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[Musique] bonjour bonjour merci encore de votre fidélité très heureux de vous retrouver pour ce nouveau numéro de school TV le mag on vous accompagne pendant 30 minutes pour faire le point sur la scolarité de vos enfants avec une
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thématique forte aujourd'hui dans l'école ensemble gros plan sur les ITEP pompe à la découverte des instituts thérapeutiques éducatifs pédagogique Mathilde vaisselle sorte dans un instant bonjour Mathilde quel public accueille
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les saisittes quels sont les méthodes utilisées pour donner à ces élèves le goût de l'école on verra ça dans un instant et puis on reviendra plus généralement sur le décrocha scolaire thématique forte on en a déjà beaucoup parlé un sujet préoccupant est-ce une
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fatalité oui ou non à ton les moyens de nos ambitions surtout on en parle dans un instant avec Jean-Baptiste célébré bonjour Jean-Baptiste via Skype merci d'avoir accepté notre invitation vous êtes directeur directeur d'un dispositif
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ITEP du côté de Nantes et on est également avec Roland d'Isly bonjour Roland président de l'association des iteps et de leur réseau notamment d'un ITEP en Franche-Comté on va parler dans un instant avec vous juste après la présentation la loupe c'est avec
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Mathilde [Musique] que ça fait plaisir de vous revoir alors ITEP c'est déjà l'acronyme d'institut thérapeutique éducatif et pédagogique
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une fois qu'on l'a dit j'ai sorti ah ouais alors là on a attention pas ça l'ustensile elle est très jolie cette production cette acronyme on n'est pas forcément plus avancé alors qu'est-ce que ça veut dire concrètement alors ce sont des établissements médico-sociaux qui
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prennent en charge des jeunes personnes des enfants qui démontrent une inaptitude à adopter un comportement qui correspond à ce qu'on dit les règles sociales communes ce sont des enfants qui en général des troubles psychologiques qui les empêchent donc
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d'avoir une scolarité tout à fait normale ça ressemble au deuxième la différence les instituts médicaux éducatifs donc effectivement les IME accueille des jeunes qui ont des troupes importants des fonctions cognitives
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alors que les ITEP accueillent des jeunes présentant des troubles du comportement c'est quand même pas la même quelle est la mission de ces iteps alors ils ont comme mission de favomier première chose une action
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rapeute une hexagone qui a les jeunes avec l'école et puis l'apprentissage évidemment et enfin une action éducative pour le développement de la personnalité et à la socialisation
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des enfants dans leur vie quotidienne pour ce qui est de l'organisation en général les enfants intègrent les iteps en internat ou en demi-pension au sein même de l'établissement il y a évidemment des enseignants spécialisés soit en scolarisation à temps partiel
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dans des classes ordinaires ou spécialisées qui peut avoir accès à ces étapes alors pour cela le dossier doit être présenté devant la commission des droits et de l'autonomie des personnes handicapées du département qui prononcera donc suite à ça une
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orientation ITEP dans le cadre du projet personnalisé de scolarisation appelée plus communément PPS je crois qu'il y avait une suite mais la suite c'est tout de suite
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[Musique] l'expression orale avec nos invités avec Jean-Baptiste Cédric et directeur d'un dispositif ITEP et relents dislik et président de l'association des Idep et de leurs réseaux Jean-Baptiste
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quel est votre définition à vous justement d'un ITEP alors ma définition d'un ITEP c'est que c'est d'abord un lieu de soin c'est un lieu de soin pour des enfants qui ont comme caractéristiques communes en
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général d'être fâché avec l'école d'ailleurs souvent autant que l'école est fâchée avec eux en tout cas c'est des enfants qui ont des difficultés de s'intégrer dans le milieu scolaire et de manière générale qu'on des difficultés
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dans la relation sociale donc nous on est un lieu de soin c'est d'abord et avant tout cet aspect là on pratique le soin sous d'abord avec de un principe de libre adhésion on fait pas de soin sous contrainte ça c'est vraiment important
