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exper les objectifs de notre euh de notre [Musique] webinairearri le mettre en plein écran voilà alors voilà nos objectifs le premier objectif c'est de connaître pour
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vous les bases de définition finalement de ce qu'on appelle un commun numérique un commun et un commun numérique le deuxième objectif c'est de comprendre ce que ça recouvre en pratique donc de manière vraiment concrète à travers
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trois exemples appliqués à la mobilité nous mobilité c'est c'est le secteur dans lequel on est actif qu' qu'on connaît le mieux et puis enfin éventuellement identifier pourquoi pour vous puissance publique ça peut-être
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intéressant à minima de de de comprendre ce qui a en commun et de pouvoir appliquer ce prisme à vos projets et peut-être éventuellement d'accompagner ou de porter des commandes numériques comme finalement c'est déjà fait he dans
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dans plusieurs directions et Agen on y reviendra alors un petit point pour ceux qui ne nous connaissent pas la fabrique des mobilités on s'appelle Fab mob pour les intimes euh on est une association
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loi 1901 ça a été créée en en 2017 à l'initiative de quelqu'un de l'ADEM Gabriel plaa du service transport mobilité donc on est indépendant de laadem hein on est financé en partie par laadem en partie par d'autres acteurs
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publics en majorité mais pas que donc notamment la DGITM et puis également lafd des collectivité et cetera euh également par un ensemble d'adhérents hein en tant qu'association donc un peu le secteur pr
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un peu de un peu d'associatif et notre mission c'est donc via des dynamiques de coopération et de l'accompagnement et du portage de commun donc on va revenir sur sur ce que c'est c'est vraiment d'aller
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vers une mobilité moins émétrise donc une décarbonation des mobilité donc on s'inscrit vraiment dans la transition écologique mais on s'inscrit aussi plus largement dans ce qu'on appelle nous la transition des mobilités c'estàdire
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qu'au-delà de décarbonner les mobilités il s'agit vraiment pour nous d'aller vers une mobilité plus confortable donc de fin finalement réduire les contraintes qu'on subit tous dans dans tous nos déplacements que ce soit en terme de mode de déplacement ou même de
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de déplacement tout court qui sont qui sont subis qui sont pas forcément souhaités donc pour faire ça on s'inscrit dans on agit dans trois axes stratégiques le premier alors je vais pas rentrer dans le détail hein mais le
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premier concerne le numérique donc tout ce qui est infrastructure et services numériques le deuxième concerne les véhicules d' léger c'est-à-dire tout ce qui est entre le vélo et la voiture donc 600 kg maximum également les trains très
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légers on fait une petite dynamique d'exploration avec la SNCF là-dessus et puis enfin le 3isème AX autour de la sobriété ou des mobilités c'est-à-dire cette fameuse réduction des mobilités
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contraintes à travers des activités autour des a des feux ou encore de la marche alors je fais juste un un petit appel je vais pas rentrer dans plus dans le détail mais pour ceux qui sont intéressés on a deux cycles de travail
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qui se lance si jamais ça vous intéresse un donc tout à gauche sur les dataspace c'estd ces espace de données je vais y revenir parce que c'est l'un des exemples que que je vais vous citer euh donc ça ça sera lieu en gros il y aura
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des webinires et des ateliers ça aura lieu en en mars enfin en février mars avril si jamais ça vous intéresse vous avez vous pouvez trouver les informations et nous rejoindre et le deuxième cycle c'est tout ce qui
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concerne les outils numériques au service de la marche euh et là-dessus on lance aussi un cycle alors pour vous renseigner où vous inscrire si ça vous intéresse deux manières soit vous écrivez dans le
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chat et Alex ou Julie qui sont mes collègues à la F qui sont là avec nous aujourd'hui vous répondront directement avec les liens soit vous allez sur notre page LinkedIn et regardez nos posts et là vous trouverez les informations
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là-dessus c'est ouvert à tous donc dans le sens de bah un public qualifié hein Paron c'est un public professionnel donc donc voilà si vous êtes intéressés vous êtes les bienvenus est-ce que Patrick si
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tu es là tu voulais dire un mot d'introduction également de la part de la DGITM euh oui ben bonjour à toutes et à tous merci Marguerite merci de l'initiative avec Jean pour proposer
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Jean Seng de la djtm pour prop pour proposer ce ce webinaire donc Patrick gendre je suis à la djtm la sous-direction Mint multimodalité innovation numérique et territoire
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responsable du du pôle numérique et on travaille depuis euh plusieurs années avec avec la fabrique des mobilités hein on a un partenariat pour suivre différentes actions et c'est vrai que le
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le le sujet des des communs nous intéresse dans les transports et la mobilité ben parce que Ben la mobilité a un volet numérique hein c'est comme tous les secteurs he donc il y a des actifs
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numériques euh que ça soit des référentiels techniques des des standard des des données des logiciels ou même des des services numériques hein des applications et cetera euh et on a besoin de travailler ensemble dessus
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alors on a besoin de travailler ensemble par exemple les régions ont besoin de travailler avec avec les les aos urbaines avec les les EPCI les métropoles et cetera nous on a besoin de
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travailler avec avec les régions et les aau urbaines aussi euh il y a le niveau européen aussi donc on va dire déjà au niveau institutionnel on on a besoin de de de coopération publique publique et
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de de travailler ensemble sur des actifs numériques mais aussi on a besoin c'est un un secteur donc il y a il y a pas que que le le le l'aspect public il y a des des
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opérateurs de de services de mobilité hein des des gestionnaires de de réseau de transport et cetera il y a des industriels dans la normalisation c'est c'est essentiel et et donc les communs
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c'est vraiment une façon de dire qu'il faut vraiment travailler ensemble il y a déjà depuis presque 10 ans on va dire des obligations de de de publication de
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données de publication de de code source he pour les les services publics mais l'Open Source l'OP data c'est une condition nécessaire pour des communs mais c'est pas une condition suffisante
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he et il y a il y a vraiment besoin de de trouver des modalités pour pour qu'il ait des contributions de de des des des acteurs sur les projets donc je vais pas en dire plus ça va être des exemples
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concrets qui vont être donnés à la fois dans la présentation de Marguerite et puis euh j'ai noté qu'il y avait Mathieu Fernandez veval qui va présenter dialogue et Louis Georgeot aussi sur le regist de covoiturage vous allez voir
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des des exemples concrets donc de start-up d'État qui qui font des des communs numériques à la djtm on a aussi ben en disons dans la suite de de de la
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la politique du numérique de de l'État il y a une démarche France nation verse lancée par le SG pe avec un avec laadinum donc qui vise à à à développer
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des communs pour le le le la transition écologique hein donc c'est un un appel à projet en cours et nous on s'inscrit là-dedans he pour la pour la mobilité euh on a on a dans dans le domaine des des services numériques de de mobilité
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dans dans lequel on on travaille dans dans mon pôle on a on a aussi le le projet titre unique he qui qui vise à développer disons un un niveau national pour assurer
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un voyage plus plus fluide de sur toute la France d'une région à l'autre et cetera o où là aussi en fait certainement il faut travailler sur des communs différents niveaux he je pas rentrer dans le détail maintenant c'est
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pas l'objet mais vraiment on est on est ravi que que vous soyez nombreux pour participer et surtout n'hésitez pas à nous solliciter après la réunion si vous souhaitez échanger et donc je vais
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laisser la parole à à Marguerite et bon c'est ire merci beaucoup Patrick et justement c'est parfait j'enchaîne sur ce que tu viens de dire pour vous parler des des modalités de question donc toutes vos
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questions sont bienvenues hein même les plus basiques ou les plus techniques vous les postez sur le chat directement on pourra pas vous donner la parole à l'oral donc soit Alex et Julie vous vous répondront directement soit j'espère
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qu'on aura le temps de prendre à minima une question par par section et si vraiment on manque de temps nous ouvrirons dans quelques semaines un espace dédié à vos questions c'est un format qu'on pratique souvent à la femme
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mob demandez-moi n'importe quoi donc pour ça vient de redit he pour les plus d'entre nous et vous pourrez revenir pour pour adresser ces questions dans un dans un autre espace donc pour l'instant
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n'hésitez pas à les poster sur le chat alors je rentre dans le dans le vif du sujet pour vous parler d'un commun qu'est-ce que c'est un commun de manière canonique que vraiment académique la
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définition d'un commun c'est trois piliers euh cette définition là elle a été donnée par la dame que vous voyez en haut à droite qui est Ellinor Ostrom qui a gagné le Prix l'équivalent du prix Nobel d'économie en 2009 pour ses
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travaux justement de conceptualisation de théorisation de ce qui est un commun on revendra juste après sur ce qui est un commun numérique spécifiquement alors ces trois piliers en commun une ressource cette ressource ça peut être
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un outil une machine un logiciel et cetera donc par exemple ça peut être une une machine une imprimante 3D ou c'est un infablable ou ça peut être un jardin partagé ou ça peut être un lac de
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poisson géré en commun par un ensemble de pêcheurs ou ça peut être encore bah vos bureaux qui sont partagés entre vous ou encore les ce qui s'appelle les espaces communs au sein d'un immeuble hein qui sont par définition qui qui
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porte ce nom-l parce qu'ils sont partagés entre différentes personnes au sein d'un immeuble alors qu'est-ce qui fait la spé la spécificité de cette ressource partagée c'est que justement elle est partagée par ce qu'on appelle
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une communauté dans le jargon donc cette communauté ce sont des parties prenantes qui ont un intérêt à se mettre ensemble se réunir pour gérer cette ressource ensemble ces acteurs ils ont intérêt à
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l'existence de cette ressource parce que si cette ressource n'existait pas eux serait serait handicapé et puis il pourrait pas le faire tout seul non plus pourrait pas gérer ou ou faire exister cette ressource tout seul ils se mettent
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ensemble parce qu'ils ont un intérêt à le faire c'est pas juste pour le plaisir de la mutualisation ou de la collaboration et puis ces acteurs ils sont hétérogènes ça c'est un élément important d'un commun c'est qu'on n'est pas sur des logiques uniquement de de
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fédération professionnelle par exemple on est vraiment sur cette logique de ce qu'on appelle parfois troisième voie entre public et privé notamment donc on va retrouver dans la plupart des cas de commun et de commun numérique aussi à la
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fois du public état collectivité à la fois des entreprises privées grosses petites et à la fois euh de la de de de la société civile donc association université et cetera et parfois euh
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surtout au niveau territorial local des citoyens donc cette communauté de parti prenante hétérogène euh qu'est-ce qu'elles font pour faire en sorte que notre ressource partagées ne subissent
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pas une exploitation abusive de la part de certains de ces parties prenantes parce que finalement euh moi je pourrais euh utiliser je pourrais pêcher tous les poissons que je veux si si c'est ouvert
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à à l'ensemble des parties prenantes concerné qu'est-ce qui m'empêche d'exploiter au maximum pour mon propre bénéfice ma ressource partagée mais ce qui empêche ça ce qui s'appelle parfois la tragédie des communs ce qu'on a pu entendre ou le phénomène de passager
