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[Musique] bonjour donc j'imagine denéchaud maître de conférences en sociologie à l'université paris est créteil donc
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merci beaucoup pour l'invitation et pour pour cette occasion de présenter quelques pistes d'état de la recherche sur la question de l'école des scolarités et de la protection de
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l'enfance donc merci pour pour cette invitation pour cette participation à ces journées qui sont vraiment un véritable enjeu sur cette question donc je vais voir l'objet s'est présentée peut-être que quelques
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quelques lignes de connaissances qu'on peut avoir etc ont déjà été posées par les entrées précédente pour pouvoir préciser un peu de ce que peu ce qu'on peut comprendre de ses particularités peut-être de là où situe les enjeux est
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d'avoir quelques pistes de compréhension de certains levier de certaines expérimentations en france ou à l'étranger je voudrais commencer 7,7 cette présentation c'est cette
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conférence sur deux situations de jeunes qui ont été rencontrés au cours des recherches sur sur la scolarité et la protection de l'enfance donc les prénoms et est anonyme et bien sûr donc la première c'est la situation mélodies qui
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est une jeune anglaise de 14 ans après que des maltraitances et été identifiés au sein de sa famille elle a été confiée très jeune par la justice à ses grands parents maternels elle a par la suite été confiée à plusieurs familles d'accueil ces multiples placement en
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dehors de sa famille ont été considérés comme des échecs du point de vue des services sociaux parce qu elle fugue et qu'elle a eu plusieurs comportements désigné à risque elle est arrivée au foyer donc l'équivalent des foyers de
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l'enfance ou des makes en france il ya un an après donc un an avant qu'on la rencontre dans le cadre de la recherche juste avant d'entamer cette dixième année scolaire qui est celle qui se
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clôture par des examens qui finalise le la scolarité obligatoire en angleterre cette prise en charge se déroule au mieux pour les au mieux de son point de vue et du point de vue des professionnels que les autres il a été
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décidé qu'elle soit prolongée jusqu'à 16 ans donc que sa prise en charge soit pranger jusqu'à cet âge là à son arrivée sa scolarité jugée chaotique par l'équipe enseignante elle a un emploi du temps réduit donc ce qui est possible en angleterre si on a des difficultés on
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peut avoir un emploi du temps scolaire réduit de 12 heures par semaine quatre mois plus tard elle à nouveau un emploi du temps complet sa scolarité considérée comme positive et réussie par l'équipe enseignante et par des éducateurs spécialisés qui la prennent en charge
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dans ses bulletins il a écrit qu'elle travaille beaucoup et qu'elle progresse rapidement si elle avait plusieurs absences injustifiées au début du placement elles ont rapidement disparu elle dit même qu'elle aime vraiment l'école qu'elle est fière de se débrouiller avec un emploi du temps
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complet dans une école ordinaire bien que melody soit dyslexiques ses résultats scolaires n'ont jamais été réellement affecté et les professionnels qui en cas ne savent pas précisément pourquoi elle réussit à l'école d'autant que ce
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parcours positif sort de ce qui est habituellement donnés à voir par ces professionnels et notamment dansé dans ces établissements là pour certains sa situation est due à ses capacités personnelles son intelligence la plupart évoquent des raisons individuelles
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extérieurs à la prise en charge mélodie n'en dira pas plus sur les raisons qui font que elle semble réussir par rapport aux autres la deuxième situation c'est celle de gabriel à une jeune française de 17 ans
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qui a d'abord bénéficié d'une action éducative en milieu ouvert donc qu'on vous a évoqué précédemment un an plus tard elle absorbe des médicaments au collège elle est alors suivie par un centre psychiatrique et ne souhaite pas
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réintégré le foyer familial elle est placée en famille d'accueil pendant un an puis elle fugue et refuse de revenir vivre dans cet environnement et participera à un séjour de rupture et sera déscolarisés pendant cette période au retour de séjour à les placer en
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foyer de l'enfance puis à les orienter dans l'établissement les noisetiers donc qu'ils aient une mexes un foyer d'hébergement collectif elle intègre alors une classe de seconde en sciences médico sociales avec le projet de devenir éducatrice spécialisée cette
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année elle a de bons résultats scolaires elle est décrite par ses professeurs comme une élève studieuse et investit elle dit qu'elle est un peu gêné à l'école par ces situations personnelles notamment sa famille et les maltraitances qui l'y a subi elle dit malgré tout réussir à laisser ses
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problèmes personnels devant la porte de cole bien qu'elle l'ait reprennent le soir en disant quand je rentre c'est dur de laisser ses problèmes de côté et tout ça m'arrive encore d'y penser malgré sa déscolarisation temporaire elle n'a pas eu de difficultés d'apprentissage dès
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qu'elle a été placées en établissement elle a repris sa scolarité avec le bon niveau qui la caractérisait avant cette période de rupture elle est également citée par les éducateurs comme étant une jeune en réussite par rapport aux autres les enseignants jugent l'obtention de
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son diplôme très pop à très probable les professionnels n'ont pas non plus d'avis sur ce qui permet cette réussite il pense qu'elle ne doit rien à leur action et gabriel et gabriela n'aura pas non plus beaucoup plus d'autre explication que de sa situation
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donc pour rentrer par sa situation s'était déjà d'évoquer un peu la complexité des parcours des jeunes qui passe par la protection de l'enfance et d'essayer de comprendre déjà comment on peut comprendre leur parcours scolaire
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les particularités qui ont été citées précédemment et comment on peut juger ou percevoir et de quel point de vue les réussites et comment on peut essayer de comprendre ses réussites là pour
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certains pour certains enfants donc rapidement mais ça me permet de passer puisque la présentation vous avez fait pour cadrer un peu de quelle situation on parle donc effectivement on est avec une entrée en protection de
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l'enfance donc été cités donc je peux passer très rapidement là dessus merci donc pour rappel donc la protection de l'enfance est un ensemble de lois de dispositifs donc on vous a présenté
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aussi les les différents les différentes orientations et les missions principales de prévention de repérage et donc que cette ma présentation se focalise plus sur l'aide sociale à l'enfance donc à
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l'échelle départementale notamment pour s'intéresser au fait que des professionnels vont à un moment donné prendre en charge des enfants travailler avec les familles et
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donc il va y avoir des professionnels qui vont participer à une suppléance familiale qui vont être aussi vos interlocuteurs et vos interlocutrice est donc c'est un point particulier pour voir comment des professionnels après en
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deux sets suppléance familiale travail avec les enfants travailler avec avec les parents et au milieu de toutes les charges qu'ils ont et de toutes les missions qu'ils ont comment ils appréhendent la question de
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la scolarité et comment ils travaillent avec les établissements scolaires donc ça vous a été dis donc je peux passer un peu vite là dessus ou juste de dire que effectivement la question de la scolarité en protection de l'enfance
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c'est une question à une préoccupation qui est plutôt récente est un sujet de recherche qui est aussi très récent surtout en france on a eu quelques recherches qui ont identifié des premières difficultés dans les années 90
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on a réellement un corpus qui se constitue à la fin des années des années 2000 le début 2010 qui permet d'identifier de manière régulière donc sur des enchaînés des
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échantillons différents donc avec des taux des chiffres qui peuvent varier un petit peu mais qui sont quand même relativement similaires qui identifie des retards scolaires qui peuvent être différents plus ou moins sur les échantillons donc là c'est notamment les
