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50000 euros de dons en deux semaines et bien voilà grâce à vous on y est arrivé toxin vivra toxin verra avec vous merci à tous merci de nous avoir soutenu merci pour tous ces dons merci pour tous ces
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dons en si peu de temps et voilà vous êtes maintenant vous faites partie des résistants du toxin et vous avez voulu qu'on aille plus loin et on va aller plus loin évidemment on va prolonger notre cagnotte tipee pour mettre en place cette newsletter la newsletter du
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soir donc ça m'atteint tant que c'est un soir deux rendez-vous avec vous le matin et le soir on continue le la résistance toute la journée on va d'ailleurs mettre en place un groupe de résistance sur telegram si vous le voulez bien et puis évidemment le magazine la trace écrite
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puisqu'il évidemment la résistance se fait aussi par l'écrit vous le savez bien voilà si vous voulez bien continuer ses objectifs avec nous on vous attend et encore merci évidemment à tous les soutiens de topsa à tous ceux qui ont entendu l'appel du toxin et qui sont
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derrière nous maintenant pour cette belle aventure merci à vous [Musique] [Musique]
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à l'éducation sexuelle qui ont déjà été mises en place et certaines associations telles que SOS Éducation et les mamans louves tirent la sonnette d'alarme sur ses 10 apprentissages à poser désormais par l'Éducation nationale on va tenter
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de mieux comprendre avec ces deux associations et avec des témoignages très très forts quelle est la teneur de ces cours et pourquoi faut-il peut-être se méfier en tout cas être vigilant sur ce qui se passe à l'école aujourd'hui
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bonjour Sophie Audiger bonjour à tous et merci d'être avec nous je rappelle vous êtes délégué général de SOS Éducation qui est à la pointe du combat sur ces questions là avec Christelle Commelle bonjour Christelle Comet bonjour Clémence bonjour à tous
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merci beaucoup d'être avec nous vous êtes co-fondatrice présidente de l'Association des mamans louve et puis nous recevrons comme je l'ai dit tout au long de cette heure des témoignages très très forts de parents qui vont nous
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raconter ce qui s'est passé pour leurs enfants mais d'abord peut-être un petit tour d'horizon une petite présentation de ce qui se passe déjà en France au milieu du jet ce que je vous propose c'est de donner quelques éléments et puis après peut-être
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Christelle pourra faire un point sur la différence entre justement ce qui se passe en Belgique et le cas des gitlatif en France parce que nous voulons dire déjà je pense que je peux associer Christelle et donc les mamans lourds à ce que je vais vous dire évidemment on
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ne cautionne pas du tout pas du tout les actes qui consiste à brûler des écoles on ne brûle pas des écoles et jamais nous serons solidaires de la Terreur il nous y opposons avec la plus grande fermeté
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c'est important de le dire rien ne justifie de s'attaquer à ce lieu si emblématique de l'émancipation ensuite on va rappeler ce qui est très important pour nous c'est que le parent et le
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premier éducateur de son enfant nos enfants n'appartiennent pas à l'état sinon nous serions en dictature j'insiste sur ce point fondamental parce que c'est bien ce qui nous alerte aujourd'hui c'est qu'on est quand même
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parfois à la limite de cela c'est le fond du problème on va y revenir après absolument ensuite on va rappeler que l'école a un rôle d'instruction c'est-à-dire qu'elle est inscrire sur
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des savoirs qui sont fondés sur la science et pas sur des idéologies à l'école on ne nuit pas à l'ensemble c'est un autre élément important de notre positionnement vous l'aurez compris nous ne sommes pas sur des
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questions morales nous ne sommes pas sur des questions évidemment religieuses et le fait de renvoyer la position qui peut être la nôtre à une approche basique bête populiste évidemment n'est pas le
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sujet on va le prouver dans cette heure vous nous donnez la parole Clémence on va rappeler qu'il n'y a aucune donnée scientifiques qui ne prouve que de parler de sexualité de genre ou
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d'orientation sexuelle à des enfants ne permet ne permet d'aider l'enfant dans son développement psycho-affectif et Ben et même dans son acceptation
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future potentiel de son homosexualité aucune de mes scientifique ne prouve cela au contraire nous allons pouvoir vous prouver que de parler de sexualité trop tôt à des enfants peut avoir des
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risques très importants dans son développement à la fois psycho-affectif et dans sa sexualité future nous allons également rappeler que c'est
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programme cette éducation qui est fondée sur des standards standards dont reparlera plus précisément Christelle ne tiennent absolument pas compte des connaissances que nous avons du
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développement de l'enfant et donc PSI des risques sur justement son processus de développement normal les circulaires en France que Christelle pourra
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redétailler fixe un cadre qui devrait normalement permettre de préserver en partie bon mais elles ne sont pas toujours appliquées et il y a de très nombreuses
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dérives comme vous allez le voir dans les témoignages que vous aurez de parents qui nous ont contactés nous allons rappeler également que l'enfant a besoin de savoir quelque chose simple et
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qu'il est interdit d'avoir une sexualité entre un adulte c'est un enfant qu'il est interdit tout ça c'est interdit par la loi condamné par la loi il est interdit d'avoir des
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relations sexuelles dans la famille ce qu'on appelle un train familial il est interdit d'avoir des relations sexuelles sans avoir consenti mais nous reviendrons sur ce concept du consentement qui est complètement dévoyé
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aujourd'hui et il est évidemment important de rappeler que la sexualité relève de l'intime qu'elle se pratique en privé certainement pas dans un groupe classe même s'il ne s'agit pas de la pratiquer mais de présenter des contenus ou des
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propos ou la sexualité stricte au censue est exposé voilà très rapidement ce sur quoi nous nous battons les mamans lourdes pour rappeler ce qui est le rôle
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de l'école ce qui est le rôle des parents et qu'il reste la priorité avant tout c'est que l'école ne doit pas nuire et que les parents sont on l'autorité pour protéger leurs enfants alors là vous touchez des propos sauf que du G je vais me tourner vers Christelle quand
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même et des propos qui interrogent je pense la majorité des parents qui ne sont pas encore au courant de ce qui se passe dans ces cours parce que là vous réagissez à quelque chose qui je pense interpelle beaucoup de monde qui s'est dit mais pourquoi on en arrive à une telle déclaration qui semble très fondée
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évidemment mais c'est tellement basique ce que vous rappelez que ça peut en inquiéter plus d'un on va en effet aller entendre ce témoignages et raconter un peu ce qui se passe au sein des classes d'abord on continue juste avec Christelle Comet avant Christelle commet vous avez entendu Sophie ou du jeu ce
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qui vous avez quelque chose à rajouter peut-être sur le paysage en ce moment de ce qui se passe et ce qu'on a vu les manifestations en Belgique et en France oui alors je pense qu'il est important