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clandestin ce qui empêche ça ce sont les règles de gouvernance donc ce troisième pilier de gouvernance qui a théorisé inestrom c'est vraiment clé dans le concept de commun et c'est vraiment ce qu'on entend c'est vraiment si vous aviez quelque chose à retenir de ce
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webinaire c'est ça c'est que quand on parle de commun numérique on parle de gouvernance derrière c'està-dire toutes les règles qui permettent la gestion collective d'une ressource
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partagée alors quand on parle de commun numérique ben tout simplement c'est le cas où la ressource est numérique ou dématérialisé donc ça peut être un code donc un logiciel ça peut être des serveurs alors les serveurs sont
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physiques hein mais on considère que ça fait partie de l'écosystème numérique ça peut être des données une base de données euh donc par exemple le gros le gros exemple de commun qu'on qu'on donne souvent c'est open Street Map que vous
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connaissez peut-être donc la base de données géographique mondial cartographique mondiale qui est ce ce commun autour d'une d'une base de données ou alors des fichiers que ce soit voilà un rapport un document une
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vidéo une image tout ça c'est une ressource numérique alors donc les trois piliers s'appliquent à ce à ce commun numérique en fait les communs numériques par rapport au non numé numérique ont des spécificités précises sur lesquelles
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on va revenir ça a été théorisé par des économistes donc je vais pas utiliser jargon économiste ici mais pour ceux que ça intéresse en fait on a une grosse spécificité qui consiste dans la non
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rivalité théorique de ces communs numériques alors une fois que j'ai donné ce cadrage définitionnel je voulais faire un petit panorama de du nombre d'institutions pour vous donner un peu
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une idée qui parlent ou qui font des Commins numériques actuellement en France et en Europe alors il y a différents types d'institutions euh d'abord il y a des vraiment des directions ministérielles il y a
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également des agences il y a d'autres types d'établissements plutôt public public privé et puis encore d'autres et des collectivités et enfin des éléments aussi issus issus de l'union européenne
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alors au sein des directions ministérielles on a notamment le le gros écosystème bet goof que vous connaissez certainement donc c'est start-up d'État qui sont pas toutes des commun mais dans la mesure où ce sont des outils
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numériques qui sont au service de leurs usagers euh il y a une notion de plateforme derrière beaucoup d'entre elles ce qui les amène à une logique de commun on va revenir entre sur les liens entre ces ces deux choses-là il y a
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aussi d'autres choses hein au sein de de l'adinum euh alors les start-up d'État ce qu'il faut dire aussi c'est qu'elles sont en général coportées par d'autres direction ministérielle donc dont la DGITM fait partie donc la DGITM
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elle-même est porteuse de commun par exemple dialog est hébergé au sein de la dgit donc en fait des communs numériques il y en a dans dans plusieurs tout plein en fait de de direction ministériel il y
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a également le tout le réseau des blueats autour des des hackur je vais pas rentrer forcément en détail vous avez les les logos qui s'affichent la dititp également est
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active avec l'accélérateur d'initiative citoyenne des magariani donc vraiment productrice de de commun donc on voit bien tout ça il y a une logique derrière de transformation de l'État transformation publique une logique
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qu'on retrouve aussi chez les agences nationales qui elles sont aussi productrice de commun la principale on peut dire même si bon la NCT est aussi extrêmement
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active on va dire que la dame c'est plutôt celle qu'on connaît le mieux la dame est particulièrement active notamment parce que ils ont créé l'appel à communévoquait Patrick donc ils en sont à la 2e édition cette année il y a
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énormément de candidatures il y a plus de 80 candidatures ce qui était assez inattendu ce qui montre une forme d'émulation hein de de de nombre de candidatures alors évidemment il y a un financement à la clé donc il y a un intérêt mais on voit bien que qu'il y a
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il y a une voilà une considération de ce de cette de cette prise encontre des communs qui qui augmente et puis le la la logique extrême défi aussi qui consiste dans la structuration d'une
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filière de véhicule légers véhicule intermédiaire don dont je vous parlais dans lequel on s'insère aussi et qui tourne autour de la notion de mutualisation de de nombreuses nombreux éléments notamment de la fabrication de
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de parties d'équipement des véhicules la NCT elle aussi extrêmement active au sein des communs à la fois en production de commun et en événementiel en écosystème réunion de l'écosystème
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autour autour des commands numériques et puis il y a d'autres établissements notamment le campus cyber don vous avez peut-être entendu parler donc ce ce bâtiment à la défense hein qui a été euh inauguré par Emmanuel Macron il y a
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quelques années et qui réunit de fait plusieurs acteurs publics et privés donc c'est vraiment le but de de ce bâtiment euh physique c'est de réunir ces acteurslà et ils ont à l'intérieur du campus cyber ce qu'on appelle un studio
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des commun où ils ont vraiment donc c'est explicité euh ils ont euh cette volonté et c'est ce qu'ils font de produire des communs donc eux ils sont allés d'une manière ils ont agi d'une manière assez progressive ils sont partis d'abord de donc en réunissant
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tous ces acteurs hétérogènes euh d'abord ils ont produit des communs euh relativement euh basiques hein classiques c'est-à-dire des rapports des voilà des publications communes pour
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faire en sorte que les gens commencent à travailler ensemble et puis petit à petit c'est ce qu'il commence à faire aujourd'hui ils produisent vraiment des briques métiers euh qui sont communes donc on a des protocoles dans le domaine de la cyber he je suis pas technicien
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donc je peux pas vous dire exactement de quoi il s'agit on a vraiment des communs euh qui sont métiers partagés mutualisés par C ensemble d'acteurs et puis on a aussi l'IGN donc notre institut de de
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cartographie nationale qui a lancé sa fabrique des géocommuns en 2021 qui incube un certain nombre de communs au sein de de l'IgM d'autres institutions qui ne font
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pas de commun mais qui en parlent qui ont un intérêt pour ça c'est par exemple le Conseil national du numérique ou ou encore l'ambassadeur de France pour le numérique qui est Henri Verdier pour ceux qui le connaissent peut-être Henri
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Verdier L lors de la présidence de la France de de l'Union européenne a recommandé un guichet unique européen de financement pour les communs numériques dû au fait dû aux spécificités de ces
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objets qui réclam des financements peut-être un peu différents que des des subventions classiques chez les collectivités les communs sont présents depuis très longtemps en fait il y en a plein
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notamment non numérique au niveau territorial depuis très longtemps euh l'île est l'une des plus active depuis une dizaine une quinzaine d'années mais on a aussi La Rochelle nous on a pas mal
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travaillé avec eux autour du du commun trasmob notamment donc la Rochelle sont vraiment de manière explicite très investi dans la production de commun numérique au sein de leur territoire ainsi que Grenoble la métropole alors
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eux ils font ils sont à la fois ils ont explicité la démarche de commun non numérique et numérique le le premier exemple que je vais vous donner de commun est issu de de l'A m l'autorité organisatrice des mobilités à
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Grenoble en Europe il y a pas de de de d'exli enfin de sujet commun explicité vraiment par contre il y a tout un tas de publication de de de démarches qui
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tournent autour de ce sujet donc par exemple l'étude qui a fait pas mal de de bruit hein issu de la Commission européenne la DG Connect sur les retombées économiques de l'Open Source euh
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ou encore le rapport Verdier dont dont je vous parlais lors de la présidence française de l'Union européenne et puis au sein de la stratégie numérique européenne on a beaucoup de choses là qui sont sorties à travers les les réglementations data Act et data
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governance Act autour de la gouvernance des données alors dès que vous entendez parler de partage de données ou de gouvernance des données vous devez faire tilt et vous dire il y a une notion de comment derrière ça donc en fait nous la
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manière dont on aborde ces questions d'espace de données c'est sectoriel par exemple qui sont la manière dont l'Union européenne recommande de partager des données sensibles que ce soit rgpd ou stratégique euh entre des acteurs qui
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ont qui ont intérêt à la partager la manière dont nous on est investi dans dans l'espace de données officiel sur la mobilité c'est en en prenant les choses sous l'angle des commun euh parce que c'est comme ça que ça nous permet ça nous donne des outils pour traiter
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justement donner un cadre de gouvernance adapté à cet ensemble d'acteurs pour pouvoir partager des données sensibles qui sont justement pas Open Data je vais revenir sur l'OP data alors justement
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pourquoi est-ce qu'on parle le de commun numérique finalement et pas tout simplement de logiciel open source on peut se dire que en fait petite anecdote par exemple une entreprise qu'on connaî
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qui fait des services pour aider tout entreprise privée ou administration publique à passer à l'Open Source donc notamment au niveau juridique donc il vont aider sur les clauses contct actuel et cetera nous disait nous depuis de 3
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ans on parle moins d'Open Source que de commun numérique tout simplement parce que ça ça raisonne plus avec notre écosystème de clients de partenaires et cetera alors pourquoi est-ce qu'on parle plus depuis on va dire le covid de
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commun numérique que deop source je vous donne de deux petites citations l'une de la NCT l'autre du du syndicat des mobilités de Grenoble Pierre Louis roll à la NCT nous dit attention un commun
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c'est pas seulement du code sur GitHub euh et de même petit nous dit ah les deux mêmes sititations Fred petit nous disait lui en fait faire mettre le code en open source c'est c'est la base c'est
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vraiment c'est il appelait ça c'est le travail quotidien c'est le plus facile c'est ça sa citation je voulais on corrigera les citations puis je vous laisserai les lire de manière à la maison
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euh petit point de définition du coup pour bien différencier alors rassurez-vous he Open Data Open Source com un numérique c'est lié on n'est pas sur des choses fondamentalement différentes mais il y a un petit point de distinction quand même que je
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voudrais faire avec vous pour bien comprendre de quoi il s'agit Open Data donc Patrick l'a mentionné on sait à peu près ce que c'est il y a une une loi enfin la loi d'orientation desmobilité qui dans le secteur des transport oblige
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tout producteur de données de transport à publier une partie en tout cas des données d'offre de transport sur le point d'accès national alors avant C des données statiques maintenant c'est aussi
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les données dynamique avec tout un voilà de plus en plus de de données qui sont obligatoires à la publication ici on a des données ouvertes c'est-à-dire en accès libre à tous sous condition évidemment des licences qui s'appliquent
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en ce qui concerne l'opend data on est sur une licence euh comme on dit permissive c'est particulièrement permissive la licence qui s'applique au sein de l'État parce que la logique derrière est vraiment de permettre
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l'accès à tous un maximum de personnes d'organisation à à ce type de données afin de ité l'innovation la construction de nouveaux services nouveaux produits et cetera ça c'est la logique d'Open Data on est sur une logique d'ouverture