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on a besoin de l'adhésion de chaque enfant ou chaque adolescent pour les accompagner on se définit d'abord comme un lieu ressource en fait c'était un lieu où les enfants et les adolescents vont pouvoir puiser les ressources qui n'arrivent pas à trouver à l'extérieur
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et on se fait à leur disposition alors c'est une organisation très complexe et on essaye justement d'avoir un des emplois du temps vraiment à la carte pour répondre au plus juste et au plus
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et au plus finement des besoins voilà suivant l'évolution qui peuvent qui peuvent avoir Jean-Baptiste cédrer on parle de enfants ou on nous l'avez dit de d'ados aussi de jeunes adultes aussi parfois tout à fait nous on a un
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agrément aujourd'hui qui est de 3 à 20 ans notre coeur de métier c'était historiquement les adolescents donc on accompagne des enfants de 6 à 14 ans uniquement sur des modalités ambulatoires et à partir de 14 ans on
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est sur des modalités soit d'accueil de jour soit d'hébergement soit ambulatoire mais en fait je vous dis soit mais c'est d'ailleurs parfois cumulé ça change réellement dans le temps c'est tout l'intérêt de la question du dispositif
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intégré ou aujourd'hui on a la possibilité des autorités de tutelles nous font confiance pour pouvoir faire évoluer ces modalités d'accompagnement très librement et très rapidement surtout c'est ce qui est important c'est la réactivité par rapport à l'évolution
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des situations Roland dislize rappelle que vous êtes président de l'association des itepettes de leurs raisons on parle de combien d'ITEP en France à peu près 400 dispositifs d'accord donc
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sur un dispositif ça représente à mon avis à peu près 30000 ans 30 000 enfants accompagnés en France peut-être même plus on a du mal à voir tous les chiffres à jour mais c'est par rapport
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on parlait des IME par rapport aux ime on est beaucoup plus petit c'est une population beaucoup moins importante alors quelle est la population qui est accueillie justement quels sont les critères alors
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peut-être que ça me permettra de dire un peu un mot de ce qu'est la erreur donc la hyrus est une association de professionnels qui est né à la fin des années 90 à l'époque on appelait nos institutions des instituts de
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rééducation donc on avait une vision des jeunes qu'on accompagnait uniquement qualifié par ce qu'on appelait les troubles du comportement un peu même avant on appelait ça des enfants caractériels donc tout notre travail a
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été de d'abord de changer le regard sur ses enfants et donc on accueille des enfants qui effectivement d'abord des difficultés psychologiques des troubles psychiques parfois on a des enfants qui souffrent de dépression on a des enfants
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qui ont des histoires de vie complexes puisque 40% des jeunes qu'on accompagne ont besoin aussi de protection et donc sont souvent accompagnés par l'aide sociale à l'enfance voilà aujourd'hui
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dire quels sont les profils ils sont tous différents on a mon collègue là très bien exprimé on a des qui présente ce qu'on appelle des pathologies du lien certes une grande difficulté à vivre les
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autres à vivre avec les autres et donc tout l'enjeu des instituts thérapeutiques et éducatifs c'est de à travers une prise en choix
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charges conjointes éducative pédagogique et thérapeutique justement de permettre à ces jeunes qui sont par contre d'intelligence normale ont une atelier de diligence tout à fait préservée de
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faire un travail d'élaboration sur ce qu'ils sont sur le ressenti sur le sur le sentiment et puis petit à petit de construire une vie plus apaisée Jean-Baptiste c'est vrai qu'est-ce qu'un
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jeune en rupture grave Jean-Baptiste et comment vous opérez vous à la papetière à Nantes alors il y a différents niveaux de rupture le la rupture grave c'est un enfant qui est des scolarisé depuis deux
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trois ans qui a eu pour qui on a mis du temps à découvrir que les problématiques de scolarité tenaient peut-être d'une question de handicap psychique donc il va arriver des scolariser souvent dans des