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déjà de faire le distingu entre ce qui se passe en Belgique ce qui régit la Belgique et ce qui nous oblige en France donc en Belgique on l'a bien vu il y a
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une forte mobilisation parce que donc on parle du sujet de la loi dite Everest donc il a en fait la généralisation du guide d'éducation à la vie relationnelle
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affective et sexuelle un programme donc qui a mis en place en Belgique et qui est validé par donc le 7 septembre par le Parlement de la Fédération
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Wallonie-Bruxelles donc opter ce projet de décret pour permettre la mise en place de ces séances obligatoires à raison donc de deux fois deux heures en sixième puis en seconde jusqu'à présent
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dans ce pays depuis 2012 il y avait déjà des ateliers qui étaient faits sur la base du volontariat et c'est ça qui vient changer c'est cette mise en place de décret alors évidemment que en France on est bien au courant également que
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l'éducation à la sexualité pose problème et on le verra plus tard à travers les différentes témoignages qui vont être énoncés aujourd'hui on fait un raccourci et ce raccourci il est important de le
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recadrer je pense en France donc nous on est régie par une loupe qui ne date pas d'aujourd'hui puisque c'est une loi de 2001 qui a fixé trois séances obligatoires d'éducation à la sexualité
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dès l'école élémentaire cette loi a été rappelée par de 17 ans de l'enfant dès l'école élémentaire donc à partir de 6 ans
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donc en 2018 on a Marlène Schiappa qui rappelle par circuit populaire qui enjoint tous les réacteurs d'appliquer cette loi qui ouvre la voie et la porte aux associations extérieures pour intervenir sur ces séances d'éducation à
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la sexualité puisque visiblement il y a un problème de formation du personnel et de disponibilité à juste titre ils arrivent déjà pas appliquer les programmes et on a déjà pas les ils savent lire écrire et compter lorsqu'il
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rentre au collège en 2022 on a une circulaire édité donc par papel Ndiaye en septembre qui fait sa priorité le renforcement de l'éducation à la sexualité et qui reprécise donc le cadre
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de la circulaire de 2018 dont on aura quand même nécessité à évoquer pourquoi parce que aujourd'hui on a un cadre qui est censément déjà
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protège les enfants ce qui dans les faits absolument pas le cas et on a des objectifs qui sont affichés qui sont tout à fait louables la circulaire elle dit la chose suivante
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la sexualité ne doit pas être abordé évidemment de manière stricto-sensue dès l'école élémentaire les tenues doivent être adaptées à l'âge des enfants ce qui revêt de la sphère
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privée comme le disait Sophie ne doit pas être débattu dans un groupe collectif et elle doit pouvoir être entendue être entendu dans l'institution ensuite on précise bien et ça pas pendji
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le rappelle en septembre 2022 que pour qu'il n'y ait pas de méprise de ce qu'est cette éducation à la sexualité le projet éducatif qui va être mis en place doit être explicite et intégrer et ou
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intégrer donc les parents et on verra plus tard que dans la majorité des cas ça n'est pas fait voilà donc tout ça évidemment pose question donc nous on n'est pas un régime par un
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décret nouveau qui est le décret appelé en Belgique en revanche on est sur des enseignements si on peut appeler ça enseignement qui sont intégrés et ça c'est important aussi de le préciser
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donc dans le cas de ces trois séances d'éducation à la sexualité mais de manière transdisciplinaire aussi c'est-à-dire que l'éducation à la sexualité elle peut être abordée par n'importe quel enseignant dans n'importe
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quelle matière en général on le va le trouver dans les cours de SVT à travers des cours de MC avec c'est l'éducation civique et morale
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voilà donc été Matic évidemment toujours prenaient l'égalité homme-femme ce qui en soi me permettra de vous dire que et là Sophie pourra me corriger si je me trompe mais jusque là nous ne sommes
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absolument pas opposés à des notions de lutte contre les discriminations bien au contraire évidemment que là il y a nécessité de présenter ce qu'est l'égalité homme-femme évidemment qu'il y a
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nécessité à pouvoir permettre à l'enfant de lutter contre les violences sexuelles et sexistes comme la préciser Sophie mais avec un cadre qui est très clair et qui n'est certainement pas celui de délivrer la sexualité adulte comme on a
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pu le voir à des enfants alors ce que ces objets on a bien compris en France donc on n'a pas ce guide Evra ce qui est comme un qui est en Belgique mais nous avons avec ces décrets trois séances
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d'éducation à la sexualité qui sont normalement proposés comme étant adaptés d'abord à l'âge de l'enfant ensuite évidemment l'intime de rester dans la team etc on ne doit pas choquer l'enfant et ça doit être fait en coordination
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avec les parents bon là on a la théorie maintenant la pratique il se trouve que on a vu qu'il y avait de forts débordements je vous propose qu'on a tout de suite entendre le premier témoignage et ensuite on vous donne la parole évidemment ce fut obligé Christelle commet alors le premier
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témoignage c'est évidemment un pseudo c'est soso nous sommes avec Soso bonjour soso bonjour et merci beaucoup d'être avec nous alors expliquez-nous un petit peu vous êtes maire donc d'une élève et vous
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allez nous raconter qu'est-ce qui s'est passé avec avec votre enfant d'accord alors je suis maman 3 enfants 14 10 et 8 ans et l'année dernière mon fils qui avait donc 9 ans en CM1
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je le récupère il est très bavard donc je le récupère de l'école et là il gère et tout en panique maman maman je suis choqué
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on a eu avec un professeur de CM2 donc lui il est en CM1 mais bon ils étaient c'est une classe mon fils a une classe de CM1 CM2 d'accord et donc ils ont été dirigés vers un enseignant
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et là ils ont eu un cours d'éducation à la sexualité et je lui ai dit tu peux m'en parler puis là il a dit bah c'est la honte vas-y maman tu sais très bien que tu écoutes et là il m'a énuméré
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et là j'étais choqué ce qu'on disait j'étais choquée je sais pas si je peux les dire allez-y oui parce qu'il faut que je pense qu'il faut que tout le monde réalise en fait ce qui se passe donc je pense qu'il faut que vous nous disiez les choses comme vous les avez
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entendu au premier cours ça c'est au premier cours il a appris la masturbation l'érection l'éjaculation et le sperme ensuite il y a eu d'autres cours enfin
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le dès le lendemain je suis parti voir le directeur pour lui dire comment ça se fait on est on n'est pas au courant on a eu on a eu aucune information ni du contenu ce que c'était pas normal et
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bon bah de là il m'a j'ai dit que j'allais envoyer un courrier directeur à au recteur c'est pas possible que nos enfants entendent ça a choqué mon fils il me dit s'être bouché les oreilles avec ses copains oui alors attendez
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juste une précision là c'était en plus vous dites donc c'est m2 et fille et garçon ensemble mélanger ouais ouais d'accord ils ont pas fait de séparation oui enfin de toute façon même si elle veut une séparation ça posait des problèmes mais
