espèce de complexe qui fait que on va en permanence se dire bah oui mais c'est parce qu'on est oublié le ou anal c'est
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nous aussi on nous a volé le concept pas bien grave n'a rien volé du tout mais la question plutôt c'est comment on peut faire ce qu'on aimerait véritablement faire tout ça pour conclure que je suis pas sûr que louanel soit véritablement
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un concept qu'on a encore besoin de faire aujourd'hui pour moi c'est plutôt une invitation j'ai repris qu'un graphique quelconque des dynamiques de interdisciplinarité je me permettrai en aucun cas surtout ici de rentrer dans cette problématique mais je parle plutôt
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que c'est plutôt une invitation à travailler autrement j'ai l'impression que ce terme là nous condamne un petit peu parce que finalement à chaque fois qu'on essaiera de se la il est à mon avis déjà capté par un besoin qui nous
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dépasse et qui est parfaitement légitime donc je crois que ce besoin des cloisonnement faut qu'on trouve le moyen de le faire exister autrement est-ce que c'est sous cette terminologie ou pas aujourd'hui je ne sais pas merci
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je tiens à vous remercier tous les deux parce que on va peut-être vous demander de vous mettre autour de la table pour qu'on vous voit si vous voulez bien je tiens à vous remercier parce que on peut dire que les premières conférences
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nous ont permis nous ont permis en quelque sorte de détailler l'objet de notre pôle universitaire qui je le rappelle je le disais dans
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l'introduction aborde à la fois l'interaction entre [Musique] entre la médecine humaine la médecine vétérinaire et ce qu'on peut appeler
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l'environnement mais on va y revenir et là nous nous trouvons devant je dirais un argumentaire un argumentaire et ça sera ma première question si vous
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voulez bien parce que ce que ce que vous avez présenté est l'un et l'autre et surtout bien sûr Renaud ensuite très polémique mais il a raison est-ce qu'on est pas revenu vers les
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années 80 ou à Ottawa les scientifiques se retrouvent et font une déclaration
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et la déclaration étant le partage des savoirs ce mot partage m'apparaît très important parce que il demande constamment faire ce qui a été fait c'est-à-dire
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premièrement montrer avec un esprit d'ouverture ce que se devrait être et ensuite nous l'avons vu ce que ce n'est pas et quels
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sont en définitive les les contenus Paul Ricker je me plais à le répéter tout le temps parce que c'est dans métaphore vive Paul Ricoeur
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tout à l'heure avec Renault dire un mot c'est un monde et c'est vrai que un mot c'est une représentation d'autant plus
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différents de la personne qui va le prononcer de l'éducation que cette personne peut avoir des présupposés que cette personne a par rapport au vivant
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par rapport à la planète même et c'est évident qu'il y ait différentes exceptions au maximum est tout à fait normal et le
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fait que wannelf en fait est un moyen et ça a été dit bien c'est un mot-valise c'est comme éthique c'est pareil c'est à dire
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qu'est-ce que l'on met derrière c'est à dire quel est l'intention quelle est l'intention quelle est la projection qui est faite de la manière dont nous voyons le monde
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dont nous voyons comment interagir sur le monde et là on est devant comment dire je vais essayer de sauver l'interdisciplinarité après ce qui a été
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dit ce qui a été marqué mais ce qui permet peut-être à ce que des personnes qui se qui se questionnent qui n'ont pas obligatoirement la même vision du monde
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qui n'ont pas le même bagage et compris bagages scientifique soit amené par rapport à un problème concret à travailler ensemble est-ce que ce n'est
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pas en définitif ceci vers lequel un certain nombre de philosophes ont essayé un moment je citais Güz of mais il y en a bien sûr d'autres
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que j'ai découvert au bout de 40 ans de d'exercices universitaires et qui avait tout simplement prédisent qu'il fallait faire et qu'il avait fait d'ailleurs lui-même
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et que je croyais avoir moi-même découvert et appliqué donc tout ceci pour se poser la question est-ce qu'en fait le mot est important ou pas j'en terminerai dans cette
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n'oubliez pas ce partage des savoirs dont je parlais tout à l'heure et de quelle manière on partage bien entendu de ça et avec quelle légitimité et sous quel norme sous quelle
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j'en terminerai avec urgos qui qui est là très heureux que Yorgo se soit présent et je vais s'il veut bien lui donner la
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parole parce qu'il en connaît beaucoup plus que moi sur ce que je vais aborder c'est à dire avec urgos qui travaille avec nous bien entendu dans ce pôle universitaire sur l'interface
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justement avec l'environnement et bien lui-même déteste on peut quelque sorte dire cette vision un peu de médecine
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environnementale etc et lui-même on le sent comme vous-même comme moinelle ne sont pas contents des mots et c'est pour ça que je me pose la question est-ce que nous ne sommes pas au-delà des mots en
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quelque sorte c'est-à-dire à quelque chose à faire qu'on ne s'est pas obligatoirement ce sont des risques ce sont des éléments et est-ce qu'il ne faut pas comparer aussi formation
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trouver parmi nous non pas des excellents élèves qui appliqueraient tout ce que nous connaissons mais au contraire qui serait capable d'imaginer d'avoir la vision j'ai dit tout à
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l'heure qui permet peut-être non des concepts qui nous permettent d'avancer d'autant plus dans cette voie yorkos tu étais là est-ce que tu es toujours là oui bien sûr oui je suis là
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mais comme toujours bonsoir à tous comme toujours tu me mets la pression parce que toute personne intelligente je mets la pression donc il y a pas de problème et avec nos deux amis nous avons de la
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chance là et nous sommes écoutés alors fais attention non mais je dirais lancé sur ce préambule je pourrais prendre un
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des quatre termes qui a été cité par le dernier orateur qui est celui de holisme qui a été appliqué à l'idée de wannels simplement pour montrer comment on
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s'empare de mots sans tirer les conséquences de ce que ça veut dire parce que le l'isthme pour le comprendre très simplement c'est le fait que le tout est
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plus que la somme des parties et je cherche à comprendre quelle est cette vision du tout qu'on globe ou un elfe et chaque
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fois on revient à la santé humaine et de ce fait je suis complètement d'accord avec le dernier orateur et si on veut dépasser l'image enfin la
