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bienvenue à vous tous c'est toujours très étrange de parler voilà un écran en sachant qu'il ya autant de monde derrière mais en tout cas soyez les bienvenus je suis ravi de venir passer ce moment avec vous et
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voilà de poser plusieurs concepts et d'essayer de voilà de cheminer avec vous pour que vous puissiez d'abord voilà entamer cette nouvelle année un peu particulière dans de bonnes conditions et puis de de
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vous donner plusieurs pistes de réflexion évidemment donc alors c'est en lien étroit avec le travail que vous a présenté catherine gaigne hier puisque
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de l'auto ont pâti on va passer sur le soin de soi prendre soin de l'autre alors prendre soin d'en dans les situations d'apprentissage bien évidemment et dans les expériences que
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j'ai pu avoir moi par rapport à ma situation d'enseignante montée syrienne il y a plusieurs années en arrière dans des dans un jardin d'enfants et puis tout un travail avec plusieurs écoles
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d'accompagnement d'enseignants et d'atsem autour d'eux voilà la posture de l'adulte est ce que peut représenter cette posture dans des situations d'apprentissage donc c'est vrai que voilà le contexte
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est un petit peu particulier et que on va d'abord partir de ce contexte là je pense que c'est important parce que toutes les situations enfin tous les témoignages que je peux vous
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apporter ou toute la réflexion que je peux avoir sera toujours attaché à un contexte je pense que aujourd'hui plus que plus qu'avant peut-être c'est important de ne pas oublier le contexte
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dans lequel on se trouve dans un contexte global et actuel qui est très complexe où cette pandémie mondiale nous à voile a arrêté j'ai presque envie ans plaît arrêter en plein élan j'ai envie
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de vous dire avec des directives qui sont très complexes des directives qui sont contradictoires qui sont difficiles pour vous tous et on en est tout à fait conscient et puis on va
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faire du mois à partir d'un point de vue macro c'est à dire que on a ce contexte global avec la pandémie avec toutes ces mesures qui ont été redonnés qui n'arrête pas de bouger en fait un et qui
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sont très complexes pour vous qui travaillait directement avec les enfants avec les collégiens avec les lycéens il ya aussi avec tout ce contexte là l'éducation nationale qui est une institution le
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sait avec ses codes ses repères avec son histoire aussi avec voilà des des mouvements pédagogiques à l'intérieur qui sont qui sont là qui sont réelles ça bouge les lignes bougent
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mais c'est très compliqué et puis vous avez les collèges les lycées les écoles aussi avec des groupes d'enfants de deux petits enfants qui arrivent donc pour la première fois à l'école et puis des
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adolescents avec voilà leur mode de fonctionnement leurs attentes aussi et vous enseignant avec toute une équipe de professionnels des atsem des professionnels de la vie scolaire dans
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des contextes aussi qu'ils sont tous très spécifique c'est-à-dire que vous avez un contexte architectural avec certaines écoles certains lycées qui sont très grands très moderne d'autres
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qui le sont moins des contextes sociaux qui sont complexes aussi quelle que soit du reste la région dans laquelle on se trouve donc avec des histoires aussi institutionnels et puis voilà on va
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rentrer le haut au plus près de vous de vos pratiques avec une classe des enfants des adolescents vous professionnel qui accompagnaient ces enfants et ces adolescents plusieurs
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heures par jour avec des périodes plus ou moins faciles dans autant de par rapport à l'année aussi un pas que les enfants reviennent de vacances est un petit peu différent quand ils sont en cours
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d'année c'est aussi autre chose donc tous les jours sont un petit peu différent et puis des besoins incontournable qui sont là et c'est besoin incontournable dans ce contexte là dans lequel on se trouve
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son tour au tour principalement de la sécurité affective au coeur d'un collectif d'enfants d'adolescents et d'adultes c'est à dire que je pense que pour que les situations d'apprentissage puisse se mettre en place pour que
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il y ait quelque chose de l'ordre de 2 de la bienveillance évidemment et de cette notion de bientraitance j'ai envie de dire cette notion de bientraitance elle et elle est un petit peu tarte à la crème parce qu'en fait pour se rassurer
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dans tous les projets on va écrire cette notion de bientraitance on va écrire ce mot de bientraitance mais finalement comment on va le faire vivre et qu'est-ce qui peut parasiter un peu cette notion de bientraitance donc je
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vous invite vraiment là aujourd'hui a essayé de décrypter ça comment alors qu'on est tous conscients de la complexité de dans laquelle vous vous trouvez et la complexité de ce que c'est
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que d'amener les enfants dans cette situation d'apprentissage quel que soit leur âge j'ai envie de dire comment effectivement on va arriver à travailler la racine même le fondement même de
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cette capacité d'apprentissage et cette capacité est ce sens qu'on peut donner à la bientraitance par rapport à cette sécurité affective alors c'est un équilibre j'aime beaucoup ce graphisme
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là je trouve que c'est un équilibre qui est très très difficile à trouver en fait parce que vous êtes vous enseignant avec voalavo vos compétences réelles qui
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évidemment vos votre sensibilité votre manière de fonctionner puis vous allez vous retrouver avec un groupe d'élèves qu'il soit petit ou moins petit avec leur propre histoire leur propre
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sensibilité leur propre compétence aussi est en fait il faut que cette alchimie elle puisse se mettre en place et que vous puissiez écrire ensemble cette cette démarche d'apprentissage
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est ce cet accompagnement qui est indispensable et cet accompagnement ne peut se faire que si effectivement il y a une bonne sécurité affective la bientraitance constante celle qu'on voudrait voilà qui
