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bonjour et bienvenue à cette formation sur les contenus en éducation à la sexualité dans le programme d'étude culture et citoyenneté québécoise le présent enregistrement regroupe les contenus pour le primaire des formations spécifiques au Tron commun de
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l'éducation à la sexualité en culture et citoyenneté québécois pour le primaire et le secondaire ainsi que pour les contenus pour le secondaire sont aussi disponibles sur la chaîne de visionnement éducation Québec bon
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visionnement bienvenue à cette formation sur les contenants d'éducation à la sexualité au primaire dans le programme Culture et citoyeneté québécoise aujourd'hui la formation va être offerte par Angel Bouchard de
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l'équipe en éducation à la sexualité au ministère de l'éducation qui est sexologue et qui a étroitement contribué à l'élaboration ou à la transposition là des contenus obligatoires qui existaient déjà depuis 2018 dans le programme
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Culture et citoyeneté québécoise et par moi aussi hélè Charon donc qui suit la responsable du programme Culture citoyenneté québécoise mais qui est aussi chercheur spécialisé en histoire
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et en sociologie du genre et des inégalités entre les femmes et les hommes on va prendre quelques minutes pour commencer pour clarifier les intentions de la formation d'aujourd'hui pour que ce soit clair pour tout le monde de
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développer avec vous aussi certaines connaissances et notions sur associé au genre et au sexe et à la prévention de la violence dans le programme CCQ donc c'est important de comprendre que la
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formation d'aujourd'hui va pas aborder tous les contenus en éducation à la sexualité dans CCQ au primair he qu'on va pas non plus aborder toute la démarche en éducation à la sexualité en
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milieu scolaire qui peut être portée aussi par d'autres acteurs on le répète à chaque fois que les enseignants et les enseignantes de CCQ euh et qu'onorda pas non plus toutes les questions relatives à l'encadrement des situations en lien
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avec le genre à l'école et dont on a entendu beaucoup parler ces derniers temps et finalement c'est pas non plus l'occasion pour nous de vous donner des des outils didactiques clé en main ce matin notre rôle c'est vraiment de vous
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accompagner dans la compréhension du programme dans l'articulation entre les compétences et les éléments de contenu en éducation à la sexualité et non pas de vous alimenter donc en
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matériel pédagogique on sait que c'est un besoin puis il y a du matériel qui est en cours de préparation il y a des gens qui s'activent déjà à en produire aussi dans les milieux donc voilà et euh
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finalement je voulais on voulait vous dire aussi que le choix des deux thèmes qu'on a retenu aujourd'hui donc travailler les notions de sexe et de genre et les notions en lien avec la la prévention de la violence ça a été fait
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c choix là sur la base de nos observations des besoins des personnes qui ont participé au projet d'expérimentation du programme provisoire l'an dernier on a réalisé que c'était deux des éléments les plus importants les plus sensibles ou les
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plus complexes à aborder pour les enseignants et les enseignantes donc on a choisi de commencer les formations avec ça plan d'aujourd'hui donc ce qu'on va faire on va vraiment traverser les
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éléments de contenu en lien avec le sexe et le genre et les violences selon l'année pour les 6 années du primaire on va vous donner des exemples tout ça à travers pour ch chacune des années
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et donc dans cette dernière partie de la formation on va traverser les 6 années du programme CQ primaire en relevant les notions en lien avec le sexe et le genre ou la prévention des agressions
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sexuelles vous comprenez maintenant que elles sont très lié en donnant des précisions sur le sens et la portée des apprentissages qui sont attendus on va travailler par année pour montrer la cohérence des apprentissages dans une
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même année mais également le sens de leur leur progression d'une année à l'autre commençons avec la première année oui alors en première année les contenus
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en lien avec l'éducation la sexualité relatif à la prévention des agressions sexuelles sont surtout le attaché à la connaissance des besoins individuels donc en première année on
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met la table on veut pas faire comprendre des notions compliquées on veut présenter simplement dans un premier temps ce qu'est la sexualité et ces différentes dimensions que qu'elle
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comporte de manière adaptée à l'âge des enfants on peut donc expliquer aux élèves que la sexualité ben ça concerne le corps donc par exemple tout ce qui se rapporte au sens à
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l'hygiène ça comporte aussi les sentiments les émotions la façon dont on se perçoit et on se compare avec les autres personnes les relations qu'on a avec les autres la fierté qu'on éprouve
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d'être qui nous sommes et bien plus aborderz d'abord la globalité de la sexualité en fait c'est que ça permet de contextualiser l'éducation à la sexualité donc ça contribue à créer un
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climat favorable à l'introduction à d'autres sujets liés à la sexualité qui peuvent être plus difficiles comme ce qui concerne l'agression sexuelle donc de comprendre ce qu'est la sexualité à leur âge ça constitue une base pour la
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connaissance de soi aussi en abordant ces notions là en première année ben on amène les élèves à comprendre que la sexualité c'est un sujet dont on peut parler avec des adultes de confiance auprès de qui on
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peut se référer si on a des questions et le cas échéant à qui on pourrait confier avoir vécu une situation d'agression sexuelle par exemple en première année les élèves
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s'intéresse aux différents besoins individuels donc besoins physiques affectifs intellectuel ou spirituel par exemple qui sont satisfaits de différentes manières par différentes
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personnes dont les élèves eux c'est l'occasion pour les élèves de faire des apprentissages sur la question du besoin de sécurité et du besoin de protection des enfants entre autres vis-à-vis des agressions sexuelles donc
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de connaître son corps d'utiliser la bonne terminologie pour en parler et savoir reconnaître les émotions ainsi que les sensations qui sont agréables qui sont agréables ou désagréables ça contribue à la prévention de l'agression