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chiffres qui sortent de l'étude longitudinale et l'ap dont qui est notamment qui ont été présentés par isabelle fraîchement élu six marques et donc qui identifie des redoublements plus fort et le redoublement est autant
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une marque de difficultés c'est à dire que pour l'école on va choisir ce dispositif parfois parce qu'on a identifié des difficultés mais c'est aussi une annonce souvent de difficulté supplémentaire puisqu'il peut y avoir une mauvaise expérience scolaire des
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discriminations qui peuvent être générées par cette expérience de redoublement donc avec des différences donc plus forte et plus de redoublement pour les jeunes qui passent par la protection de l'enfance que les autres donc avec une différence de 10 points il
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ya aussi un taux de scolarisation inférieur à l'âge de 17 ans a aussi précisé avant donc avec aussi là aussi un écart de 10 millions de 10 points donc
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avec un donc un fait de quitter l'école plutôt les retards précoces sont aussi plus important donc on en a plus en 6e donc pour voir que les difficultés
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émerge relativement tôt et voir au début de la scolarisation et avec aussi parmi les différents indicateurs une orientation dans des parcours spécialisés qui sont plus importants
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pour les enfants qui passent par la protection de l'enfance pour les questions des orientations et des sorties donc ça a été aussi évoqué peut-être qu'on pourra aborder aussi donc une orientation en filière
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professionnelle et technologique plus fréquentes qui est un indicateur de difficultés parce qu'en france c'est souvent et puis on peut le regretter mais un parcours qui est souvent choisi par défaut ou on
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oriente les élèves pour qu'ils ont identifié des difficultés plus importantes dans la filière générale dans d'autres pays c'est considérer différemment et on peut valoriser ces parcours là en france c'est pas le cas et donc c'est aussi un indicateur de
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difficultés rencontrées et enfin des sorties plus rapide du système éducatif que ce soit en formation aux professionnels technologiques ou général pour pour pousser pour ces chiffres là
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on a une convergence des recherches à l'international alors à l'international il ya des recherches qui se font dans différents pays mais je peux être plus tôt
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m'appuyer sur des recherches qui se font au niveau européen même si il ya des recherches aussi aux états unis en australie ou ailleurs qui convergent aussi là dessus mais au
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niveau européen donc c'est pareil les corpus de recherche sont plus ou moins établie il ya quelques endroits et notamment en angleterre on travaille cette question depuis le milieu des années 70 donc on a une des connaissances très fine pour d'autres
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pays ça l'est beaucoup moins mais les résultats sont aussi relativement similaires c'est à dire que les difficultés sont plus marqués à l'école pour les enfants qui passent par
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les systèmes de protection de l'enfance même si le système de protection de l'enfance sont différents d'un pays à l'autre si l'essai système éducatif sont aussi différents on a ces régularités qui qui sont identifiés par par la
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recherche avec quelques quelques quelques 10 quelques différences et notamment au niveau des orientations et des sorties mais on pourra peut-être y revenir donc il ya notamment des recherches et
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notamment une publication de jackson et cameron de 2012 qui font la comparaison des situations à françaises anglaises suédoises danoises et hongroises et en
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comparant ces pays-là qui montre qu'il peut y avoir un soutien qui est apporté par certains pays et notamment en suède et au danemark qui permet de pouvoir avoir des financements qui permettent
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d'envisager des études supérieures ce qui pour les autres pays donc la france on en fait partie mais on n'est pas les seuls c'est le cas aussi en angleterre en espagne en hongrie il ya une anticipation des difficultés
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que les jeunes qui passent par la protection de l'enfance peuvent rencontrer donc d'avoir moins de ressources quand la protection de l'enfance s'efface donc à 18 ans voire à 21 ans pour ceux qui
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poursuivent et quand la protection de l'enfance n'est plus là pour soutenir pour soutenir le jeune et le jeune majeur il a moins de ressources familiales moins de ressources financières et donc le maintien des études et les forces est fortement mis à
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mal et donc on vise souvent une situation qui peut permettre l'indépendance financière pour comprendre ces situations il peut y avoir deux entrées la première c'est l'entrée par par les publics de pour
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pour mieux comprendre de quelle jeune on parle de quelle situation on parle et puis quel parcours ils peuvent avoir dans les espaces de protection de l'enfance donc les les chiffres ont
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aussi été dis donc je peux passer rapidement là dessus juste sur le chiffre ce qui est important est ce qui vous a été rappelée donc 4% je crois dans les établissements scolaires dans le nord c'est c'est peu et beaucoup c'est à dire que
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vous avez environ un jeune ou un élève sur 25 donc un par classe donc il n'a pas à chaque fois mais il y en a régulièrement et des situations qui sont peu visibles est peu identifiable donc on a l'impression d'en avoir peu
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voire pas mais en même temps on en a régulièrement dans les classes et donc vous allez travailler régulièrement avec des situations qui sont concernés par ce qu'on est en train d'évoquer donc ça a été aussi évoquée et c'est
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aussi des des résultats qui sont récurrents d'identifier des difficultés individuelles donc quand on s'intéresse aux aux jeunes voilà je vais passer rapidement parce que c'est ce que montre
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la recherche ça vous a été évoquée avant sur les difficultés individuelles les traumatismes les difficultés liées aux maltraitances aux négligences aux difficultés rencontrées par les familles aussi
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et on a aussi un cumul de situation de précarité nos difficultés socio économiques qui peuvent être liés aux situations qui amène aux maltraitances et négligences
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qui peuvent être identifiées qui justifie l'intervention de de l'aide sociale à l'enfance mais qui ne sont pas systématiques et donc là encore c'est aussi une double entrée à avoir c'est à dire que ça ne concerne pas que
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seulement pour le faire vite pour pour le dire vite les familles pauvres tous les milieux sociaux sont concernés par ces situations mais il ya une sur représentation des familles qui concentre des difficultés et des précarités et qui peut
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être aussi une grille de lecture sur les difficultés scolaires qui sont rencontrées par les enfants les recherches donc il ya un pan des recherches et notamment en france en s'intéressant aux situations des enfants
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vont regarder les parcours et donc qu'ils identifient déjà que la population des enfants passant par la protection de l'enfance et une population fortement hétérogènes et donc il faut avoir une prudence dans
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l'utilisation du terme de d'enfants placés confié pris en charge passant par la protection de l'enfance parce que ça regroupe des situations très diverses les prises en charge sont momentanée un sons
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peuvent être moins vingt années donc ça veut dire que on peut être pris en charge un moment par la protection de l'enfance et et en sortir et d'un autre côté ça peut aussi être durable donc on a des des passages qui sont plus ou
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moins longues qui sont dans différents dispositifs et et modes de prise en charge donc c'est très différent et on peut pas regrouper sous une même catégorie une même étiquette une population qui est très varié
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une ces signes prudence à avoir aussi quand on quand on essaie de comprendre ces situations quand on travaille avec ces jeunes de bien être attentif à leurs leur situation leur parcours et de
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d'éviter de réfléchir avec cette catégorie nké qui est assez englobante et qui rend compte de situations vraiment varié pour ce qui est de leur parcours puisque