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vision trop concentrée qu'est-ce que ceci veut dire la santé animale dans notre bénéfice ou la santé animale pour eux-mêmes et vous voyez que ceci
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peut être prolongé pour englober finalement la biosphère et c'est de cette manière là que je cherche à trouver une cohérence
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et peut-être quelques passerelles avec bien sûr les sciences humaines et sociales et ne pas encore une fois créer de simples décloisonnements autour de
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l'infection logis ou que voilà tu nous aide pas beaucoup tu aurais pu nous faire progresser mieux quand même je sens mais je sens que tu reprendras la parole parce qu'on va être
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leur donner est-ce que dans la salle il y a des questions que vous poseriez par exemple Philippe par exemple on a parlé en termes de Médecine comparée que il y avait d'autres modèles
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animaux qui éventuellement pourraient rentrer dans wannel etc les différents travaux que tu fais sont très globaux en quelque sorte quand on prend la vaccination en particulier
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est-ce que tu as l'impression toi-même en étant médecins d'être dans dans quelque chose de départ ou est-ce que tu penses que tu es carrément dans de la médecine
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très précise comme les projets de recherche médicaux peuvent être c'est vrai moi je suis en tant qu'encérologue un peu moins de tout ça puisque bon les passages directement
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animal [Musique] homme pas très fréquents je dirais dans ma spécialité c'est plutôt les conséquences qu'on a eu de pathologies associées donc
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il y a une covid avec toutes les conséquences que l'on a eu par contre et puis finalement des modèles qui sont très voisins c'est à dire notamment par exemple sur les papillomavirus c'est vrai qu'on a ce
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modèle de cancérogenèse et on se sert beaucoup de modèles animaux mais c'est vrai que dans notre pratique quotidienne pour les chercheurs vraiment un lien très très fort puisque
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sur les premiers oncogènes et donc on a pu on sait que c'est très très conservé je crois que jeunesse tout ce qui est oncogène ou en tirogène on a des modèles animaux qui sont très très proches
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puisque ce sont des éléments qui sont très très conservés au cours de l'évolution des espèces donc c'est un peu comme ça qu'on voit c'est confronté à wanaëlle sont un petit peu par ça mais quand on est comme moi dans
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la pratique quotidienne c'est vrai qu'on est un peu plus loin de tout ça [Musique] maintenant il faut être vraiment dans la science urée il m'a il a été présenté la comme étant
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très ouvert sur les problématiques ou est-ce qu'il est simplement au niveau de l'infectiologie c'est quelque chose qui est très très ouvert sur l'infection qui est très
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infectieux infectiologie donc c'est c'est la prévention des nouvelles des nouvelles pathologies infectieuses donc on est sur le sur l'inflexologie en fait
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peut-être pour rebondir sur finalement il y a peut-être deux choses dans ce concept de wannel si allez les anciennes maladies infectieuses les grandes
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pandémies qui ont été responsables de nombreuses maladies infectieuses donc là où c'est l'OS la tuberculose etc qui ont qui sont des maladies et en fait on l'oublie aujourd'hui on y pense plus
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enfin je veux dire le commun le commun de la population ne pense plus au risque de de moyens de tuberculose mais on a tous dans nos familles des gens qui sont morts de tuberculose et grand-père des arrière-grand-père d'histoire comme ça
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tuberculose et en fait c'est ces maladies ont été éliminer en grande partie grâce au vétérinaire mais si au médecin et à la Révolution pastorienne on en parle plus donc
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c'était du rouge c'était vraiment le le top du Wemmel c'est en fait on en parle plus c'est quelque chose qu'on considère comme étant réglé et en fait du coup on rebascule le onnels vers un nouveau concept qui est le celui des maladies
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des nouvelles maladies émergentes donc la covid le sida le les bolas etc donc les nouvelles pathologies et puis et puis
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peut-être un troisième concept c'est finalement les maladies qui vont réémerger c'est-à-dire celle qui existe déjà mais c'est la résistance aux antibiotiques qui va qui va être un
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problème majeur dans dans le futur mais alors c'est vrai que on utilise le mot ou annelle ce qui est un mot qui est un mot-valise finalement comme le disait Renaud et je suis bien sûr
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tout à fait en accord avec ce qui ce qu'il a dit et en fait on utilise ce mot-valise comme tous les mots à la mode il est il devient sur Utiliser parce que c'est
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c'est à la mode et il est un peu utilisé à toutes les sauces donc j'ai vu il y a pas très longtemps une présentation qui était absolument brillante sur quelqu'un qui faisait de la psychiatrie comparative pour comparer des maladies
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psychiatriques chez le chez l'humain et puis et puis des modèles animaux de de psychiatrie donc dans sa présentation elle a dû utiliser c'était une jeune étudiante d'utiliser 25 fois le mot
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Wannonce en une demi-heure mais c'était pas vraiment du wannel sauf qu'elle faisait c'était des modèles animaux de maladie de maladie humaine [Musique] le terme annuel c'était peut-être un peu
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galvaudé donc en fait l'utilisation du mot est un risque de galvaudage majeur expliquez-moi bien parce qu'au début vous expliquiez que dans l'historique la
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pathologie comparée était par définition la base peut-être du mot lui-même oui en fait c'est exactement c'est dans l'apparition du du
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terme il y a une dérive sémantique qui s'est qui s'est produite au début les gens faisaient ce qu'on aujourd'hui on appelle duwan el ce sont sans dire qu'il faisait du modèle sont en fait il faisait de l'inflexologie et parce qu'il
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y avait un problème d'infectiologie qui était majeur pour pour éviter que les gens et des pathologies graves le terme annuel c'est apparu en termes dans une logique de pathologies comparée mais en
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fait il y a une dérive sémantique une évolution sémantique le terme dérive est peut-être pas juste il y a une évolution sémantique et donc maintenant on utilise le wemmels plus en
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termes de pathologies comparée donc le aujourd'hui je pense que l'utiliser en termes de pathologies comparaisses c'est surtout sur mon poste qu'il faut faire pour revenir à présent j'en suis encore un peu seul parce que je crois que c'est
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un peu l'avenir quelque part c'est là où sont les financements c'est là où il y a une influence française et que comprendre forte il y a deux endroits moi qui m'apparaissent important dans la
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discussion que nous sommes en train de discuter notamment avec kurthos que je vais réinterpellé bien entendu mais je crois que Jean-Pierre Jégou est là aussi un de ces moments