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contextes familiaux difficiles parce que le handicap psychique c'est ça rend les voilà le climat familial souvent un petit peu tendu et du coup nous l'idée ça va être de l'accueillir
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ça va être vraiment d'abord de l'apprivoiser c'est vraiment la question je compare souvent la population de l'ITEP a des petits chats sauvages c'est une image mais l'idée c'est que comme il y a une pathologie du lien et
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que voilà souvent c'est des enfants qui ont des troubles anxieux donc ils peuvent avoir des comportements soit de fuite soit un petit peu parfois un peu agressif et du coup l'idée ça va vraiment de s'apprivoiser de prendre
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confiance dans le lien et et par petites touches et c'est pour ça que suivre le rythme de l'enfant c'est extrêmement important c'est à dire que on ne peut pas imposer un rythme il faut vraiment suivre la capacité d'un enfant à
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intégrer un iTele c'est pour ça que ça prend parfois un petit peu de temps mais c'est à la condition de suivre le rythme de ses enfants qu'on peut réussir à faire un bon travail et justement vous avez le luxe vous parlez du temps cette
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notion de temps le temps souvent là pas vous avez le ce luxe vous avez le temps vous pouvez prendre le temps avec ses élèves qui sont en décrocha scolaire alors dire qu'on a le temps ce serait ce serait sans doute faux enfin c'est à
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dire que l'idée c'est pas confondre vitesse et précipitations et le temps est nécessaire le temps de construire une relation est nécessaire maintenant quand des situations se sont dégradées depuis
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de nombreuses années il est grand temps de s'y pencher et c'est toute la difficulté des listes d'attentes effectivement quand des quand un ado n'a pas de solution depuis
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un an depuis 22 ans ça a même à des situations qui qui se dégradent et du coup l'idée c'est justement d'opérer le plus rapidement possible pour éviter que les solutions se dégradent c'est à dire qu'au moment où on a une orientation de
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la CD APH qui historiquement nous disait par exemple un accompagnement ambulatoire sera bien suffisant la situation peut se dégrader et au moment où nous on va accueillir et rencontrer pour la première fois l'enfant ou l'adolescent mais
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l'accompagnement en ambulatoire et puis d'actualité il est dur il est urgent de passer un mode d'accueil de jour pour ensuite repartir en inclusion à l'extérieur donc c'est pour ça que le temps est important mais ce qui est
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surtout important c'est de d'avoir un diagnostic très rapide dès qu'il y a des premiers signes dans le milieu scolaire Jean-Baptiste préciser ce qu'est la CDAPH s'il vous plaît que vous avez évoqué
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pour les personnes handicapées c'est elle qui va dire c'est enfin qui va reconnaître un handicap et qui va proposer une orientation vers inditep Roland d'Isly quels sont vos missions au sein de des idées on rappelle que vous
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êtes président de l'association des ITEP et de leur réseau vous nous parlez justement de de l'air quels sont vos missions et est-ce qu'elles ont été amenées à évoluer avec le temps ces dernières années
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alors nos missions c'est de réfléchir ensemble à de entre professionnels sur les meilleures manières d'accompagner ses enfants là et donc toute on a un premier travail
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de faire évoluer la législation autour de on le voit à la transformation des désirs en ITEP puis en dispositif ITEP qui apporte encore plus de souplesse aujourd'hui on travaille sur la question
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de comment rencontre des parcours des jeunes comment on rend encore plus transparent notre travail on a des axes de recherche on travaille avec un comité scientifique on a en ce moment
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l'ancienne recherche avec des CHU sur justement la nature des troubles des jeunes adolescents qu'on accompagne et qui nous va nous permettre d'améliorer nos liens notamment avec la pédopsychiatrie on a des axes de travail
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avec les collègues de la protection de l'enfance pour essayer d'améliorer un petit peu quand les enfants se trouvent à la fois dans une ex par exemple une maison d'enfants caractères social et puis qui passe une partie de leur temps