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sexuelle on permet aux élèves d'élargir leur vocabulaire à ce sujet pour pour faciliter la recherche d'aide en cas de besoin ensuite au niveau des besoins individuels on amène les élèves
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tranquillement à savoir reconnaître leurs émotions et celles des autres à savoir identifier ce qui va à l'encontre de ses besoins ou de ce qu'ils ont envie dans leur dans leur relation avec les autres on les amène aussi à comprendre
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comment on peut affirmer ses besoins on aborde le tout en restant là très près de la réalité des élèves de stage là euh les élèves pourraient donner pour exemple un enfant qui demande à ses amis de
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demander la permission avant qu'on qu'on lui touche les cheveux ou qu'on lui fasse un câlin par exemple plus précisément en prière année en lien avec les agressions sexuelles les élèves doivent développer leur
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compréhension de gestes qui sont inacceptables pour savoir reconnaître une situation d'agression sexuelle on vient pas ici détailler tous les gestes possibles d'agression sexuelle mais on veut amener les élèves à être capable
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d'identifier ce qui est normal ce qui est adéquat et ce qui ne l'est pas pour contribuer donc à son besoin de protection comme on a parlé tout à l'heure et à son sentiment de sécurité on vient identifier des règles de
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sécurité des comportements d'autoprotection et des façons d'aller chercher de l'aide on peut partir de ce que les enfants connaissent déjà comme règles de sécurité dans d'autres contextes par
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exemple de porter un casque à vélo ou de regarder des deux côtés de la rue avant de la traverser on apprend aussi aux enfants dès un jeune âge à savoir quoi faire dans une situation d'incendie ou d'accident par exemple on peut donc ensuite les amener à trouver d'autres
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règles de sécurité pour des contextes qui seraient plus à risque d'agression sexuelle des règles de sécurité ça peut-être par exemple de en tout temps de dire à un adulte où est-ce que je
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vais avec qui quand est-ce que je vais revenir de prendre le même chemin au retour de l'école ou de ne pas accepter d'invitations pour suivre une personne sans la permission des parents on souhaite aussi que les élèves
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développent des stratégies d'autoprotection et de recherche d'aide pour savoir quoi faire s'il se retrouve dans une situation inconfortable ou dans laquelle il ne se sentent pas en sécurité ou qui se sent
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mélangé évidemment la responsabilité d'une agression sexuelle ça revient toujours à la personne qui commet le geste en question connaître ses stratégies d'autoprotection et être capable de reconnaître une situation
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d'agression seu c'est vraiment dans l'objectif d'augmenter le sentiment de sécurité des élèves et de faire en sorte de de diminuer la vulnérabilité des enfants à vivre cette situation là et aussi ben à
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faire en sorte que si jamais ils vivaent cette situation là qu'ils l'ont déjà vécu ben qu'ils soi capable d'aller chercher de l'aide euh pour de le pour leur venir en aide pour ce qui concerne la prévention
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de l'agression sexuelle dans le contexte de CCQ c'est certain qu'on mettra pas non plus les enfants dans une position là d'observation directe autour d'eux de la même manière que pour d'autres situations de la vie quotidienne il est
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possible de travailler à partir de mise en situation ce qui permet de maintenir une certaine distance et mieux contrôler ce sur quoi on travaille en se cant encore une fois au contexte de vie des élèves de cet âge-là parce qu'à cet
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âgelà on sait là la famille représente l'entourage vraiment premier des des enfants ben dans le même sens les statistiques nous indiquent malheureusement ben que dans la majorité des situations ou des les enfants vivent des agressions sexuelles ben c'est
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commis par une personne que l'enfant connaît donc on on évite de présenter uniquement là des situations qui implique des situations sensationnelles avec des inconnus dans un endroit somble par exemple on
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pourrait travailler à partir d'une mise en situation qui représente une situation problématique mais sans la détailler de manière approfondie par exemple on pourrait mettre en scène une connaissance de la famille un cousin ou
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une cousine une Gard enne qui fait jouer un jeu qui rend un enfant mal à l'aise qu'on lui demande de garder un secret qui le fait sentir mélangé ou qui implique des touché au niveau des parties sexuelles j'attire aussi votre
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attention que lorsqu'on aborde tout ça avec les élèves l'importe de leur rappeler qui n'est pas toujours facile de de réagir dans une situation d'agression sexuelle surtout si la personne qui commet les gestes c'est quelqu'un que l'enfant connaît c'est
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quelqu'un qui l'aime faut donc rappeler quand même aux élèves que même s'ils n'ont pas mis en place les stratégie d' d'autoprotection qu'on est en train de voir les règles de sécurité que c'est quand même jamais de leur faute si ce genre de situation leur est arrivé ou
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leur arrivver alors c'est tout pour la première année on passe en 2e année toujours dans le sous-thème de la connaissance de soi les élèves sont amenés à s'intéresser à la diversité des
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caractéristiques des personnes dans toutes leurs dimensions y compris le corps et les parties sexuelles et leurs fonctions donc globalement ces notions permettent aux élèves de connaître leur corps et de
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comprendre leur corps et de l'apprécier les enfants de cet âgeel sont naturellement curieux en ce qui concerne les parties sexuelles du corps et les différences entre les sexes enseigner les termes des parties du corps aux
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enfants y compris les termes des parties sexuelles ben ça leur permet de connaître leur corps de connaître ses fonctions de ses différentes parties mais aussi d'apprécier leur corps et de développer une image corporelle positive ça permet aussi d'élargir
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encore une fois le vocabulaire des enfants de les rendre capable d'utiliser les bons mots sans que ça soit un tabou de le faire et notamment ben s'il y a lieu pour décrire les gestes inappropriés qui pourrait vivre avec les