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comment dire le premier c'est la gestion des risques si j'ai bien compris gestion qui est capable de générer les zigs sans penser au causes je dis bien sans penser aux
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parts du principe que la covid mais bon les maladies émergentes quelles qu'elles soient on ne connaît pas bien les causes alors qu'elles sont apparues quelquefois 5 ou 6 ans après vous imaginez un peu la
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difficulté de faire une gestion du risque comment voulez-vous faire gestion d'un risque vous connaissez plus puisque la nature même et les causes même de la chose ne sont pas extraordinairement bien connus ça c'est la première
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remarque est-ce qu'on n'est pas dans les mots là en quelque sorte j'aimerais qu'on aille au-delà et le mot holisme plaisait tout à l'heure c'est à dire est-ce qu'il n'y a pas ce surplus
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ce fugistique qui permettait en quelque sorte bien qu'il n'existe peut-être pas mais c'est qui fait comment dire que la pensée peut être active le deuxième
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moment qui est important ça c'était le premier le deuxième c'est la prévention c'est encore plus loin c'est encore plus loin comment voulez-vous faire une prévention de l'inconnu ou de
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l'incertitude puisqu'on en est à ce niveau-là mais faut relierez de gargar Morin comment travailler au 21e siècle comment vivre dans l'incertitude etc est-ce que les méthodes le J de
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l'incertitude sont les mêmes que celles de la recherche qui sont fait y compris en infectiologie est-ce qu'il n'y a pas des méthodes qui débordent justement celle-ci il faut relire la méthode
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d'Egger Morin qui date quand même de 50 ans que 40 ans il a chanté ça doit être à peu près 50 ans et bien ou justement toute la
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l'interdisciplinarité je reviens et où la transgisciplinarité apparaissent bien sûr à structuré ce n'est pas simplement qu'un mot c'est quand même
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cinq ou si libre en quelque sorte la méthode et elle termine par les tiques donc tout ceci pour ce sont des questions que je vous pose est-ce que on ne se réagir pas avec le mot wannel ce
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qu'elle qu'il soit pour qu'on fait quelque chose ne serait-ce qu'au citoyens alors qu'on est dans une situation extraordinairement démunie je compléterai ce que je suis en train de penser là c'est à dire comme nous ne
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savons pas très bien comment nous sommes là le fait d'affecter des financements comme on le fait là malheureusement cloisonné ça a été bien montré ou
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orienté sur ce que l'on sait simplement alors je sais que Voltaire disait quand vous perdez une clé et que vous êtes au niveau une place chercher votre clé où
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il y a le réverbère bien entendu mais souvent la clé n'est pas dans la portion qui est éclairée bien entendu il y a très peu de chances que ça soit sur la portion éclairée donc la question que je
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me pose c'est ne manque-t-il pas une réflexion qui serait une réflexion autre que moi j'appelle interdisciplinaire ou des philosophes etc il y a eu d'ailleurs et d'ailleurs
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vous-même vos interventions montrent que vous dépassez totalement d'ailleurs le concept lui-même puisque vous l'analysez fort bien vous voyez et donc voyez bien quel est ce manque en définitif qui
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manquerait et ouf ou faudrait-il qu'il soit parce que il est facile d'abonder dans des silos qui sont productifs mais on se rend compte à un moment que les silos ne
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seront plus si vous disciplinaire bien sûr ils vont répéter tout le temps à peu près la même chose et par rapport aux énerves comment comment voyez-vous
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cela est-ce qu'il ne faut pas un plus est-ce qu'on peut se satisfaire actuellement d'une recherche qui serait seulement disciplinaire tel que actuellement le
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mot wannels correspondrait ce que vous venez de me préciser là est-ce qu'il n'y a pas cette nécessité d'ouverture vers quelque chose même qu'on comprend
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mal qu'on ces images et pourquoi pas même de construire de nouvelles méthodologies que l'on n'a pas encore fait là de nouveaux modèles comme si les modèles actuels suffisaient j'en
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terminerai pour bien montrer qu'il y a des modèles comme les vidanges baises médecine que vous connaissez bien ce modèle je me rappelle très bien il y a 30 ans où il y a 20 ans lorsque à la chasse au
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début etc c'est un modèle en définitive l'évidence belge médecine tout simplement avec les différentes phases avec la phase animale
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bien entendu et je posais la question ce modèle est-il optimal et c'était très amusant parce
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que à la fois les les Japonais à ce moment-là si je voulais chinois je pense c'est les Japonais et d'autre part les États-Unis demandaient à ce qu'on diminue le nombre de mutagénèses
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auparavant que l'on faisait surtout de les possibilités d'un nouveau médicament pour être bien clair et pour des raisons économiques il demandait à ce que ces deux épreuves de
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mutagénaires ne soient pas fait pour tous les animaux que ça ne soit fait qu'ensuite lorsqu'il y aurait donc les modèles il faut aussi il y a toute une discipline qui est sur les modèles également
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nous n'avons pas là et ce sont des scientifiques est-ce qu'on n'a pas des des obligations nous rapprocher de même c'est une question que je vous pose oui probablement
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probablement que les méthodologistes partageront mais je crains que si on en arrête là on restera au problème identiques qui est que le le croisement des communautés restera insuffisant
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donc pour moi le fond du problème c'est quel est le besoin de nos communautés et dans quelle mesure elles peuvent ressentir ce besoin de décloisonnement et aujourd'hui la difficulté qu'on a c'est que ce besoin il a exprimé face à
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des questions qui sont extrêmement ponctuelles la cancérologie est un excellent exemple bon il y a eu certes et virus en cogène mais lorsqu'on regarde sur d'autres domaines ça nous arrive très souvent enfin moi l'école j'ai beaucoup de collègues médecin est-ce que vous auriez un modèle de tel
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ou telle maladie spontanée la plupart du temps non parce que le diable étant les détails en médecine et les animaux ont des maladies qui sont pas en tout point égal à celle des hommes le diable dans les détails ça le diable
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dans les détails et les maladies des animaux sont souvent pas toujours identiques à celles des hommes il arrive que ce soit le cas mais bien souvent on utilise les animaux de laboratoire pour mimer la maladie humaine qui n'est plus celle des animaux et à l'inverse celle
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des animaux de compagnie en tout cas souvent n'est pas en tout point égal peut avoir des caractéristiques et fait l'objet bien souvent et c'est tout à fait le cas en cancérologie d'une caract sécurisation qu'on ne peut pas comparer parce que les moyens de la cancérologie
