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bonjour tout le monde ben je tiens d'abord à vous souhaiter la bienvenue dans ce webinaire portant en fait lié au projet contribuer à la santé des survivantes de violence familial dans
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les procédures de droit de la famille c'est notre dernier webinaire dans la forme actuelle du projet le projet se poursuivra et je vous invite à suivre les activités là sur le site du rêve et
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le site de western puisqu'il y aura une suite à ce projet mais c'est notre dernier webinaire dans cette première phase euh de de du du projet
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euh et donc pour ce dernier webinaire nous accueillons les professeurs ellisabeth gbou et Catherine surbide que je vais vous présenter dans quelques instants pour une présentation qui s'appel qui s'appelle conflit sévère de
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séparation ou violence conjugale comment y voir entre parenthèses un peu plus clair et juste avant de lancer euh plus officiellement le webinire je tiens à rappeler que je suis présentement sur un
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territoire autochtone non CD et je pense que c'est important d'avoir cette réflexion particulièrement à quelques jours euh du 30 septembre donc de la journée euh sur en fait la vérité réconciliation
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euh et je pense que c'est important d'avoir cette réflexionlà au-delà de cette petite phrase que l'on peut dire parfois au début des présentations mais d'avoir une réflexion par rapport à nous-même et par rapport à comment on peut euh
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euh participer à cette réconciliation à travers nos gestes nos présentations mais aussi nos réflexions sur les différents sujets liés à la violence
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familiale dans les procédures de droit de la famille euh maintenant euh je vais céder la parole à nos deux présentatrices que je vais présenter très rapidement pour pas leur voler trop de temps donc Élisabeth godbou qui est
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professeur adjointe à l'école de travail social et de criminologie de l'unérité Lavale ces travaux portent sur les transitions familiales séparation parental et recomposition familiale et plus particulièrement sur les conflits
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cévre enant entourant la séparation et Catherine Turbide titulaire d'un doctorat en travail social de l'Université d'aval Catherine et professeur régulière en travail social à l'Université du Québec à rinovski
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auparavant travailleuse social au sein des services de protection de la jeunesse elle se spécialise aujourd'hui comme chercheuse autour des questions touchant ses pratiques et les familles qui en bénéf donc je vous cède la parole notez que ce
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euh que ce webinire est traduit donc si vous souhaitez avoir accès au PowerPoint en français vous devez cliquer sur euh le le le canal anglais et vous pouvez
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aussi cliquer sur la petite planète au bas de euh du zoom pour avoir l'interprétation en anglais donc vous devez à la fois le choisir interprétation en anglais et le canal
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anglais là pour avoir accès eu au PowerPoint en anglais et sinon euh vous êtes dans la présentation en français euh il y aura une prise de en fait nous prendrons les questions à la fin euh de
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la présentation euh et donc hésitez pas là à à les écrire euh ou à lever la main lorsque ce sera le temps opportun et voilà je vous souhaite une bonne
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présentation merci beaucoup de min euh Catherine et moi sommes très très heureuses de de prendre part à ce webinaire ce midi euh donc pour nous c'est une occasion de venir partager le
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fruit de nos réflexions nos recherches euh donc on est deux chercheures qui proviennent du domaine des séparations parentales des transitions familiales au sens large aussi euh et donc notre
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experti se situe vraiment sur cette ce phénène que que représente les séparation conjugal qu'on qu'on considère très conflictuelle et euh ce qu'on veut présenter aujourd'hui c'est là où ces deux mondes centre choc entre
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compli Sév de séparation et violence conjugale on sait à quel point c'est un enjeu là sur le terrain aussi en recherche nous on va le regarder plus du côté de la recherche euh donc pourquoi c'est un sujet important dont on peut
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traiter aujourd'hui donc pour rappel on sait qu'en violence conjugale les risques les plus importants pour la sécurité des personnes sont observé autour de la période de la séparation
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donc on sait que en contexte de violence conjugale la séparation est associé à une augmentation de la violence voir un risque accru de blessure d'homicide de harcèlement et d'agression sexuelle donc
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ça c'est un fait bien connu la séparation lorsqu'elle survient dans un contexte de violence conjugale donc il y a beaucoup de drapeau rouges qui se lèv à ce moment-là c'est les enjeux de sécurité sont important et on a vu aussi
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beaucoup dans recherche mais même dans l'actualité des dos journalistique qui présentait euh les différentes difficultés des survivantes de violence conjugale à faire reconnaître la violence conjugale devant
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les instances en matière familiale mais aussi en protection de la jeunesse donc des histoires de survivant de violence qui avait de la difficulté à faire reconnaître cette violence puis obtenir des modalités de garde ou d'arrangement
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parentaux qui étaient sécuritaire pour elle et leurs enfants donc ça on en a a entendu parler dans les médias beaucoup en recherche aussi je vais en parler un petit peu plus tard des des recherches qui portent sur ces ces enjeuxl euh
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ensuite euh comment expliquer dans le fond cet état de fait là une piste explicative et peut-être que les connaissances sur la violence conjugale et familiale se sont développé vraiment en parallèle de celles sur les conf
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sévères de séparation donc ces deux univers qui se sont pas croisés jusqu'à tout récemment et on voit qu'on est pas dans les mêmes conceptions des réalités et que ce sont deux univers qu'on a de la disc à
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réconcilier donc on va en parler de ça aussi aujourd'hui euh dans les deux dernières années on a vu énormément différents rapports décisions judiciaires projets ou modifications de
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lois qui vont dans le sens d'une meilleure reconnaissance des violences conjugales et familiales et aussi de l'importance de la distinction entre la violence conjugale et les conflits sévères de séparation je nomme deux
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exemples de ça qui qui qui sont les plus peut-être marquants euh d'abord la les modifications à la Loi sur le divorce qui sont entrées en vigueur en 2021 hein qui viennent remettre le focus sur les
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violences familiales avec une définition de ce qu'on entend par violence familiale à même la loi sur le divorce et aussi euh l'inclusion d'un facteur à considérer pour interpréter l'intérêt de l'enfant qui porte sur la considération
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de la violence familiale donc élément important là qui est apparu dans la loi sur le divorce et aussi euh en au Québec du moins le rapport de la commission Laurent dont un chapitre complet portait
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sur ces enjeuxl donc de conf de séparation violence conjugale et importance de distinguer de distinguer les deux phénomènes donc à travers ces ces mouvan
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là restce qu'il a un besoin de développer la recherche et développer l'éclairage la recherche pour mieux comprendre ces réalités qui sont très très prignantes sur le terrain donc ce qu'on vous propose
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aujourd'hui c'est faire un bref sur des recherches qui situent à l'intersection des deux phénomènes de conf sévère de séparation et de violence conjugale et familiale et aussi d'ffectu surve sur les enjeux pour le système de
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justice familiale d'un côté mais aussi pour le système de protection de la jeunesse qui est davantage à l'expertise de cathertherine puis on va voir comment ces deux réalités là se rejoignent devant ces
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deux servic ou instan qui se recoupe à bien des égards et ensuite on voit illustr dans le fond les enjeux que nous on a rencontré comme chercheuse concernant c'est cette ces deux
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phénomènes là qui s'entrecho à même n nos recherches sur la question et on va vous présenter un peu le fruit de nos réflexions puis là où on entrevoit qu'il faut continuer à développer les connaissances donc à partir de des
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données d'une recherche le longitudinale auprès des parents spis recomposés au qubecutre étude menée par Catherine sur l'expérience des parents suivie par la protection de la jeunesse en de confit sévère de
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séparation donc déjà si on prend euh du côté du système de justice familiale les enjeux autour de ces questionsl euh on remarque là quand quand on regarde les recherches là qui portent sur la la
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présence des problèmes de violence conjugale violence familiale devant euh la cour supérieur devant la la la le système de justice familiale euh donc il
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y a peu de doné é représentative de de de ce que ça représente il y a une étude américaine menée sur un échantillon quand même assez important qui montre que il y a environ 50 % des parents qui se disputent la
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garde de leur enfant qui rapportte un incident de violence physique grave commis par leur ex-partenaire dans la dernière année donc c'est un échantillon de parents en Arizona qui se retrouve à
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à être obligé à suivre la médation familiale en raison d'un conflit enentourant la gardre de leur enfant donc c'est une médiation familiale qui est ordonnée par le juge à ce moment-ci donc c'est ce qu'on retrouve dans cette échantion là mené au près de 845 couples
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et euh donc une autre étude qui porte encore sur cet échantillon là montre que parmi ces ces ces exconjoints il y en a 17 % qui rapportent une forme sévère de violence physique comportant des
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comportements de contrôle et de courcion donc on voit que les phénomènes de de violence et Mme Mme de violence de type coercitif sont présentes quand même en
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sont assez représenté dans un échantillon de parents en litige en prant la garde d'enfant du côté des données québécois sur le sujet on en a peu mais une étude qui a été menée sur
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des dossiers judiciarisés en raison de lestiges entourant la garde d'enfants montre que lorsque le dossier se trouve se va à procès c'estàdire qui est pas réglé pendant les procédures mais se retrouve à procès il y a trois fois plus
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souvent la présence d'allégation de violence que dans les dossiers qui ne vont pas à procès donc on voit pu c'est ce que les études dans le domaine monde c'est que plus on judiciarise la situation plus on retrouve d'allégation
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de violence conjugale donc donc ces deux phénomènes là qui sont corrélés là si on veut la judiciarisation et la présence de ce type de de problèmes qui sont soulevés là dans dans ce genre de