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donc là on est là on mélange tout et on explique à des enfants de 9 ans ce que c'est que le sperme l'érection etc d'accord et donc là vous allez voir qu'il pouvait aimer un garçon c'est un
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garçon et qui pouvait devenir une fille et il fallait que ses camarades le dessinent en fille et du coup ça l'agacé parce que les filles lui ont mis du rouge à lèvres sur le dessin il leur a dit vous arrêter mais néanmoins ils ont
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continué leur exercice non mais attendez attendez alors ça c'était le la première séance ouais après il y a eu d'autres séances c'était non la première séance c'est la masturbation l'éjacule
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il y a eu aussi le rapport comment on fait des bébés donc on met le pénis dur dans le vagin de la petite fille et c'est comme de la femme et c'est comme ça qu'on fait on met le sperme à l'intérieur du vagin et c'est comme ça
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qu'on des bébés mon fils est encore à la petite graine bah oui mais et en fait il a le droit de suivre sa propre sa propre évolution son propre temps bon alors attendez il y a je voudrais revenir sur
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un excusez-moi une des choses que vous avez raconté c'est ce l'histoire de la transition de genre donc on lui a expliqué qu'il pouvait changer de sexe c'est à dire que parce qu'il faut savoir aussi que ça c'est depuis la circulaire
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blanquette si je me trompe pas je vais être corriger je le sais de toute façon parce que déjà écrit celle Comet que l'école à l'obligation d'accompagner un enfant qui montrerait une envie de changer de sexe
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mais là c'est plus que ça là c'est du zèle c'est à dire que c'est pas que quelqu'un a formulé l'envie 2 et encore ça pose des questions mais là c'est à dire que là on lui dit tu n'y a peut-être l'avancé mais tu peux le faire
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ça fait partie d'accord donc ça on leur a expliqué ça également et on a invité les enfants à côté les petits voisins etc les petits collègues de classe à
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dessiner donc à chaque fois son voisin si j'ai bien compris dans le sexe opposé c'est exactement ça oui d'accord oui donc il y a de votre fils était choqué
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après tous moi les témoignages de petits garçons certains faisaient semblant de dormir il y en a pour la plupart pour pour vous
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expliquer au pire un enfant n'a osé ils ont dit à leurs parents on a eu peur on a eu honte d'accord donc ça veut bien dire que ça a l'air ça les a bien sûr bien sûr les affaires
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et donc vous êtes allés voir l'école alors j'en ai profité lors d'une réunion la réunion de rentrée par un prof j'ai pris la parole pour former pour demander si cette année ils allaient réitérer et
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là j'ai énoncé les propos qui avait appris mon fils l'année dernière et là il a il a il a complètement essayé de détourner l'attention ça perturbait beaucoup de gens et
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quasiment tous les parents n'étaient pas au courant en fait tous les parents se sont dit ils m'ont dit mais non n'était pas au courant mais c'est pour ça qu'on fait cette émission aujourd'hui et qu'on est très heureux de
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vous entendre parce qu'en fait il y a c'est ce qu'on explique c'est à dire que c'est court ont lieu peut-être que les enfants justement par honte par pudeur par choc aussi on n'ont pas forcément
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raconté la teneur de ses cours mais il est quand même très très important de d'en parler justement et de voir ce que doit faire aussi les parents est-ce qu'on peut faire évidemment au niveau au-dessus au niveau politique alors
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restez avec nous soso on va donner la parole à Sophie Audiger et Christelle commet alors Christelle commère j'imagine que enfin des témoignages comme ça en plus vous n'avez vous en avez plusieurs c'est absolument choquant évidemment
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d'abord on ne respecte absolument pas le développement de l'enfant son âge il est quand même très jeune pour entendre des mots et des propositions choquantes il y a presque un risque de traumatisme
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pour le coup et l'école qui ne qui ne qui ne prend absolument pas en compte en plus les demandes des parents oui c'est absolument ça alors la plupart des chefs d'établissement d'abord
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remettre en question la parole de l'enfant donc c'est pour ça en fait qu'il est important aussi qu'il puisse y avoir plusieurs témoignages qui viennent corroborer parce que c'est quand même scandaleux que de se dire l'enfant est
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en train de mentir alors que l'enfant est choqué donc un manque de considération effectivement du traumatisme et n'ayant pas perdre le dire les spécialistes de l'enfant sont très claires il y a un traumatisme
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engendré lorsque on vient devancer le questionnement des enfants il s'agit selon leur terme d'une effraction à leur séisme donc ce qui veut dire que potentiellement il y aura comme le
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disait Sophie en début d'émission un trauma donc immédiat ou un moyen et long terme voire à perturber leur sexualité future donc évidemment que c'est la première des choses qu'il faut
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rappeler au chef d'établissement et on va le dire sans honte parce que les parents doivent le savoir vous avez légitimité à remettre en question évidemment cette manière de
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procéder parce que si les programmes comme ça nous est souvent opposé par les directions d'établissements ne sont pas à remettre en question par les parents parce qu'on est souvent dans le contexte
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où on inverse en fait la culpabilité et on vient dire aux parents et on n'avez pas pour mettre en question les programmes ce qu'il faut rappeler à ces chefs et pour la majorité ne savent même pas quel est le cadre c'est le rappel déjà des circulaires c'est ce qu'on fait
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la plupart des témoins que vous entendrez aujourd'hui et demander que l'on vienne vous prouver par A + B que ces programmes puisqu'on a quand même un flou on a chacun agit selon sa liberté
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pédagogique et qui est bien revendiquée d'ailleurs par l'air par les enseignants à l'échelle d'établissement on a quand même l'absence de de ses propos qui sont dans ces programmes et heureusement et donc là évidemment les familles doivent
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se mobiliser doivent dénoncer ça et doivent tenir bon et ne doivent pas je terminerai là-dessus se laisser intimider par les chefs d'établissement je laisserai Sophie justement reprendre des exemples tout récents que nous avons
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avec des propos scandaleux le chef d'établissement qui essaye de faire peur aux parents pour que la politique du pas de vague soit appliquée dans leur établissement scolaire oui ce feuille du jeu alors
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on va voir tout de suite merci Christelle je voudrais juste revenir si vous me permettez Clément sur deux trois petits éléments qui sont importants à connaître tout d'abord comme l'a dit je
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l'ai dit et la Rapée Christelle il y a bien une loi en France qui impose l'éducation à la sexualité il existe quand même aujourd'hui encore un frigo sur l'âge de démarrage c'est à dire que cette toile est antérieure à
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l'obligation de scolarisation à 3 ans et explique aujourd'hui certains établissements scolaires certaines mairies te considère légitime à l'appliquer à partir de l'obligation de scolarisation
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c'est à dire dès la maternelle des cours d'éducation sexuelle dès la maternelle absolument oui oui on a des preuves écrites que certains certaines méritent certains établissements scolaires