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est écrit dans les livres j'ai envie de dire elle est très difficile à maintenir je mets vraiment au défi un enseignant éducateur voilà au sens large qui pourrait se dire je suis dans cette bientraitance
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constante poser régulière tout au long de la journée sans faille j'ai envie de dire en fait c'est pas possible parce que d'abord la fatigue des enseignants des enfants les
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exigences les contextes aussi divers que nombreux vont se cumuler tout au long de tout au long de l'année selon la journée aussi et il ya en fait c'est point de basculer ces points de bascule sont extrêmement intéressants à observer à
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analyser alors évidemment il faudrait avoir le temps de le décrypter vraiment dans le dans le quotidien mais des points de bascule ou en fait les postures ou basculer alors que l'on veut être
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bienveillant alors bien sûr loin loin de moi l'idée de vous culpabiliser 2 par rapport à ça tout simplement parce que ces points de base qu'ils existent aussi dans notre vie quotidienne et que ce
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concept de 12 l'an ce que je vais voilà détaillé plus avec vous aujourd'hui il ne vous concerne pas que vous tout seul il nous concerne nous tous dans la société quel que soit l'âge et du plus petit ajout plus grand âge on se
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retrouve dans ces danses et point de bascule ou à un moment donné parce qu'on a négocié parce qu'on a pris du temps parce qu'on a on s'est rendus disponibles on s'est sentis disponibles et que voilà on sait plus trop comment
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faire ces points de bascule arrive tout doucement et lorsque effectivement ce cette fragilité là arrive on évoque des
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violence éducative ordinaire aujourd'hui je voudrais qu'on se tourne vers ce concept de violence donc était un concept que j'ai travaillé depuis voilà une vingtaine d'années maintenant il a été
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mis en lumière fait gelé mis en lumière alors sans prétention de ma part évidemment et parce que c'est je pense que de nombreux pédagogues et françoise dolto aussi étaient largement passés par là avant
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j'ai voulu le nommer en fait ces situations qui sont voilà kitty fragilise en fait tout le monde et qui pose des situations où l'enfant va ne plus
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comprendre en fait la logique dans laquelle se trouve l'adulte mais que ce soit le tout petit le tout petit enfant mais que ce soit aussi l'adolescent et puis même en tant qu'adulte évidemment
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et on sait combien aujourd'hui ces situations de violence elles sont complexes et elles sont un tout niveau c'est à dire que vous même en tant qu'enseignant vous êtes dans des situations de violence permanente parce
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que voilà par rapport à des directives par rapport à des rapports à des choix pédagogiques peut-être par rapport à des organisations qui voilà qui quittent qui vous qui vous met peut-être à mal et
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donc ça ne concerne pas c'est pas uniquement la relation enseignants enseigner ça concerne absolument toute notre société aussi donc ce sont des situations de très courte durée qui vont
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se dérouler dans un contexte quotidien est habituel c'est-à-dire qu'on ne part pas du tout sûr c'est pas de la maltraitance on n'est pas sur quelque chose de ces on est dans un contexte tout à fait
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habituelle tout à fait quotidien et il ya ce point de bascule ou à un moment donné on perd patience on s'agace un peu on voit que l'enfant ou l'adolescent est
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pas dans notre temporalité à nous pas dans notre attente à nous pas dans l'objectif qu'on s'était donné donc en fait on est obligé de s'adapter en fait vous adapter en permanence et on sait
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que c'est ce côté de cette capacité d'adaptation demande une extrême endurance de votre part et qui je pense trop méconnu
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de personnes qui ne travaillent pas dans l'éducation nationale en fait et je pense que c'est important de rappeler combien votre vos métiers sont endurants et combien c'est difficile donc effectivement légitimement à un moment
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donné cette fragilité la haye elle elle va s'ouvrir sur des situations sur des postures qui sont peut-être un petit peu voilà pas tout à fait adapté mais nous ne sommes encore une fois je le répète on est pas dans de la maltraitance la
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maltraitance est en quelque chose de effectivement très grave et qui concerne heureusement voilà un minimum de la population le souhaite et on travaille tout ça alors que les douze violence concerne tout le monde c'est à dire que
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on a tous été confrontés à un moment donné un enfant qui voit l'année tu n'es pas d'un autre temporalité à nous attentat nous donc ce sont les attentes nos attentes l'objectif la cadence de
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l'adulte qui vont prendre le dessus décalé peut-être à ce moment-là précis des compétences et des possibilités de l'enfant et c'est toujours à un instant donné c'est à dire que on les globalistes pas sur un temps de classe
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complet mais c'est peut-être un temps de transition un passage dans la cour de récréation d'une activité à une autre d'un apprentissage à un autre du voilà donc c'est extrêmement de cours et
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c'est tout ce qui va effectivement tourné autour des gestes des regards des soupirs des tonalités de voix qui impose un résultat en fait visible ici et maintenant on est vraiment dans l'ici et
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maintenant je pense que si on creuse vraiment dans nos souvenirs d'élèves même on retrouve avec aisance toutes ces voix là tout toutes ces failles dans lesquels on a été peut-être entraîner
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malgré nous par rapport à ça donc c'est les pièges de ce sont les le les pièges des habitudes en fait hein on a toujours fait comme ça donc effectivement c'est pouvoir réinterroger ces organisations
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là où on ne peut pas faire autrement donc c'est ce qui est ce qui est d'autant plus voilà perturbant c'est vrai que pendant très longtemps j'ai entendu leur déformation notamment sur ce concept de 12 yole ans on a toujours