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justement ils peuvent avoir des ddd prise en charge qui peuvent parfois être suivi alors qu'il reste au domicile parfois déplacement il peut y avoir des épisodes de retour au domicile donc les
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parcours sont aussi très hétérogène et très variée et donc il ya des recherches qui se sont penchés sur sur les parcours pour essayer de reconstituer les parcours en protection de l'enfance et qui montre qui peut y avoir des
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stabilité des ruptures donc c'est notamment les travaux dont il y en a plusieurs mais notamment les travaux de d'emilie potins qui montre qu'il peut y avoir des parcours plutôt stable donc avec des prises en charges qui dure et
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d'autres qui qui peuvent être plus en rupture donc avec des des prises en charge des retours en famille ou alors des changements de de prise en charge on peut être placé dans un établissement puis dans un autre puis auprès d'un ou
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une assistante familiale pour différentes raisons qui amènent les professionnels à a conseillé ou à penser ces changements là mais tout ccc rupture peuvent fragiliser
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la scolarité déjà parce que l'on change de personnes de référence on change de cadre le cadre de vie c'est s'il ya des ruptures c'est aussi parce qu'il ya des préoccupations des situations parfois de
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danger ou d'urgence qui amène à passer d'une situation à l'autre il peut y avoir aussi des des audiences qui viennent reconsidérer la situation est donc les enfants atteints de ces
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audiences pour savoir s'ils vont rester là où ils sont si ça va changer aussi vont pouvoir retrouver leurs frères et soeurs ou pas donc des préoccupations qui jalonnent ces parcours et qui amènent des préoccupations mais qui
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peuvent aussi amener des des ruptures dans les espaces dans lesquels on et notamment dans les établissements scolaires puisqu'il ya un changement de lieu de prise en charge il peut aussi avoir malheureusement un changement de
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lieu de placement scolaire et ce qui ce qui peut gêner d'autant plus l'enfant qui est aussi un élève s'il change une fois deux fois trois fois plusieurs fois d'établissement scolaire et donc donc quand on est donc ça c'est
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sûr sur les parcours il ya aussi les travaux de pierrine robin qui a travaillé avec des chercheurs perd donc avec des jeunes adultes qui avaient eu des parcours en protection de l'enfance
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et qui a pu aussi avec cette équipe-là reconstituer les différents parcours les différentes perceptions de la part des de la part des jeunes et qui montre aussi ses ruptures là et aussi des
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pertes d' attache avec des personnes qui qui leur sont chers où elle qui peut y avoir une relation favoriser et ça peut être les frères et soeurs a été évoquée ou des professionnels et ils rendent
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compte et donc dans ses recherches elle rencontre de sa de ces de ces ruptures et de ses attaches qui peuvent qui peuvent se couper et augmenter aussi les préoccupations les difficultés puisque à
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ce moment là c'est le cas pour l'ensemble des jeunes mais encore plus pour cela l'école et pas les seules préoccupations et ils peuvent en avoir beaucoup dans leur parcours est donc enfin pour la fin de la mesure
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et les possibilités de des études supérieures donc souvent il ya effectivement des des poursuites qui sont plutôt courtes mais aussi parce que donc pour les raisons que j'ai évoquées plus haut et
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aussi parce que parfois quand les enfants sont pris en charge les mains ils peuvent être amenés aux conseillers pour suivre ces situations scolaires ses orientations pour aller vers une situation qui serait
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selon eux et selon les professionnels la plus stable possible à la sortie de la prise en charge puisque ces situations-là de manque de ressources à la sortie de la prise en charge sont
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pris en compte par les professionnels et s'est avérée dans dans leurs sorties donc il essaie d'anticiper ces situations là mais qui ont kiki qui mènent et qui ont
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l'inconvénient de d'amener vers des ses orientations vers les vrd des sorties plus courte vers des des parcours professionnels qui permettent peut-être et puis parfois il peut y avoir des idées reçues aussi de pouvoir accéder
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plus facilement un métier à une situation professionnelle plus stable et là les recherches notamment d'isabelle fréchon montre que c'est plus compliqué que ça avec les parcours professionnels très court ne donne pas
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forcément accès à des situations d'emploi plus stable que si on poursuit les études et donc c'est ces résultats là sont aussi confirmées à l'échelle internationale
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c'est à dire que ces anticipations de fin de mesure puisqu'il ya un manque de ressources sont anticipés au niveau européen sauf dans des pays où il y à des systèmes de bourses voir de près qui
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sont plus faciles à accéder pour ses enfants et qui peuvent leur donner plus d'opportunités de possibilités à la fin de la mesure est donc à la fin de certaines ressources qui pour eux sont prolongées
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donc ça donne des premières pistes sur les difficultés scolaires en partant des des situations individuelles des des jeunes des enfants des difficultés qu'ils ont rencontrées donc on a évoqué les situations 1
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ivy duels les préoccupations les la situation sociale est aussi quelque chose à prendre en compte de façon importante en france mais dans d'autres pays aussi et puisque les inégalités sont sociaux
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scolaires sont souvent alimentés en france c'est à dire que si on arrive avec des difficultés sociales elles se traduisent souvent en difficulté scolaire l'école et notamment l'école française
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ayant du mal à réajuster ses difficultés et à les réduire donc ça rapidement scellé comparaison les comparaisons internationales qui place le système éducatif français qui
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montre que en france on est très mal situé dans le le travail sur les i n'est sûr les égalités scolaire puisque la situation sociale influe fortement sur la
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situation scolaire qu'on peut avoir alors il ya beaucoup de recherches et les travaux notamment en sociologie de l'éducation se penche sur cette question depuis très longtemps et c'est une question qui est très complexe qui se
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résout pas facilement il ya beaucoup de deux pistes de compréhension à ça et notamment la familiarité qu'on peut avoir avec l'école et c'est ce qui différencie les
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familles entre elles c'est à dire que celles qui sont plus familières de l'école qui ont plus de ressources qu'elles peuvent mobiliser vont avoir plus fais plus de facilité à répondre aux attentes scolaires vont avoir plus
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de familiarité à échanger à discuter avec les enseignants et celles qui sont moins familière plus distantes vont avoir plus de difficultés ou alors leur leurs tentatives reçoit au
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moins perçu et il y aura des liens qui seront beaucoup plus distendus c'est aussi important à prendre en compte pour voir comment se situe aussi les différents espaces de l'aide sociale à
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l'enfance et notamment les professionnels sur ces questions de distance et de familiarité donc qui sont une des spécificités en france mais pas seulement et notamment en angleterre où je prend appui sur sur quelques autres données c'est aussi le cas c'est à dire
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des différences forte entre les familles donc ça c'était une entrée par les par les situations et parcours mais comme on le voit les parcours peuvent être très très varié très éclaté on peut passer à certains moments dans différents espaces
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de protection de l'enfance donc il ya aussi d'autres entrées de recherche qui se penche sur les espaces de protection de l'enfance et pour comprendre comment ils s'organisent comment ils sont configurés et comment ils peuvent
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appréhender la question de la scolarité donc là on se pose plus du côté de ces structures là et du côté des professionnels qui vont accueillir et travailler avec des enfants à un moment donné qu'ils sont passés aussi peut-être
