Video: Conférence-débat - L'accompagnement à la participation (DocDrop)

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alors bonjour à toutes et bonjour à tous merci d'être présents pour cet événement des jets autour de l'accompagnement à la participation cette conférence débat qui

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est un peu une gens commencent à bosse au guide en présentiel et gelé du mois

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avoir tous line jobs pour ceux qui ne connaîtraient pas assez donc l'institut national de la jeunesse et d'éducation populaire on est un service à compétence nationale du ministère de l'éducation nationale de la jeunesse et des sports

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et est en charge de travaux à la foi d'études de recherche de statistiques d'expérimentation et on regroupe des métiers du coup à la fois de convenir de

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la recherche de l' expertise delà de la documentation mais aussi de la communication et de l'événementiel et on est réuni aujourd'hui pour parler d'un thème qui est qui a été l'occasion d'un

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numéro d'une revue de jean jacques qui s'appelle les cahiers de l'action que je vous présente ici mais que vous verrez également en ligne qui est accessible à

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la fois sur le site de ninja paix sur le portail de deux revues kern et kate une collection à l'insep qui nous permet en fait de d'essayer d'opérer un dialogue

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entre des acteurs associatifs des acteurs publics engagés dans la mise en oeuvre et la réflexion autour des politiques publiques et des acteurs de la recherche donc d'essayer 3 de croiser

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en permanence ces trois regards autour de thématiques qui sont assez variés mais qui relève un peu des quatre on va dire grand champ sur laquelle jean jacquet est investi c'est à dire ceux de

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la jeunesse et des politiques de jeunesse de l'éducation populaire de la vie associative et du sport l'idée de cette de cette revue et de ce croisement de regards c'est d'essayer de faire écho

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aux préoccupations des acteurs de ces différents de ses différents champs en proposant un peu une méthode d'élaboration de ces numéros et le numéro qui nous réunit aujourd'hui il

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est à la fois l'occasion d'avoir expérimenté une petite modification d'un autre méthode de travail pour pour produire ces numéros et il est aussi l'occasion d'une nouvelle d'une nouvelle

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maquette qui à la fois à air les articles l'ordonnent delà de la couleur au père de la une résonance un peu différente des articles les uns par rapport aux autres l'idée de ceux de ce numéro c'est de

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réunir d'abord dans le cadre d'une discussion notre comité de programmation autour d'une thématique avec laquelle en échange là en l'occurrence c'était la participation citoyenne au départ qu'on

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a qu'on affine ensuite dans une discussion d'une journée ou d'une demi journée alors là pour le moment on est sur des formats d'une demi journée parce qu'on a été obligés de tout faire à distance mais à terme on aura dans lequel on

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regroupe l'ensemble des contributeurs d'impôt pour échanger ensemble et construire à eux thématique travailler ensemble la problématique les différents angles voir

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qui pourrait contribuer avec quels types de contributions parfois des articles parfois des interviews parfois des interviews croisées et on élabore comme ça collectivement le les numéros des des

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cahiers de l'action voilà donc je vais pas parler plus longtemps pour ce petit cours mot d'introduction et je vais laisser la parole à jordan avec qui je co dirige cette collection et qui va à

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la fois présenter le numéro nous réunit aujourd'hui et animer la table ronde pendant que moi je vais suivre l'ensemble des questions vous pourrez poser sur le chat en ligne merci emmanuel donc je vais pour m'avoir

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me charger de vous présenter un petit peu plus dans le détail ce numéro avant qu'on rentre dans la discussion et dans la mise en perspective qu'effectivement c'est un numéro qui porte sur l'accompagnement à la participation c'est une idée qui nous est venue des

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travaux qu'on mène à l'insep et le fait que sur les enquêtes de terrain qu'on a pu mener on rencontre assez souvent des personnes qui sont en situation d'accompagner à la participation et on s'est dit que ça pouvait être

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intéressant de creuser cet enjeu au regard un peu des évolutions des métiers des pratiques puis aussi des organisations dans différents champs alors ce numéro comme l'a dit emmanuel

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le croiser des perspectives à la fois de recherche mais croise aussi des perspectives issus de la pratique avec l'idée d'avoir des praticiens qui peuvent restituer les enjeux pratiques auxquelles ils sont confrontés et donc à

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la suite de l'ensemble du processus qui a décrit emmanuel c'est-à-dire de rencontres avec les contributeurs de dialogue entre eux d'identification de différents angles on est arrivé à un numéro qui traite finalement dans ces trois parties

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de trois principaux enjeux de l'accompagnement à la participation alors il ya une première partie dans le numéro qui renvoie davantage aux ancrages professionnelle en fait des personnes qui travaillent dans l'accompagnement à la participation avec

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d'abord un article qui revient un peu sur différentes trajectoires de professionnels de la participation qu'ils sont issus de différents univers et on voit en fait en fonction des générations de ces professionnels à

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quels enjeux ils peuvent se confronter qu'est ce que ça dit aussi de l'évolution du champ de l'animation et de l'accompagnement à la participation on a ensuite des contributions qu'ils sont qui sont des par exemple une interview avec une personne qui

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travaille dans des services de l'état et qui a introduit des pratiques d'accompagnement à la participation dans son travail de direction de service jeunesse on a aussi une personne qui

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travaille dans un association de médiation numérique puisque en fait c'est un chant qu'on rattache pas forcément toujours à l'accompagnement à la participation mais pourtant qui en fait à partir des enjeux numériques donc ça c'est pour la première partie

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sur les différents ancrage professionnels on a ensuite une deuxième partie qui se concentre et qui s'est concentrée dans la discussion avec les contributeurs et contributrice autour de cet enjeu de qu'est-ce que c'est accompagné à la participation

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entendu comme accompagné à la participation c'est contribuer à une forme de mise en relation entre les personnes qui participent avec différents enjeux d'abord des enjeux à la fois de posture quand j'accompagne à

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la participation jusqu'où je suis dans une posture d'accompagnement et jusqu'où je suis dont je me met dans une posture qui peut parfois être injonctif par rapport aux personnes qui participent donc ça c'est

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la contribution de julie rigal ensuite il ya des enjeux dans la mise en relation qui sont plus spécifiquement liés à aux instruments qu'on mobilise dans la l'activité de mise en relation alors là

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on a une contribution de laurence langer ce tiers qui travaillent à la ville de lyon etc utilisent un outil de cartographie interactive pour organiser en fait des discussions avec dans différentes scènes de participation qui

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sont liées aux activités de la ville de lyon par exemple avec les centres sociaux avec les mjc notamment et puis on a une troisième dimension de cet enjeu est de mise en relation qui a évoqué par le contributeur qui s'appelle

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juge julian perdrix jacques a été directeur de cabinet du maire de la ville de loos en gohelle qui a développé tout un dispositif de concertation et de participation citoyenne et qui revient

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lui sur les enjeux finalement organisationnel d'institutionnalisation d'une forme d'accompagnement à la participation et les déplacements professionnels que ça peut opérer au sein des mairies par exemple un

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directeur des services techniques qui dans le cadre de la mise en place finalement d'un dispositif de de concertation autour de l'aménagement de l'espace public 20 doit évoluer dans sa

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posture professionnelle pour pouvoir se mettre en situation justement d'accompagner aussi à la participation à partir d'une compétence technique et puis dans un troisième temps dans une troisième partie la troisième partie offres plus ou moins

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une ouverture en fait sur finalement le positionnement de l'accompagnement à la participation comme possibilité de faire éclore de nouveaux espaces et de nouveaux types de relations démocratique alors d'abord à la fois avec une

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réflexion de damien le nouvel qui a bénévole dans une association qui s'appelle peuple et culture qui a notamment accompagné dans un cadre professionnel des des conseils citoyens et qui réfléchit un peu aux limites de

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ce cadre là de participation et essaye d'ouvrir une perspective un peu sur comment on pourrait transformer ses cadres là on a ensuite un pas de côté qui nous est proposée par elisabeth dos qui l a observé en fait le développement

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des listes participative aux élections municipales et qui étudie un peu voilà ce qui est ce que ce que ces listes font finalement à la participation et aux personnes qui participent à l'intérieur

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et qui envisagent a du coup comme un dispositif de transformation politique et puis enfin on a une mise en perspective deux chercheurs s'appelle clément m'habille sur les enjeux en fait du

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numérique pour la démocratie qui permet de voilà de renvoyer en partie peut-être un bout de discussion qu'on aura aujourd'hui à ces enjeux d'outillage numérique de la démocratie et et ses

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implications notamment en termes d'accompagnement à la participation de collectifs ou d'associations alors l'idée qu'on avait aujourd'hui à partir de ce numéro s'était du coup de se servir en fait du numéro comme d'un

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point de départ d'un point de discussion qui permet un élargissement finalement de la discussion avec des personnes autour de la table qui n'ont qui ne sont pas du coup contributrices et contributeurs à ce numéro mais qui par

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leur lecture et par leurs expériences propres vont pouvoir nous aider à amorcer une discussion qui se sert du numéro justement pour rouvrir cette discussion alors du coup avec nous aujourd'hui

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d'abord emeline terrain donc emeline perrin vous êtes chargé de mission à l'institut de la concertation et de la participation citoyenne qui est donc un réseau national de praticiens et praticiennes de la participation qui a été créée en 2008 mais je vous laisserai

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tout à l'heure présenté plus en détails le réseau ensuite hélène balazard à ma droite qui est chargé de recherche à l'école nationale des travaux publics de l'état donc allen vous avez travaillez

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vous sur le mouvement londoniens london citizens dans le cadre de votre travail de thèse et puis vous avez aussi participé à la création de l'alliance citoyenne à grenoble et puis en 2015 vous avez

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publié un ouvrage qui s'appelle agir en démocratie aux éditions de l'atelier et puis à ma gauche audrey baudot donc audrey vous êtes délégué général du cncc zep

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donc le cnajep ça veut dire comité national des associations de jeunesse et d'éducation populaire même si je le sais il fallait que je me garde notez donc le cnajep qui fédère plus de 70 mouvements de la jeunesse et d'éducation populaire

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et donc à une expérience un peu de ces enjeux d'accompagnement à partir de 2 des enjeux de voilà d'une jeunesse et d'éducation populaire alors peut-être qu'on peut d'ores et

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déjà rentré dans la discussion peut être et emeline je vais je vais vous proposer de réagir un peu au numéro et puis plus largement en fait vous êtes chargé de mission donc à l'institut la concertation et de la participation citoyenne alors dans l'institut de la

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concertation et la participation citoyenne il ya concertation d'un côté et participation citoyenne de l'autre et bah du coup une première question qui peut permettre un peu d'élargir notre

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discussion c'est de savoir quel sens prend justement cette discussion à la fois dans la vie justement du réseau puis aussi par rapport à l'histoire du réseau est ce que ça connect deux univers voilà et du coup ça pourra

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amorcer notre échange de deux maintenant [Musique] alors bonjour à toutes et tous merci merci beaucoup déjà de m'avoir invité je suis ravi d'être d'être là peut-être

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pour commencer voudrais si tu es peut-être l'institut de la concertation et de la participation citoyenne vous expliquer en deux mots qu'est ce que c'est finalement donc c'est un réseau de ce qu'on appelle des

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praticiens de la concertation et la participation citoyenne des gens qui mettent en oeuvre des processus d des dispositifs de participation aujourd'hui ce réseau il compte à peu

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près mille 700 membres un peu partout en france principalement des professionnels mais pas uniquement donc on a la foi des des consultants des indépendants mais aussi des des agents

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territoriaux des agents dans la fonction publique d'état des associations des salariés d'entreprises de plus en plus aussi de civic texte qui commence à se poser dès

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fois voilà à s'intéresser à ces questions des chercheurs des élus voilà pour tout ça pour vous dire que les membres viennent quand même d'horizon assez assez large et donc pourquoi c'est

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intéressant aujourd'hui de raconter l'histoire de l'institut parce qu'en fait ça revient aussi à raconter la diversité des pratiques mais aussi l'évolution vers un mouvement de

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professionnalisation de ce champ de la participation et qui est aussi très bien très bien décrit dans dans le numéro donc je vais faire un petit détour par part par le champ de la participation