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en ITEP comment on articule un peu ces choses là et puis on met en oeuvre de la formation pour nos professionnels et ça c'est c'est un des axes importants de de notre association c'est que par exemple
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tous les ans on se retrouve à peu près 900 900 salariés pour 3 jours de formation et puis on a des formations région on a des formations en établissement donc voilà le et puis on a
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cette mission aussi de parler de ses enfants et de les représenter puisqu'il y a pas d'associations de famille pour ses enfants là les familles sont tellement en difficulté relationnelle que c'est pour compliquer d'aller
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représenter ou de ou de notamment dans les instances nationales de parler et de représenter leurs enfants donc on a aussi cette vocation être la voix de ces jeunes qui ils sont en grande difficulté
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pour s'exprimer avec des modes appropriés donc voilà on a un peu toutes ces missions à l'air et puis je crois qu'on est surtout un grand fédérateur des professionnels en tout cas un bien beau mais bien beau
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métier messieurs Jean-Baptiste sellerai comment on remet en réussite ces jeunes on en parlait mais également les professionnels qui les accompagnent au quotidien parce que j'imagine que la l'équation la mission est au combien
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délicate j'ai pas bien compris votre question c'est comment comment on remet en réussite non seulement les jeunes que vous accompagnez au quotidien mais aussi les professionnels qui eux aussi les accompagnent et qui parfois j'ai
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l'impression ont peut-être le sentiment où on peut peut-être envie de parfois de baisser les bras car j'imagine que c'est très difficile alors c'est aussi je dirais que c'est aussi difficile que c'est intéressant et
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enfin s'il y a quelque chose qui est sur handicap c'est qu'on craint pas la routine comment comment on met en réussite on met en réussite d'abord en étant clair sur les besoins des jeunes et Monsieur
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distillat le disait toute la question c'est bien comprendre les besoins quels sont les besoins réels et pas se projeter dans les besoins pourraient avoir la famille ou l'enfant c'est à dire que il s'agit pas de déployer une
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batterie mais c'est de construire avec ses enfants les réponses par rapport à leurs besoins mais la première difficulté c'est de comprendre réellement quelles sont leurs besoins et chaque enfant chaque adolescent a des
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besoins particuliers et il faut s'adapter c'est donc l'idée c'est vraiment d'avoir un accompagnement en dentelle pour être au plus juste à chaque fois c'est ça qui fait le secret de la réussite et ne pas forcer parce que le
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soin sous contrainte ça ne fonctionne pas et pour les professionnels du coup parce que je disais aussi pas mal de témoignages avec des gens dont c'était au final qu'il y avait découvert ce métier et qui s'était formé bien évidemment mais les premiers mois voire
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même les premières années étaient quand même très difficile parce qu'on n'a pas forcément tout de suite les résultats alors on est souvent des summer de graines les graines poussent tout de suite ou 10 ans plus tard mais c'est
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vrai que souvent les résultats se font se font sentir enfin il y a aucun doute si on travaille il y a les résultats viennent derrière et les réussites sont pas forcément immédiates mais on voit on voit souvent d'ailleurs des anciens
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revenir en disant mais c'est vrai à l'époque je comprenais pas ce que vous me disiez mais maintenant j'ai compris et on les a aidés et du coup ça peut être un petit peu frustrant et assez challengeance sur le moment mais on sait qu'on travaille pas pour rien loin de là
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sur votre structure vous êtes vous avez combien d'élèves et il y a combien dans le cadran alors on accompagne on a un agrément pour 84 enfants et adolescents on en suit une centaine par an en phylactive
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et on est à peu près 55 pour pour les accompagner alors c'est pas 55 professionnels directement en contact avec eux mais voilà ça ça fait du monde mais c'est le monde nécessaire