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on va dire maximal en tout cas en France et puis la logique d'OP source ici on est sur du logiciel plus sur de la donnée mais bien sur du logiciel on est sur l'accès libre aussi euh les licences
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sont plus variées on va dire euh il y a des licences plus ou moins permissives euh sur la manière dont vous avez droit d'accès le droit de contribuer au logiciel donc un exemple c'est le socle interministériel des logiciels libres
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donc la liste des logiciels qui sont qui sont fournis à destination des agents alors le commun numérique par rapport à l'OP data l'OP source en fait le cœur de la définition n'est pas l'ouverture donc
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un commun numérique en soi n'a aucune raison d'être ouvert euh le commun ce qu'il fait c'est qu'il est au service de sa communauté il est au service des parties prenantes qui ont un intérêt à se mettre ensemble pour faire exister
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cette cette ressource donc en soit il est pas forcément ouvert je vous donne un exemple donc ces espac de données don dont je parlais hein issu du Data Act européen on est bien sur des données sensibles qui sont partagés entre des
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acteurs hétérogènes évidemment moi si je suis la SNCF je veux pas partager mes données de n'importe quelle manière avec la start-up de voyage ou alors si je suis une AOM je veux pas forcément
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partager n'importe quelle donnée avec n'importe quel acteur privé sur mon territoire ou au-delà donc j'ai besoin d'un cadre pour par partager certaines données sensibles ici dès qu'on parle de cadre on est sur une logique de commun
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et pour autant un espace de données par définition n'est pas n'est pas ouvert n'est pas ouvert à tous alors pourquoi du coup parle-t-on de de de commun numérique deune manière souvent interchangeable avec avec les les
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logiciels libres en fait il y a des exceptions comme je vous le disais en comm numérique n'est pas souvent ouvert n'est pas forcément ouvert mais il est quand même souvent le plus le plus souvent il est quand même ouvert pourquoi donc pourquoi un commun
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numérique est le plus souvent ouvert parce qu'en fait le numérique lui-même euh ses spécificités au numérique fait qu'il y a plus d'avantages à ouvrir un commun à faire un commun numérique
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ouvert que fermé ou que semi-fermé euh pourquoi parce que alors nombre d'entre vous venez hein du secteur de numérique donc je va je vais rien vous apprendre he mais si on reprend un petit peu les bases finalement euh quand on prend un service un produit numérique c'est plus
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facilement réplicable euh par rapport à un produit physique euh donc les coûts de réplication les barrières à l'entrée sont plus faibles ça veut pas dire que c'est une évidence hein de reconstruire un code de A à Z mais les coûts de
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réplication sont plus faibles deuxièmement et c'est ça qui fait que la plupart du temps les communs numériques sont en fait ouverts librement c'est que c'est plus intéressant euh dans le
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numérique de d'ouvrir largement à cause des effets de réseau ces fameux effets de réseau que les grandes plateformes comme Google ou ou Amazon et cetera on très bien compris c'est que plus il y a
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d'usager plus le service la valeur pour chaque usager est important c'est vraiment directement lié au nombre d'usagers ce qui fait que ça peut créer si vous êtes pas dans une logique de commun vous créez des monopoles en fait parce que ce qui est ce qui est facile à
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répliquer c'est le code par contre la communauté autour là elle est difficile à répliquer donc en pratique un commun numérique de fait il est souvent ouvert donc c'est de fait interchangeable le plus souvent avec un logiciel libre ou
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une base de données ouverte mais qu'est-ce que ça ajoute le fait de parler de commun numérique euh qu'est-ce qu'on dit qu'est-ce que vous devez entendre quand vous entendez parler de command numérique c'est vraiment cette notion de gouvernance don je vous ai
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parlé de gouvernance collective euh vous connaissez donc si vous venez du monde du numérique le le fameux cimetière hein de tous les logiciels open source qui existe donc quelqu'un a créé un code l'a
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mis en accès libre hein sur l' publié euh sur situb ou autre sauf que en fait bah il y a pas d'utilisateur parce que personne n'est au courant que cette ressource existe et il y a pas de forcément de contribution pour améliorer
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ce ce commun puisque il y a pas eu d'effort de fédération d'une communauté de membres ni et encore moins de d'animation donc si vous faites pas cet effort de de gouvernance collective de
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de maintenance de gestion de cette ressource il y a toutes les chances pour qu'elle soit soit non utilisée c'est que du coup ça revient au même de faire quelque chose de de centralisé de Ferm soit elle va péricliter parce que si le
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porteur choisit de se désengager de cette ressource bah finalement il y aura plus personne pour la reprendre donc quand vous entendez parler de commun numérique ça souv long temp ça parle de
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cet effort nécessaire qu'il y a derrière l'existence d' unee ressource partagée qu'il faut conscientiser cet effort à mettre dans la gestion la maintenance de l'outil dont dont je vous parlais et ce
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qu'il faut comprendre c'est qu'au sein d'un commun la gestion elle est collective parce que il y a des degrés d'implication euh avec des degrés d'implication et de collaboration diverse mais si elle était centralisée
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cette gestion il y aurait appropriation on serait dans le casre d'une plateforme qui certes et ouvre une partie de ces de ses processus de son code et cetera comme Google par exemple ou de ses contribution Google Maps est contributif
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mais si la gouvernance n'est pas collective euh la gouvernance est centralisée donc appropriée par un seul acteur dans le cas d'in commun c'est collectif au sein d'un ensemble de l'ensemble des parties prenantes
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présentes sous réserve qui est des règles de gouvernance qui permettent d'éviter le phénomène de passagers clandestin alors une confusion qui existe souvent c'est que quand on dit que la gouvernance est collective on dit
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pas que tous les membres sont codirecteur de la ressource en fait tous les membres ont des des rôles qui peuvent peuv être très différent donc si par exemple une collectivité a très peu
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de temps pour pour s'impliquer dans un commun elle peut le faire d'une manière plus plus légère en terme de temps mais tout en ayant quand même un rôle un rôle important donc le rôle classique le plus
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enfin le rôle qu'on appelle le rôle d'opérateur vous voyez ici en deuxè ligne à gauche c'est c'est le la la petite équipe qui va ou la plus grosse mais en tout cas c'est pas tout le monde qui va gérer qui va s'occuper de la
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gestion un peu opérationnelle du commun donc de ou en tout cas certaines parties du commun donc ça par exemple nous on va prendre souvent ce rôle là pour les communs qu'on qu'on coporte qu'on
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accompagne qu'on qu'on stimule ou au sein de la DGITM bah il va y avoir une équipe consacrée au commun qu'elle porte donc cette équipe là elle peut tout à fait être centralisée c'est
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que l'opérateur peut être membre d'une entreprise privée ou d'une administration publique ça c'est pas un sujet du moment que que l'ensemble de la gouvernance reste donc avec tous ces rôles distincts reste ouvert de manière
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diverse différencier à tout tout l'ensemble de parties prenantes concerné par le commun et là quand on dit ça c'est c'est par exemple les orientations stratégiques vont pas concerner tout le monde forcément tout le monde n pas vocation par
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exemple si je donne l'exemple de Wikipédia il y a des décisions qui vont être prises pas par la communauté de contributeurs vraiment qui qui qui qui nourrissent encyclopédie mais par plutôt
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la gouvernance statutaire aour de la fondation Wikimédia et cetera euh on peut avoir aussi un rôle de sponsor financier ou de sponsor en nature c'est-à-dire dans dans nombre de gros
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communs internationaux open Street Map ouou Mastodon vous savez l'équivalent décentralisé de de de Twitter il y a des prê de serveurs de la part de d'université notamment euh qui qui font
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que le commun fonctionne ça ça va être un rôle de sponsor euh on peut avoir aussi tout un tas de d'autres rôles hein des des ça peut être l'cteur public d'ailleurs qui peut prendre le rôle d'animation de communauté et cetera et
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cetera alors euh trois exemples de commun numérique dans la mobilité pour vous montrer un petit peu comment ça marche de manière concrète et et pratique je commence par
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un exemple et puis ensuite on on enchaînera avec dialogue puis puis le RPC premier exemple ça se passe à Gren ble il s'agit d'un outil qui s'appelle
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affluence TC alors affluence TC c'est un logiciel basé sur l'intelligence artificielle qui prédit l'affluence dans les transports en commun alors faut savoir que dans les transports dans ce domaine les données d'usage c'est très
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compliqué à récupérer donc tout ce qui est évaluation mesure quantification de soit des déplacements de Madame mu de A à Z pour savoir vraiment précisément où est-ce que les gens sur votre territoire se déplacent ou que ce soit soit le
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nombre de personnes qui rentrent dans un train et qui sont vraiment présentes dans un wagon à ce moment-là c'est assez difficile à à trouver et là il rajoute un degré de complexité en plus puisqu'ils veulent du prédictif d'où
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l'intelligence artificielle derrière donc ça c'est des choses dont on a vraiment besoin ça chacun s'efforce de de de créer des choses autour de ça donc c'est un sujet on peut dire un peu brûlant dans le secteur des transports
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alors pour revenir donc pour pour bien comprendre ce que ce que sont nos TR piliers hein là-dessus euh la gouvern va y revenir mais commençons par les ressources mutualisées dans un commun numérique en général vous avez plusieurs ressources vous avez jamais juste un
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bout de code parce que justement pour que ça fonctionne vous avez besoin de tout un tas d'outils afférents qui permettent la prise en main ou la documentation de de votre outil cœur alors ici on a le logiciel intelligence
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artificielle donc prédtif qui est en open source et puis on a aussi deux autres types de ressources même trois par que j'ai même pas noté la la documentation mais ça en fait partie aussi on a l'application Web donc ça
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c'est l'application qui vous permet si vous êtes pas familier avec le logiciel d'intelligence artificielle B vous avez quand même besoin potentiellement des données de sortie donc là vous allez
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être content de trouver l'application Web qui vous montre un peu les les résultats les résultats de l'outil et puis enfin vous avez plusieurs API qui permettent à à d'autres d'autres acteurs que ce soit d'autres collectivités ou
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euh euh ou même d'autres opérateurs de services de se connecter à ce euh à cet outil làà pour créer eux-mêm d'autres services ou pour l'appliquer dans leur territoire donc on a un ensemble de ressources toutes ces ressources elle
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demande du temps hein et et et de l'argent he pour être produit notre communauté euh donc qui sont les parties prenantes hétérogènes qui sont autour de ce commun
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on va voir tout de suite pourquoi est-ce qu' elles ont fait partie elles ont choisi de faire partie d'un commun on a d'abord la DSI du SMAG donc le SMAG le syndicat des mobilités de Grenoble donc c'est eux qui ont impulsé la création de
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cet outil co c'est la start-up d'intelligence artificielle qui a créé développé donc eux ils ont été payés he pour ce développement en tant que prestataire donc in commun ça veut pas dire qu'il y
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a pas d'échange marchand il il y a toute tout plein de de différentes manières d'avoir un modèle pour une entreprise privée autour d'un comment euh simplement ça va pas être fait de la même manière que queune prestation