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commence assez structuré en france en fait ça en france on observe un mouvement d'institutionnalisation depuis à peu près les années 80 90 avec un certain nombre de lois dans le domaine

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environnemental de l'urbanisme puis plus tard de la politique de la ville aussi et donc ce mouvement un petit peu d'institutionnalisation comme je vous le

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disais il s'accompagnait aussi d'une professionnalisation puisque on a vu on a vu émerger à ce qu'on a pu lire un marché de la démocratie participative puisqu'il y avait des demandes de

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concertation notamment notamment réglementaires et donc un besoin d'accompagnement de celle ci donc les les les acteurs historiques notamment qui étaient issus des militants qui étaient

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issues aussi des du domaine environnemental des conflits d'aménagement des conflits urbains se sont peu à peu ont défendu emporté la question de la participation et on a observé un certain enfin un certain

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nombre de ces acteurs qui se sont professionnalisés qu'ont développé des compétences spécifiques donc donc ces acteurs historiques qui se sont professionnalisés et dans le même temps

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l'arrivée de nouveaux acteurs sur dans l'accompagnement la participation à la fois dans des domaines on va dire différents mais mes connexes par exemple là dans la communication les relations

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publiques l'urbanisme on voit des architectes des designers enfin vous rend si tu es vraiment que qu'une infime partie mais il ya des parcours qui ont amené qui amène à la participation mais

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aussi d'autres acteurs issus de formations universitaires spécialisés qui qui arrive en fait directement à la participation j'en suis j'en suis un exemple voilà moi

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j'ai suivi une formation et je suis arrivé directement sans sans commencer par part d'autre part d'autres domaines donc cette petite faim ce petit détour par l'histoire pour vous dire que si en

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même temps il ya une structuration des deux réseaux de praticiens dont l'institut de la concertation donc en fait l'institut il est né il ya à peu près

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douze ans maintenant en 2008 en 2008 donc au début c'était juste l'institut de la concertation tout court et il est né au début un peu de manière informelle parce que des praticiens ont ressenti le

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besoin de d'échanger sur leurs pratiques de d'échanger sur leurs expériences mais aussi parce qu'il ils ont ressenti le enfin comment dire ils ont perçu le

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risque de dévoiement ou en tout cas de risque d'instrumentalisation de certains processus de concertation et donc le besoin de promouvoir une je mets des guillemets une véritable concertation

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fait en tout cas qui est une concertation sincère qui respectent un certain nombre de principes donc le parti pris dès le départ de l'institut sap a été de face à ce

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constat là que je vous partage sap a été de dire de vouloir normaliser de poser d'énormes sur dire ça c'est une bonne pratique ça c'est une mauvaise pratique sap a été cette démarche là ça a plutôt

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été une démarche de deux débats de mise en dialogue de confrontations de points de vue et aussi bas de d'être dans une posture réflexive donc de regarder ce que ce que chef est ce que moi je

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quelles sont mes pratiques de les mettre en dialogue avec les autres et de voir comment collectivement on peut progresser donc c'est un peu sale du point de départ de l'institut est qui et qui encore trans point qui est son adn

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aujourd'hui qui transparaît dans dans la manière dont dont on aborde les choses et donc pour revenir à la question initiale de concertation participation citoyenne donc viser au départ c'était

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uniquement l'institut de la concertation ça s'explique par l'histoire parce que au départ et les plus centré sur une réflexion sur les processus de concertation qu'ils soient réglementaires ou non mais concertation

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au sens où pour définir en deux mois on va dire un processus d' échanges entre des personnes des parties prenantes autour d'un projet ou d'une politique publique et dans une vie et on va dire de de produire des

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propositions d orientation pour un fluide une décision quand même très circonstancié autour d'un projet ou d'une politique publique vous a été un peu ça le point de départ et puis en en

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2017 est venu ça collait au nom est venu ça collait participation citoyenne donc quasiment presque dix ans après et en fait ça traduit une volonté à la fois de

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bien de reconnaître l'évolution on a quand même observer une aspiration des citoyens de plus en plus forte à prendre une place dans la société donc c'était aussi une manière de reconnaître

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ça mais aussi de pouvoir embrasser une diversité de formes de participation citoyenne et qui se résume pas uniquement à des participations à l'initiative du maître d'ouvragé ou deux

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enfin maître d'ouvragé longtemps collectivités ou entreprises qui ont un projet d'aménagement qui peuvent être des dynamiques à l'initiative de collectifs citoyens d'associations et en

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fait d'avoir embrassé enfin d'avoir comment dirais-je réunit ces deux notions au sein de l'institut ça permet d'embrasser la diversité des pratiques et enfin pense vous le comprenez

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peut-être un petit peu en filigrane dans mon propos que le réseau de l'institut en fait il est loin de former un tout homogène c'est vraiment enfin voila c'est vraiment une myriade

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de pratique et c'est ça qui fait sa richesse de depuis la constitution et du coup en lui mon masque nom et du coup la

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question c'est aussi pourquoi on a besoin d'un réseau comme celui ci aujourd'hui en fait qu'est-ce que ça apporte en fait ce réseau qu'est ce que les gens viennent y chercher voilà dans quelle mesure ça a bien outillé aussi une professionnalisation

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et des échanges qui peut y avoir entre des univers qui viennent justement de monde un peu différent généralement il ya un peu deux entrées fin 2-2 question

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de porte d'entrée pour pour entrer dans le réseau à ses fins la première ça peut être comment faire en gros une question un peu sur justement sur l'outillage sûr et on observe de plus en plus qui a dit

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je trouve des effets de mode de plus en plus autour de dispositifs d'outils et donc un certain nombre de d'élus ou de nous voilà de nouveaux entrants de personnes intéressées

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viennent vienne rentrer dans le réseau par cette question là la deuxième porte d'entrée c'est plus la question du pourquoi avant de s'interroger sur finalement à quoi ça sert la participation est ce que

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ça permet vraiment de renforcer la la démocratie de transformer l'action l'action publique et donc du coup nous notre enjeu c'est un petit peu de faim en tant qu' en tant qu'association c'est

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de pouvoir aborder enfin les différentes les différentes attentes et qui sont quand même très très disparates et au départ au départ l'institut finalement à

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ça transparaît aussi dans le trouver dans certains articles du comment notamment dans la partie diversité des ancrages professionnelle que au départ il y avait besoin de construire une méthodologie on sait la tension c'est

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plus porté sur comment est-ce qu'on garantie des processus solide légitime une attention vraiment à ça on crée un certain nombre de principes des repères

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méthodologique de structure et des savoir-faire du voilà deux structures et aussi des compétences et je pense qu'aujourd'hui on a quand même réussi cela professionnalisation elle a permis sa de quand même posé un certain nombre

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de choses et les nouveaux entrants qui arrive parfois avec la question du comment ils ont finalement quand même hein un nombre important de ressources à leur disposition pour ça et on essaye et

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c'est là de les amener à se poser la question du finalement du pourquoi et c'est un peu le tournant aujourd'hui et peut-être là où le bât blesse c'est

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l'objectif politique de la participation il n'est pas du tout enfin au sein de la communauté des praticiens de la participation il n'est pas du tout abordé de la même manière on pourrait dire que c'est quand

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même une ligne de clivage pour certains c il est urgent de remettre d'être exigeants vis-à-vis des des objectifs démocratiques de nos processus de concertation et pour

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d'autres c'est pas tant le vin voilà c'est pas la priorité qui ce qui se dégage donc voilà et peut-être concrètement pour des fins j'ai dit un petit peu de manière générique les

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questions dans treme mais concrètement dans un réseau ce que viennent chercher les praticiens et ce qu'ils y trouvent enfin sont en tout cas nous ce qu'on offre on va dire à l'institut s'est déjà des rencontres

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avec d'autres avec d'autres personnes pour voir aussi comment dirais-je trouver un appui un soudain un appui un soutien avec d'autres praticiens qui sont pas

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forcément des mêmes organisations mais qui permettent d'asseoir une légitimité parfois dans son organisation pouvoir bénéficier des expériences des autres donc là forcément on organise des assez classiquement des groupes d'échangés de

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pratiques des ateliers etc la deuxième chose qui peuvent rechercher c'est aussi connaître un petit peu le l'état des connaissances à la fois recherches et expériences sur un sujet

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on a aussi tout un tout un volet ressources qui est qui et sur le site de l'institut et qui est mis à disposition gratuitement pour tous et enfin un dernier un dernier volet c'est de

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pouvoir réfléchir collectivement un sujet on se dit aussi qu'on est un petit peu plus fort de a essayé de croiser les regards de de confronter les points de vue pour faire avancer un sujet et c'est

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nous et on impulse qu'on appelle chantier dans notre jargon des chantiers de réflexion des sujets de plus long terme qui peuvent à la fois et c'est ce que je trouve intéressant dans un réseau qui peut à la fois par le cheminement

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personnel donc nourrir l'individu et son organisation mais aussi en fait bénéficier à tous quoi toute la communauté voilà assez classiquement les fonctions du réseau

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merci emeline du coup j'en profite puisque je n'ai pas dit au début mai l'oeuf était quand même qu'on a bénéficié pour la réalisation de son numéro justement de l'appui du réseau de l'institut de la concertation et de la

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participation citoyenne on peut remercier notamment pierre-yves qui est neuf qui est contributeur du numéro qui est délégué général de l'iss et pc mais qui nous a aussi aidés à faire des mises en lien avec d'autres contributeurs de ce numéro

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donc ce qui montre aussi du coup la place de ce réseau et puis on peut remercier aussi plus spécifiquement pascal jarry qui lui n'a pas directement contribuer au numéro mais pascal jarry qui est membre aussi du conseil

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d'administration du coup de lycées pc et qui a une grande expérience de ces sujets là et qui nous a aussi aidés à partir de son expérience à constituer justement ce numéro et cette mise en réseau et cette question justement de là

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2 pourquoi on a besoin d'un réseau aujourd'hui finalement pour les praticiens de la concertation je pense fera écho aussi pour audrey mais peut-être dans un autre champ ou d'une

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autre façon c'est vrai que du coup l'organisation et le développement de la participation sa une des dimensions constitutives on va dire quand même des mouvements de jeunesse et d'éducation populaire et du coup la question qui se

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pose après avoir vu commence à se structurer au niveau des praticiens de la participation c'est de voir comment cet enjeu d'accompagnement notamment du coût des jeunes se pose-t-il aujourd'hui au sein d'un des mouvements d'éducation

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populaire et de jeunesse d'une part mais aussi du coup au niveau de la fédération cas le cnajep qui fédère tous ses mouvements et qu'à un positionnement particulier aussi vis-à-vis des différents mouvements et

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qui peut aussi j'imagine constitué pour une ressource du coup comment cet enjeu de l'accompagnement à la participation se posent aujourd'hui à l'échelle bah voilà des mouvements de jeunesse et d'éducation populaire et d'un réseau fédérer plus large

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je veux bien oui super donc bonjour tout le monde oui alors peut-être dire que donc le cna japon en effet c'est le comité pour les relations nationales et internationales des associations de jeunesse et

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d'éducation populaire qui regroupe 75 associations nationales et qui regroupait qui anime un réseau de crajep aussi les comités régionaux en région donc de jeunesse d'associations de

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jeunesse d'éducation populaire et est aussi dire que le cnajep est le conseil de jeunesse français pour les niveaux européen et si je le précise c'est parce

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qu'à ce titre là en étant le cnj on anime le on appelle le dialogue structuré qui est un processus de participation qui permet de faire participer des jeunes à l'élaboration

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des politiques de jeunesse européenne et donc c'est aussi à partir de là que je parlais que je vais partager se voit des éléments puisque je m'appuie sur la en

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l'occurrence plus d'un an de réflexion avec des jeunes sur cette thématique parce qu'en ce moment la thématique du dialogue structuré européens portent sur justement la place la participation des jeunes donc c'est aussi à partir de

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leurs réflexions que je m'appuie d'abord à la réception du de finalement de la publication je me suis interrogé sur les mots voilà l'accompagnement et les

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participations participation à la fois pour ça m'a amené à des questions finalement participation étant finalement à quoi participation à la vie de la cité de façon large

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participation plus institué à l'élaboration des politiques publiques bref en tous les cas j'ai le sentiment qu'il existe quand même un certain nombre de possibles de participation et que cela recouvre quand même beaucoup de