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pour pour faire un travail de qualité oui j'ai une question peut-être plus pour Roland parce que vous avez une tête une vue un petit peu plus large sur les ITEP est-ce qu'on en manque en France aujourd'hui est-ce qu'il y a des enfants qui sont à l'école et qui devraient peut-être être accompagnés plus en
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centre de tête mais on en manque aujourd'hui alors certainement alors ça dépend des territoires il y a des territoires qui sont grandes difficultés je pense notamment par exemple au territoire des
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Hauts de France où les listes d'attentes sont importantes et on voit des jeunes parties y compris avec des troubles du comportement vers la Belgique ce qui est pas ce qui est pas acceptable pour nous après il y a des régions qui eux
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cumulent plus de place donc ça fait partie des discussions qu'on a avec les pouvoirs publics quand on a travaillé sur le décret qui a fondé les ITEP pendant 2005 on a essayé de travailler avec les pouvoirs publics pour que un
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minimai au moins indiqué par département on y est on y est arrivé après il y a des départements qui qui ont des besoins plus importants que d'autres ou les situations sociales la précarité fait que il peut y avoir dans certains
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territoires des besoins plus importants le fait qu'on se soit transformé en dispositif et que nous on ne raisonne plus vraiment en termes de place mais en termes de parcours de jeunes accompagnés et qu'on a un mode de
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d'accompagnement qui permettent d'articuler plusieurs dimensions ça nous permet comme le disait Jean-Baptiste d'accompagner plus d'enfants que nos agréments c'est pour un agrément de 80 on peut parfois accompagner sur une
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année une centaine d'enfants donc ça c'est les choses qu'on met en place puisqu'on s'ajuste en permanence aux besoins et donc quand un enfant va mieux on peut vite dégager du temps pour en accompagner un autre tout en prenant le
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temps mais voilà il reste des membres et il y a encore des membres qui sont liés aussi parfois à des manques du côté de nos partenaires du côté de la pédopsychiatrie quand la pédopsychiatrie
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fait défaut notre travail peut être plus compliqué avec les enfants qui ont le plus de troubles quand la protection de l'enfance va mal et bien nous on ne va pas très bien non plus donc voilà c'est souvent
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les ditep les dispositifs ITEP ne sont pas une réponse unique à ces difficultés souvent c'est une approche nécessaire par les territoires et oui il manque
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encore de moyens parce qu'en plus le nombre je pense de jeunes présentant des difficultés psychologiques qui ne cesse d'augmenter on le voit notamment dans cette période post covid dans cette
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période où l'épreuve de santé mentale des enfants et des adolescents sont en train de de devenir un peu exponentielle je pense que des ITEP on en a jamais eu autant besoin alors justement Roland
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Disney pour qu'on comprenne bien qui décide de la création d'un ITEP et s'il manque aujourd'hui des items vous l'avez dit notamment dans les hauts de France cela dépend de qui est-ce que c'est une question avant tout budgétaire ou est-ce qu'il faut tout
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simplement une volonté politique il faut une faut noter politique je pense que la volonté politique elle existe après sont des choix qui sont faits par les ministères par la par la
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CNSA par par les agences régionales de santé parce que nous on dépend uniquement des agences régionales de santé et ce sont elles qui peuvent modifier nos autorisations et nos agréments donc ça passe par le ministère
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par les agences régionales de santé voilà donc là dans des conditions budgétaire sont on peut noter quand même qu'il y a pas de diminution de place on a toujours des
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créations mais je pense qu'il y a encore des problèmes d'équilibre entre entre région entre territoires voilà disparité entre territoires et puis il y a des créations mais peut-être que ça ne suit pas effectivement le nombre vous l'avez dit