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dossier maintenant lorsque qu' on regarde aussi les recherches qui mon qui portent sur l'expérience des parents qui se retrouvent dans le système de justice familiale donc il y a une quinzaine d'études que j'ai réussi à recenser là
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sur le sujet qui porte surtout sur le point de vue de survivante de violence conjugale qui judiciarise un désaccord sur le partage temp parental donc ce que ces recherches là disent en somme donc là je je je généralise un peu là sur la
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somme d'études qui existe sur le sujet mais dans l'ensemble on voit que ce sont des femes qui se retrouve revictimisé par le système de justice qui ne se sentent pas écoutés ou cru qui sont perçus ou peuvent être perçus comme
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étant aliénant donc euh et et ou hostile envers l'autres parents ce qui leur nuit au final dans le débat judiciaire euh ce qui est observé aussi par ces ces femmes qui en ont fait l'expérience c'est que
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les actes de violence qui sont relatés sont compartimentés donc on perd de vue le pattern général de domination qui a eu lieu dans leur histoire personnel et leur trauma non plus n'est pas reconnu
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par la Cour donc on ne leur offre pas non plus des aménagements comme on peut offrir à des victimes devant la Cour criminelle par exemple des des salles d'attente séparé de leur agresseurs ces
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chosesl ne ne sont pas présentes en cours dans dans le système de justice familiale ensuite il y a aussi un certain nombre d'études qui s'intéressent aux pratiques
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des experts et des jeux donc des professionnels qui font des expertises entourant la garde d'enfant et des juges qui prennent des décisions dans ce ce type de dossier donc il y a différentes
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méthodologies là qui sont employé donc dans pour ce qui est des études là qui s'intéressent au point de vue à l'expérience des survivantes ce sont surtout des études qualitatives dans le cas des études sur les pratiques des juges et des experts
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il aussi des entretiens mais il y a aussi de l'analyse de vignettes clinique notamment ce genre de choses là donc un certain nombre de méthodologies différentes employé dans ce type d'étude
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donc ce qui est euh qui ressort des résultats de ce type d'étude c'est que l'entretien de certaines croyances et attitude sur la violence conjugal sur la violence conjugale va avoir une
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importance sur les pratiques là qui va au-delà d'autres facteurs notamment des facteurs socio-économique euh ou euh la formation des des professionnels euh
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donc des des attitudes par exemple ou des croyances qui sont de l'ORS de nécessairement qu'une une mère qui euh formule des allégations de violence le
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fait uniquement pour l'utiliser comme levier dans un litige de garde donc ce genre de croyance là euh est très importante pour expliquer les décisions qui sont prises dans les vignettes là qui sont
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analysé et euh ce qu'on observe aussi euh c'est et que il y a une partie des professionnels voir peut-être la majorité ce qui est difficile à dire parce que les devis utilisés permettent pas de généraliser nécessairement les
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résultats à l'ensemble des professionnels donc on voit ces difficultés là sous l'angle des conflits plutôt que sous l'angle du déséquilibre de pouvoir ou de domination donc ça fait partie aussi des constats de des études
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et lorsqu'on regarde maintenant les études qui ont porté davantage sur le contenu des dossiers judiciaires euh donc sont moins nombreux ces étudeslà mais il sont sur des échantillons beaucoup plus importants et représentatifs et ce qu'on observe c'est
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que les dossiers qui comportent la violence conjugale donc des allégation de violence conjugale ne se distingue pas au peu de ceux qui n'en font pas mention sur en terme de partage du temps parental ou de mesures visant la
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protection des victimes et ce qui est observé aussi dans les études c'est une incohérence entre les instances de droit criminel et pénal versus en droit familial où les informations ou décisions qui sont prises d'un côté ne se transfèrent pas nécessairement dans
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le dossier euh en matière familiale donc ce sont des enjeux j'imagine que vous connaissez déjà très bien et la littérature dans fond confirme euh des observations là qui sont faites sur le terrain à cet
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effet-là aussi donc euh si on regarde dans l'ensemble des études le portrait est quand même très simple il semble que euh le système de justice familiale n'arrive pas bien ou
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en tout cas très peu à dépister les situations violence conjugale et à y répondre de façon adéquate donc l'ensemble des études TS à le montrer euh comment expliquer maintenant euh
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pourquoi on narrive pas à bien tenir compte de la violence conjugale dans ces dossiers euh on peut le comprendre en contrastant les objectifs du système de justice familiale et ceux des groupes de
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défense des victimes de violence conjugale qui ont des des valeurs des des croyances des façons de faire assez opposées donc dans le système de justice familiale ce qu'il faut savoir d'abord
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c'est que les tribunaux bénéficient de très peu de ressources psychossociales ils traitent d'un très très gros nombre de dossier et interviennent de façon très ponctuelle dans la vie des familles et ce manque de perspective là à long
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terme ou d'examens en profondeurs des dynamiques familiales en sorte qu'on va vouloir prendre des décisions plus pragmatiques en fonction de la volonté des adultes de jouer leur rôle de parents et on va euh prendre des
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décisions en fonction de ce fait-là puis de façon pragmatique ce qu'on souhaite aussi c'est d'éstigmatiser et normaliser la séparation donc dans l'idéologie là qui qui est véhiculée c'est qu'on est parent
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pour la vie donc on laisse tomber nos récriminations du passé pour se centrer sur le futur de la famille et ça ça permet pas de tenir compte de l'historique des déséquilibres de pouvoir et cetera donc il passe
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malheureusement sous le radar dans cette vision là de la réorganisation binucléaire de la famille à la suite de C préparation l'égalité homme-femme est souvent prise pour acquis et doit se
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refléter aussi dans les décisions rendues euh alors que si on regarde du côté des groupes de défense les victimes de violence conjugal euh donc on voit beaucoup beaucoup d'éléments de contraste donc les la violence conjugale
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doit être dépicitée et vu comme un problème grave et la sécurité des victime devrait être la considération première les auteurs de violence doivent être tenus responsables qui va à l'encontre un peu de oublions le passé
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tournons-nous vers l'avenir et la réorganisation familiale et euh il est nécessaire aussi de faire reconnaître les inégalités hommes femm donc ce qui va à l'encontre aussi de la perspective
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très égalitariste du système de justice familiale donc donc dans l'ensemble c'estci peut expliquer un certain nombre de problèmes qu'on observe et jeis à ça avec les incohérences entre les
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instances que j'ai mentionné plutôt on se retrouve avec un système qui présente des lacunes en teres de déstage et de réponse efficace et sécuritaire au problème on va regarder du côté de la protection de la jeunesse je vais céder
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la parole à ma collègue Catherine donc c'est l'expertise bonjour tout le monde merci Elisabeth alors elisabeth a fait un un bon tour des enjeux euh en lien avec la justice familiale maintenant
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vous allez voir qu'il y a des très fort recoupement avec ce qui peut se passer en protection de la jeunesse d'abord préciser qu'au Québec le le directeur de la protection de la jeunèe peut intervenir auprès des
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famille impliqué dans un conflit sévère de séparation ou la violence conjugale po séparation en vertu de la Loi sur la protection de la jeunesse euh on a très
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peu de chiffres récents ce qu'on sait euh sur l'ampleur du phénomène en protection de la jeunesse ce qu'on sait c'est que il y a eu une augmentation euh rapide de
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17,6 % entre 2020 et 2021 euh des mauvais traitements psychologiques dans son ensemble des signalement pas mauvais traitement psychologique à la protection de la Genèse ce qui inclut notamment les
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situations d'exposition à la violence conjugale ou de conflit de séparation les données les plus récentes qui touchent plus particulièrement le conflit de séparation dat de l'INES
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d'une publication d'Ines en 2016 et euh ça représente ce sont les situations d'exposition à la violence conjugale qui représentait euh le plus forte proportion avec
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51,8 % est suivi tout de suite par le conflit de séparation avec 14,8 %. tourner Elisabelle alors les enjeux qu'on rencontre en protection de la jeunesse
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pour les intervenants on sait que sans doute plusieurs intervenants de la protection de la jeunesse savent déjà mais ce qu'on sait aussi dans les écrits scientifiques c'est qu'il y a vraiment un enjeu pour
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eux de départager les situations de conflits de séparation avec celle de violence conjugale pas séparation dans le fond il y a des enjeux de bien connaître ces deux phénomènes là mais aussi concrètement
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comment je sais euh comment je comprends comment VI ce que viv famill là avec qui j'interviens on va revenir quelques raisons qui expliqueent ces enjeuxl pardon il y a aussi un enjeu de
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prendre pour eux position sur la véricité des faits dans des contextes où les parents euh ce sont des situations où il y a beaucoup de demandes ce sont des situations qui sont aussi très
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mobilisantes il a beaucoup ils doivent mobiliser beaucoup de ressources pour intervenir auprès de ces famillesl il y a aussi un enjeu par rapport à eux de de clarifier leur rôle euh pour les intervenants de la
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protection de la jeunesse c'est pas nécessairement leur expertise à eux de départager le droit de garde entre les entre les parents euh puis on dans certaines études ça ressort queil y a
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des intervenant qui considèent euh qui doivent régler des détails qui ont pas R qui fait pas partie de leur mandat comme par exemple le sac ou ou des détails qui peuvent être très très importants pour
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les parents mais qui du point V de l'intervenant sont des détails et bon il y a quelque chose d'autour de l'importance de clarifier leur rôle auprès des familles mais aussi de différents partenaires
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et tout comme on voyait tout en tôt ellisabeth en a parlé il y a un enjeu pour eux de bien concilier leur rôle qui est le mandat leur mandat à protection de jeunesse c'est de protéger l'enfant