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une grande diversité en fait on peut participer de façon très diverses c'était le premier élément et je me suis aussi posé la question justement sur l'accompagnement en fait accompagnement

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de qui voit la danse est qui qui faut-il accompagné à la participation était aussi à la question que je me suis posée parce qu on y reviendra de toutes les façons alors c'est vrai

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que je pense que oui historiquement l'éducation populaire ouvre des espaces pour collectivement analysé interrogé à l'environnement dans lequel on vit pour

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le comprendre et pour agir agir pour le transformer donc c'est vrai que l'enjeu de la participation est au coeur des associations de jeunesse et d'éducation populaire et les associations de jeunesse éducation populaire le font

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vivre de façon très diverses tantôt certaines par l'entrée de l'habitat des jeunes un tantôt par des pratiques artistiques et culturelles tantôt par des pratiques sportives bresse qui fit ya vraiment une diversité

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de possibles là aussi est en tous les cas et des espaces comme les mjc les centres sociaux mais aussi à travers les colos les accueils collectifs de mineurs bref ma des espaces et des démarches

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donc c'est vrai qu'historiquement il ya cet enjeu la kfor en tous les cas ce pour vraiment répondre à la question des enjeux finalement actuelle

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ce qui est sûr dans les associations de jeunesse et d'éducation populaire et aussi à travers le l'intérêt autour des jeunes ce qui arrive qui revient

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beaucoup c'est un la question de faire participer qui en fait est ce que on est vraiment toujours dans un regard assez large assez inclusif pour vraiment

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et créer des conditions pour une participation de toutes et de tous alors bien sûr des associations pourront peut-être vous venir en tête qui particulièrement au travail à ces enjeux là je pense à atd quart monde je pense à la joc jeunesse ouvrière

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chrétienne mrjc mais pas que en fait mais qui ont vraiment pur intérêt centrale de pouvoir s'intéresser justement à la participation parfois des plus éloignés pour des raisons diverses et variées mais en tous les cas des plus

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éloignés donc a sûrement 7,7 en jeu là fort et puis il ya aussi la question de reconnaître justement qu'il y a un besoin d'accompagnement en fait tout simplement c'est à dire que

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oui en fait ya sûrement un besoin d'accompagnement et donc il ya besoin de gens de métier de personnes qui vont être présente donc il ya sûrement aussi déjà cet ange la de reconnaître et de faire reconnaître que ça suppose des personnes

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des personnes formées des personnes qui vont être là et qui vont accompagner et et puis à cette question là probablement donc de 2 qui faut-il accompagné hier qu

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on pense bien sûr à l'accompagnement des citoyens des citoyennes des jeunes en l'occurrence je prends l'exemple que je vous citais tout à l'heure du dialogue structure européen où on a 18 mois à

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chaque fois chaque thématique on a 18 mois pour travailler avec des jeunes à une thématique qui va ensuite permettre d'écrire en fait des propositions politiques pour le niveau européen voilà 18 mois pour accompagner des jeunes et

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on a notamment un événement à chaque fois qui est un peu un point d'orgue est une rencontre entre des décideurs des représentants des pouvoirs publics et des jeunes justement pour échanger et construire des possibles eh bien nous on

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a tendance à toujours regarder le prisme de l'accompagnement des jeunes danseuses en ces temps là et les associations de jeunesse éducation populaire qui accompagnent des délégations de jeunes sur ces événements le fond prépare travail en amont

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on prépare le sujet discute commence à se mettre en fait dans le débat pour que l'événement se passe et que bien et que tout le monde soit à l'aise dans la discussion et en fait on on pense peu après par et pour le coup les

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représentants des pouvoirs publics ou les décideurs qui vont venir sur c est son cv sur ces événements et voilà et moi je pose la question finalement de scapa aussi à réfléchir à une formation

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à une préparation des représentants des pouvoirs publics pour accueillir en fait cette parole des jeunes des citoyens des citoyennes et accueillir aussi cette idée de construire finalement c'est à la fois être à

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l'accueil dans l'accueil dans l' écoute et dans l' envie de construire donc ça ça suppose quand même peut-être aussi voilà des changements de façon de faire politique démocratie et et la

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question de la participation se pose là est-ce que ce que je voulais aussi partagé c'était sur les enjeux finalement de des professionnels donc vraiment des questions de

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l'accompagnement à la fois ça fait référence à je pense à des fondamentaux quand même des métiers de l'animation je pense qu'on retrouve quand même beaucoup de choses dans les métiers de l'animation mais en revanche avec un

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contexte sociétal qui lui n'est pas le même on n'est pas dans les années 20 on n'est pas dans les années 60 on n'est pas dans les années 90 et aujourd'hui entre en ligne de compte plus fortement une défiance à l'égard des formes

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traditionnelles de participation rentrent en ligne de compte j'ai presque envie de dire un avenir clairement un certain entrent en ligne de compte le numérique dans tout ça vous fait on

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en fait quoi et en effet comment ça vient aussi bousculés interroger les pratiques des professionnels donc voilà il ya des nouveautés mais en revanche il ya des

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choses qui restent assez central comme le fait de pouvoir partir par exemple de petites choses pour se réconforter se réconcilier avec le fait d'agir autour

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de soi et ça je pense que dans l'animation dans les métiers de l'animation on est sensible à ce genre de choses donc voila se réconforter avec des réussites des petites réussites qui peuvent permettre de reprendre confiance dans son pouvoir d'agir et peut-être

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d'envisager plus grands autre chose changer d'échelle il ya ces éléments là qui sont peut-être force il ya aussi la notion de parcours je pense qui est très forte dans les associations de jeunesse et d'éducation populaire en fait participer ça ne peut

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pas se résumer à wawel un one shot c'est pas juste une fois ont participé ça les jeunes d'ailleurs le disent très bien ne veulent pas être consultées seulement une fois comme ça sans savoir tout à fait à quoi participer ça suppose

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des processus ça suppose du temps ça suppose des parcours et voilà et c'est aussi ça l'accompagnement c'est en fait créer des parcours de participation qui vont correspondre à chacun et à chacune voilà c'est pas

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uniformisées donc il ya ces éléments là et enfin peut-être dans les éléments aussi qui existaient hier qui existe aujourd'hui il ya tous et dans l'accompagnement je pense que c'est important c'est de

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pouvoir travailler à bien cerner en fait bien cerné avec les participants et les participantes qu'ils soient jeunes ou moins jeunes d'ailleurs à quoi en fait on participe à quoi on contribue c'est pourquoi faire que tout le monde soit au

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clair en fait de tout ça au moment où il contribue que tout le monde soit au clair avec les jeunes c'est très important notamment voilà deux d'être au clair sur leur contribution de faciliter la rencontre en effet comme ça a été dit faciliter la

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rencontre avec les bonnes personnes c'est-à-dire avec les personnes qui vont pouvoir agir en fait sur le projet en question sur le niveau d'intervention voilà souvent il ya un écueil entre la volonté

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le projet en cours et parfois on n'est pas les bonnes personnes en face qui vont pouvoir décider ou participer de cette construction et la lcd rendez vous manqué donc être facilitateur de ces

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rencontres pour agir correctement et tu peux aussi à rentrer en ligne de compte beaucoup c'est le fait de pouvoir se préparer en amont parfois entre pairs aussi de pouvoir préparer une parole préparer des enjeux

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alors avec les jeunes ils le disent beaucoup les organisations d'ailleurs deux jeunes géré et animé par des jeunes en sont un exemple important c'est vraiment cette possibilité de pouvoir se former se préparer travailler entre

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pairs pour ensuite aller à la rencontre d'autres aussi donc il ya aussi voilà ces éléments qui sont assez importants je pense qu'ils sont pour le coup qui était vrai hier qui sont encore d'actualité mais il ya une question

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quand même qu'ils se posent par rapport à ça c'est que him ligne évoquait justement autour des enjeux de cp ce1 dynamique finalement de professionnalisation des métiers d'accompagnement à la participation

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c'est vrai que dans le champ de mouvements de jeunesse et d'éducation populaire c'est un peu une sorte d' adn de l'animation mais quand même ça évolue oui sinon dans les danses que c'est l'animation elle même et processus est

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ce que toi tu observes aussi de là où tu te trouves situer ce même mécanisme de professionnalisation est ce que c'est ce que du coup les métiers de l'animation évolue aussi à l'aune de cette injonction

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participative de la mise en place par exemple comme tu disais des dialogue structuré qui dans l'histoire y compris de l'animation est un petit peu nouveau dans ce format là et du coup est-ce que

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ça ça crée des métiers nouveaux d'une professionnalisation nouvelle alors je sais pas si ça a créé vraiment des métiers nouveaux

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je pense que ça ça évolue ça c'est clair qu'il ya des évolutions dans dans les métiers de l'animation et que notamment toutes les questions justement qu'on disait autour du numérique viennent de

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toutes les façons bousculer interrogés et que les animateurs les animatrices prennent aujourd'hui doivent prendre en ligne de compte le fait qu'il y à 7 cet objet la cette dimension numérique qui peut on peut plus passer à côté et

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ça suppose un accompagnement des jeunes en fait aussi un autre accompagnement donc nécessairement ça transforme mai mais après une fois qu'on a dit ça je sais pas si par exemple dans le

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le processus de dialogue structuré oui c'est vrai qu'il faut pouvoir être un peu aguerri du coup sûr des nouvelles formes de participation possible donc il y a des espaces nouveaux qui se crée il faut être au fait il y a des

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voiles à des dispositifs qui existent des lieux qui existent donc à plein de choses qui émergent et donc il faut être un peu au fait de tout ça mais malgré tout ce qui est intéressant là par exemple dans un processus comme le

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dialogue structuré c'est que il faut à la fois être en fait de tout ça mais pour autant on utilise un des savoir-faire assez historique de l'éducation populaire pour faire vivre

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ces dispositifs tiers qui s'est un peu mélangé il ya une imbrication des deux est à la fois des nouvelles choses qu'il faut avoir en tête que kelly faut qu'il faut intégrer et par ailleurs il n'empêche que quand il s'agit à un moment donné d'un

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événement fort ou des jeunes vont rencontrer des décideurs et débattre avec eux et bien d'avoir du passif des fondamentaux sur c'est quoi organiser un débat crée les conditions du débat est

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un maître ba ça malgré tout c'était des fonds de ce sont des fondamentaux de l'éducation populaire et des métiers d'animation donc c'est un mélange en fait j'ai dit ok merci audrey et du coup

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alors maintenant on va se plonger un peu en arrière historiquement avec avec vous et l'aisne puisque vous avez observé au cours des dix dernières années alors je pense le mouvement london citizen qui

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est devenu citizens uk je crois enfin qui sait nationaliser un moment donné que vous avez observé alors c'est d'une pratique de community organizing qui renvoie justement à tous ces enjeux finalement d'accompagnement à la

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participation de comment on constitue des leaders et c'est enfin savourer hautement l'évoquer et puis en même temps vous avez participez vous à finalement de l'importation je sais pas si on peut dire importations

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mais tout cas une réappropriation un peu de ces pratiques de community organizing dans le cadre de la création de l'alliance citoyenne à grenoble donc tout ça commence à avoir déjà quelques années du coup avec le recul que vous

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avez aujourd'hui sur à la fois cet engagement puis en même temps cette observation par la recherche comment tout ça évolue et qu'est ce qui en reste aujourd'hui et qu'est ce que vous en tirez finalement comme enseignement après plusieurs années de

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recul à la fois dans le côté observations london citizen est de l'autre côté peut-être sur alliance citoyenne ou peut-être d'autres projets que vous avez été amené à observer à

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étudier bonjour à tous et merci aussi pour l'invitation alors je ne sais pas si je commence par la préhistoire ou si je commence par

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l'actualité plutôt mai je vais commencer par l'actualité comme ça je vais aussi présentés d'où je parle et moi je suis chargé de recherche et d'enseignement en sciences politiques à

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lui-même tpe qui une école qui forme des ingénieurs en partie des futurs fonctionnaires du ministère de la transition écologique et en partie dès maintenant aux 50 % 50 % d'élèves qui