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publique classique euh notamment on va y revenir parce que euh vous avez pas nécessairement en tant que en tant que puissance publique à revenir à vous racheter à chaque fois les même service ou le même le même prestataire pour pour
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continuer à développer l'outil donc CTIO c'est le prestataire technique et puis mtag c'est l'exploitant des transports en commun à Grenoble alors eux ils sont intéressés par les données de sortie euh parce que eux ils veulent
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dimensionner leurs infrastructures localement donc ça ça les intéresse et puis enfin bah d'autres collectivités pourrai être intéressé le commun actuellement il en est au début mais à terme ce qui ce qu'ils aimeraient c'est
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vraiment fédérer ou ou au moins en tout cas recueillir des besoins d'autres d'autres collectivités et puis que ces collectivités puissent s'impliquer petit à petit dans dans l'amélioration de
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l'outil et potentiellement dans sa gouvernance si elles veulent par exemple certains si elles ont certains un besoin à intégrer dans la roadmap et cetera alors euh quels sont les intérêt
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euh de de chacune des parties prenantes à faire partie de ce commment euh ce cet outil il est explicitement géré produit lancé comme un commun c'est c'est un c'est des termes queils utilisent explicitement euh donc on a fait un
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webinaire récemment où on a interviewé à la fois laom et à la fois le prateur technique pour bien comprendre vraiment eux comment ils en parlent de de le leur propre intérêt à rejoindre ce commun pourquoi est-ce qu'ils ont pas choisi tout simplement de faire une prestation
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publique alors ce qu'on voit c'est d'abord qu'au niveau de la om euh la démarche globale c'est le premier Pointin c'est que il y ait pas ce phénomène d'appropriation ce que ça ce que ça signifie l'intérêt derrière c'est que l'orientation du produit se fait
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ensemble et que chacun arrive avec ses besoins au même niveau euh ce que ce que ça signifie c'est que par exemple on peut le voir dans le RPC par exemple vous pouvez avoir par parfois euh deux petites et des grosses entreprises au sein d'un commun qui ont pas forcément
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les mêmes intérêts on le voit euh euh on l'a vu au sein du RPC parce qu'il y a des gros opérateurs de couvoiturage et des petits et ils ont pas du tout les mêmes besoin en fait donc le fait de faire partie d'un commun euh notamment si la puissance publique est active
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dedans euh ça fait que euh les les besoins des plus petits vont être autant entendus que c que ceux des plus gros ça c'est un un effet alors ici il y a peu d'acteurs donc ça ça peut-être moins de moins de valeur mais à terme c'est
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vraiment euh c'est vraiment important de de faire en sorte que les les besoins so sur au même niveau euh de même s'il y a des collectivités comme je disais qui qui se qui s'insèrent dans le commun elles vont être à même de dire voilà moi j'ai tel besoin de local est-ce qu'on
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pourrait l'ajouter à la roadmap en contribuant éventuellement pour pour améliorer et faire advenir ce ce besoin donc ça c'est la logique générale mais ce que nous dit Frédéric petit donc
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de Grenoble c'est que très concrètement il a besoin de de de convaincre ses élus et là il utilise trois arguments clés en général qui sont les suivants le premier argument c'est de se dire donc pour argument pour produire euh ce ce cet
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outil en tant que commun numérique ouvert euh le premier argument c'est la mutualisation de moyens humains et et techniqu ce qu'on dit par là c'est deux choses c'est que euh d'abord si euh une autre AOM veut produire un outil euh
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similaire elle va pas avoir à tout répliquer de A à Z donc là on a des économies euh significatives euh en terme de de construction d'outil la deuxième chose que ça dit c'est que euh
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en terme de de de mutualisation alors deuxème point cé sur les gains financiers ce que ça dit c'est que ça optimise l'argent public puisque vous vous allez subventionner la prestation une seule fois et pas deux
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par ailleurs c'est ça le le point que j'ai j'avais sur le bout de la langue c'était que vous évitez le phénomène de prestation ou votre prestataire technique il va y avoir le le phénomène de lockin que vous avez peut-être
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entendu euh mentionner c'est le phénomène où vous avez donc vous faites contractualisez avec un prestataire technique qui va vous faire votre outil mais en fait derrière c'est le seul à pouvoir l'utiliser et pouvoir
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l'améliorer PIR le débugger et cetera ici c'est mis en commun c'est mis en open source évidemment que le prestataire est payé au début il est peut-être repayé peut-être recontractualisé une fois deux fois peut-être que voilà on a encore besoin de lui mais à terme l'idée c'est
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vraiment de se dire que il y a d'autres prestataire qui pourrait venir et améliorer le produit soit de manière rémunérée soit pas s'il y a un intérêt à l'améliorer pour créer pour participer à
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d'autres outils de cette entreprise qui pourrait revendre après différemment ils vont le ils vont le faire ou alors ça pourrait être d'autres DSI peut-être plus grosses qui ont plus de moyens qui pourrai contribuer à ce Comand donc le le fait de pas de parler d'une d'éviter
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l'appropriation c'est aussi éviter la dépendance à un certain type de de prestataire et de de vendeur donc gain financier optimisation de l'argent public on en a on en a parlé donc c'est
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ne pas multiplier les subventions et puis enfin la grosse notion de pérenisation qui qui est assez connue hein dans dans le milieu de l'Open Source c'est le fait de se dire que plus il y a d'usager plus vous avez de Chan
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que ce soit repris par quelqu'un d'autre donc par exemple si le SMAC demain n'a plus les moyens ou ne souhaite plus euh financer ce ce commun ça pourra être éventuellement repris soit par une autre collectivité mais soit aussi
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potentiellement par un acteur privé on a eu le cas nous sur un autre commun où finalement au moins à minima une partie une grosse partie du commun va être reprise financée par un acteur privé qui
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soit bien dans la logique de faire de l'OP sour mettre bien des moyens dans l'animation la Fédération de la communauté dont je parlais donc dans la gouvernance si cet acteur privé n'a pas ça évidemment ça vaut pas le coup de de
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ça vaut pas la peine qu' qu'il reprenne ce commun parce que là ce sera une fermeture une refermeture du logiciel voyons maintenant l'intérêt du prestataire technique parce que finalement en tant qu'entreprise privée
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il pourrait se dire bah moi je cherche juste des prestations voilà j'ai pas besoin forcément de m'engager dans une logique de partenariat ici ce qu'il faut bien comprendre c'est
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que il y a une une forme de une manière de faire du business d'avir d'être une entreprise privée autour d'un commun qui est un peu différente de d'autres entreprises c'estàdire que philosophiquement donc là ce que ce que la personne disait c'est que
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philosophiquement on a envie d'une démarche de commun ce que ça veut dire derrière c'est qu'on cherche cher pas à maximiser l'argent gagné on cherche pas à tout prix à vendre des prestations ça on peut le peut le voir certains prestataires ici c'est pas tant t ça
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c'est vraiment le fait de vouloir plutôt une logique de partenariat de construction de temps long avec avec laom alors des acteurs privés qui ont pas besoin de commun pour faire ça mais on constate que c'est plutôt ces acteurs
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là privés là qui qui vont se retrouver dans la notion de commun donc il y a une forme d'intérêt général derrière les activités qui sont qui sont qui explicit mais plus concrètement pourquoi est-ce
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qu'ils font partie d'un commun c'est d'abord que si c'est ouvert si c'est disponible en fait ça les fait connaître euh ça leur donne des cas d'usage des données donc ils vont pouvoir enrichir leurs produits et qui sait peut-être alors pour l'instant ils ont pas cité ça
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ils ont pas cité de modèle économique à ce stade mais peut-être il y aura un modèle économique qui pourra se créer autour de vente de fonctionnalité autour du commun potentiellement ou d'aider ça c'est une chose qu'on voit souvent dans
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l'Open Source he d'aider à à la la mise la mise en service du commun dans pour une collectivité qui n'aurait pas les moyens de de la mettre en place donc ça ce sont des des services privés qu'on voit tout à fait dans le milieu de
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l'open source et puis enfin il mentionnait le fait de de s'enrichir tout simplement de de la compréhension des enjeux partagés en confiance dans au sein d'un comin numérique par les par les deux autres membres alors je je
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termine je termine afin de de passer à dialogue je vais juste passer les slid rapid je voulais vous mettre un petit résumé de l'avantage enfin plutôt de en tant que puissance publique quel serait
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les les on va dire les avantages ou les intérêts que vous pourriez rencontrer à considérer certains de vos projets en tant que commun ce qu'on constate à travers ce premier exemple que je vous ai donné et à travers le cadrage que je
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vous ai donné c'est que finalement piloter des politiques publiques pour les communs par les communs donc comme le disait Patrick c'est impliquer des communautés donc ça ça ça veut dire une efficacité une accélération plus plus
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importante c'est réduire les coûts on l' dit mutualiser mutualiser les les les moyens et optimiser les subventions ou les prestations et puis augmenter la transparence donc ça c'est un élément qui est qui est important le le
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notamment au sein du RPC les opérateurs apprécient beaucoup que le code soit open source non pas parce que ils ont envie de se plonger forcément dedans mais parce que du coup ils savent ce qu'il y a dedans c'est c'est transparent donc au final il y a un enjeu à la fois
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économique mais aussi stratégique hein de de qualité du service public et démocratique du fait de de rétablir la confiance de garantir la pérenité et la rapidité des des solutions ça c'est ce
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qu'on a pu observer sur le terrain alors on va passer maintenant à l'exemple à notre deuxième exemple qui est le commun dialogue ou le projet dialogue on va voir comment Mathieu
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Fernandez nous en parle euh du coup Mathieu j'avais deux enfin deux ou trois questions pour toi alors peut-être avant de de passer à
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Mathieu est-ce qu'on a le temps peut-être de prendre une question clé ah il a peut-être pas de question bon bah parfait du coup du coup du coup on enchaîne c'est nickel dans alors du
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coup alors la première question que j'avais pour toi Mathieu si ça te va c'est d'abord peut-être de présenter en fait ce que c'est que dialogue pour ceux qui pour ceux qui connaissent pas alors j'ai remis quelques le slide là si ça
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peut si ça peut t'aider ouai ça marche merci Margerite bonjour à tous donc Mathieu Fernandez je travaille à la dgitem et je suis entrepreneur sur cette startup qui s'appelle dialogue euh l'objectif de dialogue c'est de construire un outil qui va permettre au
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gestionnaires d'infrastructure de de numériser leur réglementation de circulation euh donc les leur réglementation de circulation elle est portée par des actes administratifs qui sont les arrêtés de circulation qui sont des documents voilà qui je sais pas si
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vous en avez déjà croisé mais qui valident en fait l'intégralité de toutes les les les les règles de circulation donc limitation de vitesse de gabarit les zones à faible émission les ZTL mais aussi tout ce qui est temporaire donc par exemple si on a des travaux les
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déviations toutes ces règles là finalement et donc ces documents il nous intéressent parce que ils pent cette information mais d'un notre côté ils sont assez austères et difficiles à utiliser nous ce qu'on aimerait c'est
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justement donner des outils au aux collectivités pour qu'elle puisse en faire quelque chose qui soit diffusable plus facilement et actionnable notamment dans nos outils de de navigation comme les GPS donc l'idée c'est voilà au travers de dialogue elles vont