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par d'autre part d'autres endroits et qui vont rester un certain temps mais qui sera rarement le même et donc là c'est plutôt cette cette entrée là que j'aborde maintenant pour essayer de voir en fonction de quelques espaces comment
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on peut comprendre l'appréhension de la question scolaire et les difficultés telles qu'elles peuvent se poser est aussi les pistes de de levier qu'on peut identifier
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donc le milieu ouvert pour enfin cc 1 une formulation qui rassemble et parfois de manière raccourci donc l'intervention tels que vous a été écrit décrite précédemment des professionnels
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dans les familles où au moins les enfants reste dans la famille la famille et l'enfant que peuvent être suivies il peut y avoir d d d d entretien par exemple qui sont faits ou services ou dans des espaces tiers
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c'est un espace qui a été très peu enquêté il ya quelques recherches de manager cas paul durning qui sont penchés sur sur ces espaces là on en sait très peu sur l'appréhension de la scolarité encore moins à l'échelle
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internationale ça a été peu évoquée on vient de vient de finir une recherche qui est en cours de finalisation là dessus sur sur le milieu ouvert et
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qui montre que donc le milieu ouvert c'est donc un service constitué de plusieurs professionnels majoritairement des éducateurs éducatrices spécialisées mais pas seulement il peut y avoir d'autres métiers qui vont avoir à suivre
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un ensemble de mesures et qui vont travailler sur des démesurée qui vont suivre des familles des enfants et qui vont travailler de manière ponctuelle avec elle donc c'est un travail on a identifié un
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danger mais qui on a estimé que l'enfant pouvait rester dans la famille et les recherches qui se penche sur ce ce cet espace là ont tendance à montrer
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que c'est une intervention qui est pensée comme ponctuelle à l'inversé d'autres qui sont plus intensive où le travail est intermittent sur chaque situation parce qu'on a beaucoup de mesures sur lesquelles travailler il ya plusieurs objectifs à essayer de
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résoudre et la scolarité peut en faire partie mais n'est pas la seule et les professionnels quand ils vont aborder la question de la scolarité c'est plutôt quand l'école est en difficulté sur la
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question de désordre scolaire par exemple ou sur les questions d'orientation on va se focaliser plus plus spécifiquement sur ces questions là mais les professionnels vont pas aller sur la question des apprentissages ou
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des difficultés scolaires ils peuvent travailler sur la question des déplacés ou des réorientations mais ils vont leur appréhension de la question de la scolarité va plutôt rester là puisqu'ils vont se concentrer sur d'autres d'autres
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pans de leur travail notamment des questions d'évaluation et de travail sur certaines pratiques familiales pratiques éducatives de travailler notamment sur les relations familiales mais où l'école sera très rarement dans ce qu'on peut
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observer le levier ensuite donc les assistants insistante familiaux dont quatre ont été évoqués aussi donc là en france on a très peu de recherches aussi sur sur cet espace là
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on en a plus dans d'autres pays en france c'est plutôt un espace qui est privilégiée dans d'autres pays c'est la priorité est donc on a davantage de prise en charge qui sont faits par des
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incidents et des assistantes familiaux en france les premières recherches sur la scolarité donc ont été notamment menée par ali sandton et qui montre que alors déjà même si
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donc il ya une professionnalisation donc puisqu'on est passé des familles d'accueil aux assistants familiaux ça reste un accueil en milieu familial et c'est bien à penser dans l'ensemble de la famille qui accueille avec un ou une
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assistante familiale qui a un qui accueille l'enfant donc qui est son espace de 1 de ses espaces de socialisation est donc là on reste sur sur les familiarités que peut avoir
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cette famille qui va accueillir donc avec un assistant familial et donc on est sur des des familiarités ou des distances qui sont à peu près les mêmes qu'avec les familles c'est à dire qu'on va avoir des familles qui sont plus
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proches du monde scolaire et qui vont pouvoir soutenir davantage de façon efficace la scolarité et d'autres qui sont un peu plus éloignés qu'ils vont être en difficulté comme des familles de milieux populaires
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par exemple où on a pas de différence fondamentale entre cet espace-là par rapport à un autre espace familial sur la question de la scolarité et donc se joue aussi ici comme ailleurs
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la question des attentes et des ambitions qui peuvent parfois être fragilisé danser danser ce pas cela par le fait que la prise en charge est limitée et donc c'est difficile pour les enfants et surtout pour les familles de
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se projeter dans des orientations longue puisque l'assistant l'assistante familiale est assuré d'avoir l'enfant une certaine durée mais qui reste relativement court qui peut être renouvelée et donc c'est c'est des
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projections qui sont plus difficiles que si dans une famille l'enfant et est pris en charge plus longtemps je reviendrai peut-être sur ces questions de d'attenté d'ambition
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et puis allez les établissements d'hébergement collectif donc qu'ils sont là des établissements où c'est une équipe professionnelle qui va intervenir
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dans un cadre collectif c'est à dire que c'est c'est une équipe constituée de d'une petite dizaine à une plume plus grande de constituer aussi éducateurs éducatrices spécialisées il peut y avoir
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un psychologue dans le service il peut y avoir quelques autres fonctions aussi qu'ils vont s'organiser collectivement à suppléer la famille dans ce cadre là qui est là complètement nouveau pour les enfants puisque sinon pour les familles d'accueil on reste dans un cadre
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familial là c'est un autre espace donc c'est un lieu de résidence quotidienne qui a aussi son impact sur la scolarité et donc qui vise à supplier une partie d une partie de l'autorité parentale
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donc là les recherches montrent que le collectif peut être soutenant on peut mettre en difficulté la scolarité des enfants selon le groupe de jeunes qui est accueilli à un moment donné si la
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scolarité peut être difficultés pour peut être synonyme de difficultés pour certains ça peut entraîner des difficultés pour d'autres il peut y avoir un climat qui est plus difficile le quotidien aussi sur la scolarité peut
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être plus difficile parce qu'on est dans un espace collectif il s'agit aussi de faire ses devoirs de 2,2 de faire aussi des activités culturelles de loisirs qui
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est reconnue aussi par l'école et qui peut être plus difficile a affaire en collectif qui peut être des questions aussi qu'ils peuvent mettre en difficulté les professionnels parce qu'ils ont aussi un ensemble de deux chargés de tâches à gérer notamment la
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gestion du quotidien le suivi des situations individuelles le lien avec les familles avec d'autres professionnels qui peuvent mettre la scolarité un peu de côté avoir une attention moindre sur cette question là
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et donc là les les professionnels ce familier sont moins familiers de la question scolaire travaille sur d'autres choses et on peut noter des exceptions qui sont plutôt
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individuelle à l'exception de quelques établissements qui en font un objectif collectif qui en font une politique de l'établissement est donc là il peut y avoir des services qu'ils se réorganisent pour essayer de soutenir et
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de travailler sur la scolarité et il yad'autres aussi espèces alors qu'ils peuvent être plus plus particulier à la france par rapport par rapport à d'autres pays donc notamment les villages d'enfants qui vont être
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évoqué au cours des ateliers ou des lieux de vie aussi qui peuvent être des espaces particuliers qui sont qui peuvent être présents dans d'autres pays mais de manière moins systématique et sur lesquelles il ya aussi moins de
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recherche alors peut-être pour pour dire un peu les les points de connaissances qu'on peut avoir sur sur cet ensemble là et donc quand on est pris en charge dans l'enceinte de ces espaces qu'est-ce