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humaine sont sans commune mesure et il y aura toujours une avance considérable de la cancérologie humaine qui aujourd'hui se pose des questions avec des baskets triages enfin des enjeux méthodologiques
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d'une extrême complexité qui vont forcément être réseau là donc on peut dire c'est dommage de faire des animaux sur des tests expérimentaux sur tel ou tel modèle animal on ferait mieux d'utiliser tel ou tel cancer du chien ça
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paraît toujours qu'un très bien et puis après on rentre dans le détail on en détail qui est que la maladie on la connaît pas bien elle est mal génotypée c'est que une race de chien même si on fait un multicentric on sera absolument incapable d'avoir le nombre de chiens sur la durée correspondante à ce qui est
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attendu par un laboratoire et si on faisait ça coûterait presque aussi cher que de faire une étude en certains pays donc globalement on nous dira qu'est-ce qu'on va s'embêter donc le vrai sujet et pourquoi je développe cet argumentaire un peu long c'est parce qu'en fait je
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rebondis sur une phrase de yorghost tout à l'heure si l'on s'intéresse pas à la santé animale pour ce qu'elle est sans un prisme qui est de savoir si c'est un modèle de maladie humaine on ne peut pas avoir une compréhension
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suffisante de certaines maladies animales qui permettent derrière de créer les interconnaissances là où elles sont nécessaires et donc du coup lorsqu'on a des besoins des communautés qui ne sont pas les communautés le plus exposées celle de la sexologie celle
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peut être des méthodologistes ou celles des gens qui ont comme nous la passion et l'envie la conviction que ça nous permettrait de faire plus que la somme de nos parties parce que le mot commun qui nous unit c'est tout simplement celui de médecine c'est pas celui ou
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annelf c'est celui de santé celui de médecine avec une certaine approche et une certaine culture scientifique une certaine formation qui vraisemblablement à quelque chose d'extrêmement caractéristique et donc oui on peut
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avoir cet effort là mais si on partage pas et si nos communautés n'exprime pas un besoin et qu'on n'est pas capable d'y répondre on sera souvent frustré dans la déclinaison de nos actions c'est ce que je crois
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j'aime vos crânes pour deux raisons premièrement vous m'avez en quelques mots démontré que tout ce qui est la base de la loi uriée Cerus CLA et qui devient ensuite la loi
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jardin parce que on est comme cela dans le dans ce qu'on appelle largeur avec les prérequis étaient une idée complètement fausse mais fallait bien cette idée de manière à permettre le
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passage de l'animal à l'homme et donc il fallait rassurer la population n'est ce pas comme quoi les tests animaux mutagénèses cancéogénèses sur des modèles peut-être même pas adapté mais
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il fallait qu'il soit fait de tout et on comprend très bien pourquoi 10 ans ou 20 ans plus tard pour des raisons économiques ce qui a été dit qui était faux au maximum le drame c'est que ça
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continue c'est à dire la mutagénèse à cancéroliniens apparaissent comme on dit dans les différents dossiers totalement absolument et c'est là le problème de la progression en quelque sorte de la santé
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donc déjà ce que vous aviez important deuxièmement et après j'ai donné la parole à lire en cause bien sûr vous m'appariez comme défaitiste et je vais vous dire pourquoi il faut bien que je m'oppose un peu à vous parce que je
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vous aime bien depuis tout à l'heure là vous vous abondez vous donnez tous les arguments tous les deux pour que nous fassions ce pôle universitaire que nous
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défendions parce que on sent qu'il y a quelque chose on sait pas obligatoirement ce que c'est mais on est en train d'essayer de le retrouver comment dire quand vous dites il faut
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que les médecins par exemple les médecins d'un côté de médecine humaine les médecins vétérinaires il faut qu'ils sentent un besoin non non non c'est tout le temps les minorités et il faut qu'il
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y ait chez vétérinaire des vétérinaires qui sentent cela il faut qu'il y ait des médecins mais comme nous le disions tout à l'heure j'y reviens parce que je crois que cette discussion est introductive
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était bien intéressante encore faut-il qu'il y ait dans ce cas-là dans la dispensation des financements des postes une possibilité à l'ouverture et à l'originalité ne pas être
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obligatoirement dans mainstream or j'ai l'impression qu'en terme de politique de recherche en tout cas l'éthique de la politique de recherche mériterait d'être approfondie au
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ministère ou dans les agences qui appliquent ce qui est convenu or nous sommes justement si je reprends par rapport au risque à l'inconnu nous ne
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sommes pas dans le contenu ce que nous savons nous pouvons tout le temps aller chercher le diable où on voudra mais existe-t-il le diable j'en suis pas sûr vous avez la vie là-dessus mais bien
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qu'il soit dans les détails je pense que il y a quand même des éléments qui apparaissent la crise covid est un tremblement de terre la crise
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covid a totalement bousculé la planète entière peut-on revenir gentiment à une notion qu'on appellera Plus One S on peut
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l'appeler par exemple comment dire une notion qui ne serait simplement qu'une discipline je reviens là sur le partage le partage
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à la fois méthodologique les critiques méthodologiques contre collègues ça se fait très rarement même dans les vous l'avez montré dans les différents la
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spécialisation des des différents journaux au fond que c'est rarement un dialogue vous avez rarement ce qui caractérisait l'université qu'on appelle la
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disputation tout simplement c'est à dire comment avec des arguments on est capable de faire évoluer la connaissance or souvent c'est entre soi c'est une question Yorgos que penses-tu
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à ce niveau là au niveau de j'aimerais avoir ton avis puisqu'on a la chance de t'avoir chance je sais pas mais je vais essayer de donner un avis
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en fait j'essaie de me situer au niveau de la difficulté qui va être un dépassable et il faut comprendre que la méthode
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nous permet de consolider mais techniquement ce que je veux dire c'est que quel est l'objectif ou quelle est la cible quel est finalement la finalité de ce que
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l'on recherche et ce que je voudrais signaler c'est que la méthode à un moment donné va aboutir à un questionnement éthique et ce questionnement éthique c'est
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sa porte sur la notion du bien et pas sur la notion du vrai qui est notre champ de scientifique voilà c'est comment trouver la nécessité