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fait comme ça et ça a glissé et encore plus aujourd'hui par rapport à cette pandémie et par rapport au contexte dans lequel on est vers on ne peut pas faire autrement et en fait peut-être que dans notre posture en fait d'adultes on peut
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travailler de manière à ce que quand effectivement cette fragilité ce point de bascule ils arrivent on peut faire autrement et ça on le verra par la suite sur le l'autre l'autre webinaire alors là c'est juste tout petit clin d'oeil
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parce qu'effectivement on est sur le souci d'efficacité donc alors c'est encore à pleurnicher allait dépêcher le dépistage point que celui là il est interâges de la naissance au grand âge
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on va entendre ce dépêche-toi dépêche-toi par rapport à quoi dépêche-toi par rapport à qui voilà enfin c'est vraiment le la rupture entre le don de l'enseignant et le temps
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de cet enfant ou cet adolescent qui lui est dans son mode de fonctionnement personnel c'est vrai que quand on les prend en individuel et vous voyez très bien quand vous faites des activités ou des ateliers avec peu dans son ensemble
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bien sûr que là vous retournez vers l'individualité donc une adaptation par rapport au rythme de l'enfant c'est clair que quand vous avez des classes de 30 ou 35 élèves l'individualité ll est elle s'engouffre
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dans le collectif en fait et elle est est né un peu étouffée par la notion du collectif donc c'est vrai que c'est la notion de d'efficacité plus en plus difficile et donc ces notions de
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2,12 violence elle va interrompre en fait la recherche de sens ici et maintenant la patience de l'enseignant et la concordance des temps de l'adulte et ceux de l'enfant ou de
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l'adolescent qui en fait déjà plus être en concordance on est sur deux attentes différentes donc on se comprend plus vraiment et comme l'enfant ceux atteints peut
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essayer de trouver la solution et qu'il ne comprend peut-être pas notre demande et nos attentes en fait il c'est une agressivité latente qui est là qui va se mettre en place et donc à ce moment là
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quand on est dans ce stress là et catherine l'a dit hier en fait quand on est dans ce stress là c'est le cortisol qui va prendre le dessus qui va prendre le relais et se cortisol en fait va être cette hormone de stress qui voit là va
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faire diminuer le site au cid et donc qu'il va interrompre le circuit d apprentissage donc le cerveau en fait de l'enfant se met en alerte donc dès qu'il y à une menace d'une punition d'une
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exclusion et donc par principe on n'exclut jamais un enfant bien évidemment et bien c'est ses douze yole ans vont prendre le dessus c'est à dire que on va lui dire que s'il n'y arrive
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pas que ils pourraient faire un effort que il comprend jamais qu' il serait temps qu'ils se réveillent enfin bon voilà on a tous des exemples en tête par rapport à ça et ces situations de
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violence qui parle qui pourrait paraître en fait isolé elles elles sont banadir un enfant bon tu pourrais faire un effort à la limite j'ai dit baru mais vous aussi peut-être le stimuler oui mais cumulées au fait que ben je sais
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pas si tu vas te réveiller un jour tu vois là tu écoute jamais rien où tu peux te dépêcher d'un bon dépêche-toi de finir on va sortir en récréation le cumul de ces remarques la faune que on
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va composer ses douze violences qui sont très puissantes bien que souvent très banalisés parce que en fait oui c'est vrai on a beaucoup fait comme ça donc c'est un processus qui est en fait très
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complexe et c'est un processus que que j'ai que j'ai mis plusieurs années à décrypter alors moi je les décrypter de mon côté par rapport au travail en crèche puis après je les décrypter par rapport au travail dans une dans une école dans plusieurs écoles du reste et
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donc elles sont en fait ces situations de violence sont ici deux issus de notre héritage éducatif c'est un véritable patrimoine culturel c'est à dire que voilà il ya ce monstre de l'école quand
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même un avec la place de l'enseignement le cette grande chance de pouvoir rentrer aussi à l'école donc en fait en rentrons dans l'institution on a ce
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droit à l'apprentissage mais avec tout un patrimoine et des habitudes qui ont été voilà qui sont qui sont souvent mac os comme un héritage en fait un
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s'est transmis depuis très très longtemps par exemple on corrige les copies en rouge on peut se dire ça pourrait être essayés à un jour de faire l'un verse de souligner peut-être envers tout ce qui fonctionne et pas de souligner en rouge
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les erreurs de l'enfant donc voilà c'est à un tout petit clin d'oeil mais donc dia l'illusion d'une efficacité qui est piégé par la rapidité dans des situations tout à fait ordinaire donc ce sont des postures qui entourent acquis
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en cours encourage pardon l'autorité qui motive aussi acquis sont motivées par la peur du débordement le piège des exigences des organisations des systèmes donc en fait
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c'est pas c'est pas quelque chose qui est isolé la douce violence en elle même elle est prise dans un système donc c'est à dire que c'est pas nous adultes vous enseignant tout seul qui est à
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l'origine de çà c'est que l'enseignant est dans un contexte qui est extrêmement exigeant avec ce que j'ai dit tout à l'heure avec des pièges en fait un avec avec des des exigences de pièges
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d'organisation de système et que en plus il a un programme qu'il doit suivre qu'il doit honorer par rapport à un groupe d'enfants et ce groupe d'enfants composé d' autant d'individualités et de
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potentialités et de compétences donc toute cette alchimie doit pouvoir effectivement ce être dans une concordance qui peut être très compliqué et quand effectivement c'est très très compliqué il ya ces situations de
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violence qui viennent en réponse à ça donc elles sont possibles dans toutes les situations de dépendance c'est ce que je vous disais tout à l'heure du petit âge au grand âge du handicap aux relations d'apprentissage mais aussi