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intègrent l'éducation à la sexualité comme étant une obligation légale dès la maternelle a priori pour nous ce n'est pas le cas il s'agit d'un d'une femme et si vous
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voulez juridiques qui procéderaient uniquement du fait que la loi d'obligation à l'éducation sexuelle aux fameuses trois séances par an a été mise
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en application avant la loi de 2017 qui a passé la scolarisation obligatoire des trois ans donc de notre point de vue et de point de vue d'un certain nombre de juris on dirait la plupart des juristes pour être très clair c'est obligation
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légale ne s'applique pour nous qu'à partir du CP d'accord qui amène enfin ce qui permet légitime des parents à s'opposer s'opposer à l'éducation à la sexualité avant le CP déjà c'est
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important d'être clair sur cette question là nous savons que c'est fait actuellement en maternelle nous savons qu'il existe des interventions et également des manuels et également des
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ouvrages qui sont d'éducation à la sexualité en maternelle alors que c'est tout à fait inapproprié de parler même même de sexualité en maternelle évidemment ça on aura peut-être l'occasion d'y revenir sur le sur les
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principes fondamentaux du développement de l'enfant ensuite il n'y a pas à proprement parler de programme en tous les cas le seul programme qui pourrait exister entre guillemets c'est un programme qui a été
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établi pour le cycle 3 ça veut dire qu'il ne commencerait qu'à partir du CM c'est à dire qu'avant il n'y a pas de programme officiel il y a une obligation à faire mais pas de programme officielle c'est important de le dire et rappelons
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également que papenia a demandé au CSP c'est à dire le Conseil supérieur des programmes de produire justement un corpus de programme précis pour toutes
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les classes d'âge aujourd'hui ça n'existe pas il y a un programme très général très flou et Sophie finalement on peut tomber sur des en fonction des professeurs des cours radicalement différents on peut
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avoir seulement une émission absolument c'est exactement ça alors s'il n'existe pas de programme ou si les programmes sont flous vous allez me demander mais où vont-ils chercher finalement il
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présente aux enfants alors ils vont aller chercher et c'est pour ça que ce qui se passe en Belgique et pas neutre en Belgique ils ont légalisé l'utilisation d'un guide qui s'appelle le guide evras si vous voulez
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qui est un guide de trois pages sur lequel il y a beaucoup pas dire et qui est contraire à l'intérêt de l'enfant au développement de l'enfant il a été légalisé en France aucun guide n'était légalisé mais nous avons en France un certain nombre de guides de
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documents qui circulent que ce soit des sites internet que ce soit des supports éducatifs sur et du sol que ce soit des guides à l'usage des intervenants ou des accompagnants dit qu'ils sont nourris
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des principes des standards de l'OMS c'est-à-dire de l'Organisation mondiale de la santé il faut rappeler que tout cela procède de travaux qui ont été menés par l'Organisation Mondiale de la Santé qu'on appelle les standards à l'éducation à la sexualité pour l'Europe
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ça dit bien que ça cible nos pays c'est pas mondial c'est nos pays ces standards ont été produits à l'issue de groupe d'un groupe de travail qui a été constitué à l'origine donc là je remonte
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déjà en 2006 ou 2008 a été produit à l'origine par un groupe constitué de 17 personnes dont elles avaient des liens avérés avec des associations militantes LGBT cuit plus ça donne déjà la teneur du
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oui mais le document tout le monde peut y accéder il est très clair si par exemple je vous Formule 2 3 principes fondateurs vous allez tout de suite comprendre pourquoi il y a un souci donc dans ces principes fondateurs on va on
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va lire par exemple la sexualité est un aspect central de l'être humain donc là vous voyez déjà la dérive c'est-à-dire que l'enfant n'est plus un enfant c'est plus un être vulnérable qui est à protéger c'est un adulte en miniature
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donc est un aspect central de l'être humain elle contribue donc l'éducation à la sexualité elle contribue au développement positif de la personnalité et de l'autodétermination donc à partir
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du moment où vous appliquez ces principes et que les interventions que vous faites vous les fondez sur ces principes là ça veut dire que vous enseigniez entre guillemets aux enfants non pas des savoirs fondés sur la
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science mais une idéologie que celle de l'autodétermination l'autodétermination c'est considéré que l'enfant pas que toute personne d'ailleurs quel que soit son âge
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je t'ai même pire que ça à la capacité intrinsèque de choisir s'il est une fille ou un garçon indépendamment de son sexe de naissance donc sans évidemment que jamais lui soin
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transmis les informations de la difficulté du parcours des risques pour sa santé psychique les risques des médicaments parce que ce sera un malade à vie alors que c'est un enfantin et les risques sur le chirurgie évidemment il
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va jusqu'à les chirurgies qu'on appelle de reconstruction alors si vous voulez c'est très important de dire cela parce que si vous voulez aujourd'hui on s'étonne que comme l'a dit Christelle on
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va parler d'éducation à la sexualité en EMC éducation morale et civile qu'est-ce que ça vient de faire dans l'éducation morale et civile civique on va en parler aussi dans certains cours de français on va en parler évidemment SVT et en
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fait finalement chaque professeur peut dire bah écoutez moi j'ai envie de faire un cours où je voudrais je fais le lien avec un cours sur l'égalité homme-femme et va en profiter pour intégrer cette
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idéologie d'autodétermination et ses principes si vous voulez évidemment qui intègre le l'idéologie du genre comme étant un
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fondement totalement normalisé et ça si vous voulez on est plus sur la science hein voilà revenons bien sur le fond du problème à chaque fois et ce qui sera notre âme finalement l'école a un rôle
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d'instruction et non d'éducation idéologique et c'est bien là où finalement aujourd'hui on se rend compte que l'instruction n'est pas menée jusqu'au bout et l'éducation est logique elle bat son plat alors je voudrais juste une petite question et ensuite je
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sais pas si soso est encore avec nous lui dire au revoir lui demander si elle veut réagir et ensuite on a d'autres témoignages mais Sophie j'ai juste avant de reprendre social il est encore avec nous je vais demander vous avez parlé de l'OMS d'accord on on vous reprend juste
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après vous avez parlé de l'OMS et on a vu circuler et je voudrais savoir si c'est l'OMS mais d'où ça vient ces planches où on voit des petits dessins alors c'est des petits lapins et évidemment il faut rendre ça toujours plus sympathique qui en
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pratique plusieurs positions sexuelles et ça ce sont des planches qui sont distribuées enfin qui sont qui peuvent être proposés aux enfants ça vient de l'OMS alors c'est pas l'OMS mais je vais laisser Christelle répondre là dessus
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Christelle sur les petits lapins oui alors en fait je sais pas si c'est des petits lapins en tout cas ça y ressemble fortement c'est des dessins enfantins donc qui sont mis en scène avec pratique sexuelle donc déjà le premier problème que tout le monde verra