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bons mots puis de se faire comprendre par des adultes ça permet ensuite d'aborder la notion d'intimité euh avec les les parties sexuelles qui sont intimes qu'on appelle parfois les parties privées ou personnelles ensuite
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on peut aborder avec les élèves qu'avec le temps et par l'apprentissage de normes sociales l'enfant développe davantage sa pudeur il en arrive à fixer ses limites par rapport à son corps à ses parties sexuelles par exemple quand
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on on remarque que les enfants commencent à fermer la porte de la toilette pour ne pas être vu des autres puis aussi ben comment cette pudeur là cette intimité ce besoin d'intimité peut être différent selon différents contextes par exemple qu'on soit à la
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maison versus dans un endroit public en 2e année on commence aussi à aborder les notions en lien avec le sexe et le genre et en particulier à partir de la
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notion rôle sexuel et de genre dans la catégorie plus large des rôles dans la famille et à l'école donc qu'est-ce qu'on veut dire quand on aborde cette notionl les rôles sexuels et de genre
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sont définis dans le programme comme l'ensemble des attentes social attribué en fonction du sexe ou du genre relativement aux activités aux comportements et aux fonctions qu' on retient particulièrement les trois derniers mots activité comportement
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fonction quand on s'intéresse au rôle la première étape donc c'est d'aborder les rôles dans la famille et à l'école à partir essentiellement des différences entre les femmes et les hommes il s'agit i de faire prendre conscience aux élèves
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que les garçons et les filles autour d'eux font des choses différentes ont des comportements différents dans plusieurs contextes euh on peut faire aussi le lien avec les parties sexuelles dont on vient de parler et les
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différences dans la reproduction humaine par exemple que ce sont les femmes qui portent les les les enfants les bébés dans leur ventre mais c'est aussi observé donc que les les les femmes et les hommes sont plus nombreux à faire
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certaines choses par exemple que les les femmes sont plus nombreuses souvent parmi les enseignantes à l'école ou encore que les garçons et les filles jouent souvent à des jeux différents portent des vêtements différents ont des activités différentes par exemple dans
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la cour d'école il s'agit pas de venir justifier ces différen là au contraire mais d'amener les élèves à les constater d'abord puis avoir pu là je vous ramène à la compétence du premier cycle à
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travers la comparaison que ces différen là varie selon les milieux selon les contextes selon les époques et ça c'est ça ça permet donc c'est une première manière de faire comprendre aux élèves
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que ces différences générales là qu'on observe entre les sexes varient selon les milieux culturels et que malgré des différences général toutes les filles sont pas identiques comme les garçons d'ailleurs
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[Musique] en 3è année en fait on va poursuivre ces apprentissages là et on va aller un petit peu plus loin en abordant les notions de stéréotypes sexuel et de genre et de nbre de genre dans les
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éléments de contenu qui s rapportent donc vraiment une catégorie plus large sur les stéréotype et une catégorie élément de contenu plus large sur l'inclusion et l'exclusion donc en d'autres termes après avoir
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abordé les notions de rôle sexuel et de genre et constater des différences entre les sexes des différences réel qu'on peut observer avec nos yeux c'est possible de faire comprendre aux élèves la notion de stéréotype sexuel et de genre et plus particulièrement donc les
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les stéréotypes associés au féminin et au masculin dans le programme on défin les stéréotypes comme des représentations simplifiées ou déformées des idées préconçues largement partagées qui attribuent à une catégorie de sexe
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ou de genre des catégories des caractéristiques pardon qui sont sous-entendu comme étant naturel et qui font abstraction des caractéristiques particulières des individus des variations selon les contantexes c'est une grosse définition on peut dire plus
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simplement donc que les stéréotypes sont des généralisations abusives ou des caricatures qui tendent à faire penser que tout un groupe les femmes les hommes ou tout autre catégorie de genre est identique et que c'est les
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caractéristiques de ce qui sont attribuées à ce groul serait naturel il a certaines différen certaines idées sur les différences entre les sexes qui sont des stéréotypes c'est-à-dire des représentations qui correspondent pas à la réalité
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d'aujourd'hui qui sont des caricatures qui tiennent pas compte des changements ou qui généralisent à outrance ou qui sont fausses par exemple dire que les filles aiment pas le sport ou les sports de contact ou dire que les garçons par
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exemple ser sont moins sensibles que les filles statistiquement c'est vrai que les filles sont moins nombreuses dans plusieurs sports de contact d'ailleurs aujourd'hui il y a des nouvelles données de Statistique Canada qui confirme encore que les les filles font
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l'activité physique les filles font moins d'activité physique que les garçons on sait aussi c'est vrai que les garçons apprennent encore souvent moins à il apprennent en fait encore davantage
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à refrainer leur pleur que les filles à travers toutes leur socialisation mais la généralisation de cette idéelà à toutes les filles ou à toutes les garçons devient un stéréotype qui est inexact les stéréotype ça peut faire
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croire euh aux personnes que euh qu'elles peuvent pas être ou faire ce qui est différent du stéréotype associé à leur groupe et donc générer un inconfort ou une pression à se conformer
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au stéréotypes ou encore euh ça peut avoir un effet sur les performances des personnes on appelle ça la menace du stéréotype puis on le sait il y a beaucoup de recherches qui portent là-dessus notamment dans le domaine des maths euh et en lien avec les
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performances des filles il y a plusieurs recherches expérimentales qui ont été réalisées sur des jeunes et qui on permis de constater que quand un test est présenté comme un test de géométrie ou de dessin ça fait varier les
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performances des filles qui souvent pensent qu'elles sont moins bonnes en math que les garçons peut-être que ça tend à changé là mais en tout cas les recherches qu'on a en ce moment nous disent ça quand c'est présenté comme un thestse de dessin alors là leurs