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puisqu'il y a une situation quand même depuis le covid situations post covid qui a quand même créé on l'a vu qui a mis en lumière effectivement pas mal de pathologies Jean-Baptiste cédret qui compose vos équipes on parlait tout à
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l'heure des encadrants et surtout est-ce que chacun sa spécialité ça se passe comment [Musique] et puis bien sûr un stable d'encadrement des des agents de ménage qui font leur qui font beaucoup de boulot des
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surveillants de nuit enfin c'est vraiment beaucoup de monde des cuisiniers c'est tout un petit monde c'est un écosystème hyper large et qui travaille beaucoup en collaboration avec l'extérieur en fait c'est à dire qu'il y a le ditep mais il y a toutes les
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collaborations avec l'extérieur et c'est un système complexe mais absolument passionnant Roland d'Isly quel est votre sentiment justement sur cette cette écosystème véritablement passionnant nous disait
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Jean-Baptiste sellerai et avec tous ces métiers qui travaillent moins dans la main pour le succès de ces iteps nous c'est vraiment au cœur de de notre projet c'est de d'avoir de garder
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cette notion d'institution pas dans les murs pas des établissements mais dans le cadre de l'interdisciplinarité et puis d'aller plus loin Jean-Baptiste parlait des relations avec l'extérieur la
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question du lien notamment avec l'école d'ittaire aujourd'hui aujourd'hui vous le disiez madame en introduction pas mal d'enfants sont scolarisés en milieu ordinaire on est à peu près chez
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nous à 80% des jeunes qui sont scolarisés à l'extérieur de nos institutions donc le lien permanent entre nos professionnels et les professionnels de la de l'éducation
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nationale de la protection de l'enfance ils sont importants et ça fait partie des choses qu'on qu'on pour lesquelles on milite et on travaille à l'air c'est que il faut des équipes interdisciplinaires chez nous mais il
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faut que cette interdit spinarité elle fonctionne aussi avec nos partenaires extérieurs et qu'on puisse avoir le un regard toujours bienveillant toujours partagé sur les problématiques des enfants qu'on accompagne ce qui est ce
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qui est pas facile parce que ce sont des enfants pas facile qui qui effectivement vous parlez des professionnels qui qui peuvent parfois semer le doute dans nos compétences professionnelles c'est pour ça que un des outils importants pour
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nous c'est l'analyse de la pratique c'était tous nos professionnels travaillent en direct avec les enfants mais pas du temps beaucoup à réfléchir sur sur ce qui se joue dans le travail avec ses enfants là et ce travail de
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réflexion on souhaite le partager assez largement avec nos collègues de l'éducation nationale la protection de l'enfance ou de la pédopsychiatrie Rollin Jean-Baptiste vous restez encore un petit peu avec nous c'est l'heure de l'info en plus
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[Musique] Mathilde tu nous parles de sport et oui effectivement c'est pour te faire plaisir direction on va parler de football en plus direction lourd de football de Lourdes accueille
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la section sport adaptée jeune en partenariat donc avec les ITEP et pour cette année 2022-2023 ce sont une trentaine d'enfants venus de 5 établissements différents et qui sont reçus donc tous les mercredis matin au Palais des Sports
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François Abadie de l'âne Darré alors les jeunes sont encadrés par les salariés du club et aussi évidemment par des éducateurs toutes les semaines une séance de football est proposée pendant une heure et demie aux enfants il y a même des tournois amicaux qui ont lieu
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alors ma question est la suivante est-ce que le sport c'est la clé concrètement pour ses enfants qui se sentent souvent en marge de la société bah pour Jean-Baptiste et pour Roland effectivement c'est cette question je dirais que le sport c'est valable
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pour tout le monde pas seulement pour les enfants de l'ITEP donc bien sûr on a un indicateur sportif et nous fait courir et il fait courir les jeunes et tout le monde adore ça mais voilà le sport ça fait partie de la santé et on travaille sur les questions de la santé
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on travaille sur tous les déterminants de la santé dont le sport bien sûr Roland on fait du sport en Italie on a un tournoi National de Rugby et donc tous les iteps sont