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vont travailler dans le domaine de l'aménagement durables de terribles du territoire et de la transition écologique et solidaire dans le privé ou dans les collectivités territoriales et du coup en tant que

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chercheur dans cet établissement et je participe un peu à l'enseignement et g ces dernières années permis aussi à l'ouverture justement aux

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professions enfin aux compétences en tout cas professionnels autour de la participation et l'accompagnement à la participation dans cet établissement où j'ai fait mes études là-bas en fait il ya fort longtemps et à l'époque ce

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n'était pas du tout un sujet même si comme le disait et mine au début depuis quand même les années 80-90 dans le domaine justement où opère cette

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école et les futurs professionnels qui sont formés il y avait déjà une injonction à la participation autour de l'aménagement les grands projets et compagnie mais donc maintenant on essaye de penser ce n'est pas encore très

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structuré on s'est un peu justement sur ces réflexions autour de la professionnalisation un peu là tout le monde avance et puis au final l'état est souvent un peu pas très pionnier sur ces domaines là et il réagi après coup mais

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ça se structure aussi en interne de l'état et pour notamment au sein d'eads real des ddt des collectivités territoriales qui vont être amenés à embaucher ces professionnels de la

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participation ou eux-mêmes des poids à faire du in house comment va le faire eux-mêmes et donc à cette réflexion qui est menée en interne donc ça m'évoque ça

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ça m'évoque aussi trois projets en cours dans mon actualité qui sont liés l'un est très lié avec le community organizing

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l'un est liée à l'alliance italienne en partie et l'autre ni l'autre et celui qui est lié avec le community organizing c'est donc quand j'ai travaillé et fait ma thèse sur london

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citizens quelque chose qui m'avait frappé et séduit c'est telle implication des écoles des groupes scolaires dans cette organisation en fait dans les membres de losne

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citizens donc il ya londres donc après il ya cette idée monsieur qui aime là j'ai concentré sur londres il ya en gros trois cents membres qui sont des groupes membres c'est pas des individus et ses

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groupes membres bon il y en a une partie c'est un peu exotique cdd groupe culte cultuelle pardon des églises des mosquées des synagogues et il y en a une partie c'est des associations d'éducation populaire donc là c'est

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moins exotique pour nous et voilà des associations diverses et variées et une bonne partie se sont des établissements scolaires et en fait ils sont membres pour pouvoir

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cochez la case éducation à la citoyenneté qui est une obligation en angleterre sur le fond mais pas sur la forme il n'y a pas de formes obligé et du coup puisque le lindane cityzens essaye de vendre entre guillemets assez

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de proposer en tout cas c'est groupe scolaire enfin le vendre parce qu'il faut payer pour être membre c'est de dire adhérer et nous on va se vous aider à faire l'éducation à la citoyenneté des

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enfants qui voient là on va vous accompagner avec des organisateurs pour former les enfants les enseignants à devenir des leaders et à [Musique] apprendre à des compétences de

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citoyenneté proactive et quart des campagnes des couteaux sein des établissements pour voir quels sont les problèmes au sein d'établissements que les enseignants et les élèves aimerait voir résoudre ou au sein des quartiers des établissements et puis voilà faire

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des campagnes en interne mais aussi s'habiller en externe avec d'autres structures pour essayer de faire des campagnes pour faire bouger des choses sur le quartier et moi j'avais trouvé ça vraiment super parce qu'il y avait aussi

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un lien qui étaient faits au sein des établissements entre ces campagnes et les enseignements qui était de dispenser donc c'est aller au delà de l'éducation à la citoyenneté c'était aussi toutes les méthodes d'enseignement et si on parle d'accompagnement à la

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participation on parle de finalement à la fin avoir des citoyens qui sont plus qui ont plus de compétences pour pouvoir participer sans avoir forcément besoin d'être accompagné idéalement en tout cas de mon point de

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vue et du coup ça peut commencer dès le plus jeune âge et moi j'ai la sensation que dans le système de l'éducation nationale en france on crée pas du tout des citoyens qui seront en mesure de participer on crée

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plutôt des citoyens très passif on a des méthodes d'enseignement au delà de l'éducation civique et morale mais tous les enseignements sont quand même très descendants et même si ça évolue mais ça

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évolue doucement et que du coup il y avait quelque chose à jouer là sur l'éducation à la citoyenneté dès le plus jeune âge et essayer de justement accompagner la participation des

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citoyens dès leur plus jeune âge pour que ça devienne des citoyens qui participent plus spontanément avec plus d'outils plus de savoir-faire plus de compétences plus de confiance en sa

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capacité d'action donc voilà j'avais ça dans un coin de ma tête et l'année dernière il ya eu des élections municipales et du coup j'ai été en je suis basée à lyon j'étais en lien avec eux

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quelqu'un qui a été recruté au cabinet du maire de lyon qui a été élu l'année dernière et je lui ai parlé de ça et elle a tout de suite

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dit banco ça serait super et du coup ça a démarré une expérimentation cette année donc on appelle ça du diouf organizing en anglais on n'a pas encore trouvé la bonne traduction en français

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donc dans neuf écoles à lyon sur le temps périscolaire dans un premier temps même si on a dans le comité de pilotage embarquer un inspecteur de l'éducation nationale et dans certaines écoles des

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professeurs des écoles qui sont super motivés pour faire le lien mais pour l'instant on est sur du temps périscolaire parce que c'est la compétence de la ville de lyon mais voilà sur le temps périscolaire on est sur des temps méridien où sur dès le mercredi matin donc des temps où il ya

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quand même beaucoup d'élèves et et donc avec des animateurs volontaires et des enfants volontaires et c'est vraiment super en tout cas c'est très

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prometteur je dirais la mairie et a envie que ça se deviennent un peu plus large que neuf écoles on est en train de réfléchir à aussi comment l'intégrer avec d'autres dispositifs que la mairie veut mettre en

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place sur des paris par exemple des conseils d'enfants dans les arrondissements il commença on pourrait justement formé au femme lit en fait les deux et que les représentants dans ces conseils

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d'enfants face suivent la méthodologie organisé entre entre les plénières voilà donc ça voilà je voulais partager ça avec vous et

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sinon ce que l'autre actualité un peu liée à l'alliance citoyenne donc l'alliance citoyenne qui existe toujours à grenoble c'est une réflexion qui est engagée sur comment

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essayez de réfléchir à une meilleure interaction entre l'offre de la l'offre participative par exemple de la ville de grenoble et l'interpellation qui émane

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de l'alliance citoyenne de grenoble où il ya des fois un peu des incompréhensions parce qu'on n'est pas sur les mêmes registres et là où par exemple quand donc mois l'alliance italienne j'avais participé à

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sa création mais j'en fais plus partie enfin je me suis je reste voilà je reste en contact notamment via l'institut alinsky mais bon je suis pas

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grenoble notamment et puis je vois là j'y travaille pas mais du coup je suis quand même un petit peu ce qu'ils disent s'ils passent et il ya eu quand le maire de grenoble

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eric piolle est arrivé donc que de cinq ans maintenant il y avait un espoir de la part de l'alliance citoyenne nous dire bah tiens peut-être qu'ils vont être plus à l'écouté des revendications qui touchent des valeurs qui sont

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proches de de ce nouveau maire et de cette nouvelle équipe et au final ils sont rencontrés souvent avec quand même pas mal de portes fermées voit même des réactions presque plus sur la défensive qu'avant et donc ils sont dix bon ben il ya peut-être quelque chose à creuser

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c'est pas normal donc notamment un ancien organisateur de l'alliance citoyenne qui réfléchissait à ces questions là au sein de l'institut alinsky et qu'il a c'est fait à trop enfin s'est fait embaucher par la ville

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de grenoble sur une thèse cifre qui vient de démarrer sur justement un peu c'est question de comment institutionnaliser la démocratie d'interpellation parce que là on parle de démocratie fin avec schématiquement c'est trois piliers de la démocratie qui

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serait la démocratie représentative la démocratie participative institutionnels donc tout ce qui est offre institutionnel de participation donc tout ce qui est un peu réglementaire ou proposés par les

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mairies voilà comme les budgets participatifs ou qui vont au-delà de ce qui est obligatoire comme les conseils de quartier les conseils citoyens ou les concertations pour tel et tel projet et

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un troisième pilier qui serait la démocratie d'interpellations qui émanent spontanément plutôt de la société civile mais qui peut aller du mail à l'élu parce qu'on n'est pas contents

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individuelle à une pétition à une association qui se mobilisent qui fait une action directe qui voit là un peu comme cisco fait l'alliance citoyenne pour essayer d'arriver à avoir

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un certain pouvoir pour pouvoir négocier mais qui a fait tout un amant un travail d'organisation pour que ça représente pas mal de monde ces demandes là ils comment essayer de prévoir sa presque un

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peu dans des règles du jeu soient pas non plus trop cadenassé mais pour que ça soit gagnant-gagnant pour la collectivité locale et pour les mobilisations et que ça soit pas perdant perdant bref donc voilà l'actualité et puis

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alors une troisième dans mon actualité vraiment tout toute fraîche je fais partie d'une organisation à villeurbanne avec côté recherche ma collègue annie pure haine qui est aussi l entpe d'une

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conférence citoyenne de consensus qui était un modèle qu'on avait un peu expérimentés d'abord à vaulx en velin autour des questions de sécurité et on avait fait savoir en velin avec des jeunes de vaulx en velin et les

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professionnels de la sécurité où on avait appelé ça comment passer de la confrontation à la confiance en essayant d'innover sur un dispositif participatif où on avait à la fois un panel d'habitants et un panel de professionnels

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donc c'était un peu entre le jury citoyen avec les habitants et les conférences de consensus qui existe que avec des professionnels pour essayer de trouver des solutions à des enjeux de controverses ou des enjeux

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qui se posent à une profession dont la la police par exemple et là en fait pareil dans le cadre des élections municipales on l'a proposé à la ville de villeurbanne cette fois qui a dit banco

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et donc là c'est la première fois qu'une sipa lité organise ce type de dispositif pour contribuer à la stratégie la politique de la police municipale de villeurbanne qui est en train d'être

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remanié enfin romagne c'est la stratégie de prévention local je sais plus saine bref je sais plus comment ça s'appelle ce document bref c'est un lieu de le 3

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et 4 juillet et là là où je trouve que dans l'accompagnement à la participation ça c'est intéressant là ce qui est en train de se passer c'est que on a du coup recruter un panel habitants et dans

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ce panel habitants il me tenait à coeur que ça soit très représentatif justement pour aller très représentatif voire même aulas en fait souvent on critique dans les

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dispositifs participatifs dans le milieu on parle du sein du syndrome au tlm je sais pas si ça vous parle toujours les mêmes et comment aller au delà de c'est toujours les mêmes qui

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sont là aux réunions publiques dans les conseils de quartier donc toujours les mêmes voiliers à peu près de qui je parle c'est plutôt donc plutôt des hommes plus tôt aux retraités plutôt blanc plutôt

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csp + bon voila en gros et là l'idée c'était d'avoir un panel habitants qui croient pas tlm quoi mais alors là pour l'instant mobilisés finalement sur tout ce qu'on ne voit pas d'habitude et il

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nous manque les tlm donc c'est assez marrant et et en fait c'est parce que justement on avait un gros accent notamment en passant via le centre social avec lequel on travaille on travaillait à vaulx en

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velin qui connaît aussi des jeunes sur villeurbanne et qui a fait l'animatrice la responsable du pôle ados là elle a fait un énorme travail de mobilisation pour mobiliser les jeunes et pour

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vraiment qu'il soit là qu'ils soient là qu'ils soient présents le week-end et du coup en amont il ya tout un travail de ressources humaines qui est hyper important et s'assure justement comment faire en sorte que

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ceux qui sont éloignés de la participation soit là et c'est vrai que c'est quelque chose auquel on prête souvent d'importance notamment en termes de financement on finance des

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dispositifs en finance tout ce qui est outil yaz méthodologique animations ça en finance très bien mais tout ce qui est la mobilisation

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c'est assez peu financés c'est très chronophage et sa relève presque du nantissement et ça me permet de de faire la transition du coup voilà de juste pour finir sur sa conférence de

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consensus à suivre ça aura lieu le 3 et 4 juillet mais c'est en tout cas il ya eu ce gros travail là qui a été fait grâce à cette