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normalement constitué psychiquement bien sûr c'est que on mélange le manque de l'enfant avec la sexualité adulte donc d'un site internet qui s'appelle on s'exprime qui est sous l'égide du
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Ministère de la Santé et site qui est donc invité à la consultation dès la classe de 6e donc au collège pour les adolescents à partir de 11 ans sur ce
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site on va retrouver une rubrique qui s'appelle pratique sexuelle dans laquelle en fait on a en version ludique l'intégralité du kamasutra où on pourra retrouver pardon
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des termes mais l'invitation à pratiquer la nulingus la sodomie et autres pratiques sexuelles voilà mais ça avec des petits lapins mignons comme tout au passage tout à fait et donc je répète
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bien que il s'agit d'un site recommandé d'ailleurs qu'on peut retrouver sur et du SCOL et qui est soulagé du ministère de la Santé et qui est diffusé avec des plaquettes et des petits livrets via le
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réseau INPES donc réseau de prévention alors Eduscol c'est pour pour tout le monde ce sont les sites de de recommandations de documentation pour les professeurs tout à fait
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bon voilà donc c'est clair sur cette histoire de de planche de même pas comment appeler ça de d'ouverture sexuelle pour les enfants
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proposés par de appliquer aux enfants proposer par le ministère de la Santé je Sophie est-ce que vous voulez soso pardon est-ce que vous voulez rajouter quelque chose à tout ce que vous avez entendu et concernant votre enfant
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j'aimerais bien parler de l'entretien parce que j'ai eu un entretien avec le directeur suite à la réunion il y avait une personne de la mairie donc l'adjoint à l'éducation est au courant m'a appelé
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elle souhaite me rencontrer aussi que ça fait un petit peu de bruit parce que le lendemain matin beaucoup de parents sont venus vers moi et là à ce moment-là ils ont eu très peur je sais pas et là ils sont bien convoquer tous quoi nous
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convoquer mon mari et moi alors juste le bilan d'entretien que le directeur il se dédouane c'est pas lui c'est le professeur que que les cours ne seront cycle 3 ne
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seront plus en mais en CM2 que ce ne sera plus un enseignant mais une infirmière et que ils auront des manuels et de là j'ai dit non je ne veux pas de manuel non plus et là il nous ira il nous a traité de sectaire tout de suite
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voilà d'accord ça c'est ça c'est un élément intéressant merci beaucoup soso merci beaucoup pour vos témoignages on va continuer de parler de votre cas mais on va enchaîner avec d'autres témoignages également celui de l'ange et
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testo merci à vous pour ce témoignage très fort et merci et courage surtout pour votre combat la réponse cette réponse qui a été donnée de secteur c'est très important d'en parler également Sophie Audiger c'est ce que
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vous commencez à nous expliquer tout à l'heure finalement c'est encore une fois une inversion ou c'est l'école qui va finir par attaquer les parents alors disons vous ne voulez pas cette éducation idéologique moi je rajoute tout de suite le terme et bien c'est
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parce que vous êtes sectaire c'est l'une des réponses mais il y en a d'autres d'ailleurs de défense de l'éducation nationale absolument c'est à dire qu'aujourd'hui si vous voulez on utilise des faits dramatiques je vais être très clair
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parce que ça fait plusieurs fois qu'on entend ça et nous vous savez Clément s'en a parlé très tout de suite sur votre micro allez voir qu'on était sur une autre antenne moi j'ai pris position très fortement quand effectivement le
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drame de l'assassinatrose de Samuel Paty à foudroyer la France on se doit d'être d'avoir beaucoup d'humilité par rapport à cela et surtout de respecter la mémoire de Samuel patine
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aujourd'hui nous on est extrêmement choqué quand des professeurs ou des chefs d'établissement pas que c'est un parent qui vient contester le fait qu'on parle en classe
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en groupe à son enfant d'éjaculation de sperme de rapports sexuels détaillé c'est à dire vraiment contraire à la circulaire qui dit qu'aucun élément suit sans susuel de doit être présenté et que
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l'on reproche aux parents finalement de ne pas accepter qu'on parle de ça à leurs enfants qu'on leur demande s'ils ont un problème à la maison des formuler comme ça mais peut-être que chez vous il y a un problème peut-être que le problème c'est pas l'école madame
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mais c'est vous voyez alors la question c'est là vous êtes en train et on va continuer à leurs hommes attendez vous êtes en train de contester un enseignement vous savez que vous n'avez pas le droit de contester un enseignement si vous contestez un enseignement ça veut dire qu'on tester
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la laïcité ah oui d'accord donc je pense que j'ai pas besoin de faire de dessin entre laïcité et Samuel Paty là si vous voulez il y a quelque chose de très grave qui est en train de se passer pas très grave ça n'a rien à voir
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le fait de ne pas vouloir qu'on fasse une effraction psychique à son enfant qui est d'ailleurs contraire au circulaire donc à la règle c'est par l'éducation nationale de ne pas parler
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de propos de contenu d'image strictes sexuelles à des enfants primaires à les contester ça auprès d'un professeur ou d'un chef d'établissement et que la réponse qu'on donne à un parent et c'est vous qui avez tort vous êtes en train de
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contester un enseignement et vous contester la laïcité et à cette raison là je vais vous signaler au rectorat et si jamais vous continuez à être un peu trop réellement je vais aller faire une information préoccupante pour qu'on
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vienne voir ce qui se passe chez vous à la maison je veux dire on est là dans quelque chose qui me semble extrêmement grave et nous on prend très au sérieux cela et c'est pour ça qu'avec les mamans
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lourdes on est vraiment main dans la main on est extrêmement rigoureux sur le travail qu'on fait sur les sources quand on a ce genre de témoignage on vérifie évidemment toutes les données et qu'aujourd'hui se passe quelque chose de
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très grave et de très une fracture si vous voulez qui nous alerte et c'est pour ça que quand vous avez proposé d'intervenir sur ce cette actuelle de de
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Belgique et de brasses évidemment qu'on a dit oui parce que on condamne fermement ce qui se passe en Belgique évidemment on le condamne fermement on condamne l'agressivité des parents on condamne la terreur par contre on dit attention il se passe des choses en
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France là les parents vont pas accepter ils vont être en colère ils sont légitimes à être en colère on peut pas dire un parent je peux parler de sexualité d'adultes de manière crue à
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votre enfant sans que vous avez derrière à me dire alors même que j'ai pas le droit de le faire parce que c'est contraire à la circulaire et si vous venez me dire quelque chose ben moi je vais aller vous dénoncer au rectorat pour manquement ou pour mise en cause d'un enseignement et mise en cause de la
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laïcité française et le discours d'ailleurs on le voit même dans la presse qui relie ces informations ce qui se passe en Belgique je vais vous donner le point parce que c'est c'est l'article que j'ai lu mais il y en a sûrement d'autres qui explique