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de l'éthique et ça on peut l'appliquer au changement climatique par exemple qu'est-ce qu'on veut apporter à l'humanité c'est ça la question de fond est-ce que c'est une longévité est-ce que c'est un bien-être dans cette
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longévité nous savons en particulier qu'en France n'ayons pas peur de le dire nous sommes ceux qu'avons la légitimité presque la plus importante surtout vis-à-vis des femmes mais nous avons aussi nous sommes 17e si je ne me trompe
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pas comment dire malheureusement dans le mal vivre c'est-à-dire que nous vivons vieux et mal pourquoi parce que justement toute la prévention ce n'est qu'un mot comme moi-même en quelque
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sorte ne serait qu'un mot veut dire un cash misère ou justement les véritables problèmes ne seraient pas posés ou la machine continuerait encore etc sans que des questions sur le sens
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là je viens au niveau de l'éthique bien entendu ou les questions sur le sens ne serait pas posées c'est ce qui fait d'ailleurs qu'il est très difficile d'avoir dans nos différentes professions
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n'ayant pas peur de dire ce qu'on peut appeler des réflexions éthiques c'est très difficile parce que le partage des savoirs avec les autres sciences sciences humaines philosophie
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etc est extraordinairement pauvre parce que comme tu l'as bien dit pour avoir une heure ou deux heures avoir amené une vingtaine d'heures de sciences humaines
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et sociales dans une faculté de médecine nous l'avons vu là il a fallu se battre on a donné 10 heures d'éthique mais d'éthique est-ce que ça correspondait totalement j'étais en fonction du
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professeur qui lui-même c'est bien sûr et la méthode qu'il avait la réflexion qu'on appelle le principe et et qui avait et une vision des petites cliniques
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mais est-ce que c'est totalement adapté à notre objet c'est et qui va décider comment de quelle manière là je crois que nous avons un problème sur le sens qui est posé sur la chance de nos
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institutions sur le sens de nos disciplines et sur le sens aussi des financements qui sont faits en rapport pour que elles avancent et en vertu de
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quelle finalité et Yorgos le dit bien là c'est qu'est-ce qu'on appelle l'humain l'humanité et là on va arriver très vite pour certains dans le post-humanisme ou là pour certains mais oui c'est
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augmenter je voyais orgos qui qui même si c'est une ou si c'est une il n'empêche c'est une idéologie qui se développe actuellement moi je me posais une autre question si
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tu me permets questions c'est j'étais confronté cette année à une étudiante une médecin une obsédéeienne qui m'a opposé des arguments de grossophobie
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et de validisme c'est des mouvements qui existent depuis les années 70 c'est pas des constructions récents c'est des mouvements critiques qui luttent contre
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la norme et c'est ceux qui nous valent aujourd'hui l'expression inclusive pas opposition à exclusive donc une médecine inclusive ça veut dire quoi
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exactement c'est ma question nous restons dans le champ humain mais nous acceptons la différence et pour moi de l'étendre
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au règne animal c'est effectivement une question de différence de degré non pas de nature qu'est-ce que vous en pensez tous les deux n'oubliez pas que c'est vous qui êtes
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les interférences oui je sais je coupe mon micro je réalise en vous écoutant qu'il faudrait pas qu'il y ait d'ambiguïté dans nos propos sur le fait que ne pas
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être anthropocentré ne signifie pas pour autant qu'on souhaite mettre d'autres enjeux au-dessus de la santé de l'homme donc notre propose enfin je crois pas mais en aucun cas d'avoir une vision que
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certains qualifieraient de spécisme ou qu'il y a ce type de débordement qui pourrait être effectivement inexagération du propos c'est tout à fait une réflexion qui est je dirais dans les idéologies par
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rapport à l'animal et je pense que ça mérite débat et réflexion bien sûr en tout cas je pense que la position que qu'on défendait était pas celle-ci il peut y avoir une position où on assumera tout à fait que la santé de l'homme doit
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si je le caricature être prioritaire par rapport à un certain nombre d'autres enjeux et vous qui êtes médecin vous êtes bien habitué à savoir que la santé a aussi un prix et donc il y a aussi un moment où effectivement la question est savoir le prix qu'on peut penser par
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rapport à d'autres conséquences donc on est tout simplement face à une réflexion pour le coup éthique qui me dépasse qui est celle effectivement ce prix la vie de l'animal est bien souvent un
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prix effectivement qui peut être payé c'est la justification d'expérimentation animale c'est la justification aussi bien sûr de de l'utilisation d'un certain nombre d'espèces à des fins alimentaires je crois que notre propos était pas celui-ci c'était aussi de dire qu'on
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peut s'intéresser lorsqu'on s'intéresse aux communautés au fait qu'il peut y avoir aussi une finalité de santé animale en tant que tel sans pour autant qu'elle soit antagoniste à celle de la santé de l'homme et donc ça peut être
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une finalité en soi ça ne signifie pas qu'on la priorise par rapport à la santé d'un homme dans je ne crois pas que ce soit après ça pose une question qui va aller très loin bien sûr qui est comment organise les priorité ou sont les
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curseurs c'est évidemment compliqué je suis très heureux de votre votre réponse parce que j'ai lu des thèses Jean-Pierre Jegou qui est là ici que ses collègues
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m'ont donné des thèses à lire qui sont des thèses vétérinaires parce que me trouvant à l'Académie ben j'ai amené à travailler un peu quand même et donc une thèse justement il y avait une
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réflexion éthique assez forte les défauts en mouvement tels qu'ils étaient et avec des positions qui ne comment dire qui mérite discussion qui méritent discussion voire débat est-ce
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qu'il y a besoin de débat autour de cela est-ce que c'est bien assuré c'est évident que chez les médecins en tout cas vous l'avez dit cette position me paraît fondamentale je pense même que
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l'éthique animal et l'éthique vétérinaire il y a une différence entre les deux nous avons publié dans le Bulletin justement un article là-dessus qui montrait que Ben l'éthique animal il
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y a plein d'idéologie qui peuvent être dedans et de débat citoyens qu'on peut comprendre alors que dans l'éthique vétérinaire on se trouve avec un métier avec des règles avec comment dire des
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méthodes qui permettent en définitive de situer justement cette zone connue à la fois de recherche et de traitement et éventuellement de prévention qui
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permet de donner des discours assurés et ne pas être dans des débats citoyens pour être bien bien clair nous pensons nous à ce niveau-là que la différence entre les deux est utile et c'est ce qui