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animatrice notamment et grâce au collectif poli cité qui est un collectif notamment qui regroupe des jeunes de vaulx en velin qui a fait qui a permis de faire ce travail là et du coup sur cette question

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un acte militant de passer du temps à aller vers les gens qui sont éloignés pour qu'il puisse participer avoir leur mot à dire se construire aussi en collectif ça me permet de revenir un peu en

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arrière sur la question que vous me posiez sur la finalement qu'est-ce qui dix ans après plus de dix ans après qu'est ce que ça en est gérée qu'il ya

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toujours on a pas résolu enfin les deux tensions vraiment propre métier d'organisateur dans le mouvement de sont toujours assez présente la première tension c'est entre comment

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accompagner l'émancipation sans manipuler donc c'est vraiment la tension entre l'accompagnement et l'émancipation là où on veut les organisateurs ils sont là pour que

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les personnes les plus éloignées de la plus aller chercher les personnes les plus éloignées de la politique je parle c'est près du micro les personnes les plus éloignées puisse formuler des demandes apprendra comment

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on fait une enquête comment se mobilise entre entre entre pairs entre avec deux personnes voilà et ses compétences là est à la fois il ya plein de tension et notamment

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et à l'attention d'une démotivation qui va faire que les personnes les plus éloignées vont arriver à se motiver pour participer à la vie de la cité c'est d'avoir des effets rapides sur

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leurs actions pour voir que ça effectivement ça sert à avoir confiance en sa capacité à faire changer les choses et du coup à participer à la vie de la cité et du coup pour qu'il ya des choses qui se passent rapidement

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il ya souvent besoin d'un petit d'une petite aide et ses organisateurs qui sont des professionnels qui sont là à 100% sur leur temps de travail par rapport à des habitants qui ont une vie aussi par ailleurs une du professionnel

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notamment des enfants bon bref d autres d'autres soucis souvent matériel des fois ils ont même trois petits boulots donc c'est vraiment pas évident et bah c'est de leur montrer que

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s'il y consacre un petit peu de temps il y aura un effet qui va changer leur leurs conditions de vie ou qui va faire que ils ont en fait se mobiliser mais il ya souvent cette tension là elle se joue

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dès ses premiers temps là parce que les organisateurs ils ont l'ebit pour que sa petite victoire rapide arrive rapidement nécessaires à la mobilisation futur donc voila vous voyez un peu ce type de

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tension qui peut y avoir entre l'émancipation et la manipulation entre 10 mai et la deuxième tension qui reste assez forte c'est entre la professionnalisation la pérennisation de ce type de métier avec des salaires qui

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vont avec avec une formation avec et et le côté engagement militant dans ce métier nous place à revient justement je dirais que les communes

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tirent les organisateurs ce qu'ils font et que la plupart des professionnels de la participation des autres professionnels de la participation ne font pas amine peut-être que je dirais que c'est pas c'est pas le cas c'est ce

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rôle d'aller vers les publics les plus éloignés qui moi ce que je vois reste quand même un acte à ses militants alors c'est plus dans le rôle par exemple dans les centres sociaux des animateurs mais

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est ce qu on les compte parmi les professionnels de la participation passe et pas si évident que ça et il sait pas toujours quelque chose qui est reconnu non plus pour eux des fois ils sont d'ailleurs en

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grandement en manque de reconnaissance quand ils font ce métier là on leur dit qu'ils passent trop de temps à faire ce travail de mobilisation et j'ai l'impression que les principaux

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professionnels de l'accompagnement de la participation se concentre sur tous les métiers de l'animation de l'expression de la prise de décision comment voilà on à lima un dispositif participatif comme

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en aide à l'expression alors sur tous les outils du numérique on est vraiment sur ça qui sont développés sur aussi la prise de décision voilà l'intelligence collective ça se développe beaucoup mais j'ai l'impression que sur la

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mobilisation et la construction d'un pouvoir n'a contre-pouvoirs et bien là c'est encore le bât blesse encore et c'est là que se concentrent plutôt les organisateurs mais en étant du coup sûr

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un volet qui est souvent quand même assez connoté militants eux et où alors connoté militants et où aussi par eaux connues et du coup on est

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obligé de le faire en tant que militant parce qu'il n'y a pas de moyens financiers qui sont mis derrière toi voilà merci beaucoup et laine pour se reculer cette mise en perspective

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du coup on va laisser place maintenant à la discussion alors s'il ya des questions dans la salle vous pouvez simplement levé le doigt et posez votre question et puis sinon on a un dispositif en

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ligne avec un chat pour les gens qui nous suivent à distance et donc c'est emmanuel qui va se charger de collecter les questions peut-être qu'il ya déjà des questions rapidement je reprend la parole

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rapidement pour pour relayer quelques grands blocs d'interrogations qui reviennent un peu sur le chat vous m'excuserez sur le chat ne pas les lire en intégralité les questions mais je les

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ai un petit peu regrouper on va dire qu'il ya un bloc de questions je voulais le donnent comme ça vous y répondre et vous rebondir et sur celle dont vous sur lequel vous avez envie de rebondir qui sont de l'ordre de la la réflexion on va

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dire sur le finalement au regard de ce que vous avez dit toutes les trois qu'est-ce qu'on qu'est ce qu'on entend par par participation et comment est-ce qu'on définit la participation un rapport aussi au public

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est-ce qu'on l'objectif c'est de faire participer tout le monde c'est d'accompagner la réalisation d'un dispositif où c'est d'aller chercher les publics les plus éloignés je pense que là il ya une tension un

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petit peu dans les descriptions que vous avez pu opérer et qui pose une une question qui revient aussi sur les frontières finalement entre éducation

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populaire en powerpoint community organizing pouvoir d'agir comme ans comment est-ce qu'on peut travailler ces questions là est ce que tout ça c'est de la participation est ce que c'est

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est ce qu'il ya des points 2 2 de tension qu'on peut déterminer ensuite il ya une série d'autres questions qui sont sur les questions numériques qui a

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évoqué jordan parce qu'elles sont aussi dans le dans le numéro mais est ce que finalement vu que l'ex la participation peut se faire sur des terrains très divers fois réel et virtuel qu'est ce que vous

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pensez de ces participations numérique est ce que c'est simplement des des enjeux doute ici ça n'est pas que les enjeux d'outils comment est-ce qu'elle s'intègre dans des participations des modalités ou des techniques de participation qui ont été développés au

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auparavant et puis peut-être une question aussi pour pour hélène qui est revenu plusieurs fois par plusieurs personnes ce qui serait possible de donner un peu

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de détails sur les temps de formation avec ses avec les enfants dans le temps que les scolaires qui sont envisagées pour expliquer un peu plus concrètement comment ça se dérouler en quoi en quoi

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ça consiste voilà et après je reposerai peut-être d'autres d'autres taux de questions qui

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se lance t traylen tu veux répondre vous voulez répond sûr sur la dernière question par rapport au temps de formation dans le projet de lyon ouais

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tu as très bien comment ça se déroule comment ça s'est déroulé cette année sachant que voilà c'est le tout début ça a commencé qu'en février le temps que ça se met un peu en place l'idée c'était que de forme et donc avec deux

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consultants l'un qui en distance à londres qui est un organisateur de l'homme citizen sait qui travaille aussi beaucoup sur les écoles qui est un ancien directeur d'école notamment et

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l'une qui une ancienne organisatrice à l'alliance citoyenne et qui est maintenant aussi consultante qui ont formé les animateurs périscolaire pour que même après face les ateliers et en fait donc avec avec

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solène compain qui est la deuxième personne que je citais elle après l affaire un suivi régulier de de ces ateliers puis moi je les rejoins là en revenant de mon congé maternité

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on suit les ateliers puis on est un peu en accompagnement justement pour les animateurs et donc en fait les animateurs ils ont été formés sur

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voilà au début on va commencer par faire une campagne d' écoute ensuite essayer de distinguer qu'est-ce qui sort au groupe comme com envie d élèves

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d'agir de voir du changement qu'est-ce qui pourrait être faisable comment voilà comment essayer justement de faire ça avec les enfants et que ce soit eux qui prennent un peu le qui est la responsabilité de distinguer

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ce qui pourrait être faisable ou pas faisable et comment s'y prendre la méthodologie après il commençait à faire des enquêtes donc là il ya des enquêtes c'est à dire on a identifié un problème qui est

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revenu assez fréquemment donc par exemple le gaspillage à la cantine et donc on va faire une enquête c'est à dire déjà quantifier le gaspillage enquêter sur qu'est-ce qui est ce qu'il ya des écoles qui donne le surplus qui

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n'est pas consommée à donner à des associations ou pas pourquoi on gaspille voilà donc d'où vient la nourriture pourquoi il ya des enfants qui en mangent pas il ya plein de causes

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différentes en interrogeant les enfants eux mêmes en interrogeant les dames de cantine donc tout ça c'est des enfants qui ont fait ces enquêtes là mais en fait il ya trois écoles où ses revenus ce sujet donc après ils ont pu se partager un peu les différentes infos ce qu'ils ont fait

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des enquêtes un peu différente et après la phase de construction d'une revendication enfin d'une demande d'une solution et après l'identification des personnes à qui on ne peut adresser cette demande

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et et donc là on en est à peu près là sur à peu près toutes les touts les plus ou moins sur les différents sujets et donc certains enfants sur différents sujets ont réussi à obtenir des rendez vous

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avec les élus d'autres en sont pas tout à fait là parce que voilà ça a commencé ces derniers mars donc ça passe assez vite mais ça enfin les enfants sont très motivés ça marche

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vraiment plutôt très bien dans l'ensemble et chacun va avoir abouti à au moins quelques petites victoires des fois c'est des petites victoires en interne par exemple obtenir de revenir dans la dans leur classe dix minutes avant la reprise des cours parce qu'ils

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ont envie d'avoir un temps calme posé pas dans la cour de récréation ou places à ce réseau en interne de l'école c'est pas forcément il n'y a pas de demande qui sortent un peu de du groupe scolaire

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il y en a d'autres où c'est vraiment la mine aménagement d'un préau et d'un abri soleil dans la cour de récréation donc là il ya des rendez vous avec la mairie centrale avec sur la cantine c'est ça

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suit son cours et il ya plusieurs pistes notamment la constitution d'un groupe de travail avec les élèves et les dames de cantine pour trouver des solutions voilà je sais pas si j'ai répondu à la

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question mais je pense du coup on line ou audrey est ce que vous voulez répondre sur un point peut-être le numérique ou alors plus cette question peut plus large peut-être sur qu'est ce

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qu'on entend par participation où sont les frontières un peu peut-être me lancer sur la première même si je vais je vais répondre partiellement je pense

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et audrey vous pourrez compléter après c'est vrai que la question de la participation numérique ça fait partie un peu de ces notions floues quand même et c'est ça finalement à la fois qui s'est un peu ce qui en fait le succès

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est à la fois qui peut aussi le desservir à d'autres à d'autres moments et c'est la même chose avec la concertation finalement c'est un peu comme une auberge espagnole chacun y apporte qui a envie de ce qu'il a envie d'y trouver donc j'ai envie de définir cette manière

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finalement plutôt large dans le sens où on pourrait dire que c'est là où les citoyens peuvent prendre part à la décision quelle que soit que ce soit lille des dispositifs à l'initiative des

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des institutions des collectivités ou bien prendre part enfin prendre part à des décisions plus pour faire écho est ce que à ce que décrivait aussi hélène en interpellant à des endroits sûrs d

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sur des sujets et du coup aussi voilà à faire aussi mettre à l'agenda c'est un peu ça aussi moi de ce que j'entends c'est de mettre à l'agenda des des sujets de préoccupations citoyennes

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voilà vous réponse assez large sur la participation citoyenne si vous voulez compléter audrey joue et alors ouais c'est vrai que je du coup à la fois en

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écoutant la question que qu'emmanuel nous avons partagés et les interventions je me disais aussi qu'il faut quand même avoir un pavage vigilants quand même avec ces questions de 26,6 passion et ne

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pas être non plus dans une sueur et valorisation de la participation à outrance ou qui pourrait amener à un quelque part aux six mètres de débats ya des bons citoyens qui participent il ya