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possible au delà de la relation éducative donc ya pas que dans la relation éducative qu'on pourra trouver des situations de violence si vous regardez dans votre quotidien il y en a et je pense que on n'a pas besoin d'aller chercher très loin par rapport
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au contexte dans lequel on est aujourd'hui donc ces situations de violence par contre là où c'est très intéressant c'est qu'elles sont le reflet de nos vulnérabilités c'est à dire qu'à partir du moment où il ya ce point de bascule où je vais
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effectivement bousculer peut-être un petit peu plus l'enfant être dans un rapport un petit peu plus autoritaire avec lui c'est à un moment où finalement j'y arrive pas complètement il ne me donne pas la
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réponse que j'attends et donc comme je ne sais pas trop comment faire pour obtenir sa réponse ou le résultat que j'attends je vais le bout c'est un peu plus et être sur une posture qui est un petit peu plus un petit peu plus
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strictes un peu un petit peu plus autoritaire mais c'est possible de changer notre regard c'est possible de changer notre regard c'est possible d'être dans quelque chose de
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d'avoir une relation à l'enfant tout à fait différente à l'élève aux collégiens ou lycéens évidemment et c'est surtout je pense cette possibilité de pouvoir
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décrypter repéré à quel moment effectivement ces situations de violence elle se met en place est ce que ce sont dans des moments de transition par exemple quand on a fini un temps de classe et qu'on va sortir dehors ou leur
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demande effectivement de sortir tranquillement d'être calme et de ne pas sortir n'importe comment dans la cour de récréation il faut savoir que le temps de le temps de de contenance de l'enfant
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c'est à dire le moment où on va être on va lui ont valu demande et on va lui exigé d'être concentré de se concentrer sur voila pour les plus petits c'est d'autant plus compliqué parce que le
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plus petit lui l'immobilité il n'a pas donc en maternelle c'est très très compliqué et on verra quel certaine sur la deuxième partie de mon intervention au mois de septembre on verra certains
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certains outils qu'on a utilisées pour essayer de comprendre comment on pouvait effectivement travailler ça sur le fait qu'on ne peut pas tenir à table des enfants tout petit mais j'ai presque envie de dire les ados
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sont pratiquement pareil c'est à dire qu'au bout de 50 minutes ils n'en peuvent plus donc plus vous avez contenir plus vous allez travailler sur la concentration de l'enfant plus au moment où vous allez leur dire qu'effectivement vous pouvez sortir vous
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savez que ce temps là il peut pas se faire dans le calme c'est totalement impossible parce qu'en fait il ya une limite à la concentration il ya une limite à l'immobilisme aussi et cet
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immobilisme là si on le contre un on tourne dans des situations de violence donc ces situations de violence elles sont c'est fascinant à étudier c'est fascinant à observer parce qu'en fait dans un temps de classe
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vous voyez le temps où vous allez contenir la tension de la de l'enfant et puis où vous allez lâchez un tout petit peu par exemple quand vous faites un cours magistral plus magistrale où vous
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allez vous être seul acteur dans dans la situation d'apprentissage les enfants vont nous doivent se concentrer donc ces contenus c'est très contenue au moment où vous vous leur passé la parole en disant voilà est-ce que quelqu'un peut
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intervenir ou à la vous lâcher un tout petit peu et donc la concentration lll souk si j'ai presque envie enfin j'ai l'image de cette concentration qui va s'oxygéner un peu pour que oui je peux bouger davantage je peux parler je peut
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interagir je suis acteur aussi dans cette situation d'apprentissage puis vous reprenez la main sur la notion de transmission et là hop de nouveau ses contenus donc s'il n'y a pas
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suffisamment d'alternance entre le temps qui est content ni et le temps où le le collégien il vraiment acteur en fait ça contient tellement qu'à un moment donné quand vous leur dis bah voilà vous pouvez sortir c'est comme une soupape ça
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explose et bon que ce soient des enfants tout petits aux ados en fait voilà sur deux places n'importe comment ces chats lutte ils sont bons on ne peut pas contenir totalement l'enfant et elle me
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l'a donnée sont tout le temps et ça vous le savez bien mieux que moi par rapport à des temps de classe mais ce qui est intéressant c'est que quand on n'a pas cette alternance la régulière c'est beaucoup plus difficile et là les
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situations de violence elles vont venir se glisser par rapport à ça elles vont venir parasiter un peu ce côté organisation que l'on souhaiterait avoir
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l'impression d'avoir une classe très calme c'est avoir des enfants qui effectivement ne bouge pas trop enfin des adolescents qui sont relativement calme aussi qu'ils sont pas préoccupés par le téléphone portable qu'il a vibré
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dans la poche voilà où l'oiseau qui va passer de l'autre côté de la vitre donc c'est très compliqué c'est très complexe mais je pense que ce qui est intéressant
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c'est que la notion de 12 yole ans elle vient contrebalancer la sécurité affective dans laquelle l'enfant peut à partir de cette sécurité affective de base se sentir reconnus
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dans ses propres compétences dans ses propres rythmes dans son propre mode de fonctionnement on n'apprend pas tous de la même manière vous savez bien mieux que moyen il ya là il ya multiples façons des enfants qui voient une visuel
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qui vont être donc il ya plusieurs manières de pouvoir être dans une situation d'apprentissage mais en tout cas elle ne se déclenchera cette situation d'apprentissage que si on est sur un 1
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une sécurité affective réelle et palpable c'est à dire que si je sens que dans le regard de l'enseignant il ya un jugement une évaluation par rapport à ce que je vais dire ou ce que je vais
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écrire je vais forcément moi en tant que dans si je me place dans le dans la place de l'élève en fait je vais forcément être dans un doute par rapport à mes propres compétences alors déjà la