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que ceux qui sont opposés à celles de ce guide evrace donc le guide belge d'éducation et sexualité qui va quand même très loin dans cette éducation ce sont et les familles musulmanes donc
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sous-entendus comédie etc enfin c'est ce qu'ils veulent sous-entendre et puis les ultras conservateurs catholiques donc voilà tout de suite et puis d'ailleurs je crois même que j'ai lu le terme de complotistes aussi et donc voilà on a mis tout ça dans un package pour dire
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ces gens-là ne sont pas fondés ils ont eux-mêmes un problème chez eux comme vous l'aviez expliqué tout à l'heure et voilà pourquoi il s'oppose à cette instruction et c'est qui n'est pas une instruction d'ailleurs qui est une idéologie vous l'avez bien dit et c'est
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tout à fait intéressant et et en effet important de reclarifier chose et d'expliquer pourquoi sans ton sans être extrémiste dans un cas ou comme dans l'autre on peut remettre en question ce qui se en France d'ailleurs et puis
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pourquoi pas le contenu du guide evras en Belgique alors on continue avec les témoignages je voudrais quand même préciser quelque chose c'est que depuis quelques années je dirais 5 ans plus tous ceux contenter de protéger les
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enfants tous ceux qui protéger les enfants ont été traités de fachos de complotistes ou de réac alors moi je suis très claire je me pose catégoriquement à ces accusations et je
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demande aux gens qui se qui nous prêtent ce genre de positionnement qui sont totalement fallacieux il s'interte de travaux que nous menons qui ne sont centrés que sur une chose c'est les connaissances scientifiques sur le
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développement de l'enfant mais vous avez bien fait de le rappeler ce fait du jet et encore une fois on connaît ces étiquettes valises ces mots-valises qui permettent de décrédibiliser une cause et puis
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pourquoi pas un adversaire qu'on n'arriverait pas avec lequel on n'arriverait pas à affronter en termes d'arguments donc on continue et on fait le tour des témoignages tout de suite on va recevoir l'ange et testo l'ange et
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testo qui vont nous raconter l'histoire de leur fille haussée alors est-ce qu'on est avec l'angétesto oui bonjour bonjour donc vous c'est long j'imagine avec qui nous sommes oui alors
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je raconte et nous ce qui s'est passé avec hausser votre fille tout simple alors à l'âge de 5 ans elle a subi des attouchements de la part de
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son demi-frère inceste et nous avons prévenu le collège de cela parce que c'était important du fait qu'elle était fragilisée psychologiquement ensuite à ça et puis l'année dernière encore lors
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d'un cours de SVT et il lui en fait faire un cours où elle devait mettre un préservatif sur un sextoy aussi bien sûr s'est mis mais ça l'a
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stressé ça lui a fait peur elle était hors de question pour elle de le faire attendez non on va juste s'arrêter on fait une pause évidemment je vous donne la parole juste après votre fille avait quel âge quand elle devait faire ça
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14 ans 14 ans donc d'abord une enfant de 14 ans l'obligation de mettre un préservatif sur un sextoy c'est déjà problématique mais vous vous avez signalé en plus à l'avance à la
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rentrée c'est ça que votre fille avait vécu un traumatisme terrible à ce sujet et qui voilà exactement quelle était particulièrement fragile ce qui est tout à fait compréhensible et
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donc non seulement le votre alerte n'a pas été prise en compte entendu mais en plus là voilà il s'agit d'un cours pour l'ensemble des élèves qui de toute façon à 14 ans pose enfin un cours
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entre guillemets pose question donc voilà il fallait faire quand même un arrêt sur image je vous laisse continuer voilà et donc du coup elle voulait pas le faire parce que bon ben elle ça l'a choqué forcément et le professeur en
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question lui leur fait à la menace à la classe entière en disant si vous le faites pas vous êtes privé de récréation donc elle s'est sentie obligée de le faire et elle a été elle a eu le sentiment d'humiliation également parce qu'elle a dû le faire devant toute la
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classe et elle était gêné et puis voilà quelle horreur et ensuite en rentrant la maison mais elle était toute chose toute traumatisée puis elle nous raconte tout cela
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et du coup de ce fait le papa appelé directement le principal pour faire comprendre notre mécontentements à tout cela et surtout sur le fait qu'ils ont pas respecté le chemin de l'Océane en fait sa
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fragilité psychologique et tout et puis surtout qu'un cours comme ça pour son âge était inadmissible et que ça devait pas avoir lieu quoi et ne nous a répondu c'est il nous a répondu c'est normal c'est les nouvelles lois du gouvernement
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et tout ça en fait c'est rentré par une oreille c'est sorti par l'autre d'accord parce que ce que vous racontez quand même gravissime donc on force des enfants à mettre un préservatif sur un
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sextoy devant tout le monde un enfant qui bloque qui pourrait bloquer même sur le traumatisme qu'il a vécu mais il se trouve que votre enfant a eu un traumatisme très très fort et donc face à ce blocage qui n'est même
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pas entendu la maîtresse où je sais plus le professeur lui dit la prof lui dit vous serez privé de récréation mais on est dans quel monde je veux dire c'est c'est vraiment très très choquant ce que vous racontez et je vais donner la
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parole à Christelle Comet et Sophie Odji qui avait déjà reçu vos témoignages Christelle Comet à ce sujet j'imagine c'est des témoignages comme ça que vous recevez il y a d'autres comme comme celui-ci qui sont quand même vraiment absolument terribles
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oui on en reçoit malheureusement beaucoup trop alors ce qui se passe en fait c'est que on voit bien une chose les chefs d'établissement ou les professeurs ne
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considèrent jamais le traumatisme de l'enfant voyez c'est un dénominateur commun qu'on voit à chaque fois il y a cette espèce d'inversion en fait où on dit à l'enfant c'est normal tu
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dois t'adapter et tu n'as pas le choix et ça c'est très grave en fait parce que l'enfant devrait pouvoir s'extraire apparemment ça le gène je rappellerai juste à vos auditeurs que est-ce que vous quand vous allez en entreprise on
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vous fait en vous contraint à faire ce genre de pratique exposer votre sexualité mettre en pratique un préservatif sur un phallus factice la réponse est non donc on n'aime pas ça à des enfants qui sont soumis à autorité
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ça c'est important de le rappeler ensuite ce qu'on voit également c'est au delà de la méconnaissance du développement de l'enfant et de l'adolescent qui est évidente puisque on
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voit bien qu'ils sont pas respectés on a aussi une méconnaissance de l'encadrement qui régit en fait ces séances parce que à chaque fois on a des chefs d'établissement qui sont pas claires c'est une nouvelle loi mais
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quelle nouvelle loi la loi 2001 en fait de quoi on parle et eux ne savent pas quel est le cas des circulaires autrement on imagine bien que peut-être il le respecterait donc on a aucun garde-fou à chaque fois qui est posé et
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on a des familles comme encore cette famille là qui se retrouve avec des enfants avec des traumatismes alors qu'on fait confiance à l'école donc là je je vais laisser la parole à Sophie
