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la violence dans les couplets est très présente autant dans la relation parentale qui est dans la relation conjugale même voire plus dans la relation quarantaine parce qu'on verra dans la recherche qui traquent un des
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passages à l'acte vont démarrer autour d'une question éducative concernant l'enfant pas autour d'une question conjugales mais sur une question parentale et c'est tout à fait logique quand on comprend comment fonctionnent
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les violences quand on voit comment fonctionnent les auteurs parce que les autres ont initialement particulière c'est tout à fait logique parce qu'on va voir qui est souvent dans la conjugalité la victime va s'est adaptée aux demandes
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de l'auteur il veut regarder sept films là il veut qu'on mange ça il faut qu'on aille à la mer et à la montagne je m'adapte à lui c'est souvent dans la parentalité où elle va oser affirmer la
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différenciation l'autonomie l'altérité dépenser et ça on va voir qui est pour l'auteur et inssuportable l'idée que la victime ne les suis pas sûr c'est idéal on est généralement chez des personnes
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qui ont des troubles de la personnalité sociopathie aussi copa tic dans ces troubles de la personnalité je suis l'auteur je suis fusionnelle pour moi mon partenaire comme les enfants sont des extensions des mois donc si mon
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partenaire me dit qu'elle n'est pas d'accord qu'elle a une haute idée et il va avoir plus tendance à délirer sur la parentalité et ça j'aime pas ça m'angoisse énormément pareil si mes enfants mais montrer qu'ils sont pas des
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extensions de moi qui sommes des personnes autonomes on sait aussi que dans ce trouble de la personnalité dans les traits qu'on va voir l'auteur a tendance à être très concentré on sait que les autres ont besoin de maîtriser
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contrôler et 1 sec et ils sont dans ce qu'on appelle un locus le contrôle externe ou une version de responsabilité c'est à dire si le si je me sens pas bien si je suis angoissé si je suis entre s'est jamais ma faute c'est la
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faute aux autres donc évidement et au niveau de violence dans le couple c'est la faute à la victime mais pour les enfants chaque fois que la victime va mais pointait qu'il ya quelque chose qui est de ma responsabilité
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parentale sagem pas non plus c'est bat non pour moi c'est pas de ma responsabilité c'est de la responsabilité de l'extérieur ça ne m'angoisse et et on va voir des points de vue neurobiologiques les auteurs ont
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une faible tolérance est faible seuil de tolérance à la frustration et ça ça veut dire que la violence va continuer après la séparation du couple dans le pratique qui sait on a une idée
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qui on va pouvoir priver le couple conjugal est le couple parental comme si c'étaient deux entités différentes avec deux fonctionnement différentes je peux vous dire que oui ils ont des jobs des fiches de postes qui sont différentes
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mais la structure de la relation est exactement la même elle est un miroir les couplets conjugale est organisée simplement comme ernestina montrer de façon verticale rigide elle est
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asymétrique le couple parental fonctionne exactement de la même façon que le couple conjugal si on est vertical rigide en parental et conjugal il n'y a aucune magie qui va faire en
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sorte que maintenant on est latéral et démocratique en tandem et donc c'est chaque fois que la victime va dire geonaute idées concernant l'enfant elle
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s'est mis en position latérale inssuportable pour l'auteur qui va réorganiser les choses comme il était auparavant donc violence en les couples pas forcément continuer à exister après
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la fin de la relation conjugale dans la parentalité et s'implique pour nous qu'il faut qu'on organise la parentalité différemment deuxième question qu'on peut se poser c'est est ce qu'on peut présupposer que l'auteur ait des
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violences sont le couple peut être une mauvaise conjoint mais une bonne part en caisse qui sait avoir un parent qui peut pas se remettre en question qui inverse la responsabilité c'est toujours la faute des autres qu'est ce que c'est
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avoir un parent qui pense surtout à lui-même ne voit pas que j'avais besoin de spécifique qu'est ce que c'est avoir un parent qui est mais voit comme une extension de lui a du mal à imaginer que je suis ma propre
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personne et qui en plus a besoin de contrôler et maîtriser mon autonomie même au delà mais qu'est ce qu'il fait à ma mère qu'est-ce qui s'impliquent pour moi avoir cette parole là les amplis que
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je vais être en difficulté on sait qu'il ya plein effet sicaud pathologie pour de l'exposition à violents sont les couples on sait que ces enfants tendance était présenté des troubles post traumatiques les mêmes