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notion d'auteur en pâtit va renforcer le fait de prendre le risque peut-être de se mettre en confrontation par rapport à ce que je sais et ce que je ne sais pas
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est ce que je peux montrer l'erreur sans qu'elle soit récupérée par l'enseignant et sans qu'elles soient en fait sanctionner j'ai eu le droit à l'erreur et l'erreur et formative plus
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on va se tromper plus le cerveau va moulinet et va essayer de trouver les solutions pour trouver la bonne réponse jeu presque envie de dire les
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les personnes talentueuses et les premiers de la classe sont sacrément flemmards en fait parce que ils ont un cerveau qui fonctionne très vite très bien et donc ils n'ont pas besoin de se remettre en recherche par rapport à ça
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l'enfant qui galère un peu plus qu'il ya plus en difficulté lille va mettre son cerveau en activité mais il ne le mettra en activité que si de l'autre côté il ne
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se sent pas récupéré en fait par les appréciations une mauvaise note tout le monde a la chance de pouvoir y arriver et je pense que tout le monde peut y arriver en tout cas je suis d'un
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optimisme débordant par rapport au fait que je suis convaincu que tout le monde peut y arriver que tout le monde a du talent et ici même vous êtes peut-être 200 300
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vous avez tous du talent pour y arriver et vous savez combien votre métier est complexe et difficile mais voilà vous aurez tous vos astuces vos vos manières d'être un rapport à l'enfant et je pense
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que quand on se fait vraiment confiance et l'auto en pâtit voilà nourrit sa cette confiance et cette capacité à construire soi même des
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choses qui nous qui nous font qu'ils nous font du bien en fait pour qu'on puisse le transmettre avec beaucoup d'énergie avec beaucoup d'optimisme je pense que cette auto empathie elle
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est extrêmement importante et elle va nourrir ce besoin de sécurité affective donc sous la menace c'est clair que l'apprentissage ne peut pas se mettre en place et que s'il y a effectivement
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peut-être un trousseau de clés qu'on pourrait revoir sur ce trousseau de clés il ya effectivement l'empathie il ya effectivement la 12e ans et alors peut-être que le porte-clés serait la bien traitance je vois là dessus c'est
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très spontané ce que je vous dis mais je cette représentation me va bien c'est à dire que sur ce porte clés de biens de bientraitance on peut pas le on peut pas ouvrir des des situations et se mettre
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en situation d'apprentissage s'il n'ya pas l'auto empathie et s'il n'ya pas effectivement la sécurité affective en sachant très bien et en étant tout à fait consciente en vous disant ça aujourd'hui que peut-être qu'aujourd'hui plus que les années d'avant
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où vous avez été et bien malmenée par on a tous étaient malmenés par rapport à cette pandémie et je pense que effectivement c'est peut-être que si dans les failles institutionnels comme toute institution par rapport à
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l'éducation nationale il ya eu peut-être un monde de d'auto empathie peut-être à certains moments et on l'a eu même par rapport à la société en général c'est de notre responsabilité par contre
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de poser le filtre par rapport à ça pour que effectivement ça ne dégringolent pas jusqu'aux enfants donc nous avons la responsabilité mais c'est notre responsabilité d'adulte c'est un concert enseignants ou pas d'être dans ce
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respect inconditionnel de l'enfant pour que lui ne soit pas arrosé par rapport à ça on a tous été très fragilisés par rapport à ce contexte là et je pense que c'est important de
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de pouvoir prendre les voilà en considération le fait que nous avons un rôle de protection par rapport aux enfants et que dans ces sites sion d'apprentissage c'est intéressant c'est
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important de pouvoir repérer ces situations de violence au finalement on est sur ce point de bascule voilà c'est à peu près globalement ce que j'avais envie de envie de vous dire je ne sais pas si voilà vous avez des
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questions qui sont peut-être très qui peuvent peut-être compléter mes propos et est-ce que blandine ou est ce que oui
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oui oui bah merci pour merci beaucoup christine on a plein de questions on aura sûrement pas le temps de toutes les prendre aujourd'hui mais on peut peut-être commencer merci à tous ceux qui ont posé des
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questions elles sont passionnantes j'avais envie de m'arrêter chaque fois que je copiais une question pour la présenter à christine et je pense que ce serait à chaque fois l'occasion d'un débat vraiment passionnant je pense qu'on va les prendre dans l'ordre
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du coup ça va ça va un petit peu reprendre le fil de ta présentation christine oui oui alors on avait une première question y at il une différence entre
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bientraitance et bienveillance alors bon on peut jouer sur les mots parce qu'en plus bientraitance on peut l'écrire en un mot on peut l'écrire en deux mots vous avez toutes les équipes de danielle rapoport notamment qui écrit
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qui écrit bien traitance avec un trait d'union bientraitance donc bon après c'est la perception de chacun j'ai presque envie de vous dire la bientraitance est vraiment enfin en tout cas ça c'est ma perception rejoint donc
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elle n'est pas universel mais de la manière dont je laborde mois ci plus le fait de voir la bientraitance et c'est tout ce qui englobe vraiment
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l'aimer autant les projets les les postures et on y met un peu un peu tout dedans c'est à dire que vous vous verrez dans les projets que ce soit de l'éducation nationale où des projets
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éducatifs que vous pouvez croiser dans d'autres dans d'autres établissements la bientraitance elle elle donne une espèce de tonalité globale et je le vois vraiment comme quelque chose de très globale avec
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cette notion de cet incontournable voilà c'est incontournable notion dans laquelle roh on peut y mettre beaucoup de choses la bienveillance je la vois avec beaucoup