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mais je crois aussi que c'est important de dire que en agissant ainsi on va vers une fracture entre les familles et les établissements à juste titre parce que quand on fait revenir son enfant de
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l'école quand on le reçoit dans cet état comment la confiance demain comment ne pas être inquiet sur de futurs séances ou d'avoir des ces choses là en plus dans un dans un cadre interdisciplinaire
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parce que ça serait que lors des séances mais on dirait on essaye de d'être prévenu sur ce qui n'est pas le cas mais voyez et en fait il faut rappeler aux Français que logiquement déjà les parents sont les responsables légaux et
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envers l'école il y a quand même une démarche de co-éducation et cette coéducation aujourd'hui elle est en train d'être fracturée et c'est très très grave parce que l'école elle est là
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pour instruire c'est quand même fou de devoir le rappeler donc les enfants ils doivent être mis dans de bonnes conditions pour pouvoir avoir un avenir vous voyez mais évidemment non mais je suis moi-même sous le choc en fait on va
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dans la parole allez allez oui il y a pas que ça aussi qui s'est passé c'est que le lendemain le principal a convoqué notre fille et puis sa copine dans son bureau pour parler de
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ce fameux traumatisme qu'ils ont subi en cours et en fait c'est pas du tout ce qui s'est passé il s'est permis de leur poser des questions mais justement sur leur vie sexuelle ça faisait un copain si vous avez des rapports ça avait eu
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des trucs comme ça et du coup de ce fait mais ça engendrer quelques jours de repos à la maison à Océane qu'on a dû garder à la maison parce que ça l'avait trop chamboulé évidemment
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on parle de l'intimité d'une vie et là c'est deux jeunes filles qui sont enfermées dans un bureau avec un homme en plus rien que ça ça pourrait poser des questions oui mais évidemment en fait le problème c'est que là on n'arrête pas d'enfoncer
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des des on a l'impression que toutes nos évidences c'est branlent évidemment qu'il n'est qu'il est hors de question de parler de sexualité et surtout de la sexualité d'un enfant de 14 ans ou sensualité je ne sais pas
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en classe et ensuite nous on a fait comprendre on principal que c'est à nous parents de le faire et c'est sûrement pas à lui de faire ça et évidemment surtout que notre fille et surtout que notre fille elle a des millions de kilomètres de tout ça vu ce
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qui s'est passé quand elle était plus petite elle est loin de tout ça donc oui mais et puis même enfin même sans le traumatisme qu'elle a vécu qui en plus rajoute on va dire quelque chose à cette affaire de la rend encore plus grave
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rien enfin je veux dire je pense que d'ailleurs je vois énormément de témoignages vous êtes très très nombreux à réagir à dire mais c'est incroyable c'est impossible que ça se passe en France mais si si ça se passe en France tous les enfants là qui sont concernés
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Sophie Audiger oui alors moi bon comme vous l'avez dit Clémence on a été très choqué par par le témoignage de l'ange et de testo et je juste saluer tôt parce que je pense
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qu'il nous écoute et a pris la parole parce que pour lui c'est impossible en fait c'est normal c'est papa donc là je veux pas rentrer dans les détails c'est tout à fait normal mais nous on a
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écrit à Gabriel Attal avec avec les mamans louve parce que parce que venais d'être nommé on lui a écrit cette alerte on lui a expliqué en fait c'était pas c'est-à-dire que cet enfant a été très très gravement abusé très petite il y a
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donc des des documents officiels une plainte un rapport de la gendarmerie tout ce qui caractérise vraiment une enquête très pointue qui a fait que cet
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enfant a été mise évidemment chez son père intégralement cet enfant a développé une déficience intellectuelle dont aujourd'hui personne ne peut noir si elle est
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liée à un traumatisme un développement psychique aussi effectivement quelle est la part du traumatisme qu'elle a vécu dans cette définition ça veut dire qu'en plus cet enfant elle est dans un système normalement qui s'appelle l'inclusion
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scolaire c'est-à-dire que le reste du temps elle est dans une Ulysse et elle vient de temps en temps un cours qui est celui de SVT ou elle rejoint les autres élèves de son âge c'est-à-dire son niveau de classe entre guillemets
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normales et c'est dans ce cadre là qu'elle arrive avec sa camarade de l'Ulysse et qu'elles vont prendre place dans cette classe au milieu de tous les autres alors que le papa a bien pris soin à un moment de l'inscription devant
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le directeur de dire voilà ma fille est une victime de l'inceste grave elle elle est déficiente et sans doute que c'est lié à ce traumatisme je vous demande la plus grande prudence je vous demande
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d'être vigilant évidemment de me contacter si vous observez quoi que ce soit du mal-être de ma fille bilan on lui fait faire cette action d'acte sexuel évidemment concret
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et elle elle est gênée évidemment le papa vient dire non mais vous êtes complètement idiot comment vous avez pu faire une aberration pareille en plus je vous avais prévenu et cetera c'est extrêmement grave je vais aller très loin etc le proviseur limite les choses
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reçoit les enfants ils leur demandent si elles ont déjà couché avec des garçons dans ma passée surréaliste donc si vous voulez tout ça il faut bien avoir conscience que ce qui s'est passé là est
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extrêmement grave et traduit une non prise en compte des problématiques individuelles une incapacité d'inclusion évidemment une incapacité à prendre en
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considération des enfants qui ont été victimes d'un seul je rappelle que c'est 10% donc c'est deux à trois par classe quand même mais c'est un problème c'est-à-dire qu'aujourd'hui ce qui s'est passé là sans doute d'autres enfants victimes d'inceste ont dû à faire un
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acte comme ça qu'est-ce que ça lui a un enfant quand on va lui dire que c'est un acte banal qui peut faire devant tout le monde et que ça lui demander de faire devant tout le monde et par une autorité quel professeur et quand l'enfant dit
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mais attendez moi je demande à consentir et là je ne comprends pas et que le professeur lui dit non attends je te demande pas de consentir ou pas je te demande de faire c'est un ordre du fait tu es clairement exactement l'inverse
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l'inverse des objectifs de que nous tous parents attendons de l'école sur ce sujet là et non pas de la sexualité de la sexualisation de nos enfants c'est de la
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prévention et c'est pas du tout ce qui se passe exactement comme le cas le premier cas pour lequel on a alerté avec les mamans Lourdes en CM2 où on a dit à des enfants que pour le plaisir il
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pouvait sucer le sexe d'un garçon que pour le plaisir on pouvait faire le sexe dans les fesses que pour le plaisir on pouvait sucer le vagin d'une fille à enfants qui étaient en CM2 vous imaginez bien qu'à un enfant à qui on dit ça on
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n'est pas en train de lui dire que évidemment le sexe entre adultes et enfants est interdit le sexe dans la famille s'est interdit ne pas consentir c'est puni par la loi pas tout ce qu'on a dit au début de
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notre entretien c'est pour ça que je tenais à rappeler ça avec Clémence parce que ce qui est là-bas de tout ça finalement et bah faut être quotidiennement et c'est bafoué quotidiennement parce que justement dans nos femmes fameuses standards de l'OMS