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les mauvais citoyens qui participent pas et puis du coup c'est quoi en fait une bonne participation parfois là je pense qu'il ya quand même des éléments a notamment être les enfants en fait donc doudou là le point de vigilance et je

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vois je pose la question est ce que laisse penser que la question de la des différentes formes de participation est importante à reconnaître parce que parce que c'est ça aussi que ça veut dire et est ce que quelqu'un qui est un jeune

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qui fait de la musique qui organise des soirées ou des fêtes de village dans son village et qui créent du lien avec les habitants les habitantes est-ce que c'est pas une participation à la vie de sa cité aussi honorable que quelqu'un

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qui participe à l'élaboration des politiques publiques donc voilà je pense qu'il faut faire quand même attention et qu'il faut laisser les citoyens et les citoyennes et les enfants aussi participer

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possiblement de façon diverse et comme il peut être comme il le souhaite et que et que c'est dans la complémentarité probablement et dans un équilibre en tout cas dans la complémentarité pas opposé mais plutôt un complémentarité certes il peut y avoir tout à fait voilà

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et des personnes qui participent d'une certaine façon plutôt avec leur rentrée ils sont plutôt sur le la participation à un vivre ensemble à faire affaire société et voilà ce sera leur façon de participer tandis que d'autres ont

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davantage dans de l'interpellation dans de la construction et peut-être que c'est dans tout ça que que c'est important mais en tout cas cette injonction elle et moi elle me pose question notamment avec les enfants donc

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notamment dans le récit que l'aisne faisait autour de l'école je pense qu'il faut faire attention est ce qu'il faut vraiment apprendre aux enfants à participer ou est-ce qu'il faut bien être dans la susciter l'envi en fait

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est-ce que là dessus il ya peut-être aussi à se poser des questions quand on est en action être les enfants et je pense que les associations de jeunesse éducation populaire le enfin en cette attention là parce que on est d'abord

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dans on n'est pas dans l'agir pour l'agirc quoi dire qu'on est vraiment dans comprendre en fait le monde dans lequel on est regardé ce qui ne nous convient pas et se dire à partir de là qu'on as peut-être susciter l envie

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d'agir parce qu'en fait il ya des choses qui nous conviennent pas et qu'on va vouloir le transformer et c'est moi c'est ce que je trouve assez fantastique dans l'éducation populaire c'est ça c'est qu'à la base avant d'agir il y à cette analyse collective

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cette réflexion qui nous amène à il s'agit pas juste de participer pour participer au d'agir pour agir et de voilà il ya quelque chose qui emmène coincé susciter l envie de donner envie pour transformer ce qui ce qui ne

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saurait nous convenir donc il ya quelque chose peut-être à regarder aussi là dessus et et c'est ce qui a mené à fait cette idée là de faire attention à reconnaître la diversité des formes de

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participation et du coup la diversité des propositions des associations qui le permettent je pense aussi à ce que disent les jeunes souvent c'est que les associations en l'occurrence sont souvent des espaces confortables pour

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s'essayer à la participation et à la jirs parce qu'on peut se tromper ah c'est pas l'école on a le droit de faire des erreurs on a droit d'expérimenter on aura de se tromper on n'est pas doté et donc du coup il ya il

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ya cette possible une confiance en fait est une possibilité de d'essayer des choses et là aussi je pense que c'est c'est aussi pour ça que plus il ya de propositions pris à deux de forme

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associative est propositions comme ça qu'ils existent et voilà les plus aussi on peut investir ou à les verts justement des publics divers et variés ce qui était aussi la question qui était posée

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il ya peut-être que j'ai des associations doivent aller vers des publics spécifiques et puis d'autres doivent concerner plus largement face à là encore c'est sûrement dans la complémentarité que se jouent les choses

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quoi alors merci audrey simplement du coup je me disais en faisait autant que en fait ça renvoie quand même à ce que disait hélène sur une des tensions qui traversent

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c'est à dire comment accompagner sans manipuler donc je pense que ces questions finalement se pose aussi dans l'univers un peu du community organizing je pense le câble de london city zen où

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l'alliance citoyenne pourrait donner des tas d'exemples de ce type de tensions dans le numéro on a aussi un article d'une personne qui s'appelle julie rigueur qui évoque très clairement cette tension qui est du coup une de formation

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anthropologue et qui accompagnent les processus de participation est en fait elle restitue dans le numéro un processus d'accompagnement d'éleveurs qui veulent construire un abattoir mobile et du cou

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vous voyez bien les tensions qui peuvent émerger entre ce qui est qui accompagna la participation qui essaye de réunir ces éleveurs dans un processus assez énorme et et le fait que eux ne répondent pas forcément à l'appel de ce

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processus normés et qu'à un moment donné elles cheminent en fait dans sa réflexion et dans la réflexion sur la posture pour arriver à dire finalement accompagné à la participation c'est comprendre que la vie de ces éleveurs là

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est aussi un genre de vie c'est comme ça qu'elle le dit et en fait c'est de reconnaître cette aspiration un peu loto au gouvernement qui ne rentrent pas dans l'injonction à un moment donné donc c'est vrai qu'à mon avis on t'écoute ans je pense que tu met bien en évidence le

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fait que c'est c'est dans l'univers de l'éducation populaire ça se pose comme ça mais en fait finalement c'est quelque chose qui se posent dans l'ensemble des univers et j'imagine y compris professionnaliser qui peuvent être ceux

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de davantage de 2000 peut-être hélène vous voulez être répondent par rapport aux enfants je rejoins tout à fait le

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besoin de complémentarité de diversité des formes possibles de participation et surtout des temporalités enfin il ya il le fait de pas vouloir enfin qu'il faut pas l'injonction elle est

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contreproductive quand on parle de démocratie et on peut faire encore plus perdre l'envi d'agir effectivement et et la démocratie elle sera riche s'il ya

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une multiplicité de formes possibles de d'agir sur son environnement de participer à la vie de la cité et ça passe aussi beaucoup moi ça j'en suis convaincue par des moments de convivialité où il n'y a pas forcément

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de but en soi de construction de revendications et que c'est aussi dans la convivialité concret du l'envi de trouver des solutions pour vivre ensemble du mieux possible et du coup elle j'ai pas forcément saisi

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le problème là que ça vous posez sur ce que je raconte est sur les dents les écoles parce que en tout cas pour le moment et puis c'est le butin c'est que ça touche c'est les volontaires et des animateurs volontaires c'est des enfants

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volontaires il y en a pas mal d'ailleurs dans les idées ce qu'ils ont voulu tard remonter c'est d'avoir de créer des moments festifs d'organiser un tournoi de foot qui ne font même pas voilà on n'est pas

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sûr il faut agir pour agir et faire nos revendications pour faire nos revendications loin de là juste là j'ai raconté sur les cantines ou pas ce que c'était c'est ce qui me venait en tête mais j'aurais pu parler des tournois de foot

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et et et voilà je pense qu'on a vraiment ce souci-là de l'acd groupe de vendeurs pis il ya un enfant qui veut plus il va

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jouer dans la cour de récréation c'est vraiment ouvert il n'y a aucune obligation est par contre on voit que il ya finalement sur le temps il y en a beaucoup qui sont restés voire même qui sont venus qui disent ah mais pourquoi elle essaie de ils n'ont pas droit à

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l'ass et connaissent et aiment à nous si on a envie ou pas bon voilà des choses comme ça et et on sent qu'ils ceux qui le font sont contents d'avoir aussi un peu de

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responsabilité de mener enquête d'avoir voilà enfin il il ya des compétences qui se développe on en est pas encore à faire une évaluation mais on va essayer de le faire aussi voir qu'est-ce que ça permet qu'est-ce que ça produit

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quelles sont les limites voilà et puis le lien moi je trouve qu'il va être créé avec les instituteurs qui se sont motivés et pas mal parce que ça va permettre de lier aussi des enseignements avec des problématiques de

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la vie quotidienne des enfants et déjà des pistes en ce sens oui oui je disais

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je veux bien réagir sur la dernière question d'actualité posée sur le sur la participation numérique est ce que c'est un enjeu simplement d'outillage ça me

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fait un peu écho à ce cas est-ce que vous avez raconté finalement à de différentes manières toutes les deux à des moments sur finalement le un enjeu qui est de faire prendre conscience que

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ça nécessite enfin que la participation ou le la mobilisation nécessite aussi à des moments d du temps des compétences de l'énergie et j'ai l'impression que c'est le même chemin à faire qui feinte

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qu'il ya à faire pour le pour le numérique et notamment pour la participation numérique donc au sein de l' on va dire parmi les praticiens c'est une question qui est de la participation c'est une question qui est assez clivante

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et en fait on laborde quand même pas mal sous là sous la question de l'outillage encore où et puis on va vite résumée à dire battre façon ça exclut un certain nombre de personnes soit qui n'ont pas accès soit

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qu'ils n'ont pas la maîtrise des usages et ça ne permet pas non plus de délibérer parce qu'il ya effectivement il quand même une attention qui est portée aux la construction d'une vision collective et que et que le numérique ne

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permet pas ça donc aujourd'hui dans les pratiques numériques il ya eu tous les sorts des civic tech avec quand même beaucoup des départs des plateformes numériques dont beaucoup passer par les cris aussi avec des

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je caricature mais au départ aussi avec des votes du coup ça posais plein de questions sur qu'est ce que ça veut dire est ce que c'est la course aux mêmes fins la meilleure idée que comment est ce qu'on construit du collectif avec ça

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et la crise la de sanitaires en fait on voit bien là on est on est en direct je sais pas si l'année dernière on aurait pensé à on aurait pensé à faire ça mais si peut-être mais nous enfin voilà les

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pratiques des de la participation aussi évoluer vers du de la visio font donc des ateliers aussi en numérique on a transposé quand même des temps qu'on aurait faire en vrai autour d'une table

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on le transpose donc on expérimente aussi et je pense qu'on n'a pas non plus assez de recul et je pense qu on manque encore de maturité sur le sujet à la fois au niveau nous praticiens mais

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aussi au niveau de la société en fait et le j'ai lu avec beaucoup d'attention le l'article 2 des 10 des dix javel qui est médiateur numérique à saint-etienne et

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qui m'a paru très éclairant parce que il mettait ça aussi en lien avec l'émancipation et un collectif dans le sens où finalement aujourd'hui éludé la question du numérique c'est complètement illusoire parce qu'elle est partout dans

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nos vies voilà on a nos portables sur le sur la table on est enfin on peut enfin la société elle est à la fois dans nos usages le numérique est partout mais aussi pose des nouvelles questions de l'accès à l'information de comment

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est-ce qu'on on analyse les informations qu'ils qui nous arrive l'éducation réseaux les réseaux sociaux et tout ça ça a forcément un impact aussi sur la participation des citoyens à la société

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donc je vois voilà je vois 2 quand je vois la fois la question de l'outillage à la fois de la maîtrise de ces outils mais aussi des enjeux plus globaux du numérique et quel impact ça sur notre sur notre

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société plus largement voilà que j'annonce merci emeline emmanuel est-ce qu'on reprend alors il ya une question de questions dans la

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salle merci beaucoup merci pour vos interventions j'ai juste une petite question en fait parce que vous parlez pas mal de l'accompagnement à la participation des enfants et des jeunes mais en fait il

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n'y a pas pour l'instant j'ai pas vraiment entendu l'attention sur la temporalité parce que faire participer des enfants ou les jeunes on n'est pas dans les mêmes temporalité quand on est un adulte quand on les incite à participer y

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compris dans une école y compris pour changer la cour de l'école changer l'organisation quand ils sont 1 cm 2 qui la fréquentent rompu l'année prochaine et donc j'aimerais bien voir comment vous vous appréhendé en fait cette question du

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rapport au temps du rapport à l'espace pour les enfants voilà comment s'est pris en compte en fait dans l'accompagnement à la participation parce que ça peut aussi apporter aussi des quand on incite les

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gens à participer s'il n'y a pas d'effet sur cette participation c'est juste des moments où on discute ensemble qui sont hyper importants je dis pas mais quand on dit ça va faire quelque chose et où ça fait quelque chose dans très longtemps et où

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ça fera rien finalement qu'est-ce que ça produit finalement on dans les rangs la suite du parcours de vie dans la suite des trajectoires qu'on peut avoir donc voilà c'était juste pour