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a fait que par rapport à d'autres collègues vétérinaires qui mêleraient de l'éthique animale dans l'éthique vétérinaire je dis pas pour autant que c'est bien
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que c'est mal mais je pense que nous avons intérêt à dissocier les deux et ça revient à ce que vous avez dit nous partageons entre médecins certainement que ce soit qu'on s'occupe de
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l'environnement qu'on s'occupe des hommes ou qu'on s'occupe de des comment dire des animaux justement cette approche je dirais
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cartésianisme je sais pas en tout cas méthodologie ou de recherche disons peut-être éventuellement qui nous permet de nous fonder sur des choses qui sont quand même globalement assez connus
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validé c'est le problème des fêtes qu'on trouve dans les business ou dans son sa volonté ça nous donne un corps en définitive un
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corps d'action dans dans un monde dans un monde où l'inconnu et particulièrement développée c'est à dire où nous ne saisissons pas c'est les risques dont je parlais et des
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préventions qu'on doit faire et trouver les assis sur lesquels on peut éventuellement agir en prévention ou en réflexion sur les risques peut-être qu'on peut on peut peut-être
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avancer là-dessus peut-être que le concept wannef qui vient si j'ai bien compris pasteur et tout cela c'est peut-être justement ça une volonté
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comme on dit de recherche peut-être sur l'inconnu de de l'humain ses faiblesses la les épidémies bien sûr
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le cancer et peut-être éventuellement sur la mort et et peut-être lui conférer lui conférer une bonne vie alors que là comme nous le
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disions nous sommes ceux qui vivons le plus mal Marc oui en fait je voudrais rebondir sur sur un certain nombre de points donc déjà évidemment que je suis complètement
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en accord à ce que dit Renault sur le fait que il y a bien sûr il faut enfin il faut l'homme l'homme est central au système et que on est tous les propos que j'ai
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pu avoir notamment quand je parle d'anthropocentré ou d'anthropocenté mais sûrement pas des propos spécistes qui qui viseraient en fait à placer l'humain au même niveau que que l'animal donc
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évidemment que l'homme c'est en tout cas dans mon esprit plus important que que l'animal donc Renaud aussi raison que soigner des animaux c'est une importance en soi
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déjà pour la vie de l'animal mais aussi pour la vie des personnes qui vivent avec les animaux c'est important en fait les animaux pour beaucoup de personnes et en fait ce que je voulais dire surtout c'est que
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peut-être que le terme wannel c'est une erreur dans le sens où on place la santé parce que c'est la santé c'est quelque chose qui compte pour les humains et donc on a mis wannels au sens une seule
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santé mais moi je reviens quand même sur ce que disait pasteur et moi je pense que le concept qui est vraiment important et intéressant c'est le concept de une seule biologie parce qu'en fait on partage tous la même
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biologie et en fait cette biologie le fait le fait que ce que ce soit la même c'est ça qu'il faut vraiment qu'on comprenne voilà la même nature et c'est ça le vivant et les mécanismes
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aux vivants parce que les mécanismes qui amènent à un cancer chez l'animal sont les mêmes mécanismes que ceux qui amènent au cancer chez l'homme alors c'est peut-être pas le même cancer au définitif mais le mécanisme en fait est
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le même et en fait si on pousse ce concept de biologie c'est là où on ne comprend plus très bien le mode de fonctionnement de de nos instances et de la formation des jeunes
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médecins et des jeunes vétérinaires et le fait qu'on est compartimenté de façon de toujours de plus en plus importantes les voix de formation et je pense que pour être pragmatique s'il faudrait vraiment faire c'est faire
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converger les modes de formation au début au début au moment des examens j'essaye j'essaye de lui intimer un bon projet mais c'est bon ben c'est pas ça
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si vous pouviez intervenir ça devrait marcher je pense que c'est en tout cas moi depuis longtemps et au-delà des concepts c'est le côté un
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peu pragmatique qu'il faudrait peut-être essayer de faire évoluer alors peut-être que ce wannels sans le dire il a essayé de pousser vers cette forme de pragmatisme mais sans vraiment y arriver parce qu'il y a peut-être une maladresse
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autour du mot ou un else moi je pense que c'est par là qu'il faut qu'il faut évoluer en parlant de de une biologie Jean-Pierre Jegou qui est là
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peut-être que vous ne le savez pas mais en fait Jean-Pierre aigou a développé l'opération de la cataracte chez l'animal chez le chien vous faites c'est grâce aux techniques qu'il a développé chez le chien que les humains ont été
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opérés de la cataracte tout ce qui a été développé sur la chirurgie de la cataracte en tout cas au début ça vient de ça vient de Jean-Pierre Gigou donc on revient on revient au concept de une seule biologie c'est la même biologie qui fait que l'oeil ne fonctionne pas
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chez un chien et l'oeil ne fonctionne pas chez un humain quand il y a une cataracte j'avais envie d'intervenir moi vous m'entendez là oui puisque le onele se pose un problème sur
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le plan de définition et de l'extension de sa signification et que par exemple on décide que finalement et ça fait d'accord avec
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l'otessier c'est-à-dire que la médecine doit exister pour l'animal sans que ça doit elle se développe à travers des modèles animaux pour la médecine humaine je trouve ça très
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très insuffisant et il faut continuer à développer la médecine animale pour elle-même il en est de même bien évidemment en médecine humaine que
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Marc a bien précisé que pour lui c'est pas forcément de du wannel ce que d'étudier certaines animales certains modèles animaux a priori sans application directe et que c'est de la pathologie comparée et que la pathologie
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comparée c'est un terme qui doit continuer à vivre et que le One S pour moi je limiterais à un objectif à partir du moment où pour résoudre un problème
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de biologie on est obligé de faire appel à des connaissances multiples du domaine animal du domaine humain là on fait du One el pour moi le wannel c'est le côté
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absolument actif un côté avec une mission et un objectif de résoudre un problème une maladie enfin voilà et le Wellness joua même alors là vous
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allez vous dire que je dirige complètement mais quand je passe je passe mon après-midi à chercher à me faire vacciner contre la covid 19 que je parcours Brest dans tous les sens en