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invités à participer au tournoi National de Rugby tournoi qui rassemble 300 jeunes à peu près tous les ans cette année je crois que c'est à Aix-en-Provence au mois de juin et on a la joie pendant trois jours
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les choses se passent merveilleusement bien et qu'on n'est pas trop de difficultés de comportement à travers un rugby bien sûr un peu aménagé où la question du vivre ensemble des règles du jeu du respect de l'autre sont bien
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avant mais c'est quand même 300 jeunes dans un camping pendant trois jours et donc oui le sport bien sûr et puis la question du mouvement puisque si on veut accompagner ces jeunes il faut savoir marcher il faut savoir courir parfois et
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en tout cas la question pour eux de la pratique sportive de la question du rapport au corps tout ça est essentiel dans nos pratiques il faut que votre approche soit forcément de manière globale pour leur redonner goût à
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l'école Jean Baptiste je crois que oui effectivement on ne fait des choses que si on est motivé et pour et on est d'autant plus motivé quand c'est ludique on apprend beaucoup par le jeu on apprend enfin voilà la
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difficulté de beaucoup pour beaucoup de ses enfants c'est effectivement le cadre scolaire qui reste un cadre quand même relativement rigide où il faut s'adapter donc apprendre autrement et apprendre à travers l'expérimentation ça c'est très important donc tous les lieux
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d'expérimentation sont intéressants pour nos enfants Jean-Baptiste dernière question les iteps c'est une approche franco-française ou il y a un partage avec d'autres pays européens alors je suis pas du tout un spécialiste de la
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question mais je sais que notamment en Italie se passe beaucoup de choses et il se passe beaucoup de choses du côté de l'inclusion au milieu ordinaire donc je sais qu'il y a des il y a des expérimentations et des collaborations qui se font un niveau européen mais je
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suis vraiment pas un spécialiste de la question donc je risquerais de dire des bêtises puisque autre chose vous parlez tout à l'heure de d'anciens élèves qui qui revenaient peut-être du côté de la papetière ça c'est courant et c'est une initiative que vous encouragez justement
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alors c'est courant mais par contre il y a deux raisons soit ils viennent parce qu'effectivement ils repassent par là ils sont contents de revenir sur un lieu qui les a porté qui les accompagnés
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pendant quelques années et du coup c'est c'est le moment de retrouvailles assez sympathique soit au contraire ils viennent parce que après l'ITEP ils ont eu des parcours de vie extrêmement difficiles fait parfois de d'errance
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parfois d'incarcération et du coup reviennent en grande difficulté et là il faut qu'on trouve des solutions qu'on a développé un programme là depuis un an pour justement réussir à trouver
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les moyens de trouver des ressources à l'extérieur parce qu'on peut plus les accueillir quand ils ont 23 25 ans on a un obligation de suivi jusqu'à 3 ans mais voilà quand il reviennent on reste repéré comme un lieu ressource mais on a
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du mal à les orienter vers l'extérieur parce que un jeune de 25 ans qui porte un handicap psychique il y a beaucoup de lieux d'inclusion enfin pardon de réinsertion
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ou en fait les il y a des trous dans la raquette au niveau du dispositif national et ils ont du mal à intégrer ces dispositifs donc voilà on travaille sur cette question mais ça reste une question difficile et douloureuse je
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vous remercie en tout cas merci infiniment à tous les deux merci Jean-Baptiste c'est le rédacteur de ce dispositif ITEP de la papetière à Nantes et on embrasse tous les Nantais qui est président de l'Association des iteps et de tout leur réseau ses instituts
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thérapeutiques éducatifs pédagogique merci pour votre présentation ma chère Mathilde on se retrouve demain pour un tout nouveau numéro de school TV le Mac et je vous souhaite une excellente journée
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[Musique]
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