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renseigner leurs arrêtés de circulation en faire une espèce de jumeau numérique qui va être ensuite ouvert et donc c'est pour ça qu'on entre un peu dans cette logique de commun euh pour qu'elle ce soit réutilisée ensuite bah par les GPS
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en particulier mais pas que ça pourrait être réutilisé dans des logiciels de de de géointelligence dans les collectivités voilà il y a plein d'usages en fait derrière qui sont qui sont possibles de cette donné là alors voilà il y en a quelques exemples sur
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cette slide enfin en tout cas c'est un peu les exemples des bénéfices qui qui sont attendus derrière cette cette démarche là donc forcément le premier c'est l'intégration de toutes ces règles de circulation dans vos GPS donc virtuellement ce qu'on essaie de faire
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c'est que demain votre Google Maps vous demande bah quel véhicule vous conduisez ça peut être par exemple un camion qui a un tonnage un gabarit une motorisation spécifique qui transporte peut-être des matières qui sont interdites dans
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certains certaines parties du réseau et donc connaissant l'ensemble de ces règles de circulation il sera en mesure de vous guider correctement donc ça ça a plein d'avantages euh notamment pour la logistique puisqu'on sait qu'on a par exemple beaucoup de chauffeurs étrangers
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sur notre réseau et donc bah d'avoir une donnée structurée au sujet de la réglementation ça permet par exemple de la traduire plus facilement et d'amener cette information là à tous les conducteurs notamment européens qui traversent notre territoire première
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avantage second avantage ça peut être une meilleure coordination du coup plutôt entre les services de gestion du du réseau par exemple si on a de collectivités voisines qui font beaucoup de travaux elles peuvent peut-être mieux se coordonner pour pas faire des travaux
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sur la même une portion de réseau au même moment ce qui du coup diminuera globalement la la gène à la circulation et puis troisième avantage qu'on a ressené qui a un peu plus prospectif on va dire c'est bah le fait de disposer
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d'une donnée structurée unee donnée numérique sur cette réglementation ça permet d'imaginer d'autres usages en fait de la réglementation pour qu'elle soit un peu plus dynamique par exemple on pourrait permettre la circulation de véhicules à certaines heures dans
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certains lieux et puis l'interdire de manière un peu plus fine on peut exclure des catégories d'usage de véhicule enfin voilà il y a plein de choses à imaginer derrière et une certaine créativité réglementaire qui serait permise par par ce type
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d'outil voilà donc on est fait pour compléter on voit bien que dialogue c'est un c'est un commun un projet qui s'inscrit plutôt dans le secteur de la logistique euh la fabrique de la logistique c'est une autre fabrique qui est dans notre écosystème de de de
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fabrique également donc qui porte des communs qui on accompagne dans le secteur de la logistique avec Delphine blanc ça c'est la directrice qui est parmi nous aujourd'hui mais pour nous ça nous intéresse intéresse aussi dans le secteur de la mobilité parce qu'il pourrait y avoir à terme des
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applications aussi hein si on parle de ZFE par exemple si on sait quels véhicules sont sont à même de circuler ça pourrait être intéressant ou même même moi qui qui suis impliquée dans le dans le domaine de la marche ça pourrait être intéressant à terme de voir quels
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sont les les réglementations sur sur la chaussée sur le trottoir et cetera donc il a il y a plein de ça ouvre plein de plein de perspectives alors une fois qu'on a compris un peu plus ce que c'est
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ce que c'est ce projet la question que j'avais envie de te poser c'est vraiment en quoi pour pour toi c'est important ou utile de considérer dialogue comme un commun ou comment tu le considères comme
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un commun c'est quoi qu'est-ce que ça apporte bah alors simplement nous on est bah une start-up d'État donc on est on se se place un peu dans cette logique de de plateforme d'État plateforme c'est-à-dire que la donnée c'est pas nous qui la produisons hein c'est les
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collectivités locales ça va être au niveau communal peut-être certains EPCI les conseils départementaux certains services de l'État qui vont mettre de la de la réglementation routière donc déjà les producteurs de données bah ils sont
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épars hétérogènes donc ça ça rejoint un peu la définition de communauté que tu tu donnais en introduction euh donc on a besoin de mobiliser cette communauté pour construire notre base de données tout simplement parce que bah on c'est
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difficile en tout cas d'envisager le fonctionnement de ce dispositif qui met à disposition du coup l'information réglementaire sans qu'on ait quelque chose qui soit relativement exhaustif si vous avez par par exemple l'information
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réglementaire sur euh le réseau structurant les plus grosses routes mais que vous l'avez pas ailleurs bah vous voilà enfin ça va donner lieu à des problématiques de circulations qui sont assez évidentes puisque bah votre GPS il pourra vous guider correctement sur
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certaines portion du réseau et peut-être avec plus de difficultés sur d'autres enfin voilà donc on a vraiment un intérêt à essayer de mobiliser l'ensemble de cette communauté euh en créant un outil du coup qui soit bah le plus intuitif le plus ergonomique
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possible donc on a aussi besoin de mobiliser nos utilisateurs que j'ai cité qui sont extrêmement hétérogènes dans la construction à la fois bah de l'interface du design de comment dialogue est conçu et puis aussi du modèle de données puisque on on n pas
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connaissance finalement de l'exhaustivité des cas d'usage de la réglementation donc voilà on a vraiment cette approche de nous on se considère pas comme des sachants sur le sujet de la réglementation et par ailleurs on
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sait que on a une communauté énorme à mobiliser pour construire quelque chose d'utile et donc on a vraiment cette logique de vouloir mobiliser notre communauté à la fois dans la construction et dans la contribution au à la base de données quoi
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ouais c'est ça c'est vraiment cette notion que je mentionnais en partie hein c'est que dans dans beaucoup de start-up d'tat il y a vraiment un enjeu à mobiliser une communauté juste pour faire en sorte que l'outil soit efficass en fait qui soit de qualité et c'est là
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qu'on se retrouve sur une notion de commun de fait est-ce que tu voudrais nous parler justement de ces ressources mutualisé qui alors elle s'affiche mais peut-être qu'il y en a il y en a d'autres
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ouais mais alors la première ressource qui est évidente c'est c'est la base de données en elle-même he c'est quelle données on a où ça est-ce qu'elles sont valides et cetera donc c'est ce qu'on essaie de construire en tout cas le en
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ce moment enfin dialogue c'est un projet qui est en cours de construction donc pour l'instant on est plutôt force de proposition sur toute l'infrastructure qui permet de construire cette donnée là et on essaie de mobiliser la communauté des contributeur sur cet aspect en
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utilisant des arguments du style bah contribuer à la base de données nationale ça face facilitera la circulation sur votre territoire ensuite par contre ce qu'on aimerait c'est qu'une fois qu'on a impliqué de premiers utilisateurs qui participe aussi à la
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construction du modèle de données donc là on va toucher vraiment à l'infrastructure de ce qui permet de de fabriquer la base de données finalement on aimerait bien typiquement avoir des interactions du style bah un gestionnaire qui nous dit j'ai voulu
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entrer dans dialogue tel type de de réglementation mais j'ai pas trouvé la bonne option ou en tout cas euh ça n'était pas présent ça n'était pas géré par l'outil et donc j'aurais besoin qu'il évolue pour pouvoir correspondre à mon cas d'usage donc ça c'est plutôt un
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dialogue qu'on a un autre niveau avec nos utilisateurs et puis euh avec la fabrique de la logistique on essaie de travailler un petit peu aussi sur euh comment est-ce qu'on permet à de nouveaux utilisateurs qui seraient
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intéressés par dialogue d'expérimenter avec ce dispositif parce qu'on sait que bah tous les utilisateurs peuvent être intéressés pour des raisons assez différentes euh par ce cet outillà euh ce qu'on essaie de faire du coup c'est
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de construire un protocole expérimental autour du dispositif qui soit aussi construit par des utilisateurs par des gens qui l'ont déjà fait justement pour que ce soit bah plus intéressant et là c'est plus une logique de déploiement où on essaie de de de déployer notre notre
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notre dispositif en utilisant les bons arguments et les bons arguments on considère que c'est ceux qui sont bah construit par la communauté elle-même en fait et là-dessus tu vois un réel
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intérêt à la coconstruction de ce protocole c'estàdire par rapport au fait de le faire d'une manière centralisée quoi ou ou descendante on pourrait dire hein euh quel l' inérêt tu vois justement à cette à cette coproduction cette coconception bah tout simplement
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parce que c'est pas toujours facile de trouver les bons arguments euh tu citais tout à l'heure le cas de de alors de l'affluence TC à Grenoble où justement on avait ce chef de projet qui chercher les bons arguments pour convaincre ses
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élus et cetera donc nous en fait on notre solution elle intéresse directement des gens qui sont dans l'opérationnel he au niveau des services dans les collectivités euh ils sont pas seuls à bord dans les collectivités il faut aussi convaincre les élu peut-être
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en redescendant les gens qui rédigent des arrêtés donc ça peut être des secrétaires de mairie ça peut être des services voirie voilà il y a tout un écosystème en fait qu'il faut embarquer derrière le le bah le l'expérimentation
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de de dialogue et donc l'idée c'est de trouver les bons arguments pour que cet écosystème là comprenne ce qu'on essaie de faire et on s'est rendu compte que bah voilà on faisait pas mouche systématiquement donc on s'est dit bon on va expérimenter avec une collectivité
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et puis on va voir en fait ce qui ressort de cette expérimentation on va essayer de le reprendre faire un protocole expérimental plus générique et ce qu'on aimerait c'est que cette collectivité elle contribue à le rédiger pour que au prochain coup bah on soit
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plus précis on va dire dans la manière dont on s'adresse à ces différents ces différents profils qu'on aura parmi nos expérimentateurs enfin c'est vraiment dans une logique de déploiement qu'on essaie de coconstruire un un argumentaire en fait qui permet de de
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déployer notre outil quoi et ça là tu as vu déjà des des des évolutions il me semble que tu m'avais cité ces exemples là qu'au départ tu avais certains arguments qui se sont révélés en fait plutôt inutiles par rapport à la réalité de terrain des gens
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qui l'utilisaient quoi bah typiquement voilà dialogue nous le principe actif hein vous l'avez compris c'est de prendre une donnée qui était un peu euh format texte PDF d'en faire une donnée structurée pour que ça arrive dans les
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GPS et on s'est dit bah les les premiers prospects qu'on va approcher on va leur dire voilà traditionnellement vous construisez votre réglementation sous forme texte en faisant avec dialogue elle va arriver dans les GPS elle aura plus d'impact et l'impact c'est vraiment
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une notion qui est importante dans les start-up d'État et puis on s'est rendu compte que bah les les utilisateurs de dialogue hein qui sont comme je disais plutôt des secrétaires de mairie euh jusqu'à des services voir sont des gens qui sont pas forcément euh motivés par
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cette question euh de d'impact au départ ils répondent plutôt à une commande de bah il faut produire un arrêté parce que euh il faut se mettre en conformité juridique euh par rapport à telle modification qu'on veut faire sur le réseau conère euh et donc ce qui va les
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motiver c'est pas forcément de de de de que cette information soit mieux diffusée à terme c'est plus par exemple de moins faire d'erreurs sur la rédaction de l arrêtés euh d'aller plus vite de voilà enfin il y a tout un tas de d'aspect un peu de transformation euh