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on considère que l'enfant est sexualisé des sa naissance que quand il suce son pouce il est finalement un peu en train de se masturber quand même c'est à dire tout ce qui est sensoriel est caractérisé par
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l'OMS comme une projection de sexualité adulte et qu'on va retrouver dans ces fameuses standards dans des tables aux officiels qui se trouve très facilement et bien que finalement des cas de six ans l'enfant peut consentir
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alors ça si vous voulez non un enfant il comprend pas à quatre un enfant il est victime d'abus sexuel évidemment tout ce que vous dites est très fort et rappeler en effet que pourquoi pas une prévention
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sur ces questions là mais jamais des cours d'éducation sexuelle ou on dit que le plaisir de sexe dans les fesses etc un enfant de CM2 enfin c'est tout ça est absolument lunaire et je pense que tout le monde qui écoute cette émission
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complètement choquée il est 10h on a des on va dépasser et on va continuer de d'en parler quand même avec vous leur qui était à laquelle on est censé terminer cette émission mais c'est quand même très important je voudrais revenir bon d'abord plusieurs choses vous avez
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dit qu'il n'y avait pas d'écoute du traumatisme de l'enfant et des problématiques individuelles mais c'est plus grave que ça moi même mes enfants pas forcément eu un traumatisme jeune mais je veux absolument pas qu'ils aient ce genre de cours là non plus donc je ne
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sais pas c'est juste un non respect de l'évolution de l'enfant et je voudrais demander donc aux parents de hausser l'ange et testo l'un de vous deux peut me répondre finalement aujourd'hui vous en êtes où
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vous portez plein de contre l'école ou faites quoi non on attend le retour du courrier des mamans louve parce qu'on n'a pas de nouvelles concernant l'établissement
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et puis voilà donc on a tout de suite là maintenant on compte pas porter plainte à la demande de dossier elle veut pas engendrer tout ça donc on peut avoir on peut comprendre qu'à les peurs justement des retours puisque
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pour le moment elle est toujours soumise à l'autorité de cette école puisque vous vous l'appelez dans cette école le seul truc qui nous sauve cette année c'est qu'elle va avoir beaucoup moins de cours de SVT non mais vous écoutez espérer
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qu'elle n'est pas trop de cours de SVT pour ne pas être traumatisé de nouveau bon c'est ça en tout cas merci beaucoup l'ange et testo pour ce témoignage très très fort terrible de ce qui s'est passé pour votre fille aussi encore une fois
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tout notre soutien on vous accompagne par nos pensées également pour ce qui se passe c'est ce qui les parents à témoigner ça serait bien aussi moi je les invite à témoigner si ça leur est arrivé alors si
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vous voulez témoigner donc vous pouvez prendre contact avec SOS Éducation et l'association de Christelle commet les mamans louve qui travaillent très fortement sur ce dossier je pense qu'elles sont vraiment à la pointe en France sur cette question là et qui font remonter progressivement à Gabriel Attal
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un dernier point donc Sophie Audiger Christelle commet concernant justement c'est c'est remonté parce que vous tentez en tout cas de faire remonter la Gabriel Attal pour le moment pas de son encloche de leur côté mais vous gardez espoir tout de même que
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ça que vous puissiez faire changer les choses alors pas de remontée sur le les courriers en même temps on a fait quatre alertes pour l'instant il y en a d'autres qui vont arriver bientôt là donc ce qu'il faut savoir c'est qu'on a
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plus de témoignages qu'on ne fait d'Alert parce qu'à partir du moment où les parents nous donnent le témoin leur témoignage on leur on les laisse libre de savoir s'ils veulent on porte l'information au ministre de l'éducation nationale on pousse ne le veulent pas
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ils ont besoin souvent nous dire et c'est tellement affreux pour eux on va quand même réfléchir fortement à porter plainte sur ces situations là en sachant que et bien oui qui porte plainte qui
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paye les avocats combien de temps il faut pour entendre pour se faire entendre raison parce que quand il s'agit si vous voulez quand le gouvernement lui même des actions en justice elles sont réglées en trois semaines mais quand ce sont des parents et le commun des mortels ça prend des
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années donc oui c'est pas si simple et et tout ça en fait on facilite vraiment pas le la tâche au pas pour protéger et défendre leurs enfants Christelle commet
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un dernier mot peut-être pour conclure bien évidemment on reste toujours dans la volonté de la famille donc la plupart du temps comme l'a dit Sophie on a malheureusement pas de retour la
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seule chose que je peux faire comme parallèle c'est très simple c'est que si hier c'était la priorité de papel de renforcer l'éducation à la sexualité à l'évidence quand elle générait des problématiques aussi grave que celle
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qu'on a porté ça n'était plus sa priorité donc là on a un ministre de l'éducation nationale qui a changé qui est désormais Gabriel Attal et on est dans l'attente de relance de ses courriers donc cette fois-ci nous
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l'espoir enfin que le ministère de l'Éducation nationale mais se préoccupe est prennent ses responsabilités prennent des décisions politiques qui s'imposent pour préserver et les enfants et les familles rappelaient à l'ordre
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toutes les strates en fait de l'éducation nationale qu'il qui le mérite c'est tout c'est comme ça que ça doit se passer normalement les questions de harcèlement à l'école vous
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pensez qu'il peut réagir de la même façon pour ce genre de cours d'éducation sexuelle ou a priori ce sera pas forcément sa priorité alors on a quand même je dirais entre
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guillemets qui vont qui vont arriver déjà nous on va produire une note de synthèse avec des experts de renommés indiscutable les enjeux du point de vue du
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développement de l'enfant on invitera les parents qui veulent soutenir cette action à rejoindre dans le cas d'une pétition pour ramener non pas l'éducation à la sexualité qui n'a rien
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à faire évidemment en primaire et au collège mais ramener une une prévention efficace et puis il y a le travail actuel du Conseil supérieur des programmes au cours duquel nous serons
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également auditionnés auditionnés et nous présenterons donc nos travaux et donc le Conseil supérieur du programme proposera des des rapports et nous verrons ce que dira ce rapport et si il
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suit les recommandations que nous allons faire pondé sur la science et sur le développement et bien merci beaucoup à vous deux et à tous ces témoignages et tous ces témoins que nous avons entendu merci Sophie Audiger délégué général de
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ses éducation Merci à VOUS Christelle Comet fondatrice de cette association les mamans louve on continuera de suivre évidemment cette affaire qui nous concerne tous les parents de France sont concernés par ce qui se passe
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aujourd'hui et qui est quand même franchement très très grave et qui peut mettre des enfants enfin traumatisés des enfants comme on l'a entendu avec la petite haussée notamment merci donc à vous deux d'avoir été présente
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