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qu'ils jouent sur la scolarité en plus de tout ce qu'on a évoqué précédemment donc ce sont déjà des nouveaux espaces et des espaces qui peuvent être plus ou moins soutenant sur la question de la
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scolarité dans les établissements collectifs par exemple s'il peut y avoir des ressources qu'on peut mobiliser un endroit pour pouvoir travailler sur sur sûr c'est son travail scolaire par
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exemple si c'est un endroit qui est calme au bruyant s'il ya aussi des temps qui peuvent être consacrés par les professionnels c'est ça peut jouer pour soutenir ou mettre en difficulté les jeunes sur leur scolarité
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se joue aussi beaucoup c'est le cas pour les familles mais c'est le cas aussi pour les professionnels de quel rapport à l'école ils ont et de comment ils sont appuyés équipés dans leur formation pour
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pouvoir travailler cette question là ils sont peu équipés pour le faire donc il travaille beaucoup avec leurs propres expériences leur représentation au parfois avec des déformations qui
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peuvent avoir été faites localement ou par une spécialisation qui peut avoir été fait pour pour un professionnel est donc là on constate des différences selon que les professionnels danser dans
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ces espaces là sont familiers ou pas et des professionnels qui sont familiers parfois parce qu'ils viennent du monde scolaire et bien peuvent insuffler une soutient une attention plus forte dans
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l'équipe ou dans le milieu familial même s'il et de suppléance que dans d'autres équipes ou les professionnels peuvent être plus en difficulté parce qu'il n'ya pas quelqu'un qui est plus familier de cette question là
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donc on ça dépend beaucoup des pratiques individuelles de cette familiarité là et il peut y avoir on peut noter quelques régulation des organisations collectives dans certaines dans certaines équipes il
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peut y avoir en france par exemple mais c'est plutôt dans des dans des espaces qui ont qui sont constitué d'équipés suffisamment grande qui leur permettent d'avoir quelqu'un par exemple qui peut se spécialiser sur la question scolaire
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et donc il peut être attentif à cette question là et donc là se joue aussi qu'elle quel rôle il a s'il a un rôle plutôt de deux d'être celui qui travaille sur cette question plutôt de deux d'être attentif à comment cette
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question et travailler au sein de l'équipe il peut y avoir un risque de 2 deux délégations c'est à dire que la question scolaire va être déléguées à ce spécialiste dans l'équipe ce qui peut avoir pour conséquence de concentrer la
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question scolaire sur une personne ou alors il peut instaurer et être attentif au fonctionnement dans les établissements et dans les équipes pour rappeler certaines attention certaines priorités certaines connaissances sur
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les enjeux de de soutien de partenariat qui peut y avoir avec certaines écoles donc il peut y avoir des des partenariats plus soutenant qu'ils peuvent se faire et donc ce qui ce qui ce qui est
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important et qu'il à comprendre c'est aussi comment les professionnels de l'aide sociale à l'enfance et de la protection de l'enfance plus généralement prennent place dans le travail éducatif et il ya plusieurs recherches à l'échelle internationale
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qui se posent sur le travail éducatif et comment il est partagé par les enseignants et les enseignantes donc les professionnels du monde scolaire les professionnels de l'animation de l'éducation populaire de l'intervention
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sociale et du travail social et comment on se partage ce travail éducatif et quelle place à la scolarité dans ce travail éducatif est ce qu'il est attribué à un seul membre dans ce
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travail éducatif est ce qu'il est partagé ou est-ce qu'il est l'objet d'une seule personne par exemple est ce que c'est de la seule responsabilité de de l'école ou est ce que c'est une responsabilité partagée mais jusqu'à
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quel point puisque les éducateurs et les éducatrices ne sont pas des enseignants donc on voit dans ses recherches la commet parfois dans des dispositifs de prise en charge de difficultés scolaires
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ça peut être partagée ou alors parfois déléguée à des professionnels qui ne sont pas de l'éducation nationale qui sont pas en saignant là se pose la question de comment on travaille ensemble et comment les professionnels
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de l'aide sociale à l'enfance prennent place dans ce travail éducatif pour pouvoir soutenir la scolarité le travail des enseignants et donc ça donc on l'a déjà évoqué c'est dans ce travail là souvent les
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professionnels travaillent à une des visées raisonnable du moindre risque étant donné les difficultés qu'ils lisent des enfants mais aussi parfois les lectures que peuvent en avoir les enseignants et le manque de ressources
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qui peut arriver plus tard et donc on peut avoir tendance à réduire les ambitions pour toutes ces raisons et qui pèse sur les enfants et qui peuvent comprendre pourquoi ils ont des des scolarités qui peuvent être mis en
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difficulté avec des orientations qui au final peuvent les les placer dans des situations plus difficiles et l'école dans tout ça donc l'école elle est aussi à peu abordée dans les
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recherches mais quand on commence à se pencher sur l'école et sur le champ scolaire on est entre entre dimension invisible c'est à dire qu'en tant que professionnel de
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professionnels scolaires on n'est pas toujours au courant de ces situations là et quand on est au courant c'est pas forcément quoi faire puisqu'on n'a pas été forcément sensibilisé vous former pour le faire d'où l'enjeu qui a déjà
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été soulignée mais que je souligne encore sur cette cette journée là pour pourvoir si si on est au courant de ces situations il s'agit pas d'être au courant pour pouvoir agir efficacement et donc on peut avoir parfois une sur
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attention c'est à dire à considérer donc pour rappeler le danger de catégorisation de cette population à agir avec ses représentations et considérer qu' être pris en charge par la protection de l'enfance est
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nécessairement synonyme de difficultés qu'ils peuvent nous amener à réduire nos ambitions et c'est pareil pour les enseignants ils peuvent être amenés quand on interroge les enseignants à revoir leurs ambitions à la baisse quand ils savent qu'un
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enfant est suivi par la protection de l'enfance et qui peut être préjudiciable si ça s'inscrit dans la durée et on peut considérer on peut identifier quelques initiatives locales qui sont
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parfois du fait des enseignants mais souvent du fait des d'aider d'autres professionnels et notamment des professionnels de l'aide sociale à l'enfance qui vont initier des partenariats qui vont essayer d'inscrire dans la durée et de travailler
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régulièrement avec les enseignants essayer de dépasser les difficultés qui ont été identifiés précédemment et pour finir donc des quelques pistes d'expérimentation qui montre des des
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expérimentations qui ont été faites et qui ont été plus ou moins efficaces qui ont été tenté pour résoudre ces questions là donc on a pu identifier en angleterre une tentative pour identifier le fait que les enfants qui est qu'ils
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étaient suivis par l'équivalent de l'aide sociale à l'enfance ase les moins à l'école travailler moins et faisait moins leurs devoirs d'avoir une tentative d' encourager par l'incitation des récompenses et les sanctions ce qui
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est plutôt une mauvaise idée fins qui sait ce qu'est ce qui est plutôt peu efficace voire discriminant puisque s'ils sont en difficulté c'est pas forcément de de leur fait et parce qu'ils ont pas seulement pas envie
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il peut y avoir pour essayer de pallier ces difficultés là donc je l'ait déjà évoqué une augmentation des ressources pour pallier les difficultés qu'ils peuvent rencontrer à la fin de la prise en charge il peut y avoir aussi des
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tentatives de travail partagé entre le chant du travail social et le chant scolaire avec des collaborations qui s'inscrivent dans la durée quand elles s'inscrivent dans la durée c'est là où les professionnels peuvent peuvent travailler ensemble