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et euh protéger l'enfant et de maintenir les liens parents enfant qui est quand même une idée euh qui est au au cœur de l'intervention normalement mais qui dans des situations de conflit de séparation
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ou de violence conjugale po séparation présente des enjeux très importants pour eux peux tourner éisabeth il y a pas beaucoup de d'études
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qui se sont penché sur le point de vue des parents qui sont suivis en protection de la Genèse on commence en avoir quelques-unes mais quand même peu euh par ce qu'on sait c'est qui suivi en
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protection de la jeunesse en raison d'un conflit SAV de séparation donc ce qu'on sait ce sont des parents qui vivent énormément de souffrance ils ont des craintes pour l'enfant
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euh quand il est lorsqu'il est chez l'autre chez l'autre parent et ça de la souffrance on la retrouve autant dans les études qui se sont penché sur les parents suivis en raison d'une situation d'exposition à la violence conjugale que
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un conflit sévère de séparation les des parents ces parentsl ont aussi un sentiment de pas être pris au sérieux qui vont déranger les intervenants avec des détails et il y a
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des des certaines études qui ont mis en lumière le point de vue de mère qui se sont retrouvés dans une situation dans des situations paradoxal où d'un côté on leur demandé de quitter une situation de
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violence conjugale puis une fois qu' sont séparés et de maintenir des liens avec une personne qu' considère comme leur abuseur leur agresseur mais au nom du de l'intérêt de l'enfant
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et de de conserver des liens parents enfant important merciisabeth et euh en fait ce qui est pas si surprenant les enjeux qu'on rencontre en protection de la
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Genèse ou même dans le système de justice en fait c'est que ces acteurs là ces intervenants se se retrouent dans une position ils doivent bien départager
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deux phénomènes qui sont conflit de sévur de séparation puis la violence conjugale pas séparation alors que le conflit cire de séparation c'est un concept qui même dans les écrits
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scientifiques n'est pas clair c'est un concept qu'on va dire parapluie dans la mesure où il va recouvrir un ensemble de phénomènes il y a aussi pas de consensus sur qu'estce qui fait partie d'un
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conflit sévère de séparation donc les caractéristiques que vous voyez juste là je vais y revenir je je vais les reprendre une par une mais faut toujours garder en tête qu' y a pas de consensus à savoir est-ce qu'on a besoin
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de toutes ces caractéris caractéristiques là pour parler de conflit SAV de séparation on on n pas un appui scientifique pour s'avancer jusque là ceci dit quand on parle généralement
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dans les écrits scientifiques de conflit de séparation conflit Sév de séparation on va parler des problèmes relationnels sont importants entre les parents euh des difficultés sur le plan de la
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coparentalité qui est difficile voir impossible pour eux ce sont des parents aussi qui vont avoir tendance à utiliser de façon répété les services psychosociaux mais aussi judiciaires sans qu' vont avoir
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des litiges judiciarisé à répétition sans arriver à une entente qui soit satisfaisante ou un jugement qui soit satisfaisant pour tout le monde on considère aussi que les conflits saveurs de séparation ce sont
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des situations qui ont des impacts on va souvent parler des impacts sur l'enfant qui peuvent être observables dans l'immédiat mais qui peuvent aussi parfois être euh observables plus tard dans la vie de l'enfant ce qui à mon
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sens augmente le degré de difficulté pour bien évaluer ces situationsl et on va aussi parler des conflits qui persistent dans le temps on va dire par exemple l'ENT souvent au-delà de 2 ans
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ceci dit il y a pas on peut pas s'avancer pour dire que un conflit sévère de séparation il faut qu'il ait au moins 2 ans faut qu' perduré depuis 2 ans puisqu'on sait quand même que l'évolution de conflit de savoir de
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séparation est excessivement complexe et varie dans le temps voilà par contre il faut tenir compte qu'un enfant qui est exposé au conflit de façon chronique à ses parents
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euh la recherche monre quand même pour avoir des conséquences importantes dans le temps voilà alors voilà pour le le petit tour oui puis fa faut savoir aussi peut-être
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que je rajouteraiis que dans les études qui portent sur les impact de la séparation sur les enfants c'est le facteur qui a été mis en relation le plus fortement et de de la façon la plus
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constante aussi à travers les études avec l'adaptation de enfant donc c'est pour ça que euh comme chercheur et comme expert des conf de séparation c'est c'est un objet de préoccupation très important que
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l'adaptation des enfants au conflit maintenant donc Caine a présenté donc ce concept de compév de séparation qui est représenté sur le graphique par CSS qu'on puir de séparation qui est un
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concept par appui et en raison de de sa nature un peu ambigu fait en sorte qu' des recoupements qui sont présents avec d'autres phénomènes que sont la violence
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conjugale et la violation parentale et donc catherrine et moi on s'est beaucoup creusé la tête pour essayer d'organiser la littérature sur le sujet donc ce ce schéma là qu'on vous présente en F c'est pas un schéma qui a été validé aucudement là par par la recherche mais
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c'est une façon d'organiser un peu les écrits sur sur le sujet vous allez voir que c'est pas simple donc on appellerait conflit sévère de séparation les situations là que Catherine a mentionné tantôt donc typiquement des parents qui
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se retrouvent en litige à répétition devant la cour pour des questions entourant le partage de leur responsabilité parentale ou le partage du temps parental euh ce sont des des enfants peuvent réagir aussi au conflit
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sévère de séparation par le conflit de loyauté donc c'est quelque chose qui est assez observé là dans ces situationsl surtout dans les situations où les parents font preuve de démigrement l'un
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envers l'autre devant l'enfant donc l'enfant souvent ne sait plus où se mettre en l' entre l'arbe et les Corse dans ces situations là il vit un conflit de loyauté important donc qui estit distingué de l'aliénation parentale où l'enfant
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a rejeté un parent un parent de façon non équivoque là donc et qui a rejeté ce parentl sans raison pouvoir justifier le rejet donc c'est un élément très très important dans l'évaluation de
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l'aliénation parentale mais les comportements qu'on dit aliénant donc le dénigrement deun par vers l'autre c'est des choses qui sont observées à la fois quand on regarde la littérature sur l'alignation
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parentale de la littérature sur les compit sévères de séparation et maintenant pour ce qui est de la violence conjugale ben dans les comp sévèes de séparation souvent on va parler aussi d'allégation de violence ou d'acte de violence
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euh d'avantage ponctuel de violence autour de la crise de la séparation il peut y avoir aussi des situations de violence conjugale qu'on va appeler situationnelle qui pourrait faire partie d'une définition des cons de séparation
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et qui serait à distinguer absolument du trtif et du terrorisme intime qui appartiendrait vraiment à des dynamiques de violence conjugale mais on voit que parfois le nœud du problème c'est ici hein sur est-ce que de quel type de
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violence conjugale les questions ici de quoi parle-t-on ici est-ce qu'on est dans une zone de conflit ou dans une zone de violence donc ça c'est un nœud qui est très très important le nœud en violence conjugale et aliénation
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parentale aussi est très important encore une fois très important aussi en pratique euh parce que il y a des accusations d' lesénations parentales qui sont fait pour euh essayer de reprendre le contrôle sur son exconjoint
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donc c'est des dynamiques de hauteur de violence qui ont été euh soulevés là dans différents écrits et c'est des choses que les personnes qui travaillent en maison d'hébergement voit aussi beaucoup donc des accusations d'aliénation parentale qui sont qui sont
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formulé je répète que l'aliénation parentale l'enfant doit avoir rejeté un parent sans raison euh justifiable tu sais donc ça c'est c'est un aspect très très important euh donc qu' un parent
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qui visera l'éc l'autre parent pour protéger ses enfants n'est pas un parent aliénant donc c'est important de de faire cette distinction là et il y a aussi le dénigrement du parent euh victime de
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violence conjugale qui peut faire partie d'une dynamique d'alénation parentale donc ça c'est important donc que qu'une personne victime de violence conjugale peut aussi se voir aliéné de ses propres
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enfants par le dénigrement effectué par l'expartenaire violent donc on voit à quel point il y a des points de recroupement importants entre les différents phénomènes ce qui explique plusieurs
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confusions donc j'en ai seulement mentionné quelques-unes mais vous voyez un peu les ZES de recroupement donc comment on essait de démêler tout ça en recherche ça a été ça
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fait l'objet de nos travaux et là on passe un peu à nos différentes recherches qu'on veut vous présenter aujourd'hui euh donc une première recherche que je vous présente
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qui est issu d'un projet plus large qui est l'enquête longitudinale auprès des parents séparés recomposés du Québec qui est une enquête spécialisée sur la séparation parentale qui est menée par
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une équipe multidisciplinaire donc tant en travail social qui est mon domaine le domaine de caerine mais aussi en démographie en droit en économie en psychologie donc et qui comporte aussi
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une forte participation de partenaires de la communauté que ce soit différents ministères organismes communautaires et cetera donc c'est une recherche en partenariat euh c'est une recherche qui est menée sur trois temps de mesures à
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24 mois d'intervalle et autant un on interroge des parents qui sont dans un processus récent de séparation donc ce sont des parents qui se sont séparés dans les deux dernières années autant euh on utilise des mesures
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validées ou utilisées dans d'autres études populationnelles et nos thématiques sont très très larges donc c'est une étude large sur la séparation regarde ton plan de la santé du bien-être la qualité des relations euh