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performances sont sont sont vraiment meilleur les recherches montrent aussi que quand les filles se font dire avant de réaliser le test que les filles et les garçons réussissent également ben leurs performances sont moins affecté justement par par le la menace du
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stéréotype donc c'est vraiment intéressant ça nous permet de comprendre que travailler les stéréotypes c'est très important finalement pour limiter le leur pouvoir sur les personnes puis permettre comme je l'expliquéis au début
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de comprendre que il y a certaines idées qui existent mais en en prenant conscience ben ça nous ça ça permet de comprendre la marge de manœuvre qui qui est la nôtre pour ne pas y adhérer ou en tout cas limiter les effets sur
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soi en 3è année donc en même temps que les stéréotypes on aborde aussi la question des normes de genre qui sont lié là comme vous vous le vous l'avez sûrement compris avec l'idée de la menace du stéréotype dans
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le programme on définit les normes comme des règles et des manières de penser ou d'être attendu plus ou moins formellement dans la société à l'endroit des catégories de sexe ou de genre donc les normes c'est beaucoup plus large que
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les stéréotypes mais ceuxci donc les stéréotypes peuvent agir comme des normes quand il sous-entendent une attente de comportement euh de préférence ou d'attitude par exemple l'observation
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vraie que les filles sont moins nombreuses dans certains sports devient une norme quand on pense que c'est normal que les filles aiment pas ces sports là ou aiment pas les sports de contact parce qu'elles sont des filles ou l'idée que certains sports sont pas
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faits pour les filles euh à propos des garçons si on pense au-delà des différences qu'on peut observer justement dans l'expression des sentiments si on on en vient à penser que les garçons où les hommes doivent
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pas pleurer mais on passe de l'observation au stéréotype jusqu'à la norme les normes donc peuvent servir de transmission à des comportements positifs on l'a vu notamment en
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prévention de la violence on le voit aussi pour tout ce qui sont ce que sont les règles de sécurité notamment en vélo en voiture par exemple mais elles peuvent
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aussi contribuer les normes en fait ell contribuent aussi à reproduire les inégal don celle entre les sexes et entre et de genre quand cont quand ell viennent finalement limiter les possibilités pour un groupe ou un autre
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les normes ça comprend toujours des prescriptions des recommandations de manière implicite ou explicite de manière explicite c'est quand c'est dans des règles mais de manière implicite c'est quand ces normes là sont véhiculées dans le groupe sans
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qu'elles soit écrite nulle part le non respect des normes c'est toujours associé à des conséquences pour les personnes ça peut être des cons assez banal en tout cas ou ça peut aller
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jusqu'à l'exclusion des dans d'un groupe c'est pourquoi donc la notion nombre de Gen dans le programme se retrouve dans l'élément de contenu plus large inclusion et exclusion en 3e année parce que c'est dans c'est vraiment un
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contexte d'apprentissage pertinent pour aborder ces notionsl c'est signifiant pour les élèves de 3e année qui apprennent justement à fonctionner dans des groupes de pairres où les normes de genre sont bien présentes notamment à
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travers le jeu donc on vous a fait un petit tableau récapitulatif juste pour comprendre les différences entre des observations réel que les élèves peuvent faire souvent en 2è année on leur demande d'observer les
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différences en 3e année on aborde la notion de stéréotype et de norme donc pour distinguer les trois donc affirmer que les filles sont moins nombreuses à pratiquer certains sports c'est vrai ça s'observe dans la cour d'école ça s'observe à travers les statistiques
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mais en en mais dire que les filles n'aiment pas certains sports c'est une général ation abusive pu que certains sports ne sont pas faits pour les filles ça nous amène pratiquement jusqu'à la norme c'est-à-dire ça implicitement ça nous dit que certaines filles ne devrai
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pas pratiquer certains sports pour ce qui est des garçons quand on dit que les garçons expriment par exemple moins spontanément leur sentiment de peur ou de tristesse avec les pleurs que les filles on peut faire des observations empiriques en ce sens-là mais quand on
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dit que les garçons sont moins sensibles que les filles là on tombe dans un stéréotype pu si on dit que les garçons doivent pas pleurer ben là on est vraiment dans l'expression d'une norme donc comprendre la progression de ces élémentsl permet justement de pas nier
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les différences qui existent entre les garçons et les filles de bien comprendre la différence entre les deux et le pouvoir finalement des stéréotypes et des normes sur les les personnes donc en 3e année on poursuit
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aussi les éléments de contenu relative à la prévention des agressions sexuelles donc en 3e année on aller un petit peu plus loin dans ce que veut dire une limite personnelle et qu'est-ce
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que ça veut dire dans différents contextes et dans différentes relations on verra aussi qu'il y a des limites qui peuvent être imposées par exemple au niveau des règles de classe ou des règles dans la famille et qu'il y en a
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d'autres qu'on peut établir soi-même par exemple de ne pas vouloir se changer devant les autres dans le vestiare ou vouloir passer un moment seul pendant la récréation parce qu'on a eu une journée
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difficile donc à cet âge ce ce ne sont pas tous les enfants qui savent qu'ils ont le droit de mettre des limites de savoir en fait les identifier peut-être un défi en soi également dans le même sens ce peut aussi être difficile de
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reconnaître et de respecter les limites de l'autre par exemple quand j'ai un ou une ami qui refuse de jouer au sport ou au jeux qu'on souhaitait faire avec lui il y a aussi des liens intéressants qui peuvent être fait entre les stéréotypes
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sexuels et de genre et les effets qu'ils peuvent avoir sur les attentes et la CAPAC à respecter les limites de l'autre par exemple quand on répond à une fille que Ben les garçons ça ça agacer les filles laissent le faire et