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ça peut être fait avec le recrutement spécifique dans l'éducation nationale ou l'équivalent de l'éducation nationale à l'étranger ou dans les services de protection de l'enfance de professionnels qui vont avoir fonctions spécifiques de travailler sur ces
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collaborations donc par exemple qui peuvent être déjà familiarisé avec le chant avec lequel ils vont travailler qui peuvent être formés pour le faire mais qui doivent pas et là on voit les
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limites de ce travail là c'est qu'ils doivent pas prendre seul la responsabilité soit ça doit pas être eux qui vont être garant de la scolarité mais garant que la question de la scolarité de ces enfants là va être partagé par tous
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et avec aussi une tentative non qu'il a on a quelques recherches qui portent là dessus sur le les tentatives d'atténuation des inégalités scolaires par des étayage très tôt qui vont pallier les difficultés que les enfants
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peuvent rencontrer à l'école et parfois en intervenant avant l'entrée dans l'école ou au début du haut des but d'aider scolarité et parfois en maternelle pour étayer par exemple avec des des dispositifs d'intervention
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intensif sur les questions de de la lecture par exemple qui vont qui vont réduire les difficultés dès l'entrée de l'école et donc qu'ils vont limiter les difficultés ensuite et les quelques
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travaux longitudinaux montre que ces interventions précoces sont plutôt efficaces dans la durée parce que quand on rentre avec des difficultés c'est assez difficile de les résoudre
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et donc quelques pistes et perspective donc qui a déjà une on regrette une manque de mobilisation de la recherche il ya peu de recherches qui portent sur cette question là on commence à en avoir mais mais il y en a
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très peu donc les comptes et les connaissances commence à être à être diffusés on commence à en avoir mais elles sont relativement limités sur cette question là et c'est vraiment un enjeu aussi scientifique
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toutes les solutions qui ont été quand on été identifié et c'est le cas à l'international on se on s'est tu m'aimes son cette même base et converge vers le fait qu' on peut penser des
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solutions mais qui manque des ressources humaines financières et matérielles pour travailler cette question est là où il ya des initiatives et notamment des initiatives locales elles se font à la place d'autres
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interventions c'est des services qui peuvent être soutenus mais les ressources restent limités et donc qui s'organise avec les ressources qu'ils ont pour pouvoir travailler plus particulièrement sur 7 sur 7 scolarité
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et donc il ya besoin de ressources supplémentaires pour pouvoir déployer les solutions qui ont pu être identifiés pour pouvoir les pour qu'elle puisse être pérenne enfile donc ça a été évoqué mais la
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recherche montre bien que ces solutions et ce travail là peut pas se faire sans les premières personnes concernées les enfants et leurs familles ça peut paraître évident mais cccc souvent oubliées elles sont peu
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mobilisés et donc les initiatives qu'ils le font sont plutôt exceptionnel et sortent de l'ordinaire par rapport à ce qui se fait d'habitude mais aussi parce que ça va pas de soi comme le disait madame devrait tout à
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l'heure de pouvoir entendre et puis de pouvoir se mettre en aussi en difficulté parce qu'on on voit qu'on peut aussi avoir des représentations ou avoir une entrée professionnelle ou avec un certain point
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de vue que les premiers concernés peuvent et peuvent en avoir un autre et donc prendre en compte aussi les professionnels terrain bien sûr un pur ca pour ses solutions là cette question la douane doit forcément être pensée en
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partenariat avec des visées aussi d'alliances et de pouvoir travailler ensemble en conservant aussi ses champs de compétence et là aussi on peut identifier parfois des limites ou des billets quand on partage l'ensemble des détachent les
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éducateurs et éducatrices ne doit va pas avoir la responsabilité de la scolarité mais peuvent prendre une part est de la même façon les enseignants aussi mais les uns peuvent pas prendre la part des autres et donc il ya aussi des champs de
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compétences bien spécifiques qui doivent être compris qu'ils doivent être entendus donc c'est aussi pour ça l'intérêt de pouvoir se croiser de se rencontrer mais de pouvoir regarder la place de chacun enfin aussi peut-être les deux derniers
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points donc de maintenir le temps et le soutien scolaire et qui peut y avoir tendance c'est un peu le cas en france mais beaucoup dans certains pays et notamment en angleterre où les prises en charges peuvent amener moins de temps moins de temps scolaire pour les jeunes
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qui sont en difficulté et notamment pour les jeunes la protection de l'enfance il peut avoir des emplois du temps scolaires plus réduits ou être orientée plus facilement dans des établissements spécialisés qui les éloigne du circuit
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ordinaire des parcours ordinaire et donc qu'ils vont limiter aussi les ambitions possibles qu'ils pourront donc là aussi ça nécessite des ressources et des moyens mais c'est souvent des solutions par défaut qui sont pris dans les dents
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les expérimentations et en est donc enfin de choses ont pensé des interventions donc adapter au contexte donc une part il n'y a pas de solution qui va de soi qu'il va être pris d'un endroit à l'autre on doit pouvoir s'adapter aux différents terrains en
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contexte au partenariat qui sont mis en place aux équipes qui sont déjà en place et penser dans leur complexité c'est à dire que si on intervient dans un seul sur une seule dimension c'est ça qui peut enfin c'est le l'efficacité peut
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être assez limité si on intervient seulement du côté de l'école où seulement du côté de la protection de l'enfance où seulement auprès des familles c'est limité alors que si on le pense dans ses interactions là on peut se donner plus de chance et c'est là où
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les résultats peuvent être plus en plus efficaces en termes de réussite scolaire et enfin ces expérimentations doivent être évalués scientifiquement pour savoir si on observe des effets à quoi
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ils sont dus est-ce qu'ils sont dus effectivement à ce qui a été mis en place à quelles conditions à quel biais et sous quelles conditions que on peut perpétuer ses premières puces positive
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voilà donc d'où l'intérêt de cette de cette journée là qui propose des croisements et une meilleure connaissance qui qu'initie 1 des dynamiques qui doivent permettre de prolonger ce travail entre les
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différents champs entre les différents secteurs et qui est peut-être une première piste de compréhension des premières réussites qui ont été identifiés et si dans les dents les parcours que je citais au départ c'était
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une entrée plutôt individuelle il faut bien penser que ce n'est pas seulement à l'échelle individuelle mais bien à l'échelle de l'ensemble de ses champs et de ses professionnels et l'ensemble des acteurs qui sont concernées qu'on peut penser les interventions et pouvoir
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soutenir la scolarité de ses enfants je vous remercie pour votre votre attention [Applaudissements]
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je crois qu'on peut prendre quelques questions remarques très bien merci beaucoup y at il des questions c'était juste sur les interventions précoces
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comment pourrait aborder le problème ou alors vous auriez des petites pistes pour essayer de voir comment c'est surtout que ça m'intéresse beaucoup parce que ça a l'air
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quand même très très efficace c'est juste que peut-être des précisions sur cet aspect parce que salaires importants oui alors c'est très efficace aussi par
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défaut parce qu'en fait il ya très peu d'évaluation qui sont fait des expérimentations à l'échelle internationale et ça fait partie des quelques seule solution expérimentation pour lesquelles il ya eu beaucoup d'évaluation il ya eu des méta-analyses