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plus de subtilité et ce qui me parle d'autant plus par rapport à la bienveillance et qu'il ya bien alors on va l'écrire aussi peut-être en deux mots mais on n'est pas obligé mais en tout cas il ya le fait de veiller c'est à dire que je veille sur
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l'autre donc je me pose comme un garant par rapport à ce qui va se passer dans ma classe ou dans mon établissement en fait donc c'est vraiment je verrai vraiment la notion de bientraitance un peu alors pas four two one l'a1 mais
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quelque chose de voile à cet incontournable notion qu'on va qu'on va placer dans tous les écrits officiels et voilà qui fait du bien aussi et qui rassure la bienveillance elle est plus
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subtile est née sur ma posture à moi sur ma démarche et sur le regard que je vais poser par rapport à cet enfant en situation d'apprentissage avec vraiment
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ce terme de veiller sur l'autre merci merci christine du coup je lis à une une question qui suivait très très précises plus tôt en tant que
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parent quand en tant que parent on constate qu'un enseignant en maternelle atteint le point de basculement en criant sur les enfants quasi chaque semaine on fait quoi quand on signale et que rien n'est fait
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alors qu'est ce que je vais en fait c'est je pense que autant c'est sa douce et endurant pour les enseignants c'est endurant aussi pour les parents donc
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donc là c'est de pouvoir en parler avec d'autres parents c'est de pouvoir en parler avec l'inspection c'est de pouvoir en parler autour de soi enfin voilà on s'est
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retrouvé plusieurs dans des situations effectivement qui n'étaient pas acceptables et c'est de pouvoir aussi invité cet enseignant à prendre conscience que en fait c'est pas si tout simplement pas possible
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là on touche aux droits de l'enfant en fait donc là c'est utiliser les outils autour de la convention internationale des droits de l'enfant déjà et ne pas avoir peur de l'utiliser de la sortir et
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de la lyre évidemment et puis de s'y mettre à plusieurs c'est à dire que 1,1 par an tout seul face effectivement aux failles possibles et à la défaillance possible d'un enseignant ans arrive je
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pense que là c'est vraiment mais c'est un travail qui est extrêmement endurance c'est à dire que vous pas se décourager il faut y aller petit peu par petit peu il faut parler avec les autres parents faut que
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la parole de l'enfant elle soit reconnue elle soit entendu quel que soit l'âge de l'enfant et que à aucun moment on puisse puisse banaliser sa les douze violence
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elles sont souvent banalisé et en fait c'est le ça peut être le démarrage c'est pas le démarrage de la maltraitance est loin de là parce que ça concerne tout le monde donc je le situe pas du tout là dedans mais par contre si on le laisse perdurer
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et si cette situation de violence elle perdure et qu'elle s'aggrave alors ça peut être l'antichambre de la maltraitance oui ça c'est qu'il faut être tout à fait tout à fait logique avec ça tout à fait conscient par rapport à ça mais là dans cette
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situation précise j'ai envie de dire vraiment c'est faut jamais baisser les bras et quand un enfant vous dit qu'il est en difficulté il faut jamais baisser les bras faut toujours l'écouté considérer sa parole et voilà et être à
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l'écouté aussi parce que cet enseignant qui est dans cette situation là et lui même dans une situation de grande fragilité voire de grande souffrance on a je vais je reprends plus tout à fait dans l'ordre il ya un certain nombre de questions qu'ils demanderont à
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reposer le contexte mais il ya plusieurs questions qui se recoupent autour des éventuels 12 violences qui pourraient créer par l'institution elle-même notamment je vais en lire une
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notre système éducation nationale mme induit-il passé 12 violence alors c'est c'est comment dire ce serait trop réducteur pour moi de dire que
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c'est l'éducation nationale qui induit ça c'est à dire que je pense qu'à un moment donné oui bien sûr on a des phénomènes d'influencé et on a décidé voilà on peut dire ben voilà c'est pas
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moi si la société donc en fait à partir de là on s'assoit et puis on se dit voilà c'est l'éducation nationale et on ne peut pas faire autrement parce que la réponse en fait elle serait très rapide pour pouvoir dire effectivement on ne peut pas faire autrement je pense que
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oui bien sûr je ne peux pas on peut pas nier le fait que l'institution elle même créé des situations de 12 yolande bien sûr mais ce qui est intéressant c'est de
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pouvoir décrypter ce qui à la hauteur de chacun peut être remédié et vous allez voir que sur le deuxième au binaire effectivement on va travailler sur le fait qu' on peut y remédier alors on
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peut pas changer le monde bien évidemment ce serait bien bien ambitieux et voilà ce dont on aurait un ego viable bien trop dépasser est impossible à vivre avec ça donc on ne peut pas
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changer le monde bien évidemment mais si chacun à sa hauteur en fait et selon ses capacités ses compétences et son niveau d'intervention en fait on arrive à faire
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bouger les lignes par rapport à ça on se rend compte que si vous avez bel un enseignant deux enseignants trois incidents qui arrivent à voile à se dire moi déjà je vais me regarder moi plutôt que de regarder les autres et peut-être
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d'être dans une une accusation qui est légitime elle est tout à fait légitime peut-être que en mob servant moi même je peux faire bouger que si finalement dans un établissement tout le monde bouger
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les lignes aussi finalement dans cet établissement ça fera bouger les lignes en étant sûrs ont effectivement on va on va retenir ce point de bascule parce que parce qu'on se dise si oui on est
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malmené mais malgré tout j'arrive dans ma responsabilité dans ma posture d'enseignants à être bienveillant avec les élèves que j'accueille est allé à