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continuer la discussion merci alors on va peut-être prendre l'autre question il ya une troisième question dans la salle aussi oui mais merci mais vraiment merci à liège merci

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à trois intervenantes donc c'était très intéressant du côté éducation populaire déjà qui a dans son adn la participation et il faut le dire et

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le redire et il affirmé l'institut de la concertation aussi que j'ai connu à l'époque institut de la concertation et par la suite aussi sur la question de l'ouverture du d'un marché de la

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participation c'est tout à fait pertinent tout à fait intéressant aussi où il y à boire et à manger et puis hélène ce que vous avez aussi dit sur la nécessité de détecter un

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sujet pour la participation et que les personnes se mobilisent pour pouvoir le résoudre il y as intérêt à ce que la solution arrive le plus vite possible et donc qu'on n'attende pas 5 10 ans dans

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la question que j'ai à vous poser à vous trois et peut-être aussi à l'iep c'est plutôt quand on sait que il y a une tension effectivement hélène vous en

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avez parlé tout à l'heure entre tous qui est participation additionnelle le la représentative et puis la participation d'interpellations avec

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beaucoup beaucoup d'arrières pensées de la part d'élus enfin deux par rapport à 7 notamment participation d'interpellations comment vous

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interprétez le l'abstention aux dernières élections est-ce que ça a un lien d'après vous avec le feu il y ait cette tension de

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plus en plus développer je disais tout à l'heure et j'interroge aussi l'egypte parce que j'ai entendu enfin j'ai vu dans le monde hier l'interview d'un de vos collègues justement qui disait qu'il peut être

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inventer d'autres formes pour les jeunes d'autres formes de participation voilà en gros le le sujet enfin pour moi il ya un lien je sais pas pour vous si c'est

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la même chose comment on fait ce que vous répondez à ces deux questions et puis ensuite on vous passe la parole ça fait déjà deux bonnes questions en fait peut-être ok bah on prend la

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troisième alors si c'est mieux prendre la 3ème allez-y bonjour merci ski merci beaucoup pour vos interventions et ça ce

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que ce que ça fait moins comme réflexion c'est clair on parle de l'accompagnement à la participation et donc des métiers de l'accompagnement à la participation des métiers du coup ça parle de salariat globalement de de fonctionnement sous

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lien de subordination décidée par des personnes qui ont le pouvoir sur les salariés qui sont ces personnes ça change selon qu'on est dans des associations est selon qu'on est dans des collectivités enfin des

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émanations de l'état et du coup tous ses métiers parce que c'est ça aussi le métier ça nous fait penser à une certaine posture de neutralité du fait qu'on exécute au moins une fiche de poste et alors

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qu'on est sur des questions éminemment politique de projet de société de qui pose la question de ce qu'est ce que c'est que la démocratie donc il me rappelait la une une

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définition en trois possibilités de démocratie tant qu'elle ait des négatives et du coup c'est vrai quand on fait cet accompagnement à la participation en plus dans une dynamique

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d'éducation ont créé de la norme on crée de la normalité de qu'est ce que c'est la démocratie et du coup c'est vraiment très politique je trouvais et du coup moi ça m'interroge 7

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enfin voilà notamment sur la démocratie de développer les formes d'interpellations dans la démocratie parce que du coup ça normalise le fait que enfin je m'interroge sur le fait que

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ce analyse le fait que la démocratie c'est non pas exercer le pouvoir mais ces interpellés un pouvoir existant et du coup à la fois ça cherche à transformer une démocratie représentative actuelle mais sans la transformer réellement puisque puisque

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l'on valide le pouvoir déléguer en ne faisant que l'interpellé et tout à l'heure il a été question de l'autogouvernement ou là on est du coup sûr une posture très différente où il s'agit de faire plutôt que d'interpeller et c'est un peu l'opposition entre

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organisé une fête dans un village où ou ou interpellés et alors évidemment ça se pose pas ça se complète mais mais ça peut s'opposer dans la façon créer des normes est-ce que ce qu'ont cherché ce à quoi

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on cherche à éduquer c'est ces lotos gouvernement c'est pour aller plus loin voilà l'autogestion l'autonomie et ça ça pose des questions de pédagogie tout les pédagogies de l'autonomie que ce qu'elle vise les enfants les jeunes les adultes

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et et voilà il a ancré de la norme et est en fait ma question enfin mais ma question que je me pose si vous avez des éléments je les prends c'est c'est qu'est-ce que ça construit toutes les comportements qu'on provoque

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et qu'on cherche à provoquer avec tout ça on cherche je pense que tout le monde cherche à bien faire mais qu'est ce qu'on construit malgré nous en fait comme norme notamment en normalisant par exemple le

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fait de participer ces interpellés en fait c'est vraiment pas neutre et c'est probablement nécessaire c'est absolument même nécessaire d'un point de vue militant d'un point de vue luttes sociales et le fait de l'institutionnaliser comme le

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fonctionnement normal de la démocratie est donc souhaitable je pense que en fait là on n'est plus soi dans une croyance libéral qui serait que le bien commun secret à la rencontre

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des intérêts exprimer mon espèce de main invisible ou alors une croyance de dialogue social qui serait qu'en fait on ne peut tous se mettre d'accord en se mettant autour de la table et éventuellement en exerçant un peu de pression mais pour se faire entendre

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mais qu' on va pouvoir se mettre d'accord et est à la fois il faut le faire c'est obligé c'est certain dans la situation et dans les situations d'urgence qu'il ya ait à la fois en termes de projet de société c'est vraiment pas neutre et donc à quoi

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ont contribué qu'est-ce qu'on diffuse voilà c'est ce que ça me propre réflexion [Musique] merci beaucoup pour cette question donc

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on a trois ces questions est ce que blinn hélène audrey vous souhaitez apporter des éclairages voudrait peut-être des éclairages je sais pas

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mais en tous les cas pour pour donner des peut-être des éléments en 3 aux trois questions la première autour de la temporalité et d'aidé de ce qu'on voit

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en fait en définitive à sa participation ça fait vraiment partie par exemple d attention qu'on a dans ce que j'évoquais au départ de processus de dialogue structuré qui a fait une méthode

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voilà qui met qu est une méthode qui pose des ingrédients indispensables et dans ces ingrédients il y en a un c'est à dire que quand on s'engage au départ de ce processus de participation on alla temps du politique on sait à

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quoi on contribue et donc son parti sis pour participe pas mais on s'est en tous les cas il ya une temporalité défini un calendrier défini clairement défini il ya une thématique choisie et il ya un attendu politique claire et donc du coup

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voilà on sait à quoi on peut participer et les parties prenantes toutes les parties prenantes s'engagent à ce processus avec ses cinq ingrédients posé et du coup c'est vrai que c'est très important notamment pour les jeunes

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parce que il vit on visualise me bien tout à fait à quoi vraiment contribuer et même si à un moment donné on doit quitter le processus pour x raisons ça peut arriver pour des jeunes un moment

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donné d'avoir des tas de choses qui arrivent dans la vie qui fait qu'on ne peut pas finalement finir un processus de participation malgré tout on sait tout à fait à quoi ce processus là auquel on a participé à un moment donné

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va contribuer soit on le voit souvent mais ça le fait de pouvoir poser très clairement l'attendu c'est un élément souvent qui est en tout cas qui est important est que nous par exemple on a

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dans cette méthode là mais qui est qui en effet un élément important et pas de se dire juste on va commencer une discussion puis on verra où elle nous mène où on va commencer à discuter d'une thématique et on verra

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bien ce que la thématique permet non c'est vraiment différent en fait un simple jeu j'insiste sur le deuxième point moi je me lancerai pas dans une analyse politique du pourquoi du comment

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de l'abstention en revanche ce qui est sûr c'est que vous l'avez dit il existe j'espère qu'il faut inventer ou s'il faut reconnaître les formes de participation qui existent et les jeunes

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sont très bons en la matière ne captaient pas forcément besoin d'inventer mais entre justement en fait il existe des formes de participer aujourd'hui des formes de participation qui sont déjà à l'oeuvre en fait et voilà c'est peut-être de savoir les

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reconnaître les reconnaître comme faisant partie aussi voilà d'un tout qui fait démocratie quoi voilà c'est peut-être aussi ça qui qui mérite d'être d'être

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d'être encore avancé et est en fait là enfin la question de la normalisation et c'est pour ça que j'insiste est tout à l'heure sur la question de l'eau est ce

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qu'on travaille aux questions de participation comment les travail c'est justement parce que en effet il faut faire attention aux questions d'injonction de

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normalisation et de d'aller vers eux l'idée que de toutes les façons participer c'est bien c'est important et comment est ce qu on induit pas en effet des formes plus que d'autres et je

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je donnerai pas des exemples récents mais malgré tout il y en a on vit une époque où on aurait tendance quand même à dire ce que c'est qu'un bon citoyen est ce que c est comment il faut participer commençait bien de participer

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et c'est on n'est pas toujours à reconnaître des formes voilà divers et variés de participer et du coup ni dans un sens ni dans un autre c'est à dire en effet ni valoriser une forme tels que l'interpellation ou à mai mais non plus

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ne pas en discréditer quoi est donc là dessus c'est vrai qu'il ya une attention a sûrement à avoir pour que ce soit justement pas dans le sens d'une

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normalisation mais bien dans le fait de laisser finalement à des à des citoyens des citoyennes à des jeunes la possibilité de créer en fait leur envie et leur forme de participation c'est

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pour ça que la notion d'espacé à leurs importantes et c'est pour ça que voilà que pour le coup dans les associations de jeunesse et d'éducation populaire à leur diversité de propositions en fait leur diversité des approches et le fait

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qu'ils auxquels ouvrent des espaces très vive très variés permet justement de construire des formes variées de participation et voilà et chacun à son niveau avec son envie et avec sa façon et c'est sûrement aussi dans cette

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acceptation la de cette diversité qu on se garantit d'une normalisation coin entre guillemets merci audrey cqm line

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ou hélène vous souhaitez réagir alors sur la question de la temporalité d'un point de vue praticienne la participation je la vois de 2,2 manière

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à la fois la temporalité dans dans un projet c'est aussi 2 2 que la partie afin que la participation soit au au bon endroit qu'elle ait su physique est suffisamment

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de temps aussi de temps des changes qui en fin de temps qu'ils soient consacrés consacré aux échanges pour construire une vision collective pour monter des fins aussi se construire se construire

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un orgue un argumentaire un point de vue éclairé sur la question et du coup c'est aussi c'est aussi un travail de faire prendre conscience qu'il faut pas que ça arrive ni trop tard

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ni parfois ni parfois trop tôt et que ce soit pas non plus bâclées en une réunion publique et qu'il ya et qu'il ya besoin de temps pour monter en compétences pour ce aussi pour appréhender tous les

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enjeux donc ça c'est là la première manière de le voir et la deuxième c'est que effet fin effectivement c'est beaucoup plus facile de mobiliser quand on arrive à vous enfin quand on arrive à identifier des enjeux concrets ou ou des

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effets concrets d'un projet mais dans la réalité ce n'est pas toujours le cas je prends par exemple les exemples de projets d'aménagement qui sont par nature sur du temps long des 1 d'élite des lgv d enfin voilà même des mêmes

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dans les politiques publiques des on fait participer à un instant t et il ya peut-être plusieurs moments dans le projet ou ou du coup va y avoir des souad étant obligatoire ou volontaire de

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participation et avec ça un sacré défi de réussir à la fois du coup faire un retour aux participants aux citoyens qui ont donné du qui ont donné du temps qui ont donné leur avis est ce qui arrive à

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près de réussir en fait à garder tout ce tout le récit toute l'histoire toute la mémoire du du projet de de toute fin de la manière dont il a évolué aussi avec la participation dans un monde idéal

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aussi ça se passe comme ça donc voilà c'est aussi le le rôle le rôle des praticiens aussi à des moments mais plutôt par exemple dans les collectivités c'est plutôt eux en général qui fonçe ce moment là parce que

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quand on est consultant et convient pour un bout du projet bain pour par un moment c'est aussi donc c'est aussi difficile de d'assurer sept ce suivi là