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ignorele on peut ensuite venir établir qu'il y a certaines limites qui sont claires qui sont même identifiées par la loi et qui existe pour protéger les enfants c'est le qu qui concerne des
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gestes ou des actions qui sont des agressions sexuel donc plus précisément en lien avec ce sujet là en 3e année on prend et on renforce ce qu'on a déjà vu en première année au niveau de la
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prévention de l'agression sexuelle en tenant compte de nouveaux contextes de vie que les élèves peuvent vivre à cet âge donc c'est normal que les notions soient presque les mêmes de la manière qu'elles sont identifiées en prière en
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3e et 5e année parce qu'on les on les approfondit toujours davantage et les élèves ne sont pas à la même place donc les élèves vont comprendre et assimiler les information aussi différemment et on les travaille à partir de contexte un
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peu différent donc il son en 3e année à cet âge les enfants intègrent davantage d'activités en dehors de la famille leur entourage est donc plus diversifié que ce soit en lien avec le fait de visiter
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par exemple des nouveaux amis à leur maison de prendre des cours d'heur après l'école ou de faire partie d'une équipe sportive par exemple donc à nouveau on ve amener les élèves à être capablees de reconnaître
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différentes formes d'agression sexuelle en élargissant le spectre des différentes situations que les les enfants peuvent vivre on va à nouveau aborder les règles de sécurité préventiv et les stratégies d'autoprotection mais en 3è année on va aller un petit peu
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plus loin avec les élèves en réfléchissant à pourquoi il peut être difficile d'appliquer euh certaines de ces règles de sécuritélà dans certaines situations on pourrait à ce moment-là intégrer des mises en situations qui
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tiennent compte de ces contextes faire ressortir les émotions qui peuvent être ressenties et qu'est-ce qui peut être mis en tension dans cette situation exemple de situation pourrait être qu'un enfant est en train de jouer au parc et
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puis il s'est mis à pleuvoir au moment de rentrer et à ce moment-là il y a une personne qui cet enfant av déjà rencontré quelquefois en marchant dans la rue qui propose de le raccompagner chez lui en auto on pe leur questionner
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les élèves sur ce que l'enfant pourrait faire dans cette situation est-ce qu'il y a des règles de sécurité qui pourraient être appliqué et pourquoi ça pourrait être difficile de les appliquer donc ces éléments servent en fait à prendre conscience des billets ou des
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réflexions qui tendent à à minimiser les situations à risque pour mieux les déconstruire avec les élèves donc certaines réflexions pourraient faire en sorte que comme enfant dans cette mise en situation on pour avoir de la
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difficulté à appliquer les règles de sécurité par exemple de se dire ben ah ça pourrait aller plus vite ça éviterait d'être trempé la personne me semble gentille ou parce que je veux pas refuser au risque de déplaire à la
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personne donc dans un même ordre dans un même ordre d'idée on pourit aussi se questionner sur pourquoi ça peut être difficile des fois d'aller chercher de l'aide quand on a des limites personnelles qui sont pas respecté ou qu'on se sent pas bien dans une
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situation on peut avoir des réponses comme j'hésite à aller chercher de à aller en parler à un adulte parce que j'ai peur des conséquences j'ai pe des conséquences pour moi ou peut-être pour une autre personne euh je me sens
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mélangé je me sens gêné d'en parler ou parce que quelqu'un nous a dit de ne pas en parler ou nous a fait des menaces par exemple donc à nouveau euh je le répète il est important de préciser aux élèves
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encore une fois que même s'ils n'ont pas mis en place ces stratégies que c'est quand même jamais leur faute si une situation d'agression sexuelle leur arrivit à la parole un instant pour dire
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que ce qui est vraiment intéressant avec ce que vient de présenter Anne Julie c'est qu'il y a des liin très claires avec la compétence 2e cycle au primaire où on ajoute des nouveaux savoir-faire he qui peuvent être mobilisé dans ce
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genre de mise en situation là dans dans le cadre desquelles on amène progressivement les enfants à comprendre ce que c'est un repère euh on les amène à examiner différents points de vue donc on on peut travailler avec eux justement
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les différents arguments les différentes idées qui sont suggérées tout simplement mais aussi les connaissances en lien avec les stratégies d'autoprotection puis la place des émotions dans ces situationsl fait qu'un mise en situation
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comme ça peut nous permettre d'aborder les différentes composantes de la compétence pour amener les élèves justement à à à à la développer progressivement et même si on naborde pas constamment la compétence dans les
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contenus je vous rappelle l'importance de toujours travailler ces contenus là dans les compétences et d'assister à la formation sur la la la compétence au primaires qui va avir un petit peu plus tard cet automne justement pour poursuivre cette cette
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réflexion alors les apprentissages se poursuivent en 4e année en lien avec la prévention des agressions sexuelles de manière disons un peu plus positive en en approfondissant les notions d'amitié et
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d'amour donc à cet âge en 4e année les interactions avec les pères se diversifient et se complexifient mais bien que les enfants puissent avoir des sentiments amoureux à
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l'endroit d'un père mais c'est quand même pas avant l'arrivée de la puberté que ces sentiments vont être accompagnés de manifestation d'attirance ou se concrétiser en une interaction avec un partenaire
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potentiel en 4e année il y a une continuité avec ce qui étaé vu en 3e année où on abordait les limites personnelles ici on peut l'aborder sous l'angle de l'exploration des limites personnelles dans les relations amicales avec les
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autres et aussi au sujet de l'établissement de relation égalitair les représentations des enfants sur l'amour et l'amitié se construit surtout à partir de messages
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et d'images véhiculé dans l'entourage des enfants que ce soit au niveau de la famille à l'école dans les médias et à partir de leurs expériences pour certains enfants qui vivent des expériences difficiles sur le