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le bien-être d'un enfant cible aussi de du parent qui est interrogé euh on regarde au plan du droit des politiques publiques euh on regarde aussi l'utilisation des services que les familles en font quand les services juridiques et psychos-sociaux donc c'est
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une enquête qui qui est qui qui qui ratisse large sur le phénomène de la séparation donc aant un euh on a une échantillon de 1551 parents donc comme je l'ai mentionné on est séparé depuis
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moins de 2 ans au temps un de l'étude il y a une représentation équivalente de père et de mère dans l'étude euh donc ce sont des des parents qui ont ou non la garde de leur enfant euh et c'est un
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échantill représentative des parents québécois récemment séparés donc ce sont des parents qui ont au moins un enfant de moins de 14 ans autant un de l'étude et notre plan d'échantillon permet de d'avoir un échantillon représentatif de
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de cette réal é là au Québec donc ça c'est c'est la la la base de données avec laquelle on a travaillé sur différents sur différentes thématiques la mienne étant les conf svires de séparation j'ai voulu vérifier euh en
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lien avec la littérature qu'on vous a présenté un peu quelle est la nature et la prévalence des confl sévères de séparation donc dans un échantillon représentatif de parents récemment séparés dans quelle proportion on
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retrouve des parents conflit séves de séparation et selon quelle dimension des conflits aussi donc dans la littérature il y a trois dimensions qui ressortent de façon un peu plus évidente donc d'une part la
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judiciarisation qui est importante voir judiciarisation à répétition des des difficultés de de de prise de décision autour du temps parental principalement
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mais autour d'autres questions aussi euh des difficultés coparentales marqué donc une impossibilité juste à s'asseoir et à discuter pour convenir de l'école des enfants de comment on va travailler
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ensemble comme cparents pour élever nos enfants même si on est séparé donc tout ce qui a cr dans le fond au rôle de parents qu'on doit continuer à vivre ensemble comme carent à la suite d'une séparation et la présence d'enjeux de
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sécurité donc qui réfère d'une part oui à la violence post séparation mais aussi à l'utilisation de certains services comme la protection de la jeunesse euh donc entourant ou à la suite de la péode
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de la séparation et euh d'autres éléments aussi d'inquiétude he pour la sécurité de l'enfant et cetera donc euh une vingtaine de variables au total pour ces trois dimensions là qui ont été incluses dans un modèle qui visait dans
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un premier temps à vérifier si ce concept là à trois dimensions était cohérent avec nos données et ce qu'on a trouvé finalement c'est que effectivement le modèle ce modèle a
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trois dimensions donc d'une part la judiciarisation le conflit interparental la coparentalité et les enjeux de sécurité sont trois dimensions d'un même construit qu'on appelle temporairement confir de séparation ça reste à
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confirmer donc on voit les une vingtaine de de variables ont été introduites dans le modèle qui permet de de confirmer que le le le modèle théorique est adéquat euh et ensuite ben ce qu'on a fait c'est
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euh de vérifier ben pour les facteurs latant qu'on a trouvé pour nos trois dimensions euh comment les parents se regroupent de selon ces DIMENSIONSL est-ce qu'il y a des parents par exemple qui ont un profil similaire de dimension
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conflictuelle et comment ça se distribue auussin notre échantillon donc ça c'était dans un deuxième temps des analyses de classe latente qu'on a effectué à partir des facteurs latents de judiciarisation conflit
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interparentaux et enjeu de sécurité et voici ce qu'on a trouvé donc ça CIT le meilleur modèle qu'on qu'on a pu obtenir au plan statistique et euh ce qu'on observe c'est qu' une majorité de par
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évidemment qui sont euh euh qui s'entendent bien euh qui ont une faible judiciarisation des conflits interparentaux euh sommes toutes faibles et euh très peu d'enjeux de sécurité
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donc on voit que la moyenne ici est à zéro là donc quand même un certain nombre de parents euh donc qui vivent une bonne entente donc 29 % des parents certains parents qui sont proches de la moyenne V un petit peu en dessous vivre
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une bonne entente parce que de façon globale l'entente est bonne pour l'ensemble des parents récemment séparé sur ces ces différentes dimensions là on voit qu' un certain nombre de parents dans une zone plus préoccupante et voir
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dans une zone très préoccupante pour 13 % d'entre eux qui sont clairement à plus d'un écart type ou un écarttipe et demi au-dessus de la moyenne pour ces difficultés donc c'est vraiment ce ce ce
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sous-groupe là qui nous questionne d'avantage et qui nous préoccupe et lorsqu'on regarde plus en profondeur euh ce qui en est là de de ce sous-g groupe donc on voit que pour les 13 parents 13
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% des parents en zone très préoccupante il y en a 34 % qui ont au moins une présentation en cours supérieur euh 30 % aussi ont obtenu une décision après un procès ou sont dans l'attente d'un procès alors que c'est excessivement
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rare dans les autres profils d'avoir ce niveau de judiciarisation 30 % sont allés en expertise enourant la garde de l'enfants çaussi c'est très très rare dans les autres profils 45 % s'inquiè de la sécurité de l'enfant lorsqu'il est
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chez son are parents environ le tiers a utilisé les services de protection de la jeunesse et on sait pas pour quel motif hein donc c'est une enquête généraliste donc on va pas dans dans ce niveau de détail mais on voit que la protection de
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la jeunesse a été dans le portrait à certains égards il y en a la moitié qui ont eu une intervention policière en lien avec leur séparation et 10 % ont utilisé les services d'hébergement euh
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pour personnes victimes de violence et 34 % euh mentionne que leur séparation est du entre autres à la violence conjugale ou familiale qu'ils ont subi dans le passé donc le le tiers de de ses
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parents là mentionnent qu'ils ont vécu une forme de violence et qui a donné lieu d'enfant leur séparation donc c'est un portrait assez préoccupant de ce ce sous-groupe he de parents et ce que ça confirme pu ce qui
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est aussi montré dans la littérature c'est un enchevêtrement des dimensions des conflits donc avant de procéder à des analyses de class la on séit dit peut-être qu'il peut avoir des parents qui vont avoir vraiment un profil d'ju
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de sécurité très très important puis peut-être moins euh qui qui vont avoir moins les autres aspects des dimensions des conflits mais on se rend compte finalement que les dimensions de judiciarisation de conflit
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parentaux et dansang de sécurité sont très très très corrélés et se suivant d'un profil à l'autre donc ça confirme un enchevêtrement de ces DIMENSIONSL et qui confirme encore plus l'importance du
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dépistage et l'importance aussi qui qui explique euh la confusion là qui qui qui est vu sur le terrain par rapport à ces enjeux maintenant euh donc j'ai présenté
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moi rapidement là mon le le bout de travail que j'ai fait d'analyse avec ces données donc avec les mêmes données j'ai une collègue océan Perona qui est professeur à l'université d'exmseille qui a travaillé elle sur vraiment les
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violences post séparation au sein de cette enquête là et là je dois rappeler que c'est c'est une enquête populationnelle que nos mesures d' violence conjugale sont très grossières malheureusement parce qu'on on a énormément de questions à poser dans
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cette enquête là donc on a quand même posé quelques questions sur la violence subie et exercée en terme de violence psychologique de violence exprimé à travers les enfants et de violence physique et sexuelle qui
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qui qui est dans le fond qui est une même variable traité de la même façon dans l'enquête et donc ce que océan pona trouve c'est que autant un il y a près du tiers
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des parents qui déclarent avoir subi ou exercé parfois ou souvent de la violence soit psychologique psychologique par le B des enfants ou physique ou sexuel depuis la séparation il y a près du cur
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qui sont uniquement victime d'une forme de violence et il y a 45 % qui sont ni auteur ni victime de violence à la suite de la séparation et on voit que que le répondant soit homme ou femme que ce
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soit un père ou une mère ça change pas le P portrait là de de ce que je viens de vous présenter en terme de proportion de personnes qui ont exercé ou subi des violences mon dans le fond une très grande hétérogénéité dans cet échantillon et tout l'enjeu d' fondre
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d'une approche populationnelle d'étude sur la violence que vous connaissez sans doute donc ce qui a été fait par la suite pour essayer de travailler sur un échantillon un peu plus homogène donc ce que Océane pyona a fait c'est qu'elle a
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dans le fond euh elle a exclu les parents quiis malgré qui disait dans le fond euh exprimé qu'ils avaient subi ou exercé des violences mentionn également sur les échelles de couparentalité que
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la coparentalité était bonne avec leur ex partartenaire donc ce qui nous a donné finalement en expliant T ces parents-là qui mentionnit qu'il y avait une bonne compoparentalité malgré tout avec leur ex partartenairire euh donc ça
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donc on a retrouvé finalement 20 % des parents initiaux donc de l'échantillon de 1551 de départ là on en a 20 % qui rapportte avoir suivi au exercer parfois ou souvent de la violence et qui ont une
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carentalité PO séparation dégradée également euh et lorsqu'on regarde de façon plus spécifique ce sous-groupe là de de parents on se rend compte que il y a différents profils de ces parentslà je vais pas entrer dans le détail de de ces
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résultats mais quand on regarde vraiment les les violences répété dans le temps c'est-à-dire que pour les personnes qui ont mentionner que la violence est un motif de séparation et qui ont utilisé aussi des services de protection soit
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d'hébergement ou les services policiers donc euh donc on se retrouve avec un échantillon là de 39 personnes donc il sont presque à 100 % des femmes dans ce cas-ci qui ont vécu vraiment des des
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violences que océan a appelé des violences répétées dans le temps et qui sont très très préoccupantes pour en raison des des enjeux de sécurité que vous imaginez bien donc voici comment on a réussi à travailler un petit peu euh
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dans la séquence ça former un anentonnoir pour essayer d'isoler les faire un petit peu de mage dans cette hétérogénéité de situation où oui il y avait eu des actes de violence mais des