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donc qui compare aussi les évaluations entre elles pour savoir si c'est des solutions qui sont effectivement et efficacement c'est aussi efficace parce que le reste a été peut évaluer mais pour celle là c'est plutôt des
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interventions qui qui font intervenir des professionnels auprès des familles auprès des des établissements d'hébergement collectif donc auprès des professionnels qui qui vont travailler
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par exemple sur la question de de la lecture et qui vont accompagner les enfants à la lecture en gros qui vont qui vont pouvoir étayer les enfants sur ce qui peut leur manquer à l'entrée dans
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l'école puisque les recherches montrent notamment les travaux de dallas mingat par exemple que en france les différences se joue même déjà à l'entrée de l'école et donc c'est à dire que
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l'école va différencier déjà les enfants selon la familiarité qu'ils ont avant d'entrer à l'école avec le mode scripturale par exemple avec la lecture pour tout un tas de raisons mais donc
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donc il peut y avoir différentes entrées on peut faire évoluer les pratiques pédagogiques ou ce qu'on évalue et on peut trouver des différences dans d'autres systèmes éducatifs dans ceux qui sont particulièrement marquée sur ce
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ce caractère inégalitaire c'est de pouvoir étayer les enfants pour qu'ils soient sur des niveaux plus proches en terme de rapport à l'écrit par exemple est donc là qui passe par la découverte
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de la lecture qui vont les mettre moins en difficulté à l'entrée à l'entrée dans l'école peut-être juste un mot pour compléter non confirmées comme le disait benjamin de nos shows qu'
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il ya des choses très concrètes à faire très tôt avant l'entrée à l'école on a la chance dans ce département de compter parmi nos ressources docteur rosa mascaro pédopsychiatre qui
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travaille depuis maintenant de nombreuses années qui a publié d'ailleurs récemment sur la question de l'identification des signes de recherche des signes de souffrance pardon des tout petits des bébés dès la crèche on
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expérimente d'ailleurs dans le département une crèche de prévention précoce dans lesquels on va soutenir avec un dispositif de soin particulier des enfants qui déjà dans les premiers mois de vie manifestent des troubles du
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développement ou des risques de retard par des interventions ciblées et dans un environnement qui est celui de la crèche donc voilà il ya des choses il ya des choses possibles il ya des choses qui
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commencent à se mettre en place mais comme j'ai dit tout à l'heure l'attention portée aux bébés et aux tout-petits elle est quand même très très récente dans nos sociétés on entend
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souvent bernard golse dire que moi je suis vieille mère dans les années 80 c'est quand même pas ya mille ans on était très peu réceptifs aux questions même de souffrance de manifestations de mal-être des tout petits on opérait
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encore les bébés les bébés sans anesthésie dans les années 80 c'est un truc qui fait froid dans le dos mais on sait que le développement des connaissances et l'attention portée aux tout-petits elle est quand même très récent donc on a on a on a plein de
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choses positives devant nous avec ce qui se joue en ce moment sur ces sujets je pense et avec l'appui aussi du chantier mille jours qui vraiment se concentre sur le champ périnatale pour soutenir les capacités
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des enfants bonjour merci pour du coup pour cette conférence est pour les éclaircissements vous avez pu apporter là dessus moi je suis actuellement c'est que je suis en des huées et je me posais la question de savoir si lors de vos recherches que ce
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soit en france ou à l'étranger vous avez pu identifier des modalités concrètes d'actions qui ont été faites pour améliorer en fait le lait les interactions entre établissements scolaires et établissements de
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protection de l'enfance parce que moi là actuellement dans le constat que je fais dans l'établissement lequel fut nommé et dans les établissements lesquels j'ai pu exercer avant on a parfois une espèce d'imperméabilité en fait entre ces deux entre ces deux institutions
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et entre ces deux modèles et c'est difficile d'identifier les besoins des élèves c'est difficile aussi de faire valoir les ressentis des éducateurs au sein de l'établissement au sein des personnels de l'établissement et puis et puis de les mettre en place en fait de
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mettre en place des adaptations du coup pour ses élèves est ce que au cours de vos recherches vous avez des exemples justement de modalités de d'expérimentation qu'ont pu porter leurs fruits pour avoir un suivi plus individualisé et répondant plus aux
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besoins particuliers de ses élèves parce que c'est clairement des besoins éducatifs particuliers dont on parle là les ya effectivement beaucoup de chemin à faire mais aussi parce que c'est
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deschamps qui feinte qui sont construit historiquement qui sont construits à distance parfois contre ou moins avec des avec des avec des réticences mais bon il ya des recherches et ça c'est le
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cas aussi au niveau international on n'est pas les n'est pas les seuls en france les premières pistes avant de travailler plus précisément sur les situations c'est celle qui permettre de se rencontrer de se connaître donc c'est
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à dire que les enseignants connaissent l'aide sociale à l'enfance les professionnels aide sociale et enfin son fonctionnement et inversement et donc ça c est permis par soit des spécialisations dans le champ scolaire
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ce qui est très peu le cas en france mais par exemple en angleterre ils ont ils ont désigné un professionnel dans les établissements scolaires qui étaient formés à connaître le monde de l'aide
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sociale à l'enfance et qui était le partenaire privilégié ce qui peut être utile parce que il s'agit pas juste d'identifier les situations et parfois c'est d'échanger ensemble parce qu'il ya des questions aussi enfin
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les les enseignants ont à connaître certaines choses n'ont pas toutes à connaître il ya des informations qui restent dans le secret professionnel qui n'ont pas forcément à prendre en compte parce que s'ils le prennent en comptent parfois ça peut être au détriment de
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l'enfant donc tout ça c'est des choses qui sont difficiles et qui peuvent se régler sans solution sans solution clé en main mais bien en discutant ce que les professionnels échangent entre eux donc c'est vraiment
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c'est vraiment ce travail-là et du côté de l'aide sociale à l'enfance c'est quand donc donc ça dépend il ya des des initiatives qui sont en train d'émerger notamment au département là pour pouvoir équiper des personnes et que des
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personnes de de l'aide sociale à l'enfance et du département soit plus familière et pour mission de travailler sur sur la question de l'école donc ça vient ça vient y initier des connaissances et puis l'identification
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pour que ça puisse ça puisse après se répercuter à l'étranger on peut voir ça aussi avec des des responsables qui vont coordonner qui peuvent appuyer la
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réorientation prendre en compte plus finement l'orientation scolaire dans les décisions de l'aide sociale à l'enfance par exemple et qui peuvent aussi faire le faire le lien avec les avec les établissements scolaires donc c'est
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d'abord je pense ou non dans ce qu'on voit d'abord dans dans le travail ensemble donc voilà il ya aussi le l'association sos villages d'enfants qui présentera un atelier tout à l'heure qui
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ont un programme qu'on a pu évaluer aussi en partie qui vise aussi à initier des liens avec les écoles et des liens privilégiés qui initient des des rencontres ça prend du temps et les
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effets sont plutôt long mais à mon avis et c'est fondamental et sade au moins passer par là pour à prévoir sur des situations particulières comment travailler quoi prendre en compte quoi laisser aux prérogatives de l'autre à
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ses compétences en tout cas c'est le sens de ce qu'on essaie de faire au sein de l'académie donc avec franck laurent que j'ai passé le micro peut-être s'il veut donner quelques précisions en bon