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appelant les les pharmaciens les infirmières etc et qu'on me donne des rendez-vous de vaccination au mois de janvier que j'entends par contre la radio dire il faut absolument
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se faire vacciner des personnes à risque etc et qu'on se trouve dans un système qui n'est pas du tout adapté bon je développe pas les raisons pour lesquelles ça fonctionne comme ça je me dis mais moi en tant que vétérinaire
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mais je trouve ça je en tant que vétérinaire ce serait pour un animal quand je vois ce qu'on fait en vaccinologie vétérinaire et comment on a des moyens qui sont ça a
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été le problème des PCR d'ailleurs au début de la au printemps 2020 au début de la pandémie on a une approche pratique et ça c'est du wannels que de d'expliquer comment on doit s'organiser
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comment on doit travailler et que je dirais vendre d'homéopathie vendre de la phytothérapie alors que ce qui est plus important c'est de vacciner dans les pharmacies à l'heure actuelle et que c'est pas réalisé pour différentes raisons
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ils ont besoin de d'un apport d'une autre optique d'une autre approche qui est l'approche vétérinaire donc on est complètement en dehors de la médecine de la recherche mais on est dans un aspect pratique qui est de résoudre un problème
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avec le l'expérience et le savoir-faire de différentes de différents secteurs qui évoluent vraiment d'une façon
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complètement cloisonnée et en silo j'aime beaucoup ce que vous voulez dire ce que je pense que ça point du doigt que effectivement dans ça me fait penser à ce que vous disiez sur la méthodologie dans ces
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éléments qui ont fait le frein l'histoire des PCR l'histoire effectivement la vaccination qui sont des éléments majeurs outre la valeur symbolique le fait que ce serait tout simplement efficace le fait qu'on ait des verrous qui soit juridiques qui sont
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compliqués à lever comment on fait pour qu'un laboratoire diagnostic a pas un médecin biologiste puisse le faire est-ce qu'on pourrait imaginer un médecin biologiste à distance il y a des verrous organisationnels logistique il y a bien sûr un peu de corporatisme je
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suis même pas sûr que ce soit le corporatisme l'élément dominant il y a un moment donné une difficulté nous on a l'histoire des chiens des chiens renifleurs qui sont excessivement médiatique il y a des pays qui nous ont déployés relativement largement nous on a beaucoup de difficultés parce que
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comment un chien peut être un dispositif médical on sait pas faire ça on sait pas gérer il y a aucun organisme notifié aujourd'hui qui va prendre une méthode de diagnostic on ne sait pas gérer cette problématique là on a un vrai sujet effectivement qui est pas un sujet enfin
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qui est un sujet de recherche puisque je pense qu'il y a des questions mais peut-être de recherche endroit et pas de recherche etc il y a un vrai sujet effectivement de questions sur une profession qui est pas un professionnel de santé je suis pas en train de dire
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qu'il faut que les vétérinaires deviennent professionnels de santé c'est peu importe la question c'est que là on a effectivement une série de contraintes liée à des éléments administratifs juridiques qui font perdre effectivement
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un peu en efficience sur des sujets où une analyse de risque sérieuse et montrerait très rapidement qu'un vétérinaire peut vacciner aussi vite qu'un pompier et donc globalement l'analyse des risques la chasse peut la faire facile
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on a tous les outils pour répondre à ça et néanmoins c'est vrai que ça on a du mal à le faire il y a peut-être un travail effectivement aux interfaces parce que finalement nous ça nous intéresse pas trop les gens qui s'intéressent ils savent peut-être pas
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tellement quels sont les verrous à dessus les médecins ont pas vraiment le sujet et les juristes aussi donc là il y a peut-être un sujet effectivement d'appropriation ces questions transversales qui sont tellement interdisciplinaires qu'elles intéressent
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personne en fait parce qu'elles sont très administratives en tout cas c'est vrai que moi qui me passionne pas j'ai pas forcément envie d'y passer des heures à savoir comment va juridiquement faire qu'un vétérinaire puisse faire autrement et pourtant il y a un enjeu énorme donc je pense que ce qu'on vous
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disiez Jean-Pierre c'est c'est en fait probablement critique et vous avez raison c'est comme vous le disiez avec le ministre de la Santé on se posait des problèmes il disait il faut faudra peut-être ouvrir
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des sons de vaccination le premier geste il faut pas envoyer les infirmières sinon on aura plus d'infirmières dans les hôpitaux c'est délirant d'aller en faire en sorte
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que nous infirmières aille effectivement parce qu'il y a beaucoup plus en allant de donc on les a plus après pour faire le travail de base or pour vacciner je suis d'accord avec vous on va avoir fait de la médecine en pays se développer on se
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posait pas les problèmes métaphysiques on se pose là on était un peu comme vous à l'armée on vacciner des classes entières des populations tiers avec très peu de moyens et finalement quand on regarde l'efficience de ce système et la
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morbidité qu'on a je pense que on surévalue des risques juridiques aujourd'hui dans nos sociétés on a une imperfection pour rien et on fragilise les systèmes qui peuvent marcher fragiliser l'hôpital pour vacciner
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franchement c'est pas une bonne idée il y a un précédent le hnh je crois je parle sous votre ou on avait décidé c'était Didier qui avait été je crois à construire tout cela
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comment dire des endroits où on allait vacciner et c'était en dehors des médecins généralistes ça n'a pas marché du tout donc il y a le problème aussi du médecin
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de la confiance moi je rêve j'interviendrai sur autre chose si vous voulez bien là-dessus c'est et on est dans One neige
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je pensais qu'après la covid tout allait changer le même le prince de la République l'avait dit tout allait changer il y allait à y avoir un sursaut quand on est quand on est devant une
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détresse même le mot de guerre avait été peut-être un prudemment prononcé quand il y a la guerre il y a un aspect collectif collectif des humains
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par rapport à une idée qui est celle de Patrick il y a un certain nombre de droits qui ne sont plus les mêmes le droit de la guerre
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n'est pas voilà ça veut dire quoi ça veut dire que personne ne va du moins je me permets de mettre le passé ce qui peut être un peu inquiétant
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personne refusait d'aller à guerres sauf quand le pays était attaqué sauf d'être déserteur et éventuellement même en plein conflit d'être fusillés comme
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déserteur bien est-ce que nous avons pas évolué un tout petit peu si on est pensé sur ce qui est le collectif c'est dire ce pourquoi ne nous battrons ce pourquoi le bien et