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de de leur métier euh du dans le quotidien de leur métier quoi qui euh nous apparaissait plus intéressante donc on s'est mis plutôt à dire bah ok on va vous construire un outil euh qui est pratique justement pour la rédaction des arrêtés et au passage en plus on prend
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la donnée on la structure et on la on permet de la de la réutiliser euh bah dans les GPS ou d'autres outils quoi et c'est comme ça qu'on est on s'est mis à comprendre effectivement comment s'adresser à notre public mais effectivement bah là c'est vraiment
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l'argument qu'on peut utiliser au niveau utilisateur du du produit mais c'est pas le les seul le seul public auquel on s'adresse on peut avoir par exemple un élu qui va se poser des questions sur euh comment améliorer le trafic routier
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dans son dans sur son territoire on utilisera nécessairement pas le même argumentaire et là à ce moment-là bah l'argument de dire ça arrive dans les GPS quand vous produisez des arrêtés il sera beaucoup plus enfin il fera mouche quoi donc voilà enfin c'est comme ça
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qu'on essaie de comprendre un peu à qui on s'adresse et de construire une manière de s'adresser à chacun qui soit plus efficace quoi c'est ça et on retrouve ici la notion de de d'avoir des
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besoins qui sont qui sont entendables audible de manière égalitaire dont je vous parlais tout à l'heure parce que en fait c'est parce que le l'ensemble des parties prenantes intéressées peuvent faire partie du commun qu'on peut
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entendre des besoins dont on aurait pas forcément idée en fait en tant que opérateur du commun ça c'est un avantage aussi pour la puissance publique c'est d'entendre vraiment les les réels besoins quoi du du terrain parce qu'on permet aux parties prenantes concerné de
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de se joindre euh alors avant de te poser une dernière question je voulais demander à Delphine et du coup comme c'était pas prévu delphine est parmi nous je voulais te laisser un petit peu de temps mais je voulais te demander si
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tu avais aussi peut-être un complément à donner puisque la fabrique de la logistique anime une bonne partie de cette de cette démarche commun euh donc donc si Delphine tu es tu es disponible ce serait intéressant je pense
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d'entendre ton regard et pour te laisser souffler une minute avant je termine par une dernière question à Mathieu ce que je voulais te demander c'est euh le enfin le alors c'est le logiciel
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dialogue le modèle de données aussi j'imagine mais tout ça c'est open source c'est un accès libre qu'est-ce que l'Open Source la partie ouverte du coup du commin numérique apporte dans dans le projet
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bah sur le logiciel en lui-même pas grand-chose hein pour l'instant on a très peu de contribution mais ça commence c'est-à-dire que bah parmi les choses qui sont mises en accès libre sur notre gitub il y a notre modèle de données conceptuel donc c'est la partie
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qu'on a tout en haut qui est importante hein puisque ça soutend vraiment à la fois bah ce qu'on est capable de modéliser dans notre base de données et à la fois ce que nos réutilisateurs auront comme information en accès quoi et on commence à avoir des des
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contributions donc des gens qui visitent notre ethub et qui nous disent écoutez là j'ai peut-être sur ce champ-là j'aurais besoin que ce soit structuré de telle manière ou d'ajouter telle information donc on est vraiment au tout début de cette démarche là euh on n' pas
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encore de contribution qui toucheraiit vraiment au fonctionnement de dialogue en lui-même c'estàd vraiment de dire par exemple des suggestions sur le design et cetera je sais pas si c'est quelque chose de très courant mais en tout cas
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sur tout ce qui est partie ouais modèle de données ça ça fonctionne un peu quoi ouais du coup en fait pour l'instant tu vas avoir concrètement tu as mis le code sur gitub c'est ça tu vas avoir euh voilà des PO request sur des des ou
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peut-être même pas encore c'est plus des questions oui c'est ça enfin c'est pas forcément des pool request hein c'est vraiment juste des questionsréponsse après gitubs ça a été vraiment conçu pour ça c'estàd qu'on peut vraiment avoir des
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discussions avec bah à la fois l'équipe qui qui est concernée par le projet directement mais aussi potentiellement des réutilisateurs qui viennent nous poser des des questions directement sur le fonctionnement de certains aspects euh du logiciel et donc ça ça permet
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voilà de de de discuter directement avec eux oua ok ouais je je vois je vois qu'il y a une question pour Mathieu c'est de la part de Frédéric griot euh la question c'est vous développez dialogue en mode
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produit est-ce que vous avez un MVP prévu alors oui enfin il est prévu et il est même il est même déjà en production en fait on a enfin il y a des questions derrière les startup d'tat qui sont souvent dans la mise en conformité par
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rapport à à certaines politiques publiques et et nous on y'y échappait pas c'est-à-dire qu'on était censé mettre en en production un premier dispositif fonctionnel en mars dernier c'est ce qu'on a fait et donc le MVP c'est un peu ce qu'on avait mis en en
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place à cette époque làà euh donc c'est quelque chose qui fonctionne depuis quasiment un an on a aujourd'hui on va dire une centaine d'utilisateurs sur le la plateforme donc qui nous font des contributions donc on
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est un petit peu après le MVP je pense mais la problématique qu'on essaie encore de de solutionner euh c'est que quand on nous on aimerait bien aller de jusqu'au bout de la logique de de
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dialogue c'est-à-dire à la fois d'avoir des utilisateurs qui utilisent dialogue pour contribuer à la base de données la construire et donc enrichir avec de nouvelles réglementations notre base de données et puis des réutilisateurs côté
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GPS c'est sur pardon c'est sur ce côté-là qu'on a plus de difficulté puisque les GPS bah c'est des grosses firmes américaines TomTom IR euh enfin voilà c'est c'est des multinational qui euh pour se mettre à réintégrer des
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données qui proviennent d'une source externe ont besoin que c'est sources soit relativement conséquente donc là on essaie vraiment d'atteindre ce seuil critique en quantité de données pour intéresser ces acteurs là donc là on est encore un peu dans ce cette logique là
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et euh et donc forcément on a très peu de réutilisation côté GPS donc on peut considérer qu'on est encore un peu dans le MVP de ce côté-là quoi merci euh est-ce que déi cétait parmi nous tu voulais donner un petit
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complément de regard oui en fait en en Dr avec ce que ce que disait Mathieu sur la partie réutilisation et visibilité en fait des feedback de GPS c'est ce qu'on va essayer de mettre en place avec différents territoires et ça c'est je
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dirais l'intérêt du côté communauté euh de la fabrique au sein de du groupe territoire qui a permis de partager d'une part le projet d'aller chercher de l'intérêt auprès des collectivités qui
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sont parties prenantes de cette communauté je pense notamment à un licée Marseille avec lesquels on va engager une expérimentation euh et puis également ça permet enfin l'idée c'est de dans ce que disait Mathieu de pouvoir
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justement de façon très concrète aller mettre en place l'expérimentation auprès de ces territoires de la base de données pour pouvoir idéalement aussi aller chercher ce retour d'expérience pour nourrir
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parce que c'est pas on a l'entrée du tunnel que maîtrise parfaitement Mathieu et ses équipes nous l'objectif c'est aussi d'aller aussi chercher le retour d'expérience en sortie de tunnel euh et donc du coup l'idée de pouvoir accompagner concrètement
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l'expérientation dialog en territoire c'est de se dire ok concrètement ça donne quoi sur un un un un chauffeur ou en tout cas un transporteur quand j'ai mon mon interface GPS et que j'ai un
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dialogue de voir concrètement les intérêts par rapport à des arrêtés de circulation euh notamment temporaire donc c'est ce qu'on va mettre en œuvre donc là on n pas encore enfin les les
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les les expérimentations qui sont visé que ce soit sur Toulouse niiss Marseille donc doivent être relancés donc là date pas de de de retour d'expérience directe à faire mais c'est bien ce qu'on attend en fait notamment dans le partage du
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protocole d'avoir ce retour d'expérience d'avoir ce feedback de façon très opérationnelle pour venir aussi nourrir et donc du coup comme dis Mathieu plus on on pourra accompagner cette mise en
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œuvre plus on sera pertinent dans le déploiement massif auprès des autres territoires merci beaucoup Delphine merci à tous les deux euh s'il y a pas d'autres questions je vous propose de
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passer directement à notre troisième exemple qui est celui du RPC avec elloïse qui nous a rejoint bonjour bonjour Eloïse je te
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laisse présenter tes tes slides et benah ouais super je vois que du coup tu euh tu les as directement donc parfait bonjour à tous donc georgeo je travaille moi sur covoiturage. beta et je suis
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aussi entrepreneur donc à la DGITM puisque covoiturage. beta donc là on passe au milieu des transports de personnes euh et c'est également une start-up d'État qui est financée et
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portée par la DGITM euh aujourd'hui elle est aussi financée par île-de-fance mobilité et par laadem euh et également par laadum donc voilà on a un financement un peu un peu hybride de toute façon je vais y revenir après
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puisque ça ça fait partie aussi de la définition finalement de ce commun cette diversité de financeurs et donc d'abord petit détour par ce que c'est que covoiturage.ba et pourquoi pourquoi on l'a développé alors d'abord l'enjeu du
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covoiturage euh voilà pour avoir en tête un peu les ordres de grandeur le covoiturage courte distance ça paraît être un enjeu aujourd'hui puisque euh quand on regarde le taux de remplissage des véhicules on est à
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1,43 personnes par véhicule et euh même quand on regarde un peu plus précisément les les trajets qui sont faits pour aller au travail donc les domiciles travail en fait ne ne9u fois sur 10 les personnes sont seules donc le la phrase
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qu'on répète souvent c'est 75 % de la capacité de nos voitures aujourd'hui n'est pas utilisée autrement dit c'est 75 % des des litres d'essence qu'on met dans nos voitures qui servent à déplacer des sièges vides et donc c'est ça
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finalement l'enjeu du du covoiturage quotidien et de la politique publique covoiturage là ici l'idée c'est de se dire que bah so soit on laisse le monde se passer tel qu'il est soit on essae avec une politique publique de faire des
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paris de politique publiqu qui pourrai faire que les choses bougent et qu'en fait une voilà un comportement qui n'est en fait qu'un accord de de volonté entre une personne et autre personne d'aller dans une voiture déécole et donc pour ça
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on a plusieurs paris de politiqu publies qui qui peuvent être lancés et un de ces paris qui peut paraître un peu simpliste peut-être mais en tout cas qui est celui-ci c'est donner de l'argent aux gens en se disant que bah si on donne de l'argent aux gens et qu'on les
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récompense pour leur comportement vertueux de covoiturage ils se mettront à en faire plus et ça c'est un Paris qui a fait plutôt Tage d'huile dans dans l'écosystème des politiques publiques et privées puisque côté collectivité dès
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2019 on a île defance mobilité qui a décidé de dire alors nous on va rendre gratuit tous les trajets réalisés en covoiturage sur notre territoire pour les passagers et pour les conducteur on va les rémunérer c'est-à-dire qu'on va leur donner 2 € jusqu'à même 4 € par
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trajet réalisé et ça ça peut leur faire des revenus jusqu'à 160 € par mois pour le fait de réaliser du covoiturage les employeurs eux aussi grâce au forfait mobilité durable peuvent aujourd'hui
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récompenser jusqu'à 800 € par an les leurs salariés qui décident de réaliser du covoiturage pour des par le domicile de travail et ça vous aura peut-être pas échappé mais alors l'état s'y est mis aussi puisque depuis un an l'État verse