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les accompagner le mieux que je peux pour qu' ils soient eux mêmes dans cette dans cette posture en fait on transmet aussi ça c'est à dire que l'apprentissage c'est une chose les programmes sais qu'une chose mais est ce qu'on peut
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comment dire avoir le l'optimisme sans limite de se dire que on peut aussi transmettre de la bienveillance et de l'optimisme à tous ses élèves et à tous et à tous et tout
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petits qui rentrait l'école maternelle et qu'ils en ont pour 20 ans de d'apprentissage à l'école et et et par rapport à tous ces collégiens et tous ces lycéens qui font le le le monde de
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demain est ce qu'on peut faire à moi j'y crois j'y crois mais j'y crois sincèrement j'y crois très sincèrement il ya le programme il ya les programmes avec lesquels vous allez travailler mais il ya aussi le fait que votre posture va
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faire que je pense qu'on a tous au fond de soi même un super enseignants qui nous a appris à nous a appris la vie la bienveillance le respect le fait qu' on était des gens bien et ça
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c'est un apprentissage qui a pas de prier en fait oui christine mourir beaucoup de réactions bien sûr à tes propos est également beaucoup de questions par rapport à mai beaucoup de remarques
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effectivement par rapport au contexte actuel que tu que tu assumes signé par rapport au pessimisme actuel par rapport à la difficulté que quand les enseignants quand ils font place aux
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faire classe par rapport au manque de moyens donc effectivement on ressent et c'est un peu dans cet esprit là qu'on a voulu concevoir ce parcours et est abordé cette notion de sécurité
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affective ans en commençant par la sécurité affective de soi même nous adultes parce que si nous mêmes nous adultes nous ne sentons pas en sécurité et dans notre institution effectivement
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c'est difficile donc effectivement on te fait rebondir et réagir par rapport à cette institution dont souffrent énormément les enseignants parce que cette douce violence elle est d'abord là
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elle est ressentie en tant que tel et du coup beaucoup beaucoup de réactions il ya aussi des parents qui interviennent sur le manque de moyens des enseignants donc
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encore une fois j'ai envie de te pousser par rapport à une question que je vais choisir mais je vous rassure à tous les participants qui sont là on est en train de liste et on
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va y rechercher structuré et réfléchir ensemble pour vous faire un vrai temps de questions réponses et apporter des questions qui font réfléchir et ou qui doivent être réfléchis avant que vous apporter des réponses et on fera le 6
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octobre du coup une question effectivement c'est sur l'absence de moyens une situation qui a été décrit l'année dernière l'enseignant de monfils classes à deux niveaux ce1 ce2 des enfants de situation de handicap il n'y
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avait pas assez d'heures passées d'atsem passédat vs des enfants allophones une enseignante extrêmement bienveillante qui n'a pas pu tenir pierre burban la question c'est comment enseigner
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quand vraiment il ya cette souffrance par rapport à cette absence de moyens de soutien de par rapport à l'institution mais je pense que les sonnettes d'alarmé ils ont elles ont été tirées fait elles
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sont tirées depuis depuis bien longtemps c'est à dire que effectivement vous avez des enseignants qui malheureusement font des burnout régulièrement dans tous les ans donc c'est une réalité et je pense
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que il ya vraiment urgence pour que l'éducation nationale ouvre les yeux et se rendre compte combien c'est compliqué et là effectivement sur une situation où vous cumulez double niveau handicap enfin en
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difficulté plus bas voilà tous les autres enfants qui sont là et composer avec autant de facteurs 6 et c'est quasi impossible et je pense que c'est
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c'est complexe j'ai pas de recette je peux pas vous dire ben voilà il faut faire ça ou ça je d'abord je ne me le permettrais pas parce que vous avez bien plus d'expérience au niveau de l'enseignement que moi mais je pense qu'à un moment donné
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c'est aussi important de pouvoir faire remonter c'est ces difficultés est de pouvoir avoir peut-être des personnes qui ne sont plus du tout sur le terrain
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et les faire rentrer sur le terrain c'est à dire que nous on a eu une situation très difficile dans un établissement scolaire ou en fait c'est passé par le biais des atsem en fait donc par le biais des
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atsem on a eu effectivement la municipalité qui nous a accompagnés dans ce travail là ça a été très long ça a été extrêmement long mais il ya eu ce regard institutionnels et
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et bureaucratique en fait qui est rentrée dans l'école et qui a pu effectivement voir la réalité le principe de réalité dans lequel on se trouve et je pense que le principe de réalité faut le rendre visible en fait
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donc pour le rendre visible c'est de faire rentrer un oeil extérieur à l'intérieur alors c'est vrai que c'est très complexe à mais là je travaille actuellement sur des projets pour venir faire de
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l'observation dans des dans des classes et dont l'éducation nationale est un peu et un peu timide par rapport à ça mais on avance ça fait longtemps ça fait plus
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de dix ans que voilà petit peu par petit peu j'essaye de de rentrer un peu et de pouvoir avoir cet oeil sur ses classes en fait et sur ses ambiances d'école et
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sur les aménagements d'espacés sur est en fait c'est une vision tout à fait différente mais c'est c'est un oeil aussi qui rend visible ce qui se passe à l'intérieur de l'école donc c'est pas dénoncer aller dans un établissement en
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disant voilà je dénonce ya çà çà çà çà qui va pas il ya plein de choses qui vont bien mais je pense que faut rendre visible et pour rendre visible il faut qu'il y ait effectivement des personnes
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qui rentrent qui rentre à l'intérieur il s'est tu cette fragilité là effectivement ces situations-là par rapport à cette enseignante qui en fait elle a essayé par tous les moyens de de jongler finalement avec toutes les conditions