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plan familial ou avec leur père l'amour ou l'amitié peut être source d'émotion plus négative de tristesse ou d'inquiétude ces enfants peuvent aussi avoir la plus de difficultés à entrer en relation et àer des liens avec les
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autres donc l'amitié l'amour n'est pas vécu ou observer de la même manière pour tous les enfants de réfléchir aux relations d'amitié d'amour et aux relations égalitaires sera d'autant plus utile pour ses élèves qui ont besoin de
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développer les habilités nécessaires pour se faire des amis ou vivre des expériences relationnelles qui vont être positives on amène les élèves à construire donc des connaissances sur
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les attitudes ou les comportements qui facilitent la bonne entente et lesquels qui vont à l'inverse nuire la bonne entente par exemple des comportements qui qu'on sait pe faciliter la bonne
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entente sont d'accepter qu'il y a des opinions différentes des nôtres de comprendre le point de vue des autres et d'en tenir compte de reconnaître les émotions et les besoins des autres de reconnaître que ces actes peuvent avoir
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un effet sur les autres des comportements à l'inverse qui peuvent nuir on peut penser au fait de faire preu de possessivité ou de contrôle dans ses relations d'exclure ou de rejeter de
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lancer une rumeur pour nuir ou pour dévaloriser les conflits que l'amour et l'amitié génè là doivent aussi faire l'objet d'attention parce qu'ils peuvent être àappparent pour les élèves à cet âge là donc c'est l'occasion ici en CCQ
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de s'intéresser aux différents moyens qui existent pour gérer les mésententes et les conflits il n'existe pas qu'une seule façon de les gérer donc la compétence en CCQ peut être utile pour apprendre à
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considérer les émotions identifier des divergences et des tensions pour comparer des points de vue dialoguer en contexte de mes ententes et de conflits donc observe aussi qu'il y a plusieurs
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manières d'aborder une situation faut dire que le développement de ses connaissances et de ses savoir-faire contribueront au développement de abileté sociale en lien avec l'amitié et l'amour qui joue un
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rôle important dans l'adoption de modes relationnel qui seront positifs pour les élèves tout au long de leur vie donc ces connaissances et ses comportements sont utiles pendant l'enfance mais ce qu'on sait c'est que ça va être aussi utile plus tard au moment des première
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relation amoureuse à l'adolescence ou plus tard et contribuera par le fait même à prévenir des situations de de violence en contexte de relation amoureuse il y a aussi des liens pertinents qui peuvent être faits entre
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les stéréotypes les normes de genre et les relations interpersonnelles notamment comment le sexe et le genre influence les amitiés qui se créent effectivement l'amitié et l'amour sont des réalités qui sont extrêmement
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genées et donc dans la continuité des apprentissages de 2e et 3e année les élèves de 4e année vont aborder maintenant la dimension inégalitaire du genre donc on se rappelle en 2e et en 3e
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anné é on a abordé successivement les rôles de sexès de genre les stéréotypes et les normes de genre et puis on insait beaucoup là sur les normes dans un contexte d'inclusion et d'exclusion ce qui nous permet justement de remobiliser
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l' 4e année autour de de de réflexion sur l'amitié et l'amour en 4e année donc on va un petit peu plus loin en élargissant le regard puis en reliant les normes de genre aux inégalités de sexe et de genre plus
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largement on amène les élèves à comprendre en fait que l'inégalité de manière simple c'est le traitement différent inégal entre les femmes et les hommes ou entre différentes catégories de gens dans
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notre société et on peut faire de façon simple en suivant justement aussi les exemples que je vous ai offert tout à l'heure c'est-à-dire que par exemple en lien avec le sport on peut amener les
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élèves en 4e année à prendre conscience que les femmes qui font du sport professionnel sont souvent moins bien payé que les hommes qui en font donc avec des exemples qui qui peuvent référer à l'univers culturel qui qui
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intéresse ou qui est visible pour les pour les élèves on peut aussi amener les élèves à à prendre conscience que les femmes gagnent moins d'argent dans dans la société aussi en lien avec le fait qu'elle s'occupe davantage des enfants
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des personnes des personnes âgés et que donc ça ça a des lien sur le niveau de richesse les personnes LGBTQ aussi vivent plus de violence et de détresse psychologique donc d'aborder l'idée
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qu'il existe des inégalités qui affectent ces les personnes ça permet ensuite de de comprendre l'importance des notions de droit qui vont pouvoir être abordées plus tard donc aborder cette questionl des inégalités c'est
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déjà traiter les relations entre les groupes plutôt qu'entre les individus uniquement c'est de permettre progressivement aux élèves de comprendre que même s'il y a des stéréoype associé à la masculinité euh qui peuvent entretenir les
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inégalités et qui peuvent susciter des inconforts chez les chez les garçons notamment en limitant leur possibilités euh c'est les amener à prendre conscience progressivement que les les hommes comme groupe social à l'échelle
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de la société vivent pas d'inégalité de genre même si les individus peuvent vivre négativement certains effets de ces stéréotypes là donc on les amène progressivement à élargir le spectre de
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leurs observations puis on prend on fait attention quand même de rester proche des élèves puisquen en 4e année on est quand même au 2e cycle donc on on on s'intéresse à des réalités qui peuvent observer dans leur env envonnement
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culturel élargi et en 5e année donc on poursuit et avant d'aborder justement les notions d'identité on a travaillé un petit peu les inégalités pour garder une vision de
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l'identité aussi plus pas juste ramené à l'échelle individuelle et donc on va aborder en 5e année la notion d'identité de sexe et de genre mais dans le cadre plus vaste du contenu de formation
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intitulé dimension de l'identité donc en 5e année c'est important de dire qu'on ne parle pas seulement d'identité de sexe et de genre comme je viens de le dire mais qu'on parle de façon plus large des différentes dimensions de l'identité ce qu'on veut en fait c'est