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violences de type différents donc en conclusion peut-être de de des données de l'enquête conitudinale donc je rappelle dans le fond les défis de d'utiliser une approche populationnelle et la
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difficulté de bien isoler les situation de contrôle coertif ou de terrorisme intime dans dans ce cadre là avec en exp attant des données aussi peu précises donc je vais CER la parole
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maintenant à Catherine qui va parler d'un autre projet qui porte sur la protection de la gun merci ellisabeth alors pendant que on menait les analyses sur l'étude longitudinale
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je faisais aussi euh pendant que mes collègues faisaient les analyses sur l'étude l'itinale et préparé tout ça moi j'étais dans ma thèse et je me suis intéressée vraiment à la perspective
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j'ai abordé une approche plus qualitative pour m'intéresser à la perspective des parents euh donc je me suis intéressé au parcours des familles qui sont suivies par le DPJ en raison d'un conflit sévère de
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séparation euh tu peux changer Élisabeth s'il te plaît merci alors ce qui m'a amené à m'intéresser à la perspective des parents c'est que j'ai trouvé quelques
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études qualitatives dans les écrits en fait premièrement c'est mon expérience d'intervenante de la travailleuse sociale en protection de la jeunesse j'ai aussi euh vu quelques études qualitatives qui
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montraient en fait que c'est important de prendre le contexte dans lequel se déroule le conflit en fait la relation conjugale puis le conflit de séparation parce que ce qu'on se rend compte c'est
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que ce sont des parents euh en fait qui ont une méfiance envers le envers l'autre parent qui ont des inquiétudes pour l'enfant ça peut être en raison de la méfiance envers le
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nouveau conjoint de l'autre parent des soupçons de maltraitance le jeune âge de l'enfant des problèmes de santé mental parfois il y avait des des soustonces de comportement violent puis aussi les
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rétisences ou le refus de l'enfant donc on se rendit à la lecture on se rendait compte que c'est un phénomène complexe et qui serait peut-être au fond le conflit SAV de séparation c'estit peut-être plus un symptôme ou la pointe
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plutôt de l'berg de difficulté autre et plus important qu'il faudrait certainement aller examiner pour bien comprendre ce phénomène et par ailleurs il y avait
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étrangement euh on on on avait beaucoup le point de vue ben pas beaucoup là parce qu'il y a pas beaucoup d'études sur le conflit sa disparation en protection de la jeunesse mais disons que le point de vue qu'on avait c'était
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celui des intervenants VI a les dossiers euh on avait pas beaucoup le point de vue des parents même si on va souvent dire que ces parentsl parle beaucoup et réclame beaucoup donc l'objectif de ma
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thre c'est de comprendre le parcours des familles de ces famille là à partir du point de vue euh je me suis demand à partir de leur point de vue je leur me suis demandé qu'est-ce qui caractérise leur parcours de ces parents sur leur
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plan leur trajectoire familiale et d'utilisation des services euh et aussi ben comment l'intervention dupg s'inscrit dans leur parcours ça c'est les questions de recherche si on pose la
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question dis donc ça son un peu plus vulgarisé je ma question clinique en arrière était qu'est-ce qui fait que dans la vie tu te chicane au point que le DPJ était est obligé d'intervenir
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dans ta situation d'intervenir auprès de ton enfant merci alors je me suis appuyé sur la la théorie du parcours de vie euh que je prendrai malheureusement pas le temps
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d'expliquer aujourd'hui mais je me suis aussi appuyé sur le modèle de Johnson euh ellisabeth en a parlé tout à l'heure donc de le modèle qui parle de terrorisme intime ou la
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violence ce sont des situations où un parent est dominé par l'autre qu'on est dans un région de terreur qui un schéma récurrent de parents de de de comportement violent euh Johnson parle
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aussi de la résistance violence où la violence la fait de de de résister comme un moyen de défense et la violence situationnelle où il y a pas de rapport de domination qui peut être plus
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bidirectionnel et qui est associé au conflit sévère de séparation j'aimerais aussi dire juste on on parle souvent de la violence situationnelle comme étant qui peut être moins grave que le
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terrorisme intime c'est pas de cette prémisse là que je suis partie nécessairement c'est pas obligé de survenir souvent pour que ce soit quand même des gestes très graves et lourde portée mais c'est quand même tout le mêe
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assez différent du terrorisme intime tel que Johnson l'explique je me suis aussi basé sur l'autre diapositive sur le modèle de
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stars qui qui précise euh le modèle les les comportements qui précise à mon sens la le terrorisme intime en expliquant la coertion les comport les comportements de conversion et de
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contrôle je n'irai pas plus loin ici donc c'était disons mon C théorie pour ma méthodologie maintenant pour donc je m'intéresse à une approche je me suis appuyé sur une approche
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qualitative parce que je m'intéressais au point de vue des parents la en fait je m'intéressais à la signification qui accorde à ce qui compose leur parcours j'ai fait des entrevues
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semi-dirigées je prends le temps de vous expliquer les critères d'inclusion et d'exclusion parce c'est quand même assez important ma thèse portait sur le conflit sévère de
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séparation donc pour participer à la recherche il fallait être suivi par le DPJ en raison des mauvais traitements psychologiques donc l'article 38 de la loi sur la protection de la jeèse les
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mauvais traitements psychologiques devaient être causés par le conflit de séparation mais j'ai aussi incl d'autres motifs de suivi pour différentes raisons arrivant du clinique
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je savais que ce sont des situations complexes en chevêé qui peut avoir plusieurs motifs d'intervention au près c'est ce que les données de la recherche nous montrait
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aussi ce que je voulais c'est éviter de rencontrer je je toujours dans la volonté de départager l'exposition à la violence conjugale po séparation je voulais
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départager vraiment je je voulais pas avoir de rencontrer de mère victime de violence conjugale euh post séparation donc c'est vraiment un critère d'exclusion puis on a on a mis en place
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plusieurs moyens pour tenter donc non seulement il fallait pas que ce soit inscrit dans le dossier mais on a aussi demandé parce que le recrutement se passerit par les intervenants donc même si c'est pas inscrit au dossier on
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demandit au aux intervenants il soupçonnit qu'il pouvait avoir une situation de violence conjugale de de de pas référer ces famillesl dans l'écude donc comme je l'ai dit j'ai euh recruté
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auprès des intervenants sur trois sites différents au Québec dans trois protection service de la protection de la jeunesse au Québec les intervenants informaient les parents de le de
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l'existence de l'étude et euh demandit l'autorisation pour que moi je puisse les cont contaé alors voilà donc ça fait un peu le portrait comment j'en suis arrivée donc ça m'a permis se de
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rencontrer 15 femmes et 6 hommes qui ont deux enfants en moyenne pour deux participants il y avait deux unions différentes toutes
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suivies par pour conflit de séparation j'ai récuté au basintlaurent chapach et cap hôel national qui est la région de Québec donc 81 % travaill à
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temps plein mais quand même 52,3 sont on un revenu sous la moyenne au Québec tu peux raner Elisabeth donc au-delà de mes grandes questions
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générales de recherche j'avais des questions plus plus spécifiques je vous les présente pas toutes là je présente pas tous les résultats ici ce midi euh je me suis concentrée sur deux questions plus spécifiques é en lien avec les
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thématique donc premièrement quelle est la nature des difficultés rencontrées dans leur trajectoire familiale puis je je me suis demandé comment leurs difficultés entre les parents vont évoluer pu qu'est-ce qui contribue à
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cette évolution donc si je me suis intéressée je vous ai dit au début que je souhaitais ne pas avoir de situation en violence en
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exposition à la violence conjugale mais si j'ai été obligé de de rajouter ou d'examiner cette questionl c'est parce qu'au final malgré les précautions qui ont été mises en place je me suis
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retrouvé avec des situations dans mon échantillon qui s'apparente quand on applique les concepts ou les CADES théoriques en violence conjugale mais qui s'apparent à des situations d'exposition à la violence conjugale
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donc mes résultats montrent aussi surtout l'hétérogénéité de euh de ce la complexité de ce que ces familles là vient
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donc pour commencer j'ai 11 parents qui ont une situation qui euh s'apparente plus au conflit sévère de séparation donc il y a une maman qui décrit sa situation en disant mais on est juste
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deux innocents il sont pas capables de gérer donc c'est ça qu'on est c'est c'est une façon très directe de le dire donc pour elle c'est vraiment une situation bidirectionnel les deux
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parents alimentent le alimentent le conflit euh dans parmi ces 11 parents là j'ai aussi des il y a aussi des situations où ça va au-delà du conflit il ont traversé
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différentes difficultés de des problèmes de santé mentale de toxicomanie eu et et donc ça montre quand même qu'au-delà du conflit entre les parents des enjeux sur
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le plan de la coparentalité ce sont des gens qui composent avec plusieurs difficultés dans le groupe 2 quand on on on examine comment en fait ce sont h
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femmes quand on examine ce qu'elles ont vécu on se rend compte que ça correspond à d' vialence conjugale post séparation à l'exposition pour l'enfant l'exposition la violence conjugale post
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séparation donc ce sont toutes des mères qui vont décrire des stratégies de coerion de contrôle qui ont été adopté par le père pour exercer une domination sur elle avant et après la rupture ou
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parfois dans dans une situation seulement après la rupture elles peuvent aussi ou sêtre senti avoir eu peur exprimer avoir peur cette senti contrôlé par le père avant et après la
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séparation ou encore certaines vont décrire un cycle de violence donc malgré les précautions ce qu'elles en disent c'est quand moi j'applique mon regard de ce qu'on connaît l'exposition à la