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voilà ce pour cette question sur les deux autres questions 5e m'interpelle j'ai pas forcément de intéressante j'ai pas forcément moins de 2 de réponse c'est ainsi ce n'est là sur la question

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devait avec les métiers à l'accompagnement je sais pas si je dirais qu'on est à ce point là dans une posture de neutralité quand on est salarié on a quand même notre notre libre libre arbitre et et que ce soit et je pense que j'observe dents au sein du

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réseau c'est que ce soit à la fois dans les collectivités qui vont on peut imaginer enfin devoir de réserve et cetera mais il ya des stratégies pour pousser des fins aussi pour pousser des visions même

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politique je veux dire et des stratégies pour bien pour pour pousser la participation dans les institutions c'est pareil dans l'est dans les dents chez les consultants c'est pareil dans

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les dents les assauts et donc et donc oui forcément à son à son niveau au même même en n'étant pas enfin dirigeants on pousse quand même je sais pas je

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pourrai pas me positionner si c'est ça m'interroge sur 7,6 à normalise finalement des des choses je j'aurais tendance à dire que si on est toujours dans cette posture est fléché et réflexif comme par exemple le

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mentionnait jordana sur l'exemple de julich eagle qui raconte aussi et qui du coup chemin faisant se dit ben est ce qu est ce qu est ce que je suis en train de faire là ce moment là est ce que je suis en train d'imposer mon mon point de vue

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où on ma manière ma manière de faire je me dis que peut-être en ayant ce regard toujours sur sur soi-même sans que ce soit bloquant ça peut permettre d'enfin voix d'avancé quand même voulais

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m'arrêter là je remercie beaucoup emeline hélène alors moi j'ai un peu pareil que kalin sur le côté les trois

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questions son hyper intéressante et soulève vraiment des gros défis enjeux et j'ai pas forcément de réponses toutes faites à apporter loin de là

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sur la question de la temporalité concrètement là par exemple sur les échos alors je reviens encore là quand j'ai parlé de ce projet là des organes à meeting c'est de l'actualité toute fraîche et pour l'instant il n'y a pas

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de recul pas de faim voilà c'est vraiment un truc qui débute tout nouveau est-ce que ça va être intéressant sur le long terme ou pas du tout voilà j'en sais rien du tout et surtout

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pour l'instant j'y ai pas été vraiment avec ma casquette de chercheur mais plutôt avec la casquette un peu opérationnels que j'essaie d'avoir en étant surtout sur une posture de recherche action et du coup sur la

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temporalité l'idée comme ça a commencé qu'en février c'était de travailler pas trop avec des cm2 mais plus avec des cm1 voir ce2 au final il ya par exemple une école où il ya eu des cm2 qui était super motivé ont ils n'ont pas voulu

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leur dire bah non et quand on les interroge pour savoir pourquoi elles se sont engagées dans ce projet là c'est surtout des phillies est pour ça que j l elles disent que c'est pour améliorer l'école pour leurs petits frères et soeurs qui seront là après parce

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qu'elles ont bien conscience qu'elles vont au collège l'an prochain et que ce sera pas pour elle donc c'est elle se pose rarement sur une posture altruiste voilà puis après dans les faits quand on les voit participer les midis on sent

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qu'elles prennent du plaisir à aller à mener les enquêtes elles ont aussi beaucoup pris beaucoup de plaisir a demandé à organiser une visite l on a rencontré les restaurants du coeur qu'ils venaient récupérer notamment

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elles ont voulu aller visiter les restaurants du coeur même si au final ça faisait pas à faire avancer leur enquête vraiment c'était vraiment justes elles l ont adoré sortir en fête de l'école et rencontrer un autre monde et puis toutes

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les questions qu'elle pose est là bas ça n'avait rien à voir avec les enquêtes que qu'elle faisait donc c'était encore autre chose et on sortait que c'était quelque chose qui les motive et aussi beaucoup en fait

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bon du coup les raisons sont variés et qu'elle ait pas d'effets concrets à la fin de l'année j'ai pas l'impression que ça va être un problème pour elle en conscience en tout cas aussi le début est sûr mais c'est sûr que c'est quelque

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chose auquel il faut être attentif sur voilà les temporalités fait que ça soit pas contre-productif en termes de susciter l envie d'agir et de participer sur la normaliser sur la

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norme qu'est ce qu'on construit comme norme c'est super intéressant effectivement de pouvoir avoir des temps de moments réflexif pour essayer de se dire mais est ce que là je suis pas en train de faire quelque chose de par

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rapport à tel idéal tel objectif qu'on peut avoir qui serait contre productif enfin bon bref il saas dans des recherches actions c'est possible de les avoir s'est pas toujours possible d'avoir ces temps là sur

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l'interpellation enfin c'est vrai que là j'ai pas mal parlé d'interpellations ce qu'on l'interrogeait sur le community organizing ça se positionne quand même pas mal sur ce créneau là vous dire que ça reste quand même très marginales

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comme forme de participation dans le monde actuel est par contre c'est vrai que c'est intéressant du coup de lire les philosophes la fin les philosophes qui travaillent sur qu'est ce qu'il ya derrière par les différentes

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philosophies politiques qui sont les imaginaires politique certaine forme de participations dessine donc la démocratie agonistique démocratie plutôt

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unitaire la démocratie délibérative qui sont posées comme différentes normes par exemple ou horizons moi j'ai l'impression que

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enfin c'est passé effectivement eu c'est important d'avoir ces différentes cases mais c'est souvent que des cases et dans la réalité c'est très schématique la réalité on est loin

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d'être danser dans ce système là et et c'est vrai vous l'avez dit d'épater nécessaire donc il souvent on est aussi pragmatique à dire qu'on n'agit chemin faisant fonction des bons jeux des

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besoins et on n'est pas forcément à se dire que l'on recherche cet horizon-là et du coup on a tout un plan d'action pour arriver à cet horizon là et donc c'est un peu du bricolage qui se fait souvent

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et là ça rejoint aussi ce que ce que disait audrey c'est à dire que la richesse démocratique elle est aussi dans la multiplicité des formes et du coup d horizon qu'on peut avoir avec du

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coup je dirais comme dénominateur commun le fait d'avoir envie de vivre ensemble de bavois la deûle envie de vivre ensemble et de dessiner des manières

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d'être ensemble différentes et qui varie selon nos envies le temps est et voilà je ne sais pas après la cdu

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normes par me poser une norme essayer de la faire très large et puis après il ya plein de chemins possibles qui permettent et aussi l'horizon tête de justice sociale qui est derrière l'horizon 20 démocratique du coup quand on parle d'interpellations

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derrière qu'est ce qu'on entend c'est qu'il ya des inégalités en termes de pouvoir politique et qui à un moment il faut trouver des manières de l'équilibré donc c'est vraiment avec cet idéal d'égalité en fait qu'on parle

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d'interpellations et je suis pas sûr que ça soit forcément que ça renvoie une horizon une libérale pour autant merci

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hélène je croyais manuel où tu voulais réagir tout à l'heure mais on s'est dit tellement de choses depuis avait quand même je vais réagir

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en fait moi ce qui me conforte un peu sur le positionnement qu'on a pu avoir dans ce numéro au regard à la fois de ce qu'il y avait dedans et de ce qu'on s'est dit là et puis des réactions vous avez sur le chat que je peux pas restitué dans les détails mais que je

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vous invite y compris des intervenantes à aller voir après parce qu'il ya des choses qui vous qui vous sont adressées directement qui peuvent être intéressantes c'est le fait que finalement on est dans

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une dans une situation où certes il ya des métiers il ya des pratiques normes et il ya des méthodes plus ou moins comment dire

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élaborée pour accompagner ces processus de participation mais on reste quand même globalement dans un processus et ça ça se voyait bien aussi dans le numéro c'est à dire que qu'est ce qui

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fait que la participation reste quelque chose sur lequel on réfléchit y compris 20 ans ou 25 ans après les premiers diplômes mis en place pour former des professionnels a à faire ces métiers

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d'accompagnement à la participation c'est le fait que le il y à une injonction ou une volonté de d'intégrer de la partie de la participation dans de

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plus en plus de métiers qui ne sont pas dédiés à la participation et ça on l'a on l'a bien vu en discutant et en élaborant le numéro il n'y a pas que les professionnels de la participation patentés qui se posent des questions sur la participation et que

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c'est obligé de l'intégrer dans leur pratique professionnelle mais évidemment il l'intègre pas pareil que les autres et c'est ces questions là on les trouve je pense dans d'autres domaines je pense que les problématiques

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éducatives les problématiques d'animation les problématiques liées à la participation numérique le rapport à la citoyenneté aux données extra que dont on parle aussi clément m'habille dans le dans le numéro sont des

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questions que des gens beaucoup plus large que simplement les professionnels du secteur se pose mais les professionnels du secteur sont obligés de se les poser d'une manière un peu différente parce que c'est leur métier leur professionnalité qui est en jeu et

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leurs institutions qui sont qui sont questionnés si on se pose la question d'aller vers quand on est dans une institution où d'aller vers un public c'est parce qu'on est censé avoir eu une structure où un public dans lequel on

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retrouve pas tout ce qu'on voudrait avoir donc il faut qu'on en sorte les publics eux qui sont éloignés en quelque sorte de ces dispositifs de participation ils les voient comme des normes qui s'adresse pas à eux et le questionne

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autrement avec une envie d'interpeller justement ce qui produit ces dispositifs en disant mais pourquoi ils sont façonné comme ça constitué comme ça pour qu'on se sent pas représenté et je pense

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que dans tout ça on retrouve en fait des vieux débats quand même qu'on a pu avoir dans l'histoire de des histoires des rapports en fait entre pouvoir et savoir

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autour de la constitution des grands clivage qui pouvait y avoir entre l'éducation populaire on pourrait reprendre je me souviens d'un vieux séminaire qu'avait eu lieu d'en restituer les débats qui pouvait y avoir entre vrais ans qui font date heure date

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et l'écart monde et alinsky sûr c'est que sur toutes ces questions du rapport au public du rapport à qui on fait participer quel est le volume global de gens à qui on s'adresse à partir de quand on a l'impression qu'on a toujours

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trouvé enfin toucher l'objectif con con con visé c'est que finalement faire un processus de construction d'un savoir sur ce qui nous arrive

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recherche action réflexion auto réflexion qu'on se donne une méthode pour ça on s'équipe pour pouvoir agir et pour prendre le pouvoir et souvent pour prendre du pouvoir il faut prendre la parole à un moment donné et les cadres collectifs

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il sécurise un peu cette prise de parole alors il ya mille manières de faire vivre des cadres collectifs qui sécurise la parole et de ses cadres collectifs émergent des demandes de prise de pouvoir qui peuvent être de l'ordre de

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l'interpellation parfois mais parfois de l'ordre de la co construction ou de la coparticipation et je trouve que c'est cette dynamique voilà qui est intéressant ce qui fait qu'à mon avis la participation c'est un

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processus que notre discussion a bien illustré que je trouve qu'on retrouve quand même pas trop mal aussi dans ce numéro même si ça épuise pas le sujet même si ça serait bien qu'on arrive à aller un jour un peu plus loin sur cette dimension là sur le numérique

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parce que là se joue quelque chose de très importants sur l'avenir merci emmanuel alors je vous propose peut-être qu'on a moins

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qu'il ya des frustrations qui reste encore des questions je sais pas s'il ya des choses du côté du jet mais je trouve qui s'est déjà dit beaucoup de choses à l'occasion de cet échange ça répond bien à l'objectif qu'on

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s'était donné en fait à partir du numéro d'essayer d'ouvrir une discussion un peu plus large et pas seulement une discussion sur le numéro mais en même temps qui crée des ponts avec les contributions du numéro qui vienne équiper ces discussions donc voilà s'il

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n'y a pas de frustration on va peut-être vous proposer dans de finir cette conférence débat de remercier des intervenants de remercier mme line de remercie hélène de remercier

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audrey de remercier aussi nos collègues de l'insep qui se sont occupés de la technique et puis de remercier aussi la gca qui nous accueillent aujourd'hui dans cette salle en présentiel et donc voilà on espère que ça vous aura plu et

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suite au prochain numéro est à la prochaine conférence débat merci à tous et à toutes et à ceux qui sont en ligne [Musique]