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ce qui est un peu compliqué on en discuter ensemble avec la dinde vrai c'est que c'est vrai que les politiques publiques tout de suite on gère un grand nombre et que bien souvent devient on devient efficace dans cette gestion du grand nombre ou ça passe par des
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arsenal d'objets de la très complexe donc nous on est plutôt parti lidé d'expérimentation naka territoire expérimentaux dont trois dans le nord est vraiment l'idée c'est de rapprocher
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tous les intervenants dette sociale à l'enfance sur un territoire donné et les intervenants de l'éducation nationale pour déjà mieux se connaître mieux connaître les contraintes des uns les autres et faire une sorte d'alliance
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éducative autour des autour des enfants dans des enfants concernés et on sait très bien que tout ce qu'on va faire dans ce cadre-là servir à tous les enfants à besoins éducatifs particuliers bien sûr mais donc on va vraiment
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travailler sur ces territoires eux si on peut être obligé de recherche la même manière mais du coup peut-être franck va intervenir là dessus et après on verra comment on peut étendre à plusieurs territoires on les a choisis de manière
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à ce qu'ils soient différents t'as du territoire où il ya même des territoires où il ya plusieurs familles d'accueil des têtes pourraient essayer d'avoir des et finalement des approches différentes selon le type d'accueil pour tous ces
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enfants mais je pense que la seule démarche que je voyais facile à mettre en oeuvre rapidement et ce du fait de la taille aussi d'autres académies
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oui on m'a effectivement on a déjà séjourné là séjourné ces journées de formation comme aujourd'hui qui permet de sensibiliser de fort mais vous avez votre très loin de vous il ya aussi des étudiants qui se forment au métier le
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travail social l'institut régional du travail social qui est à l'os par exemple on pourrait très vite très bien imaginer aussi qu'à certains moments il puisse y avoir des événements qui rassemble à la fois des étudiants qui sont dans un parcours mais fait des étudiants ce qu'ils sont dans un
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parcours de trail sociale sur des objets qui seront des objets communs sur lesquels vous pourrez après vous projeter dans votre pratique professionnelle donc là on voit qu'il ya déjà une première pierre aujourd'hui qui est en train de se mettre en place et puis effectivement sur le terrain on
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essaye déjà de faire se rencontrer à la fois les acteurs du champ éducatif du champ social du chant socio éducatif pour qu'effectivement il puisse avoir une représentation qu'ils soient échangé
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discuté et qu'on puisse voir les périmètres d'intervention de chacun monsieur denéchaud le disais tout à l'heure j'avais noté fin c'était important que les champs d'intervention soit bien connu pour pouvoir agir après en complémentarité donc là on a sur les
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territoires et comme le disait madame la rectrice on a quatre territoires expérimentaux sur le sur lesquels on a des démarches très très différentes et l'idée c'est de voir comment justement on peut articuler nos
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interventions et être beaucoup plus efficace en tout cas pour le parcours le parcours des élèves alors c'est vrai que notre difficulté c'est d'avoir des connaissances et notamment d'avoir des éléments à la fois sur les parcours des
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élèves qui sont accompagnés par la ze dans notre dans notre académie donc là il va falloir qu'on mette en place des outils mais on essaie de travailler à la fois sur l'articulation des champs professionnels et acteurs mais je pense
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que la formation initiale est un des leviers essentiels et et continue et crée vraiment des moments où les professionnels peuvent aussi se retrouver dans le cas de la formation initiale et continue
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voilà j'ai pas dit ça répond à votre je voulais juste dire un mot en complément sur une observation que que nous nous étions fait au tout début de ces programmes quand on parle et qui ont
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voilà vraiment qui repose aussi sur votre engagement madame la rectrice pour pour ses enfants d'être social enfants c'est ce qui m'intéresse vraiment ce qui pour moi fait changement par rapport à toutes les réunions qu'on a tous déjà connus dans notre part dans nos parcours
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précédents c'est qu'on n'est pas que sur le traitement social de ses enfants de les yeux à l'école faut savoir que les liens sont difficiles mais qu'en général on a surtout des contacts avec les services sociaux dans l'éducation
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nationale et je crois que c'est la première chose que j'ai dit à franck laurent c'est ok on y va mais on y va dans cet esprit que vous décriviez qui et comment est-ce qu'on peut restaurer la capacité collective d'une ambition
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pour ses enfants et ce qui nous intéresse aujourd'hui et c'est à mon sens ce qui est vraiment neuf dans la démarche qu'on engage c'est de soutenir la réussite scolaire de ces enfants autrement dit on arrête de se dire bon après tout ils ont d'autres problèmes gérons le danger ce qui est très
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important c'est pas moi qui vais vous dire le contraire mais là en fait ce qui nous rassemble c'est le fait qu'on veut y croire qu'on veut changer les représentations sur les capacités de ses enfants et nourrir pour eux une ambition et
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commence le disait le faire très tôt parce que si c'est à la sortie du lycée que ça se joue c'est presque déjà trop tard du fait des déterminismes que j'évoquais et de se dire voilà ces enfants ils ont toutes les capacités si on les soutient très précocement et non
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pas seulement le fer avec les services sociaux de l'éducation nationale mais avec toute la communauté éducative les enseignants les enseignants en première intention pour moi c'est un point fort de ce projet et c'est ce qui nourrit en tout cas beaucoup d'espoir de notre côté
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même si comme vous l'avez dit madame la rectrice sont obligés de faire des petits laboratoires parce qu'on peut pas aujourd'hui toucher toutes les équipes elles sont tellement nombreuses déjà de notre côté on est un gros département malheur côté éducation nationale
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c'est un labyrinthe qui pourrait nous épuiser avant même d'avoir commencé si on voulait on voulait concerner toutes les équipes par ses projets et on prend une dernière question qui a
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été posée sur le chat de la chaîne youtube de liane aspect puisque les conférences sont retransmises en direct une question du coup qu'avec une réponse un peu courte pour qu'on essaie de
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répondre de suivre le timing c'est donc me calquer demande bonjour y at il des spécificités commune aux élèves issus de la zone notamment en lycée général et technologique ou les profils sont ils hétérogènes bon il y avait une seconde question mais ça va peut-être faire un
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gros morceau qui était du coup si ces profils sont hétérogènes est ce qu'il ya des outils pour traiter cette multitude de différence alors je fais si j'ai bien saisi donc c'était d'expliciter dans l'est dans les parcours dans les parcours qui peuvent
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avoir le nom là c'est très très hétérogène et ça dépend des endroits ça dépend aussi des des partenariats qui peuvent être mis en place ou des familiarités que peuvent avoir les professionnels qui connaissent cet
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établissement qui qui a une attention particulière ou avec qui ils ont déjà travaillé mais sinon ça reste très hétérogène et c'est peut-être ça à retenir qui a pas de systématicité nous mêmes dans les options les parcours qui
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sont choisis et quelle star est très varié quand même d'un clic on a beaucoup moins de jeunes qui vont en lycée général et technologique donc il se projette aussi après sur du post bac
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donc ça c'est quand même un point aussi sur lequel il faut travailler alors c'est vrai que bien sûr la voie professionnelle est une voie d'excellence en salade mais là elle est souvent choisi plutôt
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par angoisse de l'avenir et parce que ces jeux ne se projettent pas dans un et leurs familles dans un très long terme qui peut être rapportée par bac général des études supérieures ensuite ça c'est
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le point commun après c'est vrai que certainement chaque parcours est particulier et doit être accompagnée de façon particulière
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[Musique]
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