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violence conjugale ben on n pas dans le conflit de séparation on est vraiment dans des situations de violence conjugal j'ai quatre situations où c'est plutôt ambigu donc ce sont des femmes aussi qui décrivent des situations
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violence conjugale avant pendant après la rupture certains comportements ceci dit pour elle le sens qu'elles attribuent à ce qu'ell vivent actuellement avec l'autre avec le père
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ce n'est pas de la violence conjugale c'est d'autres problèmes ça peut être des problèmes de santé mentale ou ça peut être des problèmes relationnels entre papa et les enfants donc c'est pour elles dans leur
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perspective c'est pas ça le nœud et je l'ai appelé les situations ambigu parce que c'était difficile de les classer dans les deux autres situations dans les deux autres
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groupes maintenant comment évolu leur difficulté euh donc j'ai il y a un premier groupe de mères de de parents pardon c'est pas que des mères de parents qui vont se
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déployer pendant toute la période avant la rupture il va avoir une accumulation de difficulté un enchaînement qui fait qu'aujourd'hui toute carentalité est difficile voir impossible il des
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extraits entre il faut que tu cliques merci donc c'est un extrait c'est un papa qui va dire que aujourd'hui les difficultés ont
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tellement été importante avec l'aut mère que aujourd'hui il y en a peur c'est dangereux donc il il s'est senti obligé de couper complètement les pont donc il y a des gens avec qui vous intervenez
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qui renont que vous rencontrer pour qui ça datte pas d'hier le conflit et que aujourd'hui la relation qui on avec eux on peut pas en faire abstraction de tout ce qui a pu se passer dans leur histoire
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il y en a d'autres pour qui c'est un conflit qui va s'encrer dans la période après la séparation il ont eu des difficultés ce qui est drôle c'est qu' ob ben ce qui est drôle peut paraître étrange et qu'on regarde leur difficult
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leur parcours avant la séparation ça pas été nécessairement un long fleuve tranquille il ont eu beaucoup de difficulté mais eux ils vont l'terpréter comme normal ou moins grave et c'est vraiment des événements qui sont
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survenus après la rupture c'est vraiment un événement une recomposition familiale qui é qui est survenue après la rupture dans l'exemple qui est donné c'est l'arrivée de la
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nouvelle conjointe qui va faire en sorte qu'aujourd'hui c'est plus possible la chose qui que faut dire aussi que je veux préciser c'est parfois l'arrivée de la nouvelle conjointe elle n'est pas
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euh c'est pas toujours un problème parfois c'est elle qui fait en sorte ou du nouveau conjoint c'est elle qui fait en sorte que le conflit s'ppte mais dans cette situation là de l'extress c'est c'est vraiment ce qui explique le
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conflit actuel et j'ai rencontré quand même des parents euh qui ont vraiment eu une période très houleuse entre eux mais qui que aujourd'hui ça s'est passé et des fois aujourd'hui ça s'est apaisé et
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des fois c'est un événement très triste qui peut arriver qui objectivement est très triste mais ça a permis de de renouer ellisabeth peut-être critiquer euh qui fait que euh comme par exemple
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dans cet extrait là c'est le décès d'un proche qui est arrivé mais qui fait que ce qui causait problème au début est devenu a permis d' piser non c'est correct tuux tu peux
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passer euh le la petite donnée aussi que je voulais présenter c'est parce qu'on a présenté le point de vue des intervenants le point de vue des parents au début euh mais en fait je me suis demandé c'est quoi les conséquences
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d'intervention du DPJ dans leur trajectoire familiale on peut peut-être passer merci euh bon en fait il y a comme deux grandes dimensions deux grands domaines de grands aspects donc
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il a les parents vont dire queil y a pas vraiment d'amélioration entre eux entre entre les par l'intervention de la protection de la jeunesse permet pas d'améliorer par contre elle permet
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d'encadrer les échange et ça ça permet euh en fait de diminuer certains comportements coerif de contrôle comme par exemple d'envoyer de façon multiplié à multiples reprises des textau des
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courriels d'exercer son contrôle puis par exemple cette momentl elle attribue vraiment euh le fait que les choses se sont ralentis parce que le DPG est là représente un espèce de de chien garde
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euh ils vont aussi parler des impacts que ça a eu sur le rôle de parents donc l'intervention euh leur du DPJ leur a parfois permis de d'avoir accès à leur
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enfant d'améliorer la relation avec cet enfantlà quand le conflit avait tellement pris de l'ampleur que c'était plus possible le DPG aussi va travailler certaines pratiques parentales est-ce que les mamans estce que des mamans ou
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des papas vont trouver diffic parce que pour eux pas ça le problème actuellement c'est autre chose c'est le problème de Tex communique d' l'autre parents c'est le problème le conflit la violence conjugale donc ça peut être heur temp pour eux autres de dire de se faire dire
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ben vous allez devoir améliorer vos relations vos pratiques parental euh l'aspect de la coparentalité les les parents vont parler que le DPJ
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va travailler avec eux euh et il y a des fois que pour certains parents c'est très difficile de comprendre qu'est-ce que pourquoi faut créer le lien avec l'autre parent alors que la relation il
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a été tellement ça a tellement été difficile alors qu'on était ensemble alors ça donne un peu ce que ça nous permet de constater c'est que ce sont des parcours qui sont très
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diversifiés et complexes que c'est l'important l'importance de prendre en considération l'ensemble et l'historique des difficultés familiale mon étude c'est en protection
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de la jeunesse donc ce constat là je pense est particulièrement important en protection de la jeesse qu'on est qu'on soit à l'évaluation ou à l'application des mesures ce qu'il faut dire que je pense
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aussi qui est important de dire c'est que c'est aussi vrai je pense dans peu importe dans le système judiciaire aussi ces gens-l arrivent en une histoire ensemble il faut être capable pour prendre les meilleures décisions pour
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enfant il faut prendre faut en prendre considération l'ensemble il faut aussi tenir compte des inégalités de pouvoir dans les relations et ça il y a encore des pas à
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faire pour comprendre les contextes de violence conjugal bien comprendre comment ces inégalités là de pouvoir peuvent se traduire bien au quotidien dans la vie de ces gens-là et Elisabeth l'a aussi nommé au
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début depuis plusieurs années la recherche sur le conflit sévère de séparation s déroulé en parallèle avec celle en violence conjugale je pense queil faut que ce
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soit derrière nous il faut croiser les regards entrre cette façon de faire là doit être derrière nous il faut être capable de croiser nos regards faut tre capable d'utiliser nos CADES théoriques nos approches pour tre capable de se
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parler euh autant en recherche je pense que sur le plan cliniqueisabelle je te laisser ou et je compléterai avec d'autres constat donc autant la la recherche que Catherine a présenté sythèse que les données de
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l'enquête longitinale auprès des parents s par recomposé Québec montre bien la nécessité d'une réponse adaptée au contexte et une souplesse une souplesse très des famille parce qu'on se retrouve
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face à une hétérogénéité deation donc souscouvert de confir de séparation on voit que les situations de violence conjugal peuvent complètement
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passer sous le radar donc ça c'est très très important de et et ça vient justifier dans le fond tous les efforts de dépistage qui sont consentis actuellement de ces situationslà et aussi d'offrir des réponses adaptées que
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ce soit en terme de d'arrangements parentaux de plans parentaux euh sécuritaire dans ces situations-là et de distinguer vraiment euh les situations et d'offrir le bon service aux bonnes
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personnes et les bonnes solutions aux bonnes personnes donc ça c'est le le grand défi qui euh euh qui apparaît et qui ressort de de nos de nos recherches parce que dansant la recherche de caerine montre que une confusion aussi
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des des des situations de la part des intervenants à certains égards et en recherche comment ces situation se retrouve complètement en chevêé aussi on a discuter à faire les distinction
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euh donc et tout ça dans le fond nous ramène aux ressources dont nos systèmes disposent donc je l'ai mentionné en début de présentation le système de justice familiale a très très peu de ressources pour faire ce genre de
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travail là de dépistage et de réponse adapté à des situations qui sont essentiellement psychosoal euh alors que euh dans le fond on voit que souvent une porte d'entrée c'est le système de
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justice euh donc ça c'est un aspect important donc ça représente tout un défi dans un contexte où les systèmes de justice famiale et de protection de la jeunesse sont sous pression et complètement bourbé à l'heure actuelle les changements législatifs
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récents dont j'ai fait mention rapidement présentation aussi représente un pas dans la bonne direction mais est-ce que les ressources suivront donc c'est la grande question qu'on pose dans cette fin de
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présentation donc on vous remercie beaucoup pour votre attention et on a encore un peu de temps là pour les questions donc à votre disposition pour répondre aux questions oui oui oui bonjour Merci beaucoup merci
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pour cette belle présentation vraiment et qui montre aussi la complexité de ces différentes questions en fait qui se qui se point qui se jouent là-dessus et et c'est c'est c'était vraiment intéressant donc merci beaucoup Élisabeth et
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Catherine donc c'est ça on on aurait maintenant une petite période de questions donc hésitez pas j'ai vu qu'il y a eu des des mains qui se s'étai levé en fait pendant la présentation donc ça serait maintenant le moment si vous avez
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des questions bah hésitez pas à prendre directement la parole vous pouvez également envoyer une question question dans le chat et puis dans ce cas je peux je peux poser la question en fait à aux
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présentatrices euh voilà merci donc si c'est ça je vous laisse la parole si vous avez des questions je vois que mariehélène a levé la
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main c'est ça donc si hésitez pas à prendre la parole donc là je je sais pas si vous ent je n'entends rien de mon côté je sais pas si donc la personne dit je ne vois pas comment