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dans lesquelles elle était et que voilà il ya eu un signal d'alarmé qui était même tardif est grave pour elle et ses ondes vrai ça ne devrait pas se faire bien évidemment bien évidemment on
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devrait pas en arriver là donc remettre effectivement des moyens dans l'école et tout comme d'autres institutions enfin on est bien conscient pied c'est l'école est à l'image de notre société en fait
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donc il faut remettre des moyens par rapport à effectivement aux enseignants par rapport au nombre d'élèves par classe par rapport c'est clair vous faites une classe avec 15 ou 20 ans ou 25 enfants passer par une chose que
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quand vous avez 35 ou 40 enfants dans la même dans la même pièce c'est évident dans la même classe c'est évident pour terminer sur une note petit peu plus construit ni l'egypte optimisme on peut
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aussi parler peut-être compte tenu du contexte et on savait que ce sujet allait bien sûr provoqué beaucoup de remarques beaucoup de réactions beaucoup de
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questions par rapport à l'institution et aux institutions actuelles et par rapport au contexte on peut peut-être terminée sur la note de de travail collectif de
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2,2 d'éloigner l'individualisme et de tendre vers la coopération et la collaboration entre entre enseignants ont traduit c'est pas
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si vous voulez un petit peu si christine vous l'indiqué pas abordé aussi ces sujets la question bien sûr c'est en fait on n'est pas tout seul et c'est
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dans toute sa part dans beaucoup de situations et est en fait dans dans les établissements où vous n'êtes vous n'êtes pas tout seul donc effectivement on s'est créé la collaboration la coopération entre les élèves évidemment
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donc pour essayer de bien comprendre comment il fonctionne et justement construire cette sécurité affective de base pour qu'ils arrivent effectivement avoir confiance en eux et prendre des initiatives et être vers une autonomie
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qui est très constructive donc ça c'est très important cette collaboration et 7 cette coopération elle est extrêmement importante que au niveau de la classe j'ai envie de dire qu'il soit petit ou
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dans le secondaire évidemment les ans les étudiants enfin les futurs étudiants et puis pour les collégiens et lycéens enfin arrive effectivement à comprendre comment à travers un collectif on est
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on construit des idées on construit une autonomie collective ont construit voilà un engagement tout c'est toutes ces notions qui sont rattachés directement à la bientraitance et à la bienveillance
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évidemment donc ça c'est extrêmement important du côté des élèves du côté de vous enseignants et parents aussi c'est d'arriver justement à tricoter ce lien pour que
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vous puissiez effectivement un peu être dans une lecture de vos difficultés mais dans une lecture collective donc ça donne une force ça donne le fait qu'il
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ya une prise de recul qui est plus facile plus évidente est donc ça ça conforte aussi l'auto empathie c'est à dire qu'on va sans courage et les uns les autres on va être dans quelque chose de constructif on va
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pas rester sur voilà ça fonctionne pas et ça peut rapporter fonctionner j'y arriverai pas parce que là pour le coup l'auto empathie elle elle est un petit peu par petit peu là c'est plus donné la force du groupe la force du
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collectif et ça c'est une force qui est extraordinaire c'est aulas vue évidemment avec les réseaux sociaux avec et je pense que pour le coup c'est quelque chose qui peut être très
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très constructif très encourageant et ça permet aussi parce que là où ce qui est intéressant c'est que on peut être dans des situations de violence je reprends le le thème principal entre la sécurité
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affective qui va se construire à travers le collectif et puis ces situations de violence qui existe aussi quand on peut en parler avec ses collègues en disant voilà bon c'est vrai que là je me suis agacé avec un fond enfin je j'ai perdu
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pied je savais plus il ya une certaine transparence qui fait qu' on va s'apercevoir que finalement on n'est pas tout seul dans cette situation là donc on pourra en pouvant effectivement
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analyser sa pratique et avoir ce ton de concertation et de discussions mais finalement c'est rassurant et on trouve des situations des remèdes ensemble et on pouvoir on va pouvoir y remédier ensemble c'est ce qu'on va faire sur le
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deuxième mode binaire et je trouve que c'est intéressant de voilà de vous laisser un peu sur ya ces situations de violence qui existe vous le saviez je veux dire ça je vous apprends rien par rapport à ça
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maintenant le fait de les avoir nommés va peut-être vous permettre de les repérer peut-être plus facilement là vous allez être dans douala toute l'énergie cette rentrée qui arrive qui voilà qui arrive aussi soudain un
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contexte toujours ce contexte si particulier donc ça ça va se faire là maintenant vous avoir le temps d'y réfléchir et puis de pouvoir effectivement poser vos questions je vous retrouve le
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d'ici une semaine enfin une petite semaine pour effectivement posée alors les outils pour pouvoir y remédier donc ça va vous permettre de voilà d'avoir une deuxième une deuxième approche et
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puis les outils qui vont avec et puis de pouvoir poser vos outils par la suite en tout cas je tiens à vous remercier vraiment infiniment pour votre attention je ne
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peux pas le palper afin de le sentir physiquement mais j'ai presque envie de vous dire techniquement je sais que vous êtes très nombreux donc je vous remercie infiniment pour votre attention et surtout je vous souhaite une excellente
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rentrée avec voilà beaucoup de beaucoup d'énergie beaucoup d'optimisme parce que l'optimisme est encore possible bien qu' ils soient malmenés aujourd'hui et surtout prenez bien soin de vous
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remercie beaucoup
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