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des primes de 100 € pour les personnes qui décident de se mettre au covoiturage court distance et qui réalisent leur 10 premiers trajets en covoiturage euh donc là ici voilà l'enjeu encore une fois c'est de faire décoller le covoiturage
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derrière on a des enjeux assez sérieux de de planification écologique en gros l'objectif c'est d'ici 2027 de tripler le nombre de trajets réalisés en covoiturage ce qui devrait nous permettre d'économiser miser par an de
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tonnes de CO2 et pour que ce soit plus concret pour vous ça ça veut dire que si l'objectif est atteint c'est 1 % des émission de gaz à effet de ser de la France rien que ça qui doivent être économisé juste grâce à cette politique
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voiturage donc ce qui s'est posé en 2019 quand les premiers ont levé la main donc il de France mobilité pour dire voilà on va donner de l'argent aux gens c'est bien sûr bah le risque de fraude euh est-ce que l'argent qu'on met dans ces
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ces trajets en covoaturage ne va pas finalement être perçu par des personnes qui qui voilà qui n'ont pas d'intérêt ici à réaliser du couvaturage mais à simplement à capter de l'incitatif et également des risques d'effet de Ben et
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en fait assez vite quand FM a commencé son dispositif et ben le la la prévision s'est plutôt réalisée on a eu des premiers comportement de FRUD et donc un une vraie défiance de comment est-ce qu'on fait pour véritablement réussir à
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à savoir qu'un trajet a véritablement été réalisé en covoiturage et que c'est pas un trajet fantôme et donc pour ça la solution qui a été imaginée si on on passe à la slide suivante voilà c'est donc le registre de
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preuve de covoiturage euh alors là il y a une petite vidéo je sais pas si tu as si tuas moyen de la la passer sinon je peux aussi à la voix décrire un peu le dispositif tu me dises qu'elle plus
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simple marche he ah ben non parce que je suis au casque ahcout attends je peux la passer moi vas-y Jie attends donc JEI arrive à lancer ouis en tout
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cas vous allez le voir donc là l'idée ça a été donc un un une infrastructure numérique qui a été construite euh pour réussir à à recueillir donc les preuves de réalisation de trajet en Covoiturage uniquement sur les plateformes numériques puisque B ben voilà tout ce
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qui se passe hors du monde numérique ne laisse aucune trace c'est juste de personnes dans une voiture et et donc on on sait pas ce qui s'est passé par contre quand on utilise une plateforme comme blablacar comme Carros comme clxit à priori les données elles existent quelque part qui nous permettent de
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savoir qu'un trajet a été réalisé donc les données ça peut être voilà le la trage GPS de l'ensemble du trajet les identités des passagers des conducteurs et des passagers et tout ça en fait c'est des choses qui qui sont un potentiel en fait de de preuve de
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covoiturage et qu'on s'emploie donc grâce au registes de preuve de covoiturage à collecter et pour pour pour produire en fait des des preuves de covoiturage qui rendent des trajet non pas simplement réalisé mais réalisé et
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incitable pour des des collectivités des employeurs bon je pense qu'on va laisser tomber la vidéo ou pas très grave on vous permettra de la regarder chez vous ave ouais tout à fait donc n'hésitez pas à voir c'est une petite vidéo de d'une
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minute en tout cas voilà donc si je refais le schéma ce qui se passe exactement voilà au niveau technique c'est que donc quand vous vous réalisez un trajet en covaturage sur blablacar c'est donc blablacar qui va gérer l'ensemble du parcours utilisateur vous
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allez rencontrer un passager et au moment où le trajet euh est lancé donc là encore blablacar va gérer l'ensemble du parcours à la fin du trajet euh blablacar a en fait un peu plus de 24 heures pour nous transmettre euh le
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trajet réalisé en covoiturage il va nous transmettre un certain nombre de données donc l'origine la destination euh les identifiants des personnes qui étaient dans la voiture euh euh le on va voir donc l'heure de départ l'heure d'arrivée
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et aussi euh des engagements de la plateforme qui va nous indiquer que la plateforme s'engage à avoir suivi euh telle ou telle qualité du trajet par exemple bah est-ce que le trajet a été réalisé sur l'ensemble d'une d'une
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trajet PS donc je garantis qu'un trajet a été fait par deux personnes dans la voiture et que j'ai été en capacité de suivre ce trajet entièrement alors maintenant je peux vous décrire un petit peu n'hésitez pas d'ailleurs si vous avez des questions
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sur le fonctionnement je pourrais y répondre mais je vais venir un peu plus à à la description en fait de du registre de preuve de covoiturage tel qu'un command numérique donc pour ici j'ai repris les les trois conditions du du command numérique euh que vous avez
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bien explicité donc cet aspect de communauté de gouvernance et de ressources et je vais commencer donc par la communauté euh aujourd'hui donc nous le registre preuve de covaturage les principales personnes qui sont dans
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notre communauté et qui donc participent et bénéficient de ce commun ce sont les collectivités et aujourd'hui quand je dis que ça a fait tâche d'huile c'est qu'en fait on a 700 plus de 700 plus de 107 collectivités qui aujourd'hui incite
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au covoiturage on pense que c'est à peu près une personne sur TR en France qui peut bénéficier de d'incit financier donc en terme de montant financier c'est voilà c'est de l'ordre de 20 à 30 millions d'euros par an qui sont investis par des collectivités pour
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inciter des trajets en covoiturage donc toutes ces collectivités elles sont utilisatrices du registre parce que elles bénéficient des preuves de covoiturage pour sécuriser les trajets elles sont utilisatrices aussi d'outils qu'on leur qu'on leur met à disposition
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tels que des calculateurs de montants d'incitation à demander aux opérateurs donc là ben typiquement on leur sort des factures en fin de mois qui permettent aux collectivités d'aller voir blablacar et de dire bah voilà en fait pour ce
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mois-ci et ben je je je vous dois tant d'argent puisque vous avez voilà vous avez permis à tend de covoiturage de se faire et vous leur avez permis la gratuité donc ça permet de finalement de donner de l'argent pour les opérateurs
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de covoiturage aujourd'hui c'est 100 % des opérateurs de covoiturage court distance qui sont reliés au registre et qui donc nous envoient leur trajet réalisés en covoiturage euh ici aussi ils sont largement bénéficiaires de ce
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de ce dispositif puisque a priori euh on nous on fait le Paris en tout cas que si le registre de preuve de caturage ne s'était pas développé en 2019 il est pas aussi certain qu'on aurait réussi à mainenir le niveau de confiance actuel et que cette politique publique
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d'incitation au covoiturage aurait aurait voilà autant perduré au niveau collectivité pas aussi certain non plus qu'un qu'une prime de 100 € comme ça ait pu être déployé dans la palette de service que l'État se donne à au moment où il déploie un plan covaturage
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finalement ça s'est fait assez vite puisqu'on avait une solution sur étagère ici pour pour sécuriser en fait le dispositif et alors l'état l'État est aussi largement bénéficiaire en fait de cette solution puisque bon d'un côté ça
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nous permet de mettre en place notre politique publique d'incitation au niveau national du covoiturage également aujourd'hui on a un besoin qui est qui qui est largement couvert et qui se révèle assez prignant ces derniers mois
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qui est celui de planification écologique comment est-ce qu'on suit comment est-ce qu'on monitore notre notre objectif de 3 millions de trajets réalisés en covoiturage alors bien sûr le covoiturage par plateforme n'est pas l'ensemble du covoiturage mais ça reste
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une donnée complètement monitorable et on a connu par exemple des moments où c'est particulièrement intéressant de de voir le covoiturage bah vraiment évoluer au jour le jour par exemple la crise covid par exemple des crises
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type type essence énergie donc là on va pouvoir voir si effectivement on a un report ou non sur le covoiturage et ça nous donne voilà des des données de politique publique pour cet objectif là voilà pour l'objet
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communauté maintenant comment est-ce qu'on voà la ressource commune je pense que vous l'aurez compris le la ressource principale c'est ce registre de preuve de covoiturage qui ici est un peu mappé en fait ce que vous voyez en bleu c'est
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les trajets réalisé en couoiturage he donc assez vite on arrive à faire des cartes assez sympas avec toutes ces données euh en tout cas c'est ça qui permet d'aller voilà inciter rendre incitable tous ces trajets euh la ressource commune donc elle est
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aujourd'hui aussi contributive he on a donc B tout comme dialogue on est sur un gitthub et donc il est possible pour les opérateurs de contribuer à notre code qui est ouvert euh bah ça c'est quelque chose qui a fait ses preuves encore il y
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a pas si longtemps voilà on a par exemple quand on a développé les les briques pour la mise en place des primes 200 € en fait on a eu à peu près un mois pour développer ces ces dispositifs là puisque c'était voilà un peu l'urgence
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du point covoiturage et puis des annonces ministérielles on avait des des vraies briques à développer autour de ça pour certifier en fait qu'un conducteur et bien un conducteur qui n'a jamais réalisé de couveraturage sur d'autres plateformes là on avait des petits
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outils à à à construire des API et à ce moment-là on on a une vraie logique contributive aussi des opérateurs de couviturage qui ont pu en tout cas bah participer au début à l'architecture du code et puis ensuite auditer le code
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régulièrement en tout cas on a vraiment cette logique contributive des opérateurs dès qu'on a un enjeu commun sur lequel on veut atterrir ensemble et ça à ce stade pardon Jeon mais à ce stade ça pour le coup il y a des
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contributions quoi c'est que les gens sont intéressés ou ouis ou on a des contributions même là encore un peu récemment on a eu un petit un petit quak avec notre hébergeur enfin bref vite rupture de service et c'était assez
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intéressant même si bon on va pas s'en vanter de voir qu'en fait bah côté opérateur ça a été un vrai enfin en tout cas il y a eu plusieurs problématiques qui se sont posées par rapport en fait à leur vie quotidienne c'est-à-dire en
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fait c'est eux qui nous ont remonté l'interruption de service au bout de quelques heures en disant qu'en fait voilà eux ça leur ça leur bloquait des parcours utilisateurs et donc suite à ça eux-mêmes là ils sont en train un peu d'auditer une partie de nos codes pour pour voir comment est-ce qu'ils peuvent
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améliorer des endroits parce qu'en fait ils ont besoin de nous aussi d'avoir un niveau de service qui correspond aussi à leur activité donc là on se rend compte en fait de cette brique j'en parlerai après de la brique critique aussi qu'on est devenu pour pour
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l'écosystème et enfin peut-être voilà l'aspect le plus intéressant sur cet aspect de de commun puisqueau aujourd'hui on est un commun assez mature c'est la gouvernance alors la gouvernance elle est pas elle est pas évidente en tout cas côté côté rpisser
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puisque comme vous l'avez vu voilà on a quand même une multiplicité d'acteurs on a d'une part les sponsors il de France mobilit laad le ministère on a des membres de la communauté donc les collectivités mais en fait là c'est vrai que en plus j'ai adopté une définition
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assez restrictive on pourra aller beaucoup plus loin sur les utilisateurs finalement on a aussi des entreprises on a des bureaux d'études ça va beaucoup plus loin mais voilà ici c'est vraiment le cœur de cible et puis on a l'acteur public voilà le ministère des Transports
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si s'il décide de mettre en place un registre de preuve de cobaturage c'est bien pour assurer sa politique publique de de développement du caturage court distance la difficulté là-dedans c'est qu'on va bien tousser tous ces