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le mal dont parlait tout à l'heure yurgaud c'est à dire pourquoi nous existons en quelque sorte et je suis assez étonné et nous l'avons écrit d'ailleurs et nous
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l'avons publié comme quoi nous étions peut-être [Musique] bêtement peut-être pour une vaccination obligatoire pourquoi parce que on ne se fascine jamais pour soi voilà un sens de
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la vaccination la vaccination ne jamais été pour soi c'est pour les autres de manière à atteindre bon je vais pas reprendre tout cela les les taux tout à fait qui sont protecteurs etc du moins
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c'est l'idée en médecine que nous avions tout le temps or là maintenant ce sont les éléments les riches et même s'ils sont globalement mineurs qui viennent
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opérer tout à fait une vision qui est une vision collective donc nous avons une poussée d'individualisme absolument pas possible et est-ce que justement dans les stratégies dont nous parlons là
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ça n'impacte pas bien sûr que si certainement donc comment faire une science d'autant plus de santé publique en faisant comme si mais on se rendait
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compte en définitive que la population ne suivrait pas ou alors pire c'est qu'après ça devient mais tant que ce n'est pas obligatoire pour prendre par exemple le masque en ce moment tant que
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c'est pas obligatoire je le mettrai pas mais je le mettrai je préfère être contraint donc cela demanderait il y a de véritables réflexions avoir sur ces moments épidémiques que ce soit la
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communication que ce soit les explicitations scientifiques ou pas on s'est rendu compte là encore nous avons fait un Daloz là-dessus sur les fausses nouvelles fausses nouvelles
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véhiculer par les médecins eux-mêmes qui n'étaient pour la plupart pas compétent autour des tables de BFM télé et genoux et de LCI pour pour être très clair
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répondant à des questions pour lesquelles il n'a pas obligatoirement souvent de répondre ou même dites vous-même que c'est loin d'être évident donc moi je reviendrai sur Yorgo aussi
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il est d'accord pour dire vous revenir au bien c'est-à-dire qu'est-ce que nous cherchons en faisant tout ce que nous faisons laquelle est la cohérence de nos pratiques sociales la médecine la
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recherche sont le vétérinaire sont des pratiques sociales si nous ne sommes pas capables de définir dans le groupe dans lequel nous nous trouvons comment pouvons-nous avoir
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des politiques sanitaires d'autant plus quand on est par extension dans des espaces encore beaucoup plus grands où les cultures sont différentes et par rapport à la vaccination c'est
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évident que la culture par exemple est tout à fait majeur qu'en penses-tu orgos de cela le fait que nous pas une pensée de ce que ce pourquoi en définitive nous
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nous battons en quelque sorte non mais moi je mettrais un peu l'accent sur un autre aspect qui est celui à la fois de la crédibilité de la science
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et de sa responsabilité vis-à-vis de la société c'est-à-dire que nous passons du temps à nous demander si on fait le bon dosa on
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a trouvé le bon gêne et ainsi de suite mais vis-à-vis de la société quelle est notre notre impact qu'est-ce que notre discours produit dans la société et là
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nous nous trouvons face à des flexions comme tu as dit et à des adhésions à toutes sortes de propositions
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de la science vis-à-vis de la société il va de pair avec sa crédibilité c'est-à-dire que ils doivent avoir une raison pour laquelle certains adhérent au fait que
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la science se penge enfin a tendance à venir du côté du pouvoir et donc moi c'est des interrogations vous m'avez opposé ou peut-être étiqueté
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spéciste tout à l'heure je posais une question simplement donc si la différence que l'on peut admettre maintenant avec l'obligation inclusive donc on sentait
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humaine est-ce qu'on les tendrait à l'animal je voilà mais donc c'est c'est cette question que que de la crédibilité d'une part pourquoi est-ce que
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nous avons je dirais une classe politique qui n'est pas franchement on peut pas parler d'une littératie scientifique moi ça m'interpelle et donc cette
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crédibilité que nous avons dit con pourquoi nous l'avons perdu et je vous dis encore une fois quels sont nos responsabilités vis-à-vis de la société est-ce qu'on dit nous on détient
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la vérité et au-delà en dehors de cette vérité il y a rien et donc ces questions restent je dirais c'est des questions que posent la tons disciplinéarité par
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exemple autre mot cité tout à l'heure donc on voit que on tourne autour de quelque chose mais c'est pas avec les catégories du passé que l'on
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voit le résoudre si on peut apprendre quelque chose de garmorable il va falloir créer de nouvelles catégories pour essayez de résoudre un problème que nous
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avons amené à son terme c'est ce que nous allons faire en sorte ensemble ensemble quelque chose qui me semble assez important c'est aussi le concept de la santé des individus en fait chaque
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individu chaque humain en fait il a forcément une les médecins le savent encore mieux que les vétérinaires une un très fort besoin de santé d'être en bonne santé et en fait c'est finalement
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la richesse principale de chaque individu c'est sa santé en fait sauf que finalement ce qu'on réalise et la crise covid le montre encore plus c'est que les la plupart des personnes ne savent
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pas ce que c'est que la biologie qui leur permet d'être en bonne santé et ils ne comprennent pas ils ne comprennent pas les maladies et même après le covid je suis je suis toujours complètement étonné quand j'entends des des gens de
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population générale qui sont pas forcément des gens inculte de ne pas comprendre d'avoir toujours pas compris qu'un virus pouvait passer d'une personne à l'autre donc une bactérie pouvait passer d'une personne à l'autre
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et je pense qu'il y a un vrai problème il y a un vrai besoin d'éducation de la population générale sur les mécanismes de base de la de la biologie il y avait un très beau livre qui
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s'appelait l'échec de la santé publique rappelez-vous que c'était par rapport aussi d'ailleurs il fait un certain temps ça montre comment la santé publique doit se mobiliser la serpettement on va
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peut-être conclure [Musique] kinés infirmier véto ostéopathe médecin agro et puis dentiste
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solution ça aurait été dommage de la manquer je vous remercie je vous donne tous rendez-vous dans un mois le premier mardi du mois bien sûr à 17h
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et cette fois-ci ça marchera dans youtube il y a pas de problème à bientôt
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