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de faire prendre conscient qu'on veut que chaque élève puisse comprendre que chaque dimension de son identité est importante on ne met pas le focus en particulier sur le sexe et le genre la définition de l'identité qui est
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présente dans le programme du secondaire le programme CCQ secondaire c'est la suivante en fait l'identité c'est les caractéristiques et les attributs qui nous constituent comme individus ou comme groupe parce que l'identité ça peut être individuelle effectivement on
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la ramène souvent à ça mais c'est aussi collectif l'identité dans les deux cas ça se construit à travers les relations qu'on a avec les autres et euh parce qu'on on peut on construit jamais notre
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identité indépendamment du regard que les autres portent sur nous les deux sont interdépendentss et d'avoir abordé donc des notions de norme auparavant nous permet justement d'avoir une vision de l'identité qui est un peu plus qui
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est un peu plus large donc dans CCQ pour ce qui est de l'identité relative au sexe et au genre voici donc comment le programme l'a défini l'identité de sexe et de genre
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c'est la conscience ou la conviction d'appartenir ou non à l'un à l'une ou l'autre des catégories de sexe et de genre on comprend donc que chaque personne a une identité de sexe et de genre et que cette dimension concerne tout le monde pas seulement les
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personnes qui se reconnaissent pas dans les principales catégories euh c'est important d'aborder cette notion là en parant des identités féminines et masculinees avant d'aborder les autres identités de genre enfit il faut pas
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aller trop dans les détails surtout en 5e année mais surtout de faire prendre conscience aux élèves qu'il y a des personnes qui s'identifient pas aux catégories majoritaires d'être dans une posture compréhensive de la réalité
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d'aujourd'hui en s'appuyant sur les connaissances valides des travaux sérieux pour parler de ces questionslà et pas seulement à partir de discours de sensibilisation dans le cadre de l'enseignement de CCQ on demande jamais
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c'est un rappel de de du début de la formation mais on ne demande jamais aux élèves de se positionner du point de vue de leur sexe ou de leur genre et on naborde pas directement la vie personnelle des élèves donc on leur
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permet de développer des connaissances valide sur cet aspect de l'identité qui est très importante et donc on va pas trop loin comme je viens de le dire car il s'agit surtout d'aborder l'idée qu'on a plusieurs dimensions à notre identité
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et donc de toujours avoir le réflexe de revenir aux éléments de contenu plus généraux pour saisir dans quoi ces notions là s'inscrivent pour comprendre le sens des apprentissages à réaliser je rappelle aussi que c'est important de
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pas valoriser une une identité de genre plutôt qu'une autre qu'on fait pas la promotion de rien mais qu'on développe des connaissances en CCQ c'est important de le dire aussi hein on n'est pas en psychologie mais les deux assises du
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programme c'est vraiment la sociologie et l'éthique le développement de la pensée critique évidemment quand on aborde une notion d'identité de sexe et de Gen c'est intéressant de refaire le lien avec les stéréotypes les normes et
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les inégalités vu précédemment pour préparer comme je le disais la 6e année où le sexe et le genre vont être abordés d'abord sous l'angle de des droits et de la discrimination en 5e année on retrouve
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aussi des notions en lien avec la prévention des AGR sexuelle d'abord en lien avec la transition vers l'adolescence donc en 5e année encore une fois on renforce les apprentissages
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qui ont été fait en première année en 3e année à propos de la reconnaissance d'une situation d'agression sexuelle des règles de sécurité préventiv et des stratégies d'autoprotection mais encore une fois en élargissant les contextes
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qui requièrent une attention en lien avec la sécurité personnelle donc à cet âge l'accroissement de l'autonomie des enfant se poursuit elle se traduit par des contacts avec un plus grand nombre
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de personnes et d'environnement par des contacts fréquents avec les pères par plusieurs périodes sans surveillance et par une plus grande utilisation d'Internet alors on s'intéresse à comment se vit la sécurité personnelle
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dans ces nouveaux contextes ainsi que les formes que peuvent prendre la violence sexuelle en contexte virtuel sur ce dernier point on peut se questionner aussi sur les sur les similarités et la différence entre les
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relations en ligne et hors ligne puis on peut on peut réfléchir à comment les règles de sécurité qu'on a déjà appris peuvent s'appliquer dans ces contextes par exemple tout ce qui concerne la protection des informations personnelles
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ou autour du fait de vouloir rencontrer une personne qu'on a rencontré de manière virtuelle uniquement aussi plusieurs élèves débutent leur puberté en 5e année ce qui s'accompagne de plusieurs changements
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dont les éveils amoureux et sexuel qui arrive progressivement donc la dimension sexuelle commence graduellement à prendre de l'importance dans la dynamique relationnelle des préadolescentes et des
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préadolescents donc en 5e année aussi un autre ajout par rapport à ce qui étaé vu en prévention de l'agression sexuelle en 3e année ce sont les bases du consentement sexuel comme le consentement sexuel
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n'est pas possible pour les enfants de moins de 12 ans incluant un contexte virtuel il convient de ne pas traiter de ce sujet comme on le ferait au secondaire par exemple donc il est pas nécessaire de détailler l'ensemble des
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critères liés au consentement ni de réfléchir à des situations qui sont trop éloignées de la réalité de la majorité des élèves de cet âge mais les élèves doivent aussi comprendre qu'au Canada dès l'âge de 12 ans quand même un
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adolescent peut être tenu responsable des gestes criminels qu'il pose donc on viendra définir ce que veut dire la notion de consentement les principaux notamment à propos de l'âge du
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consentement et de manière générale des contextes qui rendent impossible le consentement donc on pense à une situation qui implique une personne en situation d'autorité comme un ou une entraîneur sportif ou un enseignant ou