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troubles et qui en a quand on a vécu une vielle et des autres formes de maltraitance une situation de ghayne attentats on sait aussi que c'est des enfants qui dépend de vue social risque de répéter les schémas des violences
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soit en position haute soit en position basse soit en clôture son tank est victime on ne peut pas dire donc l'auteur qui en est l'auteur de violences en deux couples peut être une
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bonne part en part sans enfant évidemment ils soient pas décisionnaire sur les soins pour ses enfants soins dont l'enfant a besoin parce que c'est lui même qui a créé le contexte traumatique pour enfants de façon
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générale c'est des enfants qui à court terme ont des troubles du développement psychomoteur troubles de l'attachement tout de développement psycho affectif là ce sont des bébés en retrait ce sont des enfants et ça ça me semble important
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parce que on a vraiment on l'a vu dans le film les compétences psychosociales altérées sur des enfants qui vont avoir du mal à repérer de l'empathie de avoir de l'empathie pour l'autre à repérer les
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émotions de l'autre et à se construire en fosse elle fin ce sont des enfants qui peuvent être extrêmement silencieux à l'école voilà des enfants dit presque trop parfait avec des très bons résultats scolaires ben en fait sans les
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speed tous très bien c'est la crainte de ramener une mauvaise note un petit mot dans le cahier qui ferait que le soir ça va déclencher une énième crise là c'est une forme de protection je pense parental isation par rapport à la maman
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on va avoir bien sûr des enfants aussi qui ont des troubles du comportement comme ils ont du mal à décrypter les émotions des autres et comme il voit la forme de communication à la maison c'est
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des crises et des coûts qui vont être dans des comportements très hétéro agressif avec les autres petits camarades puis on le sert le risque violence s'agit violence une violence subie violent il
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s'agit et violent s'agit on a plus de risques d'être soi même violent en protection de l'enfance dans les violences intrafamiliales c'est du psycho trauma complexe on va avoir des enfants qui vont essayer de se dissocier donc on va avoir un risque de
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l'addiction et puis à long terme on a vraiment un risque les études le montrent à l'âge adulte d'avoir des conséquences sur sa santé somatiques et psychique le stress oxydatif le fait de
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vivre dans un état de stress répéter ça abîme la santé et ce sont des personnes qui vont pas prendre soin d'eux les violences c'est comme les poupées gigognes on en trouve une fois cherché les autres c'est très rare qu'on soit
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victime que d'une seule forme de violence et quand on est enfant et qu'on vit des violences conjugales on est évidemment et heureusement c'est anna qui maintenant qu'aux victimes de ces violences sont des victimes civiles ans conjugales mais nous tous il faut qu'on
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cherche les autres violences la violence étant un poison et vous l'avez bien expliquée sur comment son ca attaque la parentalité aussi pour les femmes que vous voyez ça veut dire qu'effectivement nous tous il faut qu'on continue de travailler et d'expliquer
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aux enfants expliquait à la mère et à l'enfant que c'est des conséquences directes des violences et les violences qui font ça donc le responsable c'est bien celui qui a fait les violences et si une procédure pour des violences conjugales il faut que tous les enfants
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de la femme qui est maire et qu'il ya des enfants et puis les enfants qui vivent au domicile qui sont pas forcément les enfants de cette femme il faut que tous ils bénéficient non pas évidemment comme témoin mais comme bucco victimes il faut qu'ils soient entendus
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et il faut qu'il soit examiné évidemment que les hommes sont pas naturellement violents ces cultures est ce système culturel là il faut que tous ensemble on soit engagée pour le changer en fait la question qui se pose à nous et notre
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seuil de tolérance face au niveau de souffrance des enfants jusqu'à quel point acceptons nous que les enfants souffrent pour laisser le pouvoir un
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homme qui fait le choix de la violence quel est notre seuil de tolérance de la souffrance de l'enfant qui vit avec un sociopathe ou un psychopathe est-ce que ernestine ronai et karen sadlier on dit
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de mon point de vue tels que je les ai écoutés c'est que le risque peu s'anticiper quand il ya violence conjugale et on le sait on peut protéger par anticipation la question secte yves
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voulons nous protéger
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