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parler donc est-ce que les personnes peuvent ouvrir leur micro est-ce que c'est c'est possible oui ou alors si c'est ce qu' est-ce que je sais ou alors est-ce que si jamais il y
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a un souci ok est-ce que ça serait dans ce cas est-ce que ça serait possible de m'envoyer la question dans le chat m'envoyer la question s'il vous
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plaît par écrit dans le chat et je vais poser la question directement au présentatrice donc ça je vais va laisser peut-être quelques minutes aux personnes qui qui veulent rédiger des questions de
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pouvoir les poser dans le chat et euh et c'est ça je vais vous en fait vous lire les questions alors j'ai une première question alors c'est le fun de voir des
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données sur ces questions quelle est la suite selon vous euh tant sur le plan de la recherche que de la pratique donc je sais pas si c'est veux commencer Catherine j'iriblement des
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choses à dire oui par vaste question ben en fait je pense que le ce qui m'a paraissait le plus urgent c'est de mieux préciser évidemment
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conflit Sév séparation violence conjugale pas séparation et disons la voix à mon sens le début c'est de c'est de croiser les regards les le point de
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vue la des différents acteurs donc les parents qui vivent ça avec ceux des intervenants ou des différentses acteurs du monde judiciaire ou de la protection de ou Mme
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on pourrait penser aussi les gens qui sont à la première ligne puis aussi le regard des enfants des adolescents qu'on entend pas beaucoup actuellement donc à mon sens
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c'est une la priorité pour commencer à mieux départager ce phénomène là puis de voir J quel point jusqu'à quel point ça peut être la pointe de
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l' qui offre une souplesse qui permet aussi en même temps d'encadrer les intervenants je pense ici en protection de la jeunesse il y a je sais qu' beaucoup d'établissements qui travaillent chacun
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de leur côté qui créent différents guides donc il y a comme quelque chose à aller évaluer ces euh ces outilslà actuellement qui sont créés les adapter aussi aux différents contextes aux
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différents milieux donc c'est comme s'il faut construire l'avion en volant je pense qu'on peut pas euh il faut être capable de de mener ces recherchesl euh des deux côtés en même temps ça serait
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ma première réponse et aussi euh ben oui excellente réponse sur le plan de la pratique moi mon mon cheval de bataille c'est beaucoup le milieu judiciaire le le le
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milieu de la justice familiale et a différents niveaux tant médiation familiale mais aussi euh devant la cour devant la cours supérieure de mieux prendre en compte ces situationsl je l'ai mentionné ça peut être la porte
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d'entrée de de plusieurs familles hein euh de judiciariser une situation et à ce moment-ci il y a très très peu de de services qui sont offerts FAM il y a pas de système de triage des dossiers donc
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on se retrouve face une espèce de grande autoroute qui t'amène vers toujours les mêmes réponses et puis ce qui est très valorisé c'est que les parents s'entendent de faire en sorte que ces situationsl soient réglées de façon
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privée aussi en dehors du système de justice qui est pas toujours adapté hein dans dans des en fait qui est M adapté aux situations de des équilibres de pouvoir euh donc d'offrir des services appropriés dans un système de triage de
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ces dossierslà en cours supérieur euh je pense que ça serait déjà euh quelque chose à développer qui serait pour moi de de grande importance euh il est question aussi de former il y en est question depuis 19974 fa qu' on l'attend
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toujours là mais de former des tribunaux unifiés familiaux au Québec hein donc pour justement regrouper les situations de protection de la jeunesse et des situations de de conflit entourant le
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partage du temps parental sous une même instance euh pour ne pas dédoubler justement la réponse et faire économiser beaucoup de temps d'énergie aux parents et au système euh donc ça c'est un autre
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autre avenir qui qui est d'importance euh maintenant au plan de la recherche de continuer à faire ce que Catherine et moi on essayé de faire tant bien mal mais de bien distinguer les questions de
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conf de de séparation de celle de violence conjugale de continuer à étudier aussi ce concept de comp de séparation qui est encore mal défini donc on a fait des efforts en ce sens-l qu' après des mois mais il reste encore
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beaucoup de choses à élucider autour de ces questionsl notamment le développement dans le temps des conflits sévères de séparation et leur évolution moi c'est les prochaines choses sur lesquelles je vais travailler qu'on a des données longitudinales ben ça tombe
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bien je vais pouvoir avec mes collègues continuer à à regarder l'évolution de ça donc merci beaucoup voilà merci merci merci beaucoup j'ai j'ai en fait j'ai deux autres questions qui sont en
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arrivée en anglais mais je vais je vais essayer de voula les traduire en français c'est ça donc dans dans le dans c'est j Jo Joal qui qui écrit que dans son expérience à la cours donc 35 fois
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en en en 4 années les juges n'avaient pas conscience ou n'avaient ne donnaient pas l'impression de prendre en considération la et et et le fait que ce soit la violence conjugale et assumer que c'était des situations de conflit
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sévères alors comment est-ce que donner cette formation au juges de façon à ce qu'il prennent en considération euh que ce n'est pas un conflit c'estra que c'est parfois de la violence conjugale euh comment faire en sorte que les juges
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comprennent ceci donc c'est une personne qui est aussi survivante qui qui ça qui demande ça excellente question et c'est un enjeu très très important euh il y a uneur d'espoir il y a la la loi de Ka
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qui est actuellement sous étude je pense par le Sénat qui vait justement une formation obligatoire des juges sur ces questionsl donc à voir les suites que que ce ce ce projet de loilà va avoir
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euh ensuite on voit que la loi sur le divorce a changé euh au Québec notre Code civil aussi a changé sur ces questionsl dans l'interprétation de l'intérêt de l'enfant maintenant on doit considérer en fait c'est nommé dans le
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Code civil maintenant qu'on doit s'intéresser euh aux enjeux de violence pour interpréter l'intérêt de l'enfant donc on voit qu'il y a un changement de mentalité qui s'en vient tranquillement il y a encore beaucoup de travail à
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faire pour défire certains mit autour de la VI ence conjugale euh les études que j'ai cité en début de présentation bien euh les les mes conceptions autour de la violence
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conjugale par le système de justice et les personnes qui en font partie donc malheureusement il y a encore beaucoup de travail pour défaire certains limites autour de la violence parfait merci j'ai encore plusieurs questions donc je vais
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continuer alors je je je va il y en a encore j'en vois quatre à venir donc c'est ça 4 C même qui arrive donc alors la première question c'est de la conors pourquoi exposer le parent à cette situation
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paradoxale que vous décrivez quand un parent essaie de couper les liens avec l'autre parent spécialement dans les situations de violence conjugale euh qu'est-ce qui qu'est-ce qui guide la décision que cette relation entre
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parents enfant doit être gardé ce qui en pratique résulte au fait que la femme qui est exposée à la violence conjugale donc continue à être exposé en fait à la violence à à l'agresseur le mur de
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violence veux que j' aille Élisabeth ouais on on se complètera vasyine oui dans le fond je pense qu'il a plusieurs raisons qui explique ce sont ces situations
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paradoxales premièrement la violence conjugale il a vraiment un enjeu de détection dans le par les intervenants de par la complexité de ces difficultés là il y a aussi un enjeu où on est dans
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une société où le mot d'ordre c'est de maintenir à tout prix le lien de l'enfant avec ces deux parents là on a beaucoup cette idée là qui est par ailleurs dans la majorité des situations
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ce doit être ça par contre quand on arrive dans des situations de violence conjugale po séparation cette idé là faut faut bien l'examiner faut bien réfléchir il faut
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bien évaluer pour éviter que des enfants se sentent pris et que des femmes aussi euh se sentent prises dans des situation où on perpétue la violence conjugale pas
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séparation puis que le système finalement est en train de maintenir cette situation là plutôt que de finalement d'aider les victimeses donc parfait oui mais je laisser peut-être compléter
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si tu veux ben non c'est je pense la réponse est assez complète on va passer are question par parfit merci merci alors c'est souvent des questions en anglais donc pour l'instant je suis en traduction donc comment montrez-vous le
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le le contrôle coertif sur des adolescents qui se trouvent dans des conflits de loyauté étant manipulé par l'agresseur donc l'auteur de violence
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contre le parent qui est victime et je suis pas sû de saisir la question mais en fait je je vais la prendre c'est euh qu'est-ce qu'on fait en fait avec
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les les adolescents en fait en fait qui euh comment montre les adolescents qui ont qui qui subissent du contrôle coercitif et qui sont pris dans des conflits de loyauté étant manipulé par
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donc l'auteur de violence euh qui manipule donc les adolescents contre le parent qui est victime donc on s'apparente à une dynamique d'aliénation parentale finalement si je comprends bien la
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question ou c'est c'est ce que moi je comprends c'est-à-dire que c'est le pas mais ça serait l'auteur des violences effectivement tout à fait l'auteur des violences qui qui manipule en fait l'enfant c'est ça mais contre le parent
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effectivement qui est déjà en plus victime de violence conjugale donc je pense qu'ici on fait référence peut-être au pour ce qui est de la question qui porte vraiment plus sur l'intervention qu'est-ce qu'on fait dans ce genre de situation là donc les
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interventions qui ont été développées en matière d'aliénation parentale pourrait être U à en ce sens-là pour défire l'image très négative qui est projeté là d'un parent qui est à la fois victime de violence dans ce cas-ci et victime
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d'aliénation parental si je comprends bien la situation euh donc il y a toutes sortes de de d'interventions qui ont été développées qui sont pas toutes bien soutenu par la recherche malheureusement en terme de de défaire dans le fond le