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une enseignante en 6e année les éléments du contenu image corporelle représentation de so de soin en ligne et sécurité en ligne sont également propisses à des
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Apprentiss en lien avec la prévention des agressions sexuelles donc il y a beaucoup de continuité là comme je dis en 6e année avec ce qui été vu en 5e année à partir des sous-thèmes liés à l'identité au
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rapport au numérique on va V réfléchir de manière plus approfondie aux frontières entre l'espace privé et public en contexte numérique dans ce contexte c'est encore une fois une une
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occasion privilégiée de renforcer les apprentissages au niveau de la sécurité personn en ligne donc comment se représenter en ligne en maintenant une sécurité personnelle et comment aussi à la préadolescence et à l'adolescence ça
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peut entrer en contradiction parfois avec d'autres normes ou d'autres désirs qu'on peut vivre donc par exemple avoir envie de c'est des connexions avec des pères en ligne en se dévoilant même si parfois on ne jamais rencontré cette
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personne ou que son identité n'est pas connu ou on est ou n'est pas confirmé on comprend donc ici que les outils de la compétence de réflexions critiques sont particulièrement utiles pour conduire les apprentissages à ce
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sujet trouit aussi important de souligner les notions liées à l'image corporelle prévu en 6e année puisque comprendre comment se construit l'image corporelle et comprendre les effets
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positifs d'une image corporelle sur la prévention de la violence mais c'est vraiment un facteur de protection tant au niveau de la victimisation que de la perpétration de la violence sexuelle ou de la violence dans les relations amoureuses
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le début de la puberté et le rythme de développement diffère d'un enfant à l'autre puisque la puberté débute en moyenne vers le 11 ans chez les corps féminins vers 12 ans pour les corps masculins il est possible que plusieurs
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élèves vivent des changements pubertaires durant donc la 6e année les normes corporelles occupent une place plus importante dans un contexte où le corps est en changement et alors que aussi le désir de plaire à l'autre
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augmente avec la puberté l'adoption d'une attitude positive à l'égard de son corps contribue à l'estime personnelle puis c'est intéressant de voir avec les élèves comment l'attitude qu'ont les enfants par rapport à leur corps B peut
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être influencé notamment par leur capacité à privoiser les changements qui sont liés à la puberté à reconnaître que chaque corps à son propre rythme de développement qu'il existe une diversité de formats corporell qu'il y a aussi
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certains facteurs qui déterminent l'apparence qui ne dépendent pas de nous comme l'hérédité alors qu'il est possible d'agir sur d'autres facteurs qui peuvent influencer l'apparence et le bien-être comme la santé je veux dire
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comme l'hygiène le sommeil ou l'activité physique donc la notion de norme de genre aussi à ce moment-ci peut-être remobilisé pour comprendre comment les exigences et les pressions ne sont pas les même pour les filles et pour les
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garçons euh particulièrement dans ce contexte là où où les corps sont en changement donc en 6e année on poursuit aussi les apprentissages directement en lien avec le sexe c'est le genre par le BIA des
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droits donc les apprentissages qu'on fait en 6e année en lien avec ça s'inscriv encore une fois dans un dans un contenu de formation qui est plus large qui aborde vraiment de
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façon plus large la question des droits on parle pas donc uniquement des droits en lien avec le sexe ou le genre dans cette durant la 6e année mais vraiment c'est un élément parmi d'autres donc la
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notion de droit et de ation se rapporte au domaine juridique c'est important en 6e année de commencer à faire comprendre aux élèves ce que ça veut dire parce que ils peuvent avoir tendance à à confondre désir et droit ou avoir toute forme
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d'injustice comme de la discrimination ces notions là vont êtreevu de façon plus approfondie au secondaire donc c'est surtout une première initiation puis c'est vraiment l'occasion l' 6e année de les aborder de façon plus
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général sans aller trop loin encore une fois la discrimination c'est selon la Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse le fait de traiter une personne différemment en raison de ses caractéristiques
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personnelles et de l'empêcher d'exercer ses droits c'est donc pas juste traiter une personne différemment parce que plusieurs situations peuvent justifier un traitement différent notamment pour exercer ses droits on peut parler par
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exemple en en contexte scolaire c'est des plans d'intervention qui donnent du tierts par exemple qui permet justement aux élèves d'exercer leur droit ou encore il y a certains traitements différenciés qui peuvent avoir aucun
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effet sur l'exercice des droits les motifs interdits de discrimination sont prévus à la Charte des droits et libertés de la personne et le sexe l'identité ou l'expression de genre la grossesse et l'orientation sexuelle en
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font partie font partie donc des motifs interdit discrimination en lien avec le sexe et le genre dans l'enseignement de CCQ c'est pertinent de faire un lien ici avec l'idée de avec la les notions de
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stéréotype et de préjugés qui sont souvent présentes dans des situations de discrimination globalement donc l'objectif c'est de permettre aux élèves de reconnaître leurs droits de façon générale et de
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reconnaître aussi des situations de discrimination et d'être capable de les distinguer de d'autres situations qui peuvent être désagréables inconfortables injustes mais qui sont pas nécessairement des situations de discrimination
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vous venez de visionner la présentation des contenus en éducation à la sexualité pour le programme Culture et citoyenneté québécoise au primaire les présentations sur le Tron commun des contenus en éducation la sexualité ainsi que sur les
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contenus du secondaire sont aussi disponibles sur la chaîne de visionnement du ministère de l'Éducation éducation Québec
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