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contributeurs tous ces membres de la communauté ont des intérêts qui sont euh ben différents parfois même divergents mais que l'ensemble doivent pouvoir converger pour réussir à s'entendre sur un commun numérique qui lui bah répond
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en fait à un objectif d'intérêt commun qui est ici de développer des incitatifs financiers au covoiturage qui soient efficace et qui soi sécurisé donc les instance qu'on a décidé de mettre en
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place c'est d'une part ici le comité des financeurs qui permet vraiment à ses à ces finan ur d'évaluer l'impact en fait du produit de décider des orientations produit principales et d'octroyer les financements donc ça ça se tient une
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fois par an et ça trangeche vraiment de ces ces évolutions qui sont vraiment les plus les plus importantes chaque année on a aussi donc les membres de la communauté on a dit donc les collectivités et les opérateurs
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et ça c'est c'est un travail qui du coup se fait beaucoup plus régulièrement donc c'est des clubs pour chacun club opérateur club collectivité qui sont mensuels et dans ces clubs on discute des évolutions du produit c'est donc un
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vote qui se fait par consensus euh et on va ici donc voilà voir éventuellement des évolutions des différentes obligations de chacun mais aussi des évolutions du produit ben j'ai parlé par exemple des primes de 100 €. c'est
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notamment en club opérateur que se sont décidés l'architecture comment est-ce qu'on va définir nos différents types de données et euh en tout cas c'est un vrai une vraie instance de décision qui est là aussi assez critique en général côté
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opérateur c'est euh les numéros 1 2 3 des des boîtes qui viennent euh ils se rendent bien compte qu'en fait c'est ici que se décid euh des euh des aussi des choses qui sont assez euh même presque normatives pour le secteur euh on dit
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des fois que cod is low là pour le coup nous c'est assez euh c'est assez vrai euh et finalement une évolution des CGU peut avoir un vrai impact en fait pour pour l'ensemble de l'écosystème côté acteur public là le
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rôle de l'acteur est assez assez important justement garder cette espèce de vision prise de hauteur sur en fait tous ces intérêts qui peuvent être parfois ici divergents et de de garder en fait un cap qui peut parfois
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nécessiter de trancher des des des positions en l'absence de consensus et donc d'animer aussi cette communauté pour qu'elle continue même parfois quand on a une absence de consensus et qu'on trange dans une direction à à poursuivre
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le travail ensemble en tout cas ce qui est intéressant dans cette histoire de gouvernance c'est que bah même si aujourd'hui on est complètement positionné et que si le RPC disparaît et ben on a quand même pas mal de dispositifs publics qui disparaissent et donc des modèles économiques pour nos
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nos opérateurs de covoiturage en fait le RPC n'a aucune existence juridique dans la loi et donc finalement on tient sur une fiction contractuelle euh que sont nos CGU si demain blablacar décide de se retirer et ben c'est la règle de pied
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ils peuvent le faire euh si demain nous on décide d'arrêter notre collaboration avec blblacar on peut aussi le décider euh pour autant en fait ça aurait vraiment des conséquences pour l'ensemble de l'écosystème assez importantes et euh et finalement voilà
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c'est cette cette gouvernance est assez intéressante justement par sa par sa légèreté euh et qui nous qui nous oblige à continuer à renir autour de la table très régulièrement ouais c'est vrai que ça c'est un c'est
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un élément très intéressant c'est que en fait dans la notion de comin il y a quand même une grosse notion de liberté aussi contrairement à un produit ou un service qui serait centralisé par qu'en fait on n'est pas obligé de participer à l'inverse si on y est c'est qu'on a intérêt donc donc du coup ça donne toute
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la valeur à ce à ce projet tout à fait et bon ben voilà là je du coup je vais peut-être un petit peu me répéter mais c'est simplement pour vous donner les nos maétriques d'impact aujourd'hui voilà on considère qu'on est une infra structure numérique
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mature alors pourquoi infrastructure c'est cette histoire de Ben comme voilà comme la route permet de faire circuler des voitures si la route n'est plus là ça va être vraiment compliqué de de circuler aujourd'hui dans le l'écosystème covoiturage en tout cas on
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est devenu une brique qui fait vraiment un pont entre bah les ici les opérateurs et et les politiques publiques là aussi on est devenu vraiment une brique assez critique sur laquelle pour que le le
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covoiturage ben subventionné existe on a cette nécessité de passer par le registre preuve de covoiturage ça se metist par le fait queilà 100 % des opérateurs de covoiturage sont nous transmettent les données que 100 % des études sur le
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covoiturage court distance réutilise nos données on est producteur de données de la planification écologique donc on a répondu à un vrai problématique aussi là de comment monitorer cette données de d'intérêt général de de nombre de
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trajets réalisés en covoiturage euh et également donc j'avais parlé en tout début de présentation de de l'intérêt initial du RPC qui était sécurisé incitatif éviter fraude aujourd'hui on sait que en tout cas en 2024 on on
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saevvera au moins 1 million d'euros d'argent public grâce à des dispositifs de lutte contre la fraude qu'on a pu mettre en place de manière un peu plus récente en fait avec ces données et donc on a pu nous aussi s'adapter aux évolutions du secteur de covaturage qui
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a été en prise à une professionnalisation de la fraude euh donc on on a su s'en rendre compte déjà ce qui est pas forcément évident et puis on a su aussi ensuite s'armer ensemble avec les opérateurs et grâce à cesens pour répondre ensemble à cette
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problématique voilà j'en ai terminé pour pour ma présentation et je vous écoute si vous avez des des questions merci beaucoup éoïse est-ce qu'il y a des questions dans le chat ça
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peut concerner les les communs ou autre chose ok donc du coup ce que j'entends aussi dans dans ce que tu disais ce que jeens à la même question que j'ai posé à Mathieu concernant l'OP source pour toi il y a vraiment alors c'est pas le même
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niveau de maturité vous êtes beaucoup plus avant P mais euh il y a un vrai enjeu non seulement à participer donc au comité donc aux discussions en fait autour de autour du projet mais à participer aussi au code c'est dire que
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c'est pas seulement aller voir ce qui se passe euh voilà il y a une transparence donc c'est apprécié ça fait gagner en confiance il y a aussi parfois ils vous rendent des services euh est-ce que parfois aussi ils vont vérifier des des
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éléments qui de qui pourrai euh estce que parfois il voilà ils remettent en cause ce qui a la manière dont ça a été fait parce que ça leur correspond pas ah oui complètement alors c'est vrai que les nous pour le coup sur notre gitup
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enfin les les échanges sur des tickets euh sur des parties du code sont très enfin sont quasiment quotidiennes hein avec l'équipe de développeurs donc entre développeur côté opérateur et développeur côté de notre équipe donc
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oui complètement c'est des choses qui qui arrivent régulièrement euh et en général c'est toujours ça va nous permettre toujours d'améliorer en tout cas pour l'ensemble de l'écosystème bah une partie de de produits on se rend compte que souvement les les questions
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soulevées bah sont parfois des incompréhensions côté opérateur ou de notre côté ça nous permet aussi en fait de garder une visue et de découvrir aussi de notre côté des des fonctionnements et donc des innovations
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de secteur en fait quand bah par exemple un champ donc de notre API n'est plus adapté à une innovation de un opérateur qui s'est mis à faire j'en sais rien du caturage instantané et ben au niveau politique public c'est aussi une façon pour nous de découvrir et de rester très
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ouvert en fait sur OK comment le coiturage se comporte de plus en plus avec ces pl alors je vois une question de la part d'Hélène Bégon euh question Eloïse dit que sa
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plateforme fonctionne selon les CGU et les décisions du comité stratégique sans texte législatif ou réglementaire est-ce qu'il y a vraiment aucune brique réglementaire normatif dans tout le dispositif par exemple un schéma de
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données standard et cetera alors on a effectivement un schéma de données pour autant c'est un schéma de données qui n'est pas ensuite euh qui n'est pas enterriné par Arrêté donc c'est un schéma de donné qui est sur schéma datagou euh et voilà on n'est pas allé
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plus loin aujourd'hui la seule seule mention réglementaire en tout cas de ce qu'on fait on a effectivement un quand même un décret qui parle en fait de enfin qui autorise les autorités organisatrices de la mobilité les employeurs incités au covoiturage euh
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mais par contre à aucun moment on ne cite le registre de preuve de covoiturage donc là ici c'est vraiment une réponse contractuelle euh à cet enjeu commun de comment est-ce que je fais pour distribuer ces incitatifs de manière
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sécurisée et par contre il y a une obligation de la part des opérateurs d'utiliser le RPC s'ils veulent toucher le financement ça c'est ça donc en fait mais encore une fois du coup c'est plutôt dans les contrats donc là par exemple on a enfin sur le dispositif de
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100 € effectivement il y a un dispositif il un arrêté qui décrit le dispositif de 100 €. et donc c'est dans cet arrêté qu'on écrit que le régist de couverturage et le tir de confiance euh mais voilà pour tout Le Rest des incitatifs faudrait aller regarder dans
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la convention d'Île- de France mobilité qui effectivement cite le registre encore une fois comme l'outil désigné pour assurer la la qualité oui ça les collectivités vous aurait pu décider autrement quoi oui complètement
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ouais ok merci beaucoup Éloïse ce ce troisième exemple euh ce que je voulais vous proposer pour les une minute et demi qui nous reste je voulais vous donner un petit peu de temps pour voir si vous avez des
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réactions que ce soit des des questions ou ou des réactions que ça que ça provoque chez vous vous donner éventuellement la parole pour le coup puisqu'on a un peu de temps finalement je vous laisse un peu un petit moment si vous voulez
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réagir alors si pas de réaction je vais me faire une répétition parce que c'est vraiment important la répétition c'est en résumé vous dire bah voilà en quoi c'est ça nous paraît important ou vous proposez
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cette grille de lecture à vous puissance publique qui venit de de bord assez différents euh pourquoi est-ce qu'agir pour et par les commment ça peut être ça peut être intéressant bah on l'a vu hein dans ces différents dans ces différents
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exemples impliquer les communautés en fait ce qu'on voit c'est que dans le numérique on parle de plateforme donc on parle de de d'impliquer des communautés de producteurs d'un côté de de d'utilisateurs de l'autre euh et que ce soit des acteurs privés ou des citoyens
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ou d'autres échelons d'acteurs public ça permet d'accélérer les solutions on a eu plusieurs exemples exemple mentionné euh ici euh cet après-midi euh ça permet de réduire les coûts euh également on l'a
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mentionné d'optimiser le la l'argent public et puis enfin d'augmenter la transparence et donc de de rétablir la confiance donc pour nous ça nous paraît vraiment euh important euh c'est pour ça qu'on vous le soumet hein d'avoir ce ce
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véhicule à la fois démocratique économique et puis euh et puis stratégique pour euh euh pour vous pour vous nourrir et nourrir éventuellement euh euh vos euh euh vos réflexions si
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vous avez envie de poursuivre la discussion vous nous écrivez euh sur le chat ou euh ou à l'email qu'on a qu'on a mentionné ici donc Marguerite c'est moi hein donc vous hésitez pas à nous écrire et puis euh on reviendra vers vous pour
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une suite de de webinaire or
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