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le processus de lavage de cerveau d'un enfant là dans dans ce genre de situationl euh pour avoir étudié l'aliénation parentale j'ai j'avais dans dans une de mes
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recherches une situation qui s'apparentait à ça et en fin de compte c'est cette personne là s'est retrouvé c'est une jeune qui était victime de de d'aliénation parentale et sa mère
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qu'elle avait rejeté était elle aussi victime de violence conjugale et à un moment donné quand elle a voulu quitter son parent alienant elle s'est retrouvée elle-même victime de violence pour avoir voulu quitter son parent donc on voit
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comment le contrôle cortif peut s'exercer non seulement sur un parent mais aussi sur un enfant qui a été alliéné d'un parent qui voudrait se sortir d'une relation euh parentale malsinene de cet ordre là donc c'estta
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très inquiétant au plan de la sécurité en tout cas moi je je serais alarmée pour la sécurité de de de de ces jeunes qui vivent ce genre de situation parce que quand vient le temps de quitter un parent qui a une emprise
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comme ça ça peut se retourner contre eux dans le cas de la situation qui me revient en tête dans une demes recherche euh C cet enfant là avait été victime de de violence physique de la part de son parent donc donc voilà mais j'ai pas
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toutes les réponses mais il existe quand même des interventions pour refaire l'image refaire une image positive du parent qui est rejeté aussi dans ce proc d'accord merci alors je
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j'ai encore plusieurs questions donc ça ça ça suscite beaucoup d' de de de questionnement et d'intérêt ce qui ce qui ce qui montre quand même l'importance aussi du sujet donc concernant le système de justice plus
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spécifiquement la formation obligatoire de 2 heures pour les parents sur la coparentalité est-ce que la réalité de la violence conjugale et post séparation va finir par être adressé question de Christine Lafontaine c'est une très bonne question moi ça me préoccupe aussi
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parce que les services généraux offer aux parents la grande échelle sont vraiment teintés de cette vision là de favoriser la coparentalité ce qui est bon pour l'ensemble des familles de
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façon générale c'est ex mais quand on se retrouve face à des discutés plus particulières on a besoin de réponses beaucoup mieux adapté notamment on le voit mon étude monde que les parents qui judiciarisent un litige en prant la
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garde d'enfant sont beaucoup plus susceptibles aussi d'avoir d'autres difficultés notamment de vivre une situation de violence là ou d'avoir des enjeux de sécurité dans leur situation qui sont importantes donc moi ça me
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préoccupe aussi d'offrir une réponse adaptée à ces situationsl puis ça rejoint un peu mon commentaire sur le triage des dossiers là à la Cour supérieure d'accord merci beaucoup je j'ajoute un petit commentaire là-dessus c'est là
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c'est tout encore Christine la fontaine qui qui remercie donc qui qui en profite pour remercier le travail de Simon Lapierre et Isabelle côé avec leur formation pe VC merci aussi à tous les autres intervants qui travaillent à
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changer les expériences des des victimes de violence autant les femmes et les enfants alors je continue parce que j'ai encore quelques petites question donc là il y a une il y a une nouvelle question euh je l'ai fait
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dans l'ordre de la Conor qui qui questionne en fait la validité de l'idée souvent perpétuée par le système de justice que quelqu'un peut-être en même temps un bon parent et un et un agresseur en même temps enfin un auteur
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de violence donc là je fais la traduction anglais français ouais euh oui effectivement c'est une idée reçue très très répandu je le sais d'expérience pour avoir donné des
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conférences à des juges à des avocats familialistes euh c'est quelque chose que j'ai entendu énormément dans les commentaires c'est une idée qui qui encore qui a la vie dur si on veut euh
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par contre j'aimerais mentionner que l'an dernier la Cour suprême dans un arrêt est venu invalider he cette cette idélà donc que que qu'un parent peut être à la fois hauteur de violence et avoir des compétences parentales
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intactes si on veut euh c'est quelque chose qui a été invalidé très récemment par la Cour suprême donc quel quel effet ça va avoir ensuite sur l'issue de certains dossiers de cet ordre-là euh
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c'est à suivre assurément oui d'accord merci parfait alors j'ai un autre commentaire de SAR schengberlin qui remercie pour la présentation avec l'implantation des tribunaux spécialisés
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en violence conjugale au Québec présentez-vous vos recherches aux acteurs judiciaires tels que procureur avocat civils patrouilleurs et cetera euh ben pour ma part euh je suis
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assez active là euh dans le milieu de euh de la Cour supérieure moins en cours criminel et pénal moins sur ces acteurs là j'ai moins accès à ces réseaux là
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peut-être que ça pourrait être intéressant de de joindre des nouveaux réseaux justement pour présenter qu mois peut-être nos données euh parce que ce sont effectivement des enjeux qu' voit aussi euh autour des compes de
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séparation du moin de mon côté mais je suis plus interpellé dans les réseaux des juges de la Chambre de la jeunesse intervien en protection la jeunesse donc eux on on se parle on présente les on présente les données mais c'est ça moin
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du côté criminal et final et pénal parfait merci alors j'aurais encore c'est ça je vois quelques questions ça continue à arriver hein il nous reste encore un petit 5 minutes
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donc alors un commentaire déjà la violence de de Christina font la violence des systèmes judiciirees et des PJ est malheureusement encore vécu par la majorité je commence seulement à observer des des changements puis là je vois une nouvelle
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question c'est ça comment est-ce qu'on fait pour défaire le lavage de cerveau des adolescents ouais c'est une vaste question euh
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effectivement puis en fait j'ai pas beaucoup de documentation là-dessus mais ce que les intervenants m'en disent les intervenants justement qui travaill à rétablir des liens par enfant mis à mal
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en cours supérieure c'est que travailler avec les adolesc S c'est c'est très difficile parce qu'on essaie de retirer un lien par enfant alors qu'ils sont dans une période de leur développement ils veulent
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s'individualiser donc c'est ça ça vient ajouter une couche supplémentaire de défi pourire défaire les idées négative ou l'image négative d'un parent et Risser les liens parents enfant dans ces
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situationsl donc c'est plus facile de travailler avec des plus jeunes enfants de ce qu'on m'en dit là sur ces questionslà euh reste que je pense que dans une certaine proportion de de ces situations
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là passer l'adolescence puis arrivriver à l'âge adulte permet parf de de prendre du recul par rapport à la situation familiale et de de changer de point de vue et à ce moment-là de renouer parfois
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des liens mais malheureusement il y a un tort qui a été fait qui est parfois irréparable dans la relation donc c'est ma meilleure réponse mais il y a peu d'intervention développé he pour ces ces
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ces problèmes là malheureusement est-ce que je peux rajouter deux commentaires sur ça mais je pense que ce que tu as dit à la fin Élisabeth c'est vraiment important je termine une
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recherche sur les jeunes adultes 18 25 ans exposé à la violence conjugale dans l'enfance et effectivement ils font leur propre bout de cheminement aux autres mêmes et ils prennent des choix des
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décisions là dans leur débuts de jeune âge adulte sur les liens qu' veulent continuer ou pas malheureusement ce qu'ils ont ont exprimé quand ilils étaient enfants ça a très peu été écouté
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enfant ou adolescen puis c'est vrai le commentaire d'une personne qui a dit que le système crée des violences aussi là quand on n'est pas en mesure d'écouter mais moi je je reformulerai peut-être la
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question de comment défaire le lavage de cerveau plutôt comme comment reconnaître réellement ces jeunesl comme des victimes eux autres aussi euh donc quand on met en place des protocole d'urgence
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de sécurité pour le parent victime ben pourquoi on ferait pas la même chose pour un adolescent qui est pris dans une relation comme ça vraiment oppressante et où on pense son parent les
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intervenants tout tout le monde pense mais plaçons l'enfant le jeune au centre comme comme on le fait pour la mère victime de violence conjugale il existe des cellules de crise dans la plupart
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des régions maintenant au Québec et que ça devrait être accessible je pense aux jeunes aussi oui merci merci merci beaucoup oui c'est tout à fait vrai merci pour cette
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intervention et et et et vraiment merci aussi à à vos toutes à vous tous je pense que ce c'est ça ce webinaire a suscité beaucoup beaucoup d'intérêt là là c'est ça je pense que la période de
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questions je je n'envoit pas d'autres et c'est on en arrive à la fin aussi donc s'il y a quelque chose hésitez pas à m'écrire encore un dernier message je vois ja qui qui qui aussi écrit un merci
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beaucoup euh donc c'est ça c'est un sujet vraiment complexe je pense qu'on l'a vu sous plusieurs angles et puis aussi par rapport aux questions et aux réponses en tout cas c'était vraiment vraiment intéressant donc c'est ça je
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veux remercier toutes les personnes qui étaient présentes aujourd'hui et euh également les présentatrices la géia Conner qui qui continue aussi à à remercier pour la présentation je vais
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vous mettre un lien bien en fait pour toutes les personnes qui étaient présentes pour évaluer voilà la la présentation donc le lien vient d'arriver sur le chat donc vous pouvez
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cliquer sur le lien pour donner votre évaluation sur la présentation et Christine la fontaine qui qui mercie beaucoup pour votre contribution c'est apprécié donc écoutez voilà je vous remerci puis
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n'hésitez pas si vous avez des questions vous pouvez toujours euh nous venir en fait par par message voilà ou contacter également les présentatrices donc et
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puis nésitez pas à remplir le le le lien et déévaluation et euh et puis ben je vous souhaite une une belle semaine avec un peu de soleil je vois que cette cette semaine va être un peu une des dernières périodes un peu ensoleillé très chaude
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donc profitez-en